• Clergé programme d'étude: Indo-European Myth 1

    The ADF Clergy Training Program : Le programme d’étude du Clergé de ADF.

     Clergy Training Program Course Outline – Baseline Training-

     

    Indo-European Myth 1

     

     

    1. 1.Énumérer et discuter des principales sources primaires de la mythologie de trois cultures indo-européennes, y compris leurs dates d'origine et leur paternité (si elle est connue). Vous devez parler des éléments importants. Les facteurs qui peuvent causer des problèmes dans l'interprétation de ces sources, comme l'existence de multiples révisions, ou la présence d'influences chrétiennes ou autres influences extérieures dans les textes survivants.

       

    Réponse à la question :

    Les trois cultures à propos desquelles je vais parler seront la culture Celtique soit la Gaélique (Irlandaise),  et la culture Nordique (Scandinave) et la culture Grecque.

     

     Au sein de notre communauté d’ADF les trois cultures Indo-Européennes qui sont les plus visibles se sont les cultures: grecque, celte et norse (scandinave). Je pense que c’est important de s’intéresser à ces trois cultures là. Avec les trois livres sources pour ces mythologies, la Théoganie d’Hésiode pour la culture Grecque, l’Edda Poétique pour la culture Scandinave et Le Cycle d'Ulster est aussi appelé Cycle de la Branche Rouge dans la littérature irlandaise pour la culture Gaélique Irlandaise.

     

    La culture Grecque :

    La culture grecque date se développe durant la dernière partie des siècles dits obscurs avec comme base les restes de la civilisation mycénienne, et prend forme ensuite durant l'époque archaïque v. 800-480 av. J. -C. et se développe pleinement durant l'époque classique 480-323 av l époque Héllénistique ensuite en 323-31 av. J.-C. Puis ensuite la conquête Romaine entre 220 et 31 av. J.-C. marque la fin de l'indépendance politique de la Grêce. Malgré l’assimilation avec la culture Romaine la culture Grecque antique a conservé un réel dynamisme, évoluant progressivement pour ensuite devenir la civilisation byzantine à partir du IVe siècle.  

    A partir de l'époque archaïque et plus tard durant l'époque classique, la Grèce fut le berceau du développement d'une civilisation novatrice par bien des aspects, qui se distingue dans sont évolution des autres cultures par une expansion maritime avec la colonisation Grecque, comme ce fut le cas dans le sud de la France avec la ville de Marseille.  Polis (la ville) c’était les cités chez les anciens Grecque et dans cette polis la vie de la civilisation avant une place pour la vie politique, la vie sociale et culturelle qui était très productive. La civilisation Grecque était représentative et appuyée par plusieurs grande citées ainsi Ionie, Athènes, Sparte, Syracuse c’est alors dans un contexte politique basé sur les expansions de la cité que se forme un art de la guerre visant à mettre fin aux nombreux conflits entre les cités et à assuré une forme d’hégémonie de celle-ci vie à vie des autres. Les cités grecques élaborent en leur temps des formes politiques que nous connaissons encore de nos jours tels que la tyrannie et la démocratie. Les citées Grecques de l’époque ont une vie religieuse dynamique aux aspects locaux très marqués tout en reconnaissant un groupe de divinités et leurs propres sanctuaires qui leurs sont consacrés. La civilisation grecque antique a exercé une influence considérable dans le monde antique leurs citoyens donnent naissance à une littérature variée et composée d’épopées, de mythes, de poésie, et d’histoires mythologique, Pour les Grecs classiques, nous avons une multitude de sources primaires. L’Iliade et l’Odysée d’Homère furent de grande texte, évocateur et héroïque, représentatif de la culture Grecque et des voyages du aussi peut être à l’expansion de la culture. C’est deux texte sont les plus célèbres. La Théoganie d'Hésiode ensuite à aussi une valeur très significative dans la culture Grecque a partir du 7ème siècle avant notre ère et ce sont des œuvres qui nous montre à quel point la culture Grecque était raffinée et en avance, elle compte parmi les grandes civilisations de l’histoire de l’humanité. Malgré tout la dynamique de la culture grecque engendra des conflits qui engendrèrent des destructions et de l’instabilité ensuite avec les romains, le style de vie des grecques leur permirent d’avoir des réflexions sur le monde et la vie en société dans le cadre de la philosophie, mais également à développer leur connaissance dans les sciences et les savoirs artistiques et architecturales au point de devenir pour nous des références. La christianisation, qui conduit à la disparition de la religion polythéiste grecque, et le délitement progressif des institutions des cités grecques antiques, à la même époque, marquent la fin de la civilisation grecque antique.

     

     

    La culture Gaélique :

    Les Gaëls sont des celtes de langue celtique dite en « Q » alors que les langues celtiques Brittoniques sont dites être des langues en « P ». Les Gaéls Irlandais sont dits « Gael » au singulier et « Gaeil » au pluriel, les Gaëls d’Ecosse sont appeler « Gàidheal » au singulier et « Gàidheil » au pluriel. Il y a aussi des Gaëls sur l’île de Man la culture y est forte également.

     

    Les langes celtes se divisent en deux groupes :

    Le gaélique composé du Gaélique d’Irlande, celui d’Ecosse et celui de l’île de Man.

    L’ancienne langue Gaélique est parfois appelée «Goidelic » or « Proto-Goidelic ».  

    Le Brittonique composé du Gallois, de Cormique et du Breton.

    Le Cormique s’apparente à un ancien dialecte du Breton.Vraiment très proche comme langue.

    L’ancienne forme du Breton celle des grandes migrations en Bretagne au VI e siècle est appelée « Prennadeg » et l’ancienne forme du Gallois quand à elle est appelée « Brythonic » ou « Hen Gymraeg »

    Il y avait aussi une langue brittonique apparentée au Breton et qui a disparue c’est celle des Pictes, l’unification des anciens royaumes d’Ecosse de Dalriada avec Pictland (ou « Pictavia ») par le roi kenneth MacAlpin eu pour effet d’instauré la langue gaélique se qui engendra le déclin de la langue parler par les Pictes et petit à petit la disparition de cette langue.

     

    En Irlande ou en Ecosse beaucoup de personnes ne parle pas la langue celtique se considèrent tout de même comme des Gaëls dans un sens plus large, en raison de leur ascendance historique et de leur héritage c’est très important, ça passe également par les mythes et les légendes et de nombreux autres aspect de l’héritage. La culture celte  en plus des légendes et des mythes, qui on été retranscrit par les moines chrétiens Irlandais ou Gallois nous a laissé le chaudron de Gundestrup retrouvé au Danemark et qui nous donne quelque indication sur les dieux, bien que l’objet reste difficile a interprété. Et les sources mythologie on été retranscrite avec le filtre du christianisme. Ce qui peut apporter des confusions sur certain élément ajoutés ou modifiés des histoires d’origines, bien qu’on retrouve l’essentielle. C’est la même chose avec notre légende Arthurienne en Bretagne il n’y a plus que des archétypes celtiques.

    Il y a aussi le mabinogion pour la culture Galloise, mais mon propos touche à la culture celtique Gaélique, j’ai un très bon livre dessus qui a été traduit en Français. Dans cette culture le texte le plus important est certainement le Cycle d'Ulster est aussi appelé Cycle de la Branche Rouge qui date du Moyen Âge, et qui est consacrée à l'antiquité celtique des gaëls.

    C’est un ensemble de quatre livre le cycle Mythologique, le cycle Fenian, le cycle Historique et le cycle d’Ulster (le cycle de la Branche Rouge). Ce dernier est plus particulièrement consacré au royaume d’Ulster. Dans son passé ancien l’île est divisée en quatre grands royaumes, le royaumes de Connaught, celui de Leinster, celui de Munster et enfin l’Ulster, plus un cinquième au centre de l’île le Meath ou régnait le grand roi d’Irlande à Tara. 

    L’histoire dans ces cycles ce passent sous le règne du roi Conchobar Mac Nessa, fils du druide Cathbad et de la reine Ness, qui aurait vécu au temps du Christ (30 av. J.-C. à 35 apr. J.-C.). Dans la capital d’Emain Macha. S’en suit dans le récit la guerre avec la Reine Medb et celle du roi Ailill du royaume de Connaught, dans ces récits il y à aussi l’histoire passionnante du héros Cú-Chulainn, et aussi du héros Finn MacCumhaill. Tout ces récits sont important car ils décrivent la civilisation préchrétienne de l’âge du fer, il est vrais que c’est quelque peut déformée par le prisme chrétien de ses rédacteurs, qui étaient des moines et des membres du clergé chrétien. Le plus important c’est que sous ce vernis de la religion chrétienne, nous pouvons retrouver le substrat celtique et la confirmation des témoignages de leurs contemporains de l’époque. Nous avons l’image d’une société civilisé et guerrière qui est dépeinte, une société régie par des règles et dirigée par la classe sacerdotale des druides et des bardes. Dans ces textes les guerriers héroïques sont mit en avant, leur courage pour la communauté et leur combat singulier se termine par des luttes à morts et le but des combats est bien de montrer sa bravoure aux dieux. Car seul les héros peuvent aller au Sidh après leur mort et vivre parmi les dieux. Dans ce cycle il y à plus d’une vingtaine d’histoire, les histoires le plus importante je pense que c’est celle de la razzia des vaches de Cooley ou en gaélique « Táin Bó Cúailnge » dans cette histoire la reine Medb envahit l’Ulster pour s’emparer du Brun de Cooley, un taureau qui lui manque pour que sont troupeau ait autant de valeur que celui de son époux. C’est là qu’intervient Cú-Chulainn dans le récit.

     

     

    La culture Scandinave (Norse) :

    Tout comme les Celtes, les peuples scandinaves n’avaient pas mit leur connaissance à l’écrit, hors mit des pierres avec des inscriptions runiques. L'histoire de la Scandinavie avant sa christianisation autour de l'an mille est mal connue car les peuples nordiques  écrivaient peu, préférant la tradition orale. Ainsi, les principales sources écrites proviennent des moines scribes européens, qui étaient cependant également les principales victimes des raids vikings, et donc  dont les écris ne sont pas neutre à leur propos. Les textes des Sagas ont été mit à l’écrit en Islande

     

    Cependant, nous sommes heureusement en effet pour l'Islande qui a adopté le christianisme, la christianisation de cette île fut plus lente c’est ainsi que les histoires et pratiques des croyances païennes eont pu être sauvés à un rythme lent, conservant bon nombre de ses histoires et croyances païennes même au moment où elle a commencé à être écrites le monde des scandinaves était chrétien. Ici, il existe une richesse relative de sources, la plus importante étant l' Edda en prose ( en 1223 de l’époque contemporaine) écrit par Snorri Sturluson ainsi que l' Edda poétique. Un recueil de poésie islandaise datant du XIIIe siècle. Ces deux sources ont été écrites deux siècles après la christianisation de l’Islande. Malgré tout les sources que nous avons semblent être restés très justes par rapport aux histoires païennes d’origines. Geste des Danois (Gesta Danorum) de Saxo Grammaticus, écrit vers 1200. au monastère de Sorø. Cette ouvrage fut le premier livre danois qui a exercé une forte influence dans l'historiographie et la littérature danoises.

     

    Le livre écrit par Saxo Grammaticus constitue un très important témoignage sur la mythologie Nordique.

    Dans la Gesta Danorum la partie la plus importante concerne l'histoire des Danois, depuis leurs origines jusqu'à l'époque où vécut Saxo Grammaticus.

    C’est l’une des plus importantes et des plus anciennes sources littéraires du Danemark que nous avons. Il est important de préciser également qu'elle a joué, et joue encore à l'heure actuelle un rôle fondamental dans la constitution du ciment identitaire et du récit national Danois.

    Cette source a également jouer un rôle important depuis l’époque de la Renaissance jusqu’au XIXe siècle. La Gesta Danorum fut imprimée pour la première fois en France à Paris en 1514. L’œuvre relate les biographies des rois et des héros Danois. Les neuf premiers livres de la Gesta Danorum décrivent les traditions des rois et des héros antiques, des origines, jusqu'aux environs des années 950. Tout ces récits raconte les légendes et les sagas de personnages illustres comme Fredfrode, Amleth, Fenge, Hrólfr Kraki, Hadding, le géant Starkather, Harald Hildetand ou encore Ragnar Lodbrok.

     

     

    Ce livre est une référence sur le plan du style littéraire. Mais de nombreux aspects historiques sont contestés de nos jours  notamment par ses aspects partisans et ses omissions ainsi que sur son aspecte basé sur la vie aristocratique et militaire avec les rois et les héros ou guerrier. Forte heureusement la Geste des Danois est toujours étudiée depuis de longues années, notamment en raison des travaux de Georges Dumézil ainsi que les travaux de ses successeurs dans ce cadre d’étude c’est une source d'information importante sur la culture, la société de l’époque et aussi à propos de ce qui concerne la mythologie nordique. Dumézil  à beaucoup étudier se texte et a non seulement travailler dessus et démontré que la biographie du héros Hadingus est une création de Saxo Grammaticus à partir de la mythologie du dieu Njörd. Il à également calqué des récits mythologiques dans son histoire des Danois.

     

     

    2.Vous devez résumer, puis ensuite comparer et enfin opposer entre eux les mythes d'au moins deux cultures indo-européennes avec concernant les sujets suivants (vous n'avez pas besoin d'utiliser les deux mêmes cultures comme base de comparaison pour chaque sujet)

    1. Un conte de la création
    2. Un conte de la guerre divine
    3. Un conte qui décrit le sort des morts

     

     

     

    Un conte de la création :

     

    Dans la culture Scandinave :

    L’Edda de Snorri Sturluson et dans le texte de la Voyante la Voluspa nous donnes des indications sur la conception qu’avaient les anciens Scandinaves de la période Viking sur la création du monde et du cosmos. Et le lien entre la glace au nord dans le monde de Niflheim et le feu dans le sud dans le monde de Muspellheim. Et leur rencontre et connexion dans le gouffre primordiale du vide le Ginnungagap. Mes versions favorites de ce mythes sont contemporaine celle décrite dans le livre  « La Mythologie Viking » de Neil Gaiman et celle dans la collection Française « RBA- Mythologie Nordique » une collection de live avec tout les mythes et légendes de la culture nordique rassemblés dans une remarquable collection de différent livre. La création à un livre entier qui lui est consacré « Odin et les neuf mondes » divisé en différentes étapes. Que je trouve très intéressent, bien écrit , le premier chapitre  est intitulé « La glace et le feu » ensuite le deuxième « Les premiers Dieux » et le troisième « La ruse d’Odin » et enfin le quatrième et le cinquième « Le temps des hommes » et « Le destin des Dieux ». Un très bon livre.

    Dans chacune de ces histoires, les sources historiques avec Snorri Sturluson ou les plus récente comme «RBA Mythologie Nordique » ou Neil Gaiman, le thème centrale reste la collision de deux forces vives et de leur collision dans le néant d’avant l’existance de toute chose. Deux forces contraires qui engendrairent ensemble l’existance des géant et des premiers dieux. La vache géante sœur d’Ymir qui abreuve les premiers dieux en se nourrissant de la neige et de la glace. L’un des des géants les plus impressionant dans ce récit c’est Ymir. Les premiers dieux font leur apparition les enfants de Borr et de Bestla la fille de Bolthorn une géante. Ainssi ils eurent plusieurs enfants Odin, Vili et Vé qui combatirent le géant Ymir et créairent le cosmos et surtout la terre des hommes avec ses restes. Le Midgard. Après tout cela vient la création de Ask et Embla le premier homme et la première femme sont nés grace au souffles de la vie qu’Odin est ses frères donnés à deux tronc d’arbres un orme et un frêne. Avec leur magie les dieux on aussi crées le jour et la nuit en mettant le soleil et la lune en mouvement et en les plaçant sous la protection de divinités jumelles, les enfants de Mundilfari et Glaur soit la déesse Sol la protectrice du soleil et le dieu Máni le gardien de la lune. Ensuite les dieux placèrent le frère et la sœur dans le ciel, où Sól conduit les chevaux Árvak et Alsvid, qui tirent le chariot du soleil, et où Máni contrôle le cours de la Lune4. Sól est poursuivie par le loup Sköll, qui finira par l'attraper.

     

    Dans la culture Greco-Romaine :
    En Grèce, la création suit un schéma similaire. Au début d’après les anciens Grecques il y avait chez aussi un vide, qui pourrait être comparé au vide de la mythologie nordique du Ginnungagap.  bien que le Chaos ne soit pas le Chaos jusqu'à ce qu'il apparaisse, et serait donc mieux assimilé au venin formé. Il établit la terre, l'amour et la nuit en les enfantant (entre autres). Le dieu du ciel Ouranos et la déesse de la terre Gaïa furent les premier dieux e ils engendrèrent ensembles tout les autres Dieux. Cela conduit à la création des Titans, le principal d'entre eux castrant alors Ouranos, de cette castration émerge l’amour par la déesse Aphrodite. La culture Grecque est une culture qui m’intéresse également mais que je connais moins par rapporte à la culture nordique, c’est plus des contactes parfois avec les divinités de ce panthéon de façon parfois inopiné alors que je fais des rituels et des transes qui m’a amené à m’intéresse à leur histoire et mythe. Je pense ici que nous avons un exemple de destruction et de création ou plutôt une destruction qui amène quelque chose de positif ensuite, la castration d’Ouranos crée la déesse Aphrodite dans un acte sacré elle amène ensuite avec elle l’amour, le plus beau des sentiments qui reluis toute chose et donne un sens aussi bien à la vie des hommes qu’a celle des dieux. Ainsi après une destruction de l’ordre est crée. Ce n’est pas en aménagent le monde et en l’harmonisant à la manière d’Odin et de ses frères. Mais bien par l’émergence du sentiment amoureux aux travers de la de la déesse Aphrodite. De quoi rendre Freya jalouse ! C’est vraiment très beau quand on y réfléchie deux minute. Le Mythe Grecque est probablement le plus beau qui existe dans les légendes et les mythes Indo-Européens. Bien sur il y a aussi des histoires de combats contre les titans dans les légendes Grecques aussi. Je pense aussi qu’aux travers de ses histoires nous pouvons comprendre que la paix et l’ordre sont quelque chose d’important et que pour existés il faut en quelque sorte combattre se qui crée le chaos, donc ici les Titans, dans d’autre mythes se seront les Jötnar ou les Thursar ou encre les Fir-Bolg ou les Fomoriens mais je vais en reparler dans le sujets sur la guerre divine.

     

    Le mythe de la création dans la culture purement romaine est aussi très intéressent.

    La façon dont la ville de Rome a été fondée dans la mythologie est très intéressente.

    Avec les deux jumeaux Romulus et Rémus, leur combat et la louve qui les à élever.

    Dans cette histoire Romulus et Rémus sont des frères jumeaux, nés d’un amour interdit entre une vestale Rhéa Silvia et le dieu Mars. Les deux enfants pour être sauvés de la colère du père de Rhéa Silvia sont jetés dans le fleuve Tibre à leur naissance. Ensuite après avoir survécus aux eaux tumultueuses du fleuve ils échouent sur les berges, affaiblies et affamés c’est alors qu’une louve ( qui se dit en latin « Lupa ») accourut en entendant les pleurs des enfants nouveaux-nés. Le berger était là avec ses moutons dans les champs qui bordaient la rivière, il suivi la piste de la louve qu’il cherchait à chasser plus loin de son troupeau c’est alors qu’ il surpris la louve en train de lécher les enfants et elle les allaitait. Le bergé très surpris de ce spectacle emmena les enfants avec lui à la bergerie et les donna à élever à sa femme Larentia.

    Ils grandirent et une fois devenus adultes Rémus et Romulus décident ensembles de fonder une ville et choisissent pour emplacement « l’endroit où ils avaient été abandonnés et où ils avaient passé leur enfance ». Ils allèrent sur les lieux et se disputèrent a propos de qui aurait le droit de nommer la ville et donc celui de la gouverner c’est ce qui fut alors à l’origine de leur conflit fratricide et dramatique. Du côté de l’embouchure du fleuve Tibre, il existait sept collines. Romulus et Rémus n’étaient pas d’accord sur l’endroit où devait se fonder la ville, ils décidèrent donc d’observer le vol des oiseaux à la manière des étrusques. Romulus vit douze vautours survoler le Mont Palatin alors que Rémus n’en aperçut que six depuis le Mont Aventin. Pour délimiter la nouvelle ville, Romulus traça une enceinte au sommet du Mont Palatin et jura de tuer quiconque franchirait son enceinte. Rémus désobéit et pénétra à l’intérieur en se moquant de son frère. Celui-ci le tua et devint l’unique et premier roi de Rome. La Ville est fondée le 21 avril 753 av. J.-C.. Cette date marque le début du calendrier romain.

    Ici la construction de Roma à lieu après la mort d’un des frêres se qui comme la mort d’Ymir ou la castration de Ouranos représente une forme de destruction avant l’arrivé d’une création. Et d’une forme de misse en ordre du monde (ici Rome).

     

     

     

     

    La culture Celtique :

    Il n’y a pas véritablement de mythe de la création dans la culture celte en partie parce que cette culture considère que tout dans le monde est cyclique, en perpétuelle évolution ou involution dans un cercle qui bouge, change est évolue. Par contre il y à le mythe des différentes colonisations de l’Irlande qui on contribués à construire l’île telle que nous la connaissant, d’après ce mythe différents peuples sont venu sur l’île est sa ressemble beaucoup à un mythe de construction ou de création et de misse en ordre du monde (ici l’Irlande).

     

     

    Les peuples qui accostèrent en Irlande :

     

    Cesair ou Cessair

    Le peuple de Cesair. Cesair ou Cessair c’est la fille de Bith, c’était la première des femmes a vivre en Irlande. Dans les premières années de l’Irlande il y eu un déluge qui engloutie l’Irlande sous les eaux de la mer, ce déluge dura cinquante jours, seul Fintan survécu à cette catastrophe.

     

    Les Fomoires

    Les Fomoires  aussi appeler Fomores, étaient un peuple de Géants venus de la Mer ils débarquèrent sur l'île après le déluge. Ce sont des personnages hostiles et grotesques aux manières brutale et sans affecte ou arts, leur univers et fait d’obscurantisme et d’obscurité comme celle contenue dans le fond des océans.

    Ils furent très ombreux et néanmoins dôtés de grands pouvoirs, dans les mythes Irlandais ce sont de grands et puissant magiciens. Ils combattront tous les occupants successifs, sauf les Fir Bolgs, ils représentent le chaos et le désordre perpétuel. 

     

    Les Partholoniens

    Les Partholoniens, le nom qu’ils portent est en lien avec ceui de leur chef Partholon. Ils arrivent dans le mythe Irlandais en 278 ans après le déluge.

    Dans les mythes c'est sous leur âge, qui va durer 5000 ans. Qu'apparaissent  les caractéristiques des peuples Indo-Européens en lien avec la tripartition de Dumézil à savoir le druidisme, l'agriculture, l'élevage, la métallurgie. Ils passent ensuite des années interminables à combattre les Fomoires. Un jour de la célébration de Beltaine une peste les décimera. Ils moururent tous sauf un seul d’entre eux Tuan Mac Cairill, dont le récit, qui constitue une légende distincte, retrace à son tour l'histoire des invasions de la première conquête de l’Irlande.

     

    Les Némédiens

    Les Némédiens sont conduits par Nemed, dont le nom signifie sacré. Sont père se nome Agnoman, selon le Lebor Gabála Érenn (le Livre des Conquêtes d'Irlande).

    Suite à la paix instoré durant plusieurs années par Nemed ils sont contraints à la guerre, en effet les Fomoires tentent de reconquérir l’Irlande et ils font des incursions et des pillages dans le domaine des Nemediens.

    Une paix fragile est conclue entre les Némédiens et les Fomoires. Le peuple de Nemed doit payer une taxe chaque année pour pouvoir maintenir cette paix sur l’île verte. Après une dernière révolte, ils doivent fuir, ce qui constitue la deuxième conquête de l’Irlande.

    cette race d’être inhumaine aurait occupée l'Irlande après la disparition des Partholoniens, décimés par la grande épidémie de peste de Beltaine, mais ils sont ensuite tous chassés par les Fomoires.

     

    Les Fir Bolg

    Ensuite dans la légendes c’est le peuple des Fir Bolg (qui veut dire « hommes sacs » étaient t’ils ventrus ? En effet en Gaélique « Fir » = hommes et « Bolg »  =  sac, ventre, panse ?), leur aspect et l’étymologie en Gaélique fait pensé encore à une sorte de géants. Quoi qu’il en soit ce sont eux qui succèdent aux Némédiens. Ils vont entrer en guerre avec de nouveaux arrivants, les Tuatha Dé Danann et seront vaincus lors de la « Première Bataille de Mag Tuireadh » (Cét-chath Maige Tuired), Ce qui fut ici la troisième conquête de l’Irlande.

     

    Les Tuatha Dé Danann

    Les Tuatha Dé Danann (Tribu des Dieux des Arts ou Tribu de la Déesse Dana) sont les dieux de l'Irlande (avec des équivalences dans tout le monde celtique, que l’on retrouve dans nombre de récits. La « Seconde Bataille de Mag Tuireadh » (Cath Dédenach Maige Tuired) dans lequel ils se battent contre les Fomoires qu'ils mettent en déroute.

    Mais face aux Milésiens, ils doivent se replier dans  le royaume souterrain et magique du Sidh. Ensuite ils seront nommés « Fir Sidhe » ou « Fear Sidhe » pour les dieux ou « Bean Sidhe » pour les déesses, parfois aussi Aes Sidhe (peuples du Sidh) ou encore aos sí ou aes sídhe (irlandais : « habitant du sidh »), ce qui constitua la quatrième conquête de l’Irlande.

     

    Les Tuatha Dé Danann apportent le druidisme avec eux :

    Pour les origines du druidisme dans les légendes Irlandaise il est aussi fait mention de quatre îles au Nord du monde. elles sont dirigées chacune par un druide primordial.

    C’est là que les  Tuatha Dé Danann ont été initiés au druidisme, la religion, du droit, de la sagesse, et des arts de la poésie ils ont tout appris dans ces quatre îles sacrées. Elles symbolisent aussi l’Autre Monde des Celtes à mettre en lien avec l’île d’Avalon des celtes Brittoniques (l’île sacrée des pommes de Morgane et du Roi Arthur).

    • Falias est dirigée par le druide Morfessa, c’est de cette île qu’est originaire le talisman de la Pierre de Fal, symbole de la souveraineté et placé à Tara lors de l’arrivée en Irlande.
    • Findias est dirigée par Uiscias, de là vient l’Épée du roi Nuada (qui a aussi des liens avec la légendaire épée du roi Arthur Excalibur, nom qui dérive du gaélique Caladbolg).
    • Gorias est dirigée par Esras, de là vient la Lance de Lugh.
    • Murias est dirigée par le druide Semias, qui est l’île d’où proviennent le chadurdon et la massue magiques de Dagda.

     

    Les Milesiens

    Les Milesiens, qu'on appelle aussi en gaélique les MacMile soit les « fils de Mile ». Ils arrivèrent de par la mer un jour de Beltaine. Leur chef est le « file » (un Barde) Amorgen Glungel. (Amorgen aux blancs genoux). Après avoir été en contactes avec les Tuatha Dé Danann après de nombreuses batailles et négociations ils en conclurent que les hommes vivraient sur la terre et que les dieux du peuple de Dana vivraient dans l’autre monde du Sidh  et ce sont les derniers qui prirent possession de l'île, ce sont les Gaèls, les peuples celtes de langue Gaélique, ce qui constitua la cinquième conquête de l’Irlande.

     


    Une fois encore bien que nous n'ayons pas de mythe celtique de la création celtique a proprement parler et que les celtes considèrent que tout est cyclique, il nous est possible de regarder le mythe irlandais et voir certains des éléments clés qui ont la même fonction de création et d’instauration de l’ordre dans le monde.

    Toute ces invasions de l’Irlande et les différents peuples qui s’installèrent établirent la division de l'Irlande entre les hommes et les dieux, tout cela parle je pense bel et bien d'un mythe de création précoce qui définit le monde tel que nous le connaissons. En effet, la plus ancienne strate de ce mythe peut être reconstituée par la comparaison indoeuropéenne. En comparant il nous est possible de voir que ce mythe est une variante locale du mythème de la succession des Âges du Monde, également présent au sein des cultures grecques, romaines, germaniques et indo-iraniennes. Comme dans les cas grec et romain, ces différents « Âges » sont, en Irlande, pensés comme une série clairement fonctionnelle qui amène peut à peut la civilisation des hommes soit les Gaèls.

     

     

     

    Un conte de la guerre divine

     

    La guerre divine ou guerre des dieux est un des thèmes que nous retrouvons le plus dans les mythes Indo-Européens. Dans tout les cultures la guerre à une forte importance.

    Chez les peuples celtes et en particulier chez les Gaèls, nous trouvons la bataille entre les Tuatha De Danann et les Fomoriens qui fait partie de l’ensemble de la série d’invasions de l’Irlande que j’ai décrit dans le sujet précédent. Tout cette série de peuples avec les Fir Bolg (les hommes sacs ?) et les Fomoriens c’est géants reprécentent les forces du chaos qu’ils  véhiculent, comme dans la plupart des cultures les divinités repousent les êtres hostiles sembles êtres très proches des géants décrit dans les mythes Nordiques avec les Géants des glaces et du feu. Les Thursar ou les Trollar et autre Jötnar avec bien d’autres sortes de géants ou encore les Titans dans la culture Grecque. Dans la Mythologie Grecque. Il y a des Titans et des Dieux de l’Olympe qui se battent entre eux. Le roi des Titans, Cronos, et sa sœur qui est aussi son épouse cherchent à empêcher les Olympiens de répandre la fertilité sur la terre et à leurs enfants, de leur faire ce qu'ils ont fait à Ouranos et ainsi Cronos avale les enfants qui naissent. Rhéa trompe Cronos avec une pierre à la place de Zeus, et quand Zeus grandit, il bat son père et récupère ses frères et sœurs de l'estomac de son père, provoquant l'âge des Olympiens et battant les pouvoirs associés à la fertilité et reprendre leurs rôles.

     

     

    Les Jötnar sont des créatures humanoïdes personnifiant les forces destructrices de la nature, dotées d'une force impressionnante Ils sont à la fois prédécesseurs, parents et ennemis des dieux et vivent habituellement à Jötunheimr où ils sont séparés de Midgard, le monde des humains, par de hautes montagnes ou des forêts denses.

    La parenté des géants avec les dieux est parfois extrêmement étroite. Les dieux sont fils, filles et époux de géants, et par conséquent peuvent être considérés eux aussi comme tels. Bestla (signifiant « épouse » ou « écorce » ) est la fille de Bölthorn, qui épousa Bor ils eurent trois fils qui sont les premiers dieux : Odin, Vili et Vé. Njördr est marié à Skadi, Gerd, fille de Gymir et d'Aurboda et la plus belle des géantes, devient l'épouse de Freyr, Odin gagne l'amour de Gunnlod, et même Thor, le plus grand tueur de géants, a un enfant avec Járnsaxa, Magni. Aegir un géant des eaux de la mer est aussi très proche des dieux plus que des géants. Les habitations des géants ne diffèrent pas considérablement de celles des dieux. Les géants sont habituellement mentionnés comme vivant à Jötunheimr, mais on en trouve aussi à Niflheimr, et à Utgardr.Tous les jötunn sont les fils d'Ymir, le géant hermaphrodite des origines selon la cosmogonie nordique. De sa sueur, Ymir enfanta un mâle et une femelle, et de l'union de sa jambe gauche et droite naquit un fils. Les géants de Jötunheim sont en guerre perpétuelle contre les dieux, qui sont généralement menés par Thor dans leur lutte. Ce sont des créatures chaotiques, par opposition aux dieux qui représentent l'ordre.

    Dans la culture Nordique il y a aussi un échange d’otages. Dans ces légendes Njord est un otage de la guerre, donné de bonne foi pour empêcher de nouvelles guerres, et son fils et sa fille sont venus avec lui. Njord, Freyr et Freya sont généralement considérés comme des divinités de la fertilité et sont associés à la magie et a d’autre chose comme l’agriculture et le brassage de la bière pour Freyr avec par exemple son serviteur appeler Bygvir (Grain-d'Orge).  La trêve entre les Ases et les Vanes fut scellée non seulement par un échange d'otages, mais aussi par la création d'hydromel ensuite, liée par une forme de magie du à la fermentation.

     

    Ensuite l’ultime guerre dans la tradition nordique reste quand même le Ragnarök, les géants seront au premier rang de la bataille pour assaillir les dieux, et c'est le géant du feu Surt qui détruira l'ensemble des mondes avec son épée flamboyante. La plupart des dieux mourront et Balder reviendra et il régnera sur une nouvelle terre, dans ce qui rappel les cycles mort et renaissance des cultures celtiques.

     

     

     

    Un conte qui décrit le sort des morts

     

    Dans les mythes Grecques, Celtes et Scandinave nous trouvons des destins différents associé aux morts, un peut comme dans la religion Chrétienne, Je pense qu’il est probable que les dieux créateur de l’ordre et défenseur de l’ordre y soient pour quelque chose, ça n’est pas exactement expliquer dans les mythes ou les légendes, mais des personnes mauvaises qui auraient fait du mal ou des actions destructrices sur terre durant leur existence les dieux ont tout intérêt à les maintenir loin de leur demeure s’ils ne souhaitent pas y voir arrivé la discorde et le chaos que de telles personnes ont entretenu durant toute leur existence sur la terre des hommes. Ce n’est pas un jugement de valeur mais juste du bon sens.

     

    Nous trouvons alors une séparation entre différents types de "morts". Certains vont à un endroit, d'autres à un autre.

    Dans la mythologie nordique, ceux qui meurent au combat se rendent dans la légendaire salle d’Odin le Valhalla, où dans la salle de Freya le Sessrumnir, la moitié d’entre eux y vont.

    Dans la salle d’Odin les gens mangent un sanglier qui est cuisiné, mangé et qui réssucite ensuite. Et le jours suivant il est de nouveau tué, cuisiné et mangé.

    Au Valhalla les morts se lèvent chaque jour pour livrés batailles les uns contre les autres et s’entrainer pour le Ragnarök après leur combat il retourne dans la grande salle pour un festin tous ensembles.

    C'est cependant le royaume de Helheim les êtres et les gens qui on été néfastes sont piégés dans ce royaume souterain gouverné par la déesse Hel.C’est un royaume d’obscurité, de froid et de brumes. Il semblerais aussi que le destin imuable des êtres puisse conduire certains dans ce lieu, à l’image du dieu Balder. Une chose très important a prendre en compte aussi c’est que dans la mythologie nordique les dieux sont des êtres mortels et soumis aux lois du destin comme les hommes.

     

    Chez les Grecs et dans la culture Greco-romaine les héros vont aux Champs Elysées, les vrais criminels et cruels vont au Tartare ils sont alors comme les méchants les plus connus par leur genre de supplice aux Enfers sont Tityus, Tantale, Sisyphe et Ixion. Une autre tradition représente ce criminel au-dessous d'un rocher dont la chute menace à chaque instant sa tête. Ce type de supplice celui de Phlégyas à été infligé, au grand-père d'Esculape. Ensuite ceux sans sépulture errent sans but, les Champs de Deuil sont pour ceux qui meurent de chagrin d'amour ou de soliture. La géographie d'Hadès est également très bien établie par Virgile et d'autres sources. La divinité Hadès, frère de Zeus, s’occupe du pays des morts qui porte son même nom, un peut comme pour la déesse Hel avec le Helheim.

    Durant six mois de l'année la déesse Perséphone règne à ses côtés, dans ce mythe la déesse est mourante et quitte sa mère Demeter et par dans le royaume des morts, ce qui rappel un peut les autres déesses de la mort comme Hel ou d’autre divinité du monde des morts dans d’autre panthéon comme Morrigù (Morrigan) chez les Irlandais. Dans le panthéon Grecque il y a une déesse des morts et de la magique aussi qui est très importante c’est Hécate, sont role de gardienne des carefours et du passage entre les mondes la rapproche beaucoup des Valkyries ou des Bean Sidhe ou encore de certaine divinité qui on se rôle doublé de celui de la magie comme Freya. Dans la mythologie et les légendes celtiques, nous avons  l’île d’Avalon ou repose Arthur avec les ancêtres et nous croyons fermement en sont retour prochain, beaucoup de Breton l’honoraient en pensaient vraiment qu’il allait revenir pour protéger la bretagne durant les veillées c’était une chose imporante dans le cœur et le quotidien des gens, mais ce n’est ici qu’une légende. Dans la mythologie Irlandaise il y a une île comprarable à Avalon c’est l’île de Tir-na-Nog, dans l’ouest loi la bas dans cette île de la joie ou les gens sont toujours jeunes et jamais malades, il n’y a plus de faim, plus de peur et plus aucune guerre. C’est une terre sacrée de paix et d'abondance et de toutes les choses qui existes sont bonnes rien ne peut être mauvais. Le pays de l'éternelle jeunesse est l'endroit où les morts illustre se retrouvent pour profité d’un réconfort mérité, mais comme tout est cyclique dans la conception celtique de l’existance, il se peut que comme le roi Arthur est sencé revenir d’Avalon un jour, les morts reviennent, de cette idée découle les légendes et les une partie des coutumes de Samhain un moment de l’année très sacré chez les celtes.Voir aussi les notions de réincarnation et de métempsychose chez les celtes.

     

     

    1. Maintenant il faut expliquer comment chacun des éléments suivants du rituel ADF résonne ou non avec les éléments de deux cultures indo-européennes différentes (vous n'avez pas besoin d'utiliser les deux mêmes cultures comme une base de comparaison pour chaque élément).

     

    1. Terre Mère
    2. Divinités de la terre
    3. Divinités de la mer
    4. Divinités du ciel
    5. Étrangers (« Outdwellers » ou « Tud-estrañjour »)
    6. Esprits de la nature
    7. Les ancêtres

     

     

    La Terre Mère

     

    La Terre Mère ou la Mère de la Terre, elle existe dans tous les panthéons Indo-Européens et donc c’est une figure très importante pour nous dans nos rituels. Il y avait dans les temps reculé de l’Europe des cultes qui lui était dévoués ou des rituels de rogations ou de processions comme décrit par Tacite dans son Germanie. Dans d’autre culture les cultes des déesses sont parfois associés aux îles ou à l’eau, comme les prêtresses de l’île de Sein en Bretagne par exemple. La Terre Mère dans les panthéons celtiques c’est bien sur Dana chez les Gaéliques, Don chez les Gallois et Danu ou Anu voir même Ana en Bretagne.

    En breton j’ai pris l’habitude de l’appeler Mamm zouar et dans mes rituels en Français je m’adresse directement à la Bretagne aussi en honorant aussi les déesses Nerthus et Jord du panthéon Scandinave. Je m’alligne ainsi sur les druides Bretons de la Gorsedd qui honorent la bretagne en breton durant leur rituel et la déesse Ana (La Dana Bretonne).

    Mamm zouar, Earth mother ou la Terre Mère, cette déesse est importante en faite simplement parce que c’est la terre, qu’elle nous fait vivre et qu’elle contient en elle la vie, et le mysthère de la régénération en lien avec son cycle des saisons. Pour nous Druides de ADF c’est aussi une divinité qui nous unis tous durant nos rituels, d’un côté simplement parce que nous vivons tous sur elle, que nos soyons en Bretagne ici en France ou dans l’Ohio en Amérique. La Terre nous unis tous. Nous l’honorons et nous nous inspirons des anciens cultes Indo-Européens pour être au plus proche de la façon de faire des anciens dans une vision Indo-Européenne.

     

    Divinités de la Terre

    La déesse Jord est la divinité principale de la culture nordique qui est liée à la terre. Il y a également les Vanes en particulier Freya et Freyr considérés comme des divinités de la terre, la vannes sont aussi les gardiens des morts avec Freya qui à la garde d’une partie d’entre eux dans sa grande salle et qui à un rôle de psychopompe comme les valkyries. Dans les divinités Antiques c’est Abellio est un dieu de l’aquitaine de l’époque Antique et qui était vénéré en partie dans les Pyrénées. Si l'on en juge par le nombre de découvertes archéologiques qui attestent du culte d'Abellio et de sa relative extension géographique, il fut sans doute leur dieu le plus important en lien avec la terre et principalement l’agriculture. Les druides durant les rituels d'ADF associent principalement les divinités de la terre avec les ancêtres.

     

    Divinités de la mer

     

    Njörd le dieu de la mer et le père de Freya et de Freyr. C’est aussi le dieu des Vents. Il apporte la bonne fortune en mer pour les marins et une bonne pêche pour les pêcheurs.

    Il à épousé une très puissante géante Skadi gardienne des montagnes et de la saison d’hiver. Ils furent d’ailleurs des Vanes et furent échangés lors de la trêve avec les Ases. Sa fille laa déesse Freya enseigna la sorcellerie vanirienne, l’art du Seidr. La déesse Skadi en colère de la perte de son père tuer par les dieux d’Asgard alla s’en plaindre à Odin. Qui lui propose de se choisir un époux pour remplacé la perte de son père, mais Skadi ne put le choisir qu’en regardant les pieds de ses prétendants. Elle choisit celui qui avait les plus beaux pieds elle pensait que c’était ceux du beau Balder, alors qu’en réalité c’était ceux de Njörd. La résidence de Njörd, Noatun (à Asgard), étant trop bruyante à cause des nombreux bateaux et drakkar en construction autour. De son côté Njord n’aimait pas du tout non plus les hautes montagnes pleine de neige et de forêt de sapin ou ce trouvais la demeure de Skadi à Jötunheim. Ensembles ils se résignèrent à conclure qu'ils devraient vivre la moitié de l'année chez l'un, et l'autre moitié chez l'autre. Le couple n’allait vraiment pas, l’un n’aimait pas l’environnement de l’autre mais en plus de ça le dieu Njörd était un puissant symbole de fertilité et de fécondité assurant bonne pêche et abondance venant de la mer. Et Skadi venait quand à elle des hautes et froides montagnes couvertes de glace et de neige, pleine de pierre ou le vent était froid. Cet environnement était un pays sauvage et hostile à la vie et surtout à la magie des dieux Vanes. Nous honorons notre dieu de la mer durant nos rituels, pour ses liens avec l’eau et les ancêtres, mais c’est aussi un dieux des voyages et des pêcheurs il est possible de l’invoquer en tant que portier (gatekeeper), comme c’est le cas avec le dieu  Manannan Mac Lir du Panthéon Irlandais. Il y a aussi le dieu Aegir qui compte parmi les géants est un dieu qui vie à l’écart des autres Ases. Il entretient des relations amicales avec eux. Il est marié avec la déesse Ran et ils ont de forts liens avec la mer et les océans. Le nom d’Aegir signifie en lui-même « Mer » il y a peut être ici un lien entre le nom du dieu en norrois et le mon en français pour la mer.

     

    Divinités du ciel

     

    Les divinités du ciel en lien avec le Père ciel ou en anglais Sky Father du néolithique.

    Le dieu « père » en quelque sorte, quand on fait de la mythologie comparée, c’est un terme qui sert à évoquer pour les religions polythéistes un dieu du ciel protecteur en lien avec la foudre ou un dieu qui à un statue de roi dans un panthéon en particulier.

    Dans le panthéon Nordique, Thor est le fils d’Odin, le roi d’Asgard la terre des dieux Ases, Odin est un dieu sage, rusé et réfléchi et contrairement à son fils Thor il ne prend jamais de décisions dans la précipitation. La mère de Thor c’est Jörd une déesse de la Terre, mais Thor. Dans les mythes on peut aussi voir que Frigg a un rôle plus ou moins de Mère des dieux dans notre panthéon, elle peut être considérée comme une mère d’adoption pour lui dans ce cadre. Thor est l’époux de la dame aux cheveux d’or les plus beaux et les plus magiques, la déesse des récoltes Sif. Thor le dieu protecteur par exelence, il est aussi celui qui personnifie les forces du tonnerre. Son marteau apporte la foudre et détruit les glaces des géants de givre. Ainsi il apporte la fertilité à la terre ce qui fait de lui aussi un dieu Agricole.C’est aussi pour cette raison  que les vikings invoquaient le nom de Thor pour conclure des contrats et des mariages par exemple. Il accorde aussi sa protection aux voyageurs qui partent loin de chez eux. Thor est le compagnon idéale pour devenir un bon portier (Gatekeeper) dans nos rituels d’ADF il assurera que tout se déroule bien durant nos rites et sacrifice en privé ou en public.

    Thor déterste les injustices. Ça me rappel l’histoire qui explique comment Loki le farceur a failli se prendre une raclée par Thor. Car il avait jouer un vilain tour à Sif.  

    Je me rappel que la plus anciennes histoires que je connaisse à propos du dieu de la foudre, enfin c’est l’histoire qui me parait être la plus ancienne, cette histoire explique comment les homme on découvert le feu, après que le dieu du ciel en ai fait cadeau en frappant de sa foudre un arbre qui à pris feu et une femme sage serai aller chercher une branche enflammée pour la présenter à la tribue. On retrouve le dieu du ciel dans cette histoire et  la femme qui est soit une représentation de la déesse mère, soit une prêtresse du père ciel dans cette histoire.

    Dans la langue celtique que j’étudie et que je parle le plus souvent qu’il m’est possible de le faire, nous avons trois mots dans le finistère pour dire l’orage ou la foudre. Ce sont « Kurun », « Arnev » et « Taran » les Vannetais on un autre mot enprété à la langue Française « Oraj ». Cette langue est belle, j’aime beaucoup la sonorité du Vannetais aussi même si je ne comprend pas bien quand quelqu’un me parle en Vannetais. J’ai commencer à apprendre le breton sur le modèle du Bigouden et du Cornouaillais, et ici dans le nord des monts d’Arrée ou je vis la langue est un mélange de Léonard et de Cornouaillais, du côté de morlaix les gens mélange le Léonard avec le Trégorois aussi. Le dialecte Trégorois utilise plutôt Kurun pour parler du Tonnerre. Du coup pour faire lien avec les dieux du ciel. Kurun me je l’associe phonétiquement à Thunder en Anglais, plutôt et ça me fait penser à Thor avec Thunor ou la rune Thurisaz, surtout si on fait muté le « k » comme dans : « Klevet m’eus ar c’hurun er oabl ! » (j’ai entendu du tonnerre dans le ciel !), sachant que nous retrouvons non pas des traces de Thor mais du Sky father (Père ciel) sur des sites en Bretagne comme le Dolmen de Commana ici dans les montagnes. La langue bretonne vient des îles Brittaniques, mais les peuples se succèdent et il y a probablement un lien que je fait ici. Ensuite bien sur nous avons le mot « Taran » pour tonnerre qui fait tout de suite penser au Taranis ou Taranos des Gallo-Romain, de plus nous avons des cites historiques Gallo-Romain en Bretagne comme le site de Carhaix avec le petit musée de Vorgum et l’autre mot Arnev est plutôt neutre, on ne retrouve pas de lien avec une divinité dedans. Ha la différence de Thor, Taranis ne porte pas un marteau ou une massue comme Dagda le dieu Irlandais de la foudre, mais il à une roue, un symbole solaire, qui peut être associer à un char. Thor et Taranis se déplacent tout les deux en char dans leurs voyages dans le ciel. Enfin nous pouvons rapprocher aussi Thor du dieu Perun Slave ou du Greco-Romains Zeus ou Jupiter.

    Dans nos rituel de la communaute des druides de Ár nDraíocht Féin la conception des divinités du ciel les met en double lien avec la lumière du feu, et celle du soleil, mais aussi avec le pouvoir destructeur des tempêtes et donc de l’orage et de la foudre !

    Et comme nous dissons en Breton :

    « Pa e vez ar c’hurun kreñv er oabl, echu eo an amzer brav hag an avel e vo bet aet e roud ar glav yen. An hini dinerzh ne ra ket an trouz bras.»

    (Quand il y a de l’orage fort dans le ciel, le beau temps et fini et le vent prendre la direction de la froide pluie. Celui qui est faible ne fait pas grand bruit.)

     

     

     

    Étrangers (« Outdwellers » ou « Tud-estrañjour »)

     

    Ici en Bretagne en tant que Druide j’aurais plutôt tendance à ritualisé en reconnaissant comme « Outdwellers » en Anglais ou en Breton « an Tud-Estrañjour » les esprits farceurs ou effrayant qui peuple ma terre celte, sous les collines, aux bords des rivages et des falaises, sur les montagnes dans les brumes et les deux parties de la Brocéliande d’autrefois, dans la grottes d’Arthus à Huelgoat ou dans les roc’hed des Menez Are ils peuples tout la terre, parfois ils l’enchantent parfois ils la peuplent de nos cauchemars, qui sont ils ? Se sont les poulpikans et les kannerez noz. Les poulpikans sont des Korrigans aux mauvais caractères qui chapardent, qui joue de mauvais coup aux voyageurs sur la route ou de par les rivages bleus. Parfois ils apportent avec eux leur tristesses et la maladie qu’ils partagent avec les hommes sans le moindre du monde nous demander notre avis. Le reste du temps néanmoins ils peuvent être d’une bonne compagnie, quoi que moins joviale et altruistes que les plus joyeux des korred et des Korrigans. Les laveuse de la nuit, qui fond peurs aux sources ou près des rivières aussi elles lavent le linceul des gens qui vont mourir dans l’année et le montre si l’un d’entre eux passe près d’elles, ce sont de mauvaises fées. Il y a aussi la Dour Groac’h une sorcière des rivière et des cours d’eau ou la Groac’h ar vor qui s’en prend à nos marins en pleine mer souvent aux plus jeunes et aux plus aimer par leur camarade. Sans parler du Hucher noz ou Hupper noz qui est un Elfe qui hurle la nuit pour faire peur aux villageois et qui les égares dans la forêt ou sur la lande. Le Bugul noz qui fait pareil sauve qu’il s’agit ici d’un Korrigan et non d’un Elfe, par contre le Bugul noz selon la coutume bretonne peut être apaiser si on lui laisse un peut de « Amann-fresk » ou « al lomm-sistr » soit un peut de beurre vrais ou une goutte de cidre. Il y a aussi Yannig an Aod, qui fait partie des esprits crieurs de nuit, qui manifestent leur présence la nuit, près des lieux dangereux, comme les falaises ou les précipices.

    Sans parler des « Loened gouez an noz » (les bêtes sauvages de la nuit)

    Une qui fait vraiment peur ici dans le Bro-Leon, ou dans le Bro-Gerne c’est « al Loen astuzus » la bête faramine qui est une créature nocturne qu’on retrouve dans le folklore d’autres régions de France mais principalement en Bretagne ou elle est plus connue sous son nom en Français de « Bête Faramine » Plusieurs conteurs et folkloristes la représente comme un oiseau géant ou un créateur entre le dragon et le griffon. Des conteurs du Bro-Naoned et de la région de Vendée racontent par exemple l'avoir aperçue à Noirmoutier, dans le Marais breton ou dans de nombreux lieux du Nord-ouest de la Vendée.

    Sans parler des affreux hommes loups qui se changent les nuits de pleine lune ou durant les heures les plus sombres de l’année en Bretagne, le moment des grandes tempêtes d’hiver des Mizioù Du (les mois noirs)  à savoir le bleiz-garv, le bleiz-noz , an den bleizet.

    Aussi appeler bisclavret ou bisclaveret, se sont des Loups Garous Bretons. La Bretagne ne manque pas de créateurs qui peuvent être des étrangers pour nos rituels et auxquels il faudra sacrifier pour que notre rituel ne soit pas troublé.

     

    Dans la tradition Grecque il peut sagire des Titans dans un rituel ADF de style Grecque  l’Etranger peut être le dieu Typhon, dans une histoire dans les mythes Grecques Zeus arrive au pouvoir dans la cosmologie des dieux de la Grêce antique. Qu’un événement magique eu lieu la terre enfanta grace à Aphrodite un dieu de la destruction et du chaos. Le Typhon est une dieu puissant inépuisable. Thyphon est pourvu de cent têtes de dragon, aux langues de ténèbres et aux cent paires d’yeux étincelants de feu. Toute ces têtes monstrueuses font différent bruit et elles émètent des cris épouventables comme des cris d’animaux sauvages. Et certaine de ses têtes parlent et s’adresse directement aux dieux.  Thyohon épousa Échidna la fille du dieu et de la déesse de la mer à savoir Phorcys et Ceto, il engendra alors avec elle quatre terribles monstres, le chien Orthros, Cerbère, l’Hydre de Lerne et la Chimère.

    Le dieu royale de L’Olympe affronta Thyphon avant qu’il deveinne le seigeneur et maître des mortels et des immortels. Le combat fut terrible. La terre, l’océan, le flot marin, le ciel et le Tartare retentirent d’un fracas épouvantable. Typhon crachait des souffles d’incendie tandis que Zeus emplissait l’espace de sa foudre et que le sol bouillonnait sous l’effet de la chaleur. La terre tremblait et gémissait, des vagues énormes se soulevaient. Puis une trépidation inextinguible s’éleva de la terre jusqu’aux cieux. Alors même Hadès et les Titans enchaînés sous le Tartare furent impréssionés par la violence du combat.Mais finalement Typhon s’écroula, tandis que gémissait l’énorme Terre.Toutefois il mit le feu à la Terre, il incendia des forêts entières de pins et des chants. Le feu était si fort qu’il dévastait tout sur son passage. Zeus le conduisit au Tartar pour l’enfermer à jamais. C’est de Typhon que sont issus les vents mauvais, tout ceux qui provoque des tempêtes et des incendis à l’inverse des enfants d’Astraeos, les vents divins Borée, Zéphyr et Notos. Dans la Théogonie d’Hésiode les Titans sont les six fils de la déesse Gaia et du dieu Ouranos, se sont  Océan, Coios, Crios, Hypérion, Japet et Cronos. 

     

    Dans la culture Nordique les Etrangers peuvent vraiment être les géants. Il y a un nombre de géants très important et même qui ont des noms différents suivant les lieux où ils résident. Je pense que ça peut avoir un vrais sens si on travail avec Thor en portier dans un rituel pour garder les portes et lui demander de nous protéger des géants.

     

    Les Géants qui peuvent être honoré en tant qu’Etrangers dans nos rituels : 

     

    • Thursar : Les géants des glaces et des neïges.
    • Jötnar : Les géants des glaces.
    • Risar : Les géants des cendres.
    • Bergrisar : Les géants des icebergs et des montagnes.
    • Eldjötnar : Les géants du feu.
    • Sjorisar : Les géants des mers.
    • Ividjur : Les géants de givre.
    • Gygjar : Les géants de glace.
    • Trollar : Les géants de la terre.
    • Hrimthursar : Les géants des routes.
    • Vikthursar : Les géants des fjörds et des rivages.
    • Vindthursar : Les géants du vent et de la pluie.
    • Leirjötnar : Les géants d’argile.

     

     

    Dans nos rituels Indo-Européens de ADF nous traitons avec les Êtrangers pour obtenir la paix et le calme durant nos rituels, à ma connaissance nous sommes les seuls druides à fraire ça. En tout cas ceux que j’ai peut voir de rituel chez d’autres groupes druidisme ou les lectures que j’ai eu sur le sujet, montre qu’ils ne sont pas toujours considérés, d’où peut être le besoin de les apaisser avec nos rituels. C’est une bonne idée je trouve. Mais de mon côté j’airais peut être pas les mêmes Êtrangers que les autres membres de ADF. Je pense notamment à la déesse Skadi, c’est une déesse avec qui j’ai de bonne relation et je l’invoque souvent. Je me rappel avoir assisté à des rituels sur Zoom ou elle était honorer en Outdwellers. Moi je lui fait des offrandes par des Blots style Scandinave ou alors des rituels de ADF ou elle est en être de l’occasion pour moi. J’aime beaucoup cette déesse. J’aime bien la sentir près de moi surtout en hiver. C’est peut être parce qu’il sagit d’une divinité des montagnes et que je vois les Monts d’Arrée de mes fenêtres chez moi. Et que j’ai cette montagne dans la peau, cétait un lieu important du druidisme breton, les premiers membres de la Gorsedd de Bretagne faisaient certains de leurs rituels saisonniers et leurs initiations au Monts St Michel de Braspart. Il ya toujours l’été au mois de Juillet des rassemblements druidique là haut pour le Gorsedd digor. Pour moi si je ritualise pour les Êtrangers ça serrait plutôt les Hucher Noz ou les Poulpikets auxquels j’offrirais un sacrifice.

     

     

    Esprits de la nature

     

    En Bretagne se sont les Korrigans les esprits de la nature les plus populaires. En breton nous trouvons plusieurs appellations pour les Esprits de la nature « Ar c’horriganed » en Breton, il y a aussi les « Morganezed » (des sirènes), les « Boudiged » qui sont des fées et « Elfennoù » se sont les Elfes, dans les fallaise de Cornouailles comme celle de la points du raz ou de Crozon il y a aussi les « Ramzed » (des géants ou des trolles), Les Ramzed sont aussi à l’origine de la chaussée des géants dans la forêt de Huelgoat. Dans les légendes Bretonnes les Ramzed sont décrit comme des bons géants, et de sage conseiller, il arrive qu’ils soient violent mais plus rarement. Ils sont plutôt à limage de vieilles pierres qui serraient endormies.

    C’est être du folklore Breton comme ceux du folklore Irlandais ou Scandinave, vivent sur un autre plan que le notre. Et leur sens du bien et du mal peut être différent, ils peuvent être de bon voisins pour nous ou allors tout au contraire, des petites pestes qui nous attirent que des ennuis. En générale les Esprits Breton qui sont mauvais ou trop farceur, ou encore qui pourraient nous jouer de mauvais tours se manifestent la nuit et en particulier durant la période des Mizioù Du. Mais généralement si nous les traitons bien, ils nous aident pour les récoltes et même nous accompagne durant les derniers jours ou les dernières heures de notre vie pour nous aider à mourrire et à passer de l’autre côté vers la fameuse île des pommes ou dans un ailleur fantastique. Ils sont a l’image des Valkyries, de plus l’Ankoù est celui qui vient à nous pour nous aider à passer et a refermer la porte sur cette vie. Dans la tradition nordique chez les Scandinaves, comme chez les Bretons nous retrouvons les nains, les elfes et le peuple caché les trolls et les géants. De plus leurs rôles de gardiens de la nature et de guide ou de protecteur de la terre qui apportent harmonie, richesse et fertilité tous sont assez similaires entre eux.

    Dans nos rituels de style ADF les Esprits de la Nature font partie de notre triple kindred avec les dieux et les ancêtres. Et je trouve que c’est une bonne façon de faire comme ça, avant de rejoindre ADF j’avais une partique similaire pour certain blot j’honorais les ancêtres et les esprits féeriques ainssi que les grandes familles de dieux en générale « Ases et Vanes ». Je doit dire que la liturgie de ADF me convient parfaitement pour ça.

     

     

    Les ancêtres

     

    Dans la tradition nordique les ancêtres repossent dans de nombreuses salles et dans différents mondes, entre Asgard et Helheim. Les lieux de résidences des ancêtres après leurs vies dépendra grandement de leur actes sur terre, souvent lier à leur destins, les notions de résultat des causes d’actions passées. Il y a une différence entre le wyrd et l’orlög, les vivants, les morts, tout les êtres et mêmes les dieux sont soumit aux lois du wyrd et de l’orlög. L’orlög représente une vision cosmique de la loi du commencement, tout chose passé qui ont une influence sur le présent et le futur, et aussi au début de nos vies avec les vies antérieurs. Le Wyrd est plus un réseau, des liens entre les choses et les personnes ou les situations, des liens tissés par les Nornes et qui forment notre destinée. Dans la culture Nordique l’orlög  et très proche de l’idée du karma dans la tradition Védiques ou dans le Bouddhisme. Karma veux d’ailleur dire « Action » en Sanskrit. Le passé influence le futur et il en est de même pour le destin de nos ancêtres après la mort. Comme j’en ai déjà parler dans mon Dedicant path mes ancêtres  j’honore mes ancêtres personnels proches et aussi des héros comme le Roi Arthur, le Roi Gradlon, Beowulf, Fionn MacCumhaill, Cu-Cúchulainn, Ragnar Lodbrok, Hakon Hakonson, les Valkyries, les Einherjar, les anciens peuples Gaéliques, Bretons et Nordiques. C’est la vision que j’ai des ancêtres dans ma pratique de notre druidisme de Style ADF.

     

    4.Vous devez parler de la façon dont les sept éléments suivants de la cosmologie d'ADF se reflètent (ou ne se reflètent pas) dans les mythes de deux cultures indo-européennes différentes. Pour cette question, veuillez utiliser les deux mêmes cultures comme base de comparaison pour l'ensemble de la question.

     

    Cette question touche à la cosmologie, au regard de les cultures Nordique et Grecque il nous est possible de voir les représentations suivantes pour commencer.

     

    Voici les différents mondes en Norrois et leur évolution vers le Français et l’Anglais :

    Vieux norrois

    Francique

    Saxon

    Français

    Anglais

    Yggdrasill

    Irminsûl

    Eormensȳl

    Irminsule

    Earmensile

    Niflheim

    Nevalhaim

    Nifolhâm

    Nevauhame

    Nivelhome

    Jötunheim

    Etinhaim

    Eotenhâm

    Etinhame

    Etinhome

    Helheim

    Hellahaim

    Hellhâm

    Hellahame

    Hellhome

    Svartalfheim, Dvergheim

    Swartalfhaim, Dwerghaim

    Swartælfhâm, Dweorghâm

    Souartaubhame, Douerguehame

    Swartelfhome, Dwarfhome

    Miðgarð

    Middigard

    Middġeard

    Midejart

    Midyard

    Alfheim

    Alfhaim

    Ælfhâm

    Aubhame

    Elfhome

    Vanaheim

    Wanihaim

    Wanehâm

    Ganehame

    Wanehome

    Ásgarð

    Ansgard

    Ôsġeard

    Ansejart

    Osyard

    Muspelheim

    Muspilihaim

    Muspilhâm

    Muspillehame

    Muspelhome

         

     

     

    Bifröst, Ásbrú

    Ansbrugga

    Ôsbryċġ

    Ansebruge

    Osbridge

    Himinbjörg

    Himelberg

    Heofonbeorg

    Himeaubourg

    Heaven barrow

    Urð

    Wurd

    Wyrd

    Gurde

    Weird

     

    MLA : Gottfried Yann Karlssohn-2014-2023 : le tierschemin-internet- https://1tierschemin.wordpress.com/ 

    La cosmologie dans la tradition Grecque : 

    Les Grecs de la Grêce antique pensaient que la Terre avait été placée par les dieux dans un monde clos et ordonné par eux, ce monde était appeler « cosmos ». Ce cosmos était Constitué de sphères emboîtées les unes dans les autres, il se divisait entre le monde sublunaire qui évoluait et changait. Et le monde supralunaire qui lui évoluait dans un mouvement circulaire parfait.

     

    Clergé programme d'étude: Indo-European Myth 1

     MLA :  Vincent Deparis– 2017-internet PDF -Représentation schématique du modèle cosmologique de Philolaos- http://culturesciencesphysique.ens-lyon.fr/ressource/cosmos-geocentrisme.xml

     

     

    Dans la cosmologie Grecques fut enseigné par Anaxagore.

    Le philosophe Grecs Anaxagore est né en Ionie vers 500 av. J.-C. Il s’installera ensuite à Athènes durant une trentaine d’années. L'ordonnance du ciel résulte du mouvement circulaire, ce qui est dense, humide, obscur, froid mais aussi ce qui est lourd s'est réuni vers le milieu et s'y est figé, ce qui d’après l’enseignement d’Anaxagore. Ensuite forma la Terre. Au contraire tout ce qui est chaud, lumineux, sec ou léger, s’envole vers le haut dans l’éther. Ici la forme de la Terre est plate et suspendue elle à une grande largeur et parce qu'il n'y a pas de vide, l'air est dès lors assez fort pour supporter la Terre. Les astres lunaire et solaire ainsi que toute les étoiles et les astres sont des pierres incandescentes entraînées et porter par le cycle de l’éther. La lune et le Soleil sont ici ensemble au dessous des autres astres, ils sont plus proche de la terre. La Lune est plus basse que le Soleil et plus voisine de nous. Le Soleil surpasse le Péloponnèse en grandeur. La Lune n'a pas de lumière propre, elle est éclairée par le Soleil.

    Les astres tournent en passant sous la Terre.

    Ici les défaillances de la Lune sont dues à l'interposition de la Terre.

    Le Soleil s'éclipse aux nouvelles lunes, par suite de l'interposition de la Lune.

    Anaxagore a le premier déterminé ce qui concerne les éclipses et les phases.

    Il a dit que la Lune est une terre et qu'elle présente des plaines et des précipices.

     

      Source : Hippolyte [Tannery, réf10, p. 306-307]

     

    Dans son explication de la formation du cosmos Anaxagore ne nous donne aucuns détailles spirituel ou religieux dans son explication de la formation du cosmos. Il rend compte de la manière dont le Monde s'est constitué à l'origine à partir d'exemples simples, souvent empruntés à la vie quotidienne, permettant à chacun de faire le raisonnement. Il y a un idéal d'intelligibilité, un effort pour expliquer la structure du Monde d'une manière purement positive et rationnelle. Dans sa description Anaxagore nous explique que  les astres sont des pierres incandescentes, la Lune a des plaines et des précipices, ce qui sont des détailles troublants, assez proches des paysages lunaire et de la composition des météorites quand elles tombent sur terre. Par contre il d’écrit le Soleil comme aillant une taille réelle, ce qui est bien loin de la vérité.

    Avec lui le cosmos prend une certaine consistance, il possède un certain volume : la Terre et la Lune, éclairées par le Soleil, projettent leurs ombres dans l'espace, la Lune peut passer devant le Soleil ou derrière la Terre, elle change d'aspect en fonction de sa position relative au Soleil et à la Terre c’est un travail remarquable qui a été fait par lui sur ce sujet du cosmos.

     

    Le coté Religieux dans la tradition Grecque avec le philosophe Philolaos :

    Philolaos né vers 470 et mort vers 390 av. J. -C.) c’était un philosophe, astronome et mathématicien grec du V e siècle av.

    Philolaos a mis le feu au milieu, au centre : c'est ce qu'il appelle la Hestia du Tout, la maison de Jupiter et la mère des Dieux, l'autel, le lien, la mesure de la nature. En outre il pose encore un second feu, tout-à-fait en haut, et enveloppant le monde. Le centre, dit-il, est par sa nature le premier ; autour de lui les dix corps divers accomplissent leurs choeurs dansants ; ce sont le ciel, les planètes, plus bas le soleil, au-dessous de celui-ci la lune ; plus bas la Terre, et au-dessous de la Terre, l'anti-Terre, et enfin au-dessous de tous ces corps, le feu Hestia, au centre, où il maintient l'ordre. La partie la plus élevée de l'Enveloppant, dans laquelle il prétend que les éléments se trouvent à l'état parfaitement pur, il l'appelle l'Olympe ; l'espace au-dessous du cercle de révolution de l'Olympe, et où sont rangés en ordre les cinq planètes, le soleil et la lune, forme le Monde, Cosmos ; enfin au-dessous de ces derniers corps est la région sublunaire, qui entoure la Terre, et où se trouvent les choses de la génération, amie du changement : c'est le Ciel. L'ordre qui se manifeste dans les phénomènes célestes, est l'objet de la science ; le désordre qui se manifeste dans les choses du devenir est l'objet de la vertu : l'une est parfaite, l'autre imparfaite.

     

    Source : Aétius [in Chaignet,réf3] 

     

    Certains aspects du modèle de Philolaos peuvent nous paraitre très familier pour nous druide de ADF la place centrale du feu. La Terre, délogée du centre du Monde, est en mouvement au sein d'un espace semblable au nôtre.

     

    La façon dons il décrit l’univers et la place de la terre ici semble plus confus que la description précédente de Philolaos, par exemple ce que représente l’anti-Terre ? S’agit t’il ici d’un monde dans le monde d’en bas ? Et a place de l’élément centrale ? Le Feu pour le philosophe ou la Terre pour les géocentristes, ou encore le Soleil pour les Grecs qui préféraient l’héliocentrisme. L’ordre des astres ne semble pas être encore défini à cette période. Mais le cadre dans lequel les hypothèses au sujet de la cosmologie seront ensuite connus : le domaine terrestre, situé sous la Lune est nettement séparé du domaine céleste, les astres sont différenciés, ils sont situés à différentes distances du centre et tournent en cercle autour de lui. L'espace des mythologies laisse définitivement la place à un cosmos ayant une certaine profondeur.

     

    Nous pouvons en conclure ici que les grecs antiques avait une vision multiple du cosmos et peut être plus complexe que chez les autres peuples indo-européens.

     

     

     

    1. Le monde supérieur
    2. Le monde du Milieu
    3. Les divisions du monde du Milieu (par exemple, 4 quartiers, 3 triades, 8 sections)
    4. Le monde d’en bas / Le monde souterrain
    5. Le Feu
    6. Le Puits
    7. L’Arbre

     

     

    Le monde supérieur

     

    Dans la tradition nordique le monde d’en haut est composé de trois des neuf mondes :

     

    • Asgardr ou Asaheim, soit le royaume des Ases.
    • Vanaheim, soit le royaume des Vanes.
    • Alfheim, qui est le royaume des elfes clairs, aussi appeler ljósálfar

     

    Asgard le monde des dieux Ases, c’est le lieu ou ce trouve le Valhalla. Vanaheim le royaume des vanes associé à la fertilité et à la vie de la nature. Alfheim est le mode des elfes.

     

    Bien sur il existe différente représentation des neuf mondes et tous ne sont pas représentés de la même façon.

     

    Chez les Grecs le monde d’en haut est constitué de l’Olympe pour les dieux et des Champs  Élysées (Champs élyséens ou Élysée) pour les hommes après leurs morts. C’est un lieu pour le séjour des défunts et pour les bonnes âmes chez les Grecs. Le nom élyséens vient d’Élysion signifiant lieu frappé par la foudre et de aluousas qui signifie errer, flâner. Le plus souvent, dans les mythologies, le séjour des bonnes âmes est séparé de celui des mauvaises. C’est pour cette raison que Hadès garde les âmes des criminels dans les enfers. Avec le Tartare.

     

     

    Les champs Élysées sont paisible et aucun mal n’y persiste Homère lui-même en parle dans son Odyssée.

     

    « Les Immortels t’emmèneront chez le blond Rhadamanthe,

    Aux champs Élyséens, qui sont tout au bout de la terre.

    C’est là que la plus douce vie est offerte aux humains ;

    Jamais ni neige ni grands froids ni averses non plus ;

    On ne sent partout que zéphyrs dont les brises sifflantes

    Montent de l’Océan pour donner la fraîcheur aux hommes. »

     MLA: L’Odyssée, Homère- livre Sylvie Baussier : La mythologie Grecque.

     

    Dans la culture Celte en générale il n’y a pas de concept aussi bien défini entre le monde d’en haut et celui d’en bas. Dans les mythes c’est plutôt le Sidh ou Tír na nÓg qui signifie en gaélique « la Terre de l'éternelle jeunesse ». Chez les Bretons il s’agit de l’île d’Avalon ou en Breton Enez Avaloù (l’île des pommes) il y a d’autres formes  en Cormique et en Gallois par exemple Avallon, Avallach ou Afallach.  Dans la Tradition druidique de Bretagne nous pourrions associer le monde d’en haut avec un des cinq monde le Gwenved (pour les défunts) et le Keugant (pour les divinités).

    Les cinq Mondes Druidiques. Cytraul, Abred, Annouim, Gwenved, Keugant.

     

     

    Le monde du Milieu

     

    Dans la tradition nordique le monde du milieu est composé de deux des neuf mondes :

     

    • Midgard ou Mannheim, royaume du milieu, royaume des hommes.
    • Jötunheim, royaume des géants.

     

    Midgard le monde des hommes, c’est a terre et Jötunheim celui des géants aussi appeler Utgard. Le royaume de Utgarda-Loki décrite dans le récit du voyage de Thor chez les géants avec ses serviteurs  Thialfi et Roskva.

     

    Chez les grecs la terre est souvent le centre de l’univers le lieu de résidence des hommes et le cœur de la cosmologie de type cyclique avec les astres qui évoluaient autour. De fait les hommes vivent sur la terre est évoluent, leur vie aura un impacte sur leur devenir dans l’après vie.

    Ensuite chez les celtes il n’y a pas beaucoup de source. Il y a un monde du milieu, ou un monde des hommes sur le modèle Nordique avec Midgard ou la conception des Grecs était probablement connue, ou une de leur vision. Peut être que les celtes avaient eux aussi plusieurs approche du cosmos ?  On sans quand dans le folklore la conception de l’existence des êtres féeriques est des dieux est aussi lien à un autre monde « L’autre monde des celtes » un monde qui fait partie du notre, mais pas totalement, comme si deux monde se chevauchaient l’un sur l’autre.

    Dans la Tradition druidique de Bretagne nous pourrions associer le monde du milieu avec un des cinq monde l’Annouim (les souffrances sur la terre) et l’Abred (les épreuves surmontés et le chemin de vie).

    Au travers des cinq Mondes Druidiques. Cytraul, Abred, Annouim, Gwenved, Keugant.

    Pour la pratique de notre druidisme de ADF toute les visions des peuples Indo-Européens peuvent être adapté à notre cosmos et notre vision du Druidisme.

     

     

    Les divisions du monde du Milieu (par exemple, 4 quartiers, 3 triades, 8 sections)

     

    Pour cette partie du travail du cours de base du programme de clergé de ADF j’ai choisi de travailler la triade que j’avais déjà appris dans ma pratique du Druidisme, celle de du ciel, de l’océan et de la terre.

    Je pense que c’est une façon important de décomposé notre environnement sur la terre des hommes. C’est une façon très approprié de décomposé le monde dans les pays celtique. Ici en Bretagne nous découpons déjà notre pays en deux grandes parties, l’Armor (la mer et les rivages) et l’Argoat (la terre, la lande et les forêts). La partie Argoat est parfois aussi appeler « Kreiz Breizh » (centre de la Bretagne). Alors un breton qui marche ou qui traverse la Bretagne en voiture vois très bien la mer avec les rivage et les forêts profonde sur les montagnes et les landes escarpées, parfois des forêts magiques comme Brocéliande. Tout est visible, il luis suffit ensuite de levé la tête pour voir le ciel. La terre nous entour et nous soutient. Et la mer les océans bordent notre terre ici. La mer est aussi une route elle permet de voyager vers d’autre pays celtique comme l’Irlande ou la Cornouaille, le pays de Galles, l’Ecosse et toute la Grande Bretagne. Il est possible d’avoir, le même découpage dans d’autre tradition, comme la nordique ou la grecque.

    La tripartition de nos rituels ADF semble plutôt bien fonctionner avec cette conception de la découpe en trois parties avec le puits sacré (la mer, l’océan, la côte Bretonne ou l’eau), le feu sacré (le feu du ciel des êtres brillants), l’arbre sacré (qui représente la terre et les landes ou la partie intérieur de la Bretagne ici). Je trouve que c’est très agréable d’avoir cette conception de la terre quand nous faisons nos rituels Indo-Européen d’ADF.

     

    Le monde d’en bas / Le monde souterrain

     

    Dans la tradition nordique le monde d’en bas  est composé de quatre des neuf mondes :

     

    • Svartalfheim, royaume des elfes sombres ou dökkalfars
    • Niflheim, soit le royaume des glaces et des brumes.
    • Helheim, qui est le royaume de Hel, la gardienne des morts.
    • Muspellheim, un royaume de flamme ou vivent les géants du feu.

     

     

    Le Helheim qui est le monde souterrain des nordiques et un endroit froid et brumeux, dans ces brume ce retrouve les morts que Hel doit garder.

    Dans la mythologie Scandinave c’est Niflhel dans cet endroit que vont les gens morts de maladie et de vieillesse. Les défunts destinés à Helheim doivent franchi la rivière Gjöll. De toutes les sources qui sortent de Hvergelmir, Gjöll est la plus proche des grilles d’entrée de Helheim. Il ya ici un pont le Gjallarbrú qui à est gardé par la géante Módgud. Ensuite il y a le chemin de Helheim le Helveg, (le chemin des morts) et il passe par ce pont. Au plus profond de Helheim se trouve les grilles de Niflheim, il y a la grotte de Gnipahellir, où vit le chien monstrueux Garm,qui garde les grilles de Niflheim.

    Ici il y a plusieurs choses qui ressemblent beaucoup à d’autre culture. Pour la culture celtique de Bretagne le Helveg fait beaucoup penser au « Hent ar marv » (chemin des morts) une route où voyage l’Ankoù le gardien du monde des morts et qui voyage vers le Youdig dans les monts d’Arrée qui est selon la tradition bretonne la porte des enfers.

    Il y a aussi la rivière Gjöll qui ressemble à la rivière Styx de la culture Gréco-romain.

    Et le chien Garm qui garde les grilles de Niflheim fait beaucoup pensé à Cerbère.

     

    Pour la culture Grecque bien sur le monde d’en bas c’est le Tartare.

    Dans la mythologie grecque, le Tartare est une personnification des enfers en tant que divinité primordiale. Il personnifie le lieu, un endroit clos dans une triple enceinte d’airain, où tout les plus grands criminels subissent leur punition. Il y a une enceinte fait de fer, et de bronze.

    Le Tartan est une région aride, de brume Le Tartare est une région aride, brumeuse, tout est mort et monotone, il y a des rivières sinueuses qui l’entoure, des lacs et des marais en ce lieu difficile et déplaisant.

    Le Tartare soutient en outre les fondements des terres et des mers. Dans le royaume souterrain du Tartare se trouve le palais d’Hadès, pourvu de nombreuses portes avec beaucoup de salles Campé en est originellement la gardienne chargée par Cronos de garder le Tartare. Ici Campé fait vraiment penser à Módgud.

     

    Le monde souterrain chez les celtes. Est la aussi assez mal connue, des reconstructionistes Gaulois en France on inventé le mot Biduos ‘ en s’inspirant du Breton « Du » pour noir et de Cythraul Brittonique. Je le conçois un peut de façon analogique à ceux de la culture nordique et de la culture Grecque. Bien sur je pourrais parler ici de mon expérience de ce lien avec mes voyages astraux, du chamanisme et de la déesse Morrigù. Mais dans les mythes celtes cette partie du monde d’en bas est a associer avec l’autre monde du Sidh.

    Dans la Tradition druidique de Bretagne nous pourrions associer le monde d’en bas avec un des cinq monde le Cythraul ou Cytraul (l’enfer froid des celtes).

    Au travers des cinq Mondes Druidiques. Cytraul, Abred, Annouim, Gwenved, Keugant.

    Pour la pratique de notre druidisme de ADF toute les visions des peuples Indo-Européens peuvent être adapté à notre cosmos et notre vision du Druidisme.

     

     

     

    Le Feu

     

    Dans la tradition nordique le dieu du feu c’est Loki, et dans ma pratique du culte druidique ADF je l’associe à Freya la gardienne du foyer et donc aussi du feu. Dans toute les cultures le feu est important, dans la culture Grecque c’est Hestia (Vesta en latin) elle a donnée le nom aux prêtresses appeler Vestales. Dans les anciens cultes le feu est avant tout sacrificiel qui dévore les sacrifices offerts aux dieux, et ses flammes jaillissent vers le ciel. Les dieux du feu sont aussi des dieux des hommes et de leur foyer, Freya, Loki ou Hestia voyagent d’un monde à l’autre et voyage entre le monde des dieux et les demeures des hommes et des prêtres ou prêtresses, leurs temples ou leurs maisons.

    Chez les celtes il y a également des sacrifices liés aux feux et des puits a offrandes souvent. Des choses qui devaient être effectué lors des rituels de banquets. Probablement quelque chose de proche à ce que nous pouvons voir dans la BD Astérix. Il y a des sources romaines par César qui mentionne des sacrifices humains fait dans des paniers géants en forme de figure anthropomorphique. Le feu est pour nous Druides de ADF d'une importance capitale dans les rites ADF, avec nos deux autres reliques de l’eau du puits et de l’arbre c’est pour nous une sorte de portail pour communiquer avec les dieux, je sais d’expérience qu’un contacte avec des divinités est possible à travers les flammes. Quand j’ai débuté en druidisme j’arrivais à percevoir Odin à travers les flammes de mes bougies, je faisait le même rituel a chaque fois avec une méditation et une légère transe.

     

    Le Puits

     

    Le puits et les eaux sacrées, sont pour nous d’une importance vitale, dans nos rituels. L’eau et le feu sont en quelque sorte les deux poumons du druidisme, il est difficile d’imaginé un rituel druidique sans feu ? ou sans eau ?

    Dans la tradition nordique le feu et l’eau sont très présent dans la mythologie et surtout dans le mythe de création. Les sources sont des objets de cultes et d’offrandes dans de nombreuses cultures, chez les Greco-romains par exemple je pense les fameuses fontaines ou nous jetons des pièces dans de l’eau. Chez les Grecques par exemple le particularisme Greco-romains dans le domaine religieux ne célèbre pas seulement les victoires sur l'ennemi commun maisen premier lieux, les victoires d'une cité sur une autre : Sparte célébrant sa victoire à Athènes où se dressera à Delphes son offrande. Le culte de la citée passe avant le culte personnel et bien qu’il y avait des contactes avec les dieux, les offrandes devait être visible pour la communauté de la cité en premier lieu. C’est différent d’offrandes faites dans les bois à une sources pour par une tribus celte ou germanique. Mais le but reste le même. Chez les Grecque du côté des individus, les hommes politiques, généraux et vainqueurs de concours sont d'importants donateurs, mais les gens du commun font également des offrandes avec leurs propres moyens. Si les plus riches peuvent offrir des monuments, des statues et des objets précieux, on offre aussi des objets servant aux rites sacrificiels (récipients, broches), des figurines en céramique ou métal, des vêtements et étoffes, des ornements, etc. en fonction de ses moyens. Les Celtes et les Germains ont fait eux aussi le même genre d’offrande, des bijoux et des objets précieux ou des armes étaient offertes aux dieux dans des lacs ou des sources, ils avaient des temples également. Les puits, les sources et les fontaines sont des liens avec l'autre monde, et en particulier le monde souterrain, et sont associés à la sagesse, à la renaissance et à la connaissance. C’est dans un puits sacré que se trouve le saumon de la sagesse que Finn MacCumhaill pèche. Au sein de notre communauté de Druide d’ADF, nous les utilisons pour faire des offrandes à nos ancêtres et à certaine divinités du monde souterrain et pour faire des offrandes ou dire des prières à nos dieux de la sagesse et de la transformation.

     

    L’Arbre

     

     

    Dans la tradition Nordique l’arbre sacré c’est Yggdrasill, il porte sur ses branches les neuf mondes du cosmos. Son nom signifie littéralement « cheval d'Ygg » ou « destrier du Redoutable », le Redoutable (Ygg) désignant le dieu Odin.
    L'arbre Yggdrasill est donc ce qui relie les mondes et sert à Odin pour voyager de l’un à l’autre. Yggdrasill est cet arbre/pilier est situé sur la source d’Urdr, c’est-à-dire, pour simplifier un peu, du destin le Wyrd. Urdr est une des trois Nornes. qui gravent en runes la destinée des Hommes, ou plutôt leur orlög (« loi primale ») sur la base de laquelle peut s’exercer leur volonté. L'écureuil nommé Ratatosk parcourt l’arbre de haut en bas, pour transmettre des insultes entre le serpent Nidhög qui ronge les racines et l’aigle qui trône au sommet Vedrfölnir. Yggdrasill représente un axe vertical sacré qui relie la terre et le ciel. L'arbre Yggdrasil est un symbole, une métaphore autour de laquelle s’organise un système vital. Vient d’abord le tronc qui agit comme pilier; viennent ensuite trois racines ou trois branches aux pieds desquelles on retrouve trois sources : la source de Hvergelmir, la source de Mimir et la source d’Urd. De chaque racine ou branche naissent trois Mondes, abreuvés par les trois sources. Neuf mondes en tout et qui, de notre perception, seraient considérés comme neuf territoires distincts et physiques.Dans la mythologique celtique il y a aussi souvent un arbre, qui connecte le ciel est la terre et aide les morts a voyager vers l’autre monde.  Dans la mythologique Grecque c’est plutôt un montagne sacrée qui joue se rôle. Le mont Olympe en particulier. Il existe aussi l’analogie entre le chêne sacré des celtes et le pin sacré des romains, l’un est associer à Taranis et l’autre à Jupiter, tout deux sont en lien avec la foudre et donc les dieux du ciel.  L’arbre dans la cosmologie de ADF à quelque chose de vraiment indigène, il est le cœur de nos rituels, il relie le ciel et la terre et nous aide à recrée le cosmos avec nos deux autres reliques et en plus il y a quelque chose dans la représentation de ADF, le fait qu’on le replace parfois par un pilier ou un totem, et que ADF soit une organisation druidique Américaine, j’y vois avec mon regard d’Européen un influence des peuples natifs Américains aussi les Amérindiens. Quoi qu’il en soit dans nos rituel de ADF l’arbre est la partie la plus importante du centre sacré il permet de faire le lien entre les deux pouvoir du feu et de l’eau.

     

    • .Dans quelle mesure pensez-vous que nous pouvons proposer des conjectures sur les mythes indo-européens en général ? Les thèmes communs sont-ils suffisamment forts pour que les mythes ressemblent à des variations ? Ou sont les différences si fortes que les thèmes sont moins importants que les variantes ?

     

    La réponse à la question

    Je trouve le travail vraiment très enrichissant et c'est passionnant, les comparaisons entre les différente mythes et les légendes, je suis plus souvent dans des lectures sur les mythes nordique ou celte mais les recherches sur les divinités grecs et leur mythes et très intéressent à faire également, il y a de nombreux point commune c’est indéniable. Je suis plus intéresser par les travaux de Régis Boyer, Jean Renaud ou Georges Dumézil, et la mythologie celte relatée par James Harpur est également bien écrite quoi que peut être trop courte. Je crois que le première auteur qui a déclencher chez moi un gout pour les langues et les récites et ensuite les comparaisons dans les rechercher des sources c’est J.R.R.Tolkien. Bon c’est de la fantaisie nous ne sommes pas dans quelque chose d’historique. Mais mes premières lectures de ses livres m’ont beaucoup influencés. Quand on fait de la comparaison historique ou que l’on chercher à reconstruire un culte c’est difficile, surtout pour le culte druidique, il ne nous reste que des bribes et nous sommes obligé d’aller chercher dans les autres cultures de faire des comparaison et d’y trouver de l’inspiration et du sens. C’est bien normal. Ce qui peut être problématique c’est quand il n’y a plus aucune trace de quelque chose, alors soit on ne fait rien soit on fait des hypothèses et alors nous pouvons recrée quelque chose de nouveau, avec les éléments anciens que nous avons ainsi que notre imagination. Cette partie du programme sur la Mythologie permet déjà de vois en soit que la richesse Indo-Européenne est profonde, il y a de nombreuse chose en communs, la création, les croyances à propos de la mort et du monde d’en haut ou de celui d’en bas. On peut aussi comparer les divinités entre elles et leur fonction en lien avec la tripartition de Dumézil comme je viens de le faire. Le tout maintenant et d’assimilé tout ça a notre propre culture de foyer et avec les membres de notre clairière ADF ou avec le reste de la communauté. Malgré cela, la mythologie comparée est souvent le seul moyen de reconstruire et de comprendre ce que sont les idées d'origine et de réalité d'une culture. Je pense que les thèmes communs sont bien assez fort et qu’ils peuvent varier d’une culture à une autre, des variations sont un plus enrichissant. Par contre il peut y avoir des soucis ensuite au niveau de l’organisation de la société, par exemple la notion de bien et de mal semble plus clivante dans la mythologie Grecques avec Zeus et Hadès. Dans un environnement de cité ou la vie devait être très structuré et ou l’ordre devait régner avant toute chose et ou la vie se déroulait dans un pays sur les bords de la mer méditerranée. En comparaison avec la mythologie Nordique ou les dieux et les héros ne sont pas totalement bons ni totalement mauvais, par exemple le dieu Loki crée des troubles parfois comme de très vilains tours, mais quand c’est possible il assiste les autres dieux pour rétablir l’ordre. Ces mythes son les fruits d’une culture qui évoluait dans un environnement ou la vie et le climat était plus rude, la vie en société impliquait que chaque personne apprennent à s’entraider pour pouvoir survivre dans un hiver rigoureux par exemple, les gens devait être plus pragmatiques. C’est ce genre de choses qui ressort quand on compare les grandes trames des histoires entre elles. C’est pas forcément un problème dans notre époque moderne mais c’est une différence qui est plus importante que d’éventuelles variations, forte heureusement nous pouvons nous adaptés. Et les géants des glaces avec les titans aussi bien sur il y a beaucoup de similitudes. Je veux dire comparé à la pratique de l’ortopraxie la reconstruction ou l’adaptation d’élément des mythes à nos rituels devient quelque chose de simple à mettre en place, du moment que nous avons de l’inspiration pour le faire. Mais il faut se dire que nous faisons alors du revivalisme et de reconstructionisme, nous revivons une religion et une pratique spirituel de façon moderne et honnête, et dans se travail de recréation nous pouvons aussi faire des bêtises ou commettre des erreurs. Il nous sera possible de les corrigés ensuite ou de faire évolué notre pratique. Pour Finir je citerais mon Ecrivain Britannique favoris :

    « Tout ce qui est or ne brille pas, Tout ceux qui errent ne sont pas perdus, Le vieux qui est fort ne dépérit point. Les racines profondes ne sont pas atteintes par le gel. »
                -J. R. R. Tolkien-

     

     

    Sources :

    « La mythologie Grecque » par Baussier Sylvie.

    « Mythologie Grecque, mythes et légendes » par Clémentine V. Baron.

    « Mythologie Grecque et Romaine » par Pierre Commelin.

    « L’Edda en prose » par Snorri Sturluson.

    « L’Edda poétique » par Régis Boyer.

    « Viking, les Dieux des Vikings » par Jean Renaud.

    « L'Enclos des Ases, spiritualité des Peuples Nordiques » par Aurélia Petri.

    « La Mythologie Viking » par Neil Gaiman.

    « RBA- Mythologie Nordique » une collection de livre Français sur le thème de la mythologie.

    « Vivre la Tradition Celtique au fils des Saisons » Par Mara Freeman.
    « Sagesse Celtique » par Thérry Jigourel.

    « Mythes Celtiques, légendes, art et histoire » par James Harpur.

    « Les Mystères des Celtes, « Mythes, cérémonies rituelles, croyances et légendes » par Stefand Mayorca.

    « Parlons Gaélique » par Patrick le Besco. 
    « Parlons Breton » par Patrick le Besco.

     

    https://1tierschemin.wordpress.com/

    https://nielestormulv.wordpress.com/

    http://excerpts.numilog.com/books/9791030701319.pdf

    https://www.norron-mytologi.info/diverse/munch-legends.pdf

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Yggdras

    file:///C:/Users/Proprietaire/Downloads/NorseMythology_10001382.pdf

    http://culturesciencesphysique.ens-lyon.fr/ressource/cosmos-geocentrisme.xml

     

     

     

     

     

     

     

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