• Conjuration Bardique du printemps

    Conjuration bardique du printemps:


    Une fois que la lumière a brillé longtemps, et que la floraison était sur la fleur, le songe des rois elfiques sur les landes endormies par le froid.
    Maintenant, que l'été arrive lentement jusqu'aux portes de nos maisons, les jours sont sombres et le ciel incertain.


    Les vents froids soufflent, leur chant de wyrd dur et tranchant
    Comme l'acier maintenant tiré pour faire face au destin parfois dur et souvent plein de surprise.
    La fleur qui s'ouvre au printemps n'est t'elle pas la plus riche elle qui embélie et profite de la sagesse des années?


    Qu'il est triste le printemps quand les gens se rassemblent à la prise d'armes, jaillissant de mots de sagesse de combat pour leurs guerriers, vantardises et larmes, et grêles et adieux. Que le temps est froid quand vient la pluies qui embrume les coeurs.


    Bientôt, tous partiront pour les marches au loin par delà la paix qui président dans nos collines vertes.
    J'entends les Korrigans, les Cluricaunes et les Trolls qui soupent et s'élancent dans une de leur drôlerie.
    Dans le bois brumeux, les puissants trouveront ils leur ennemi,
    Un autre peuple aussi aimé et conduit Tels qu'ils le sont, leurs cœurs se serrant entre eux, mais que ce soit cette sagesse ou cette folie?


    Que ce soit l'un ou l'autre, ou les deux? La Dame des larmes d'ambre qui cherche son trésor perdu dans les prairies, les rivages et les bois. Je l'honore par des chants d'amour et des cris de joies. Elle qui m'apporte un plaisir que les conflits et la guerre n'affecte jamais, ainsi j'accueille la paix avec le retour de ses fleurs. Plus personne ne souffrira de l'hospitalité que j'ai accorder autrefois dans l'illusion perdu de mon enfance.
    J'endure ce que les sages doivent connaitre pour vaincre en eux, ce que l'ingénu éprouve a chaque moment.


    Naïf j'ai été, longtemps, mais sur la plaine de chagrin je ne veux plus y retourner.
    Naïf je suis toujours a mes heures de rêverie. Mais quand les loups grognent leur colère, alors le naïf devient vulgaire.
    Est ce comme ça que l'hiver passe? Et les Carnavaleux d'autrefois ? sous leur masques et leur déguisement, en procession et en cris de joie a chasser l'hiver, la faim et les loups .
    Mais j'écoute dans les bouquets de fleurs parfumées la douce chanson de ma belle Dame qui me dit avec douceur
    Je suis le faucon de la bataille
    Connais tu le chemin de mon monticule de puissance?
    Vers ma clairière verte et étincelante,
    Vers le champ du peuple brillant
    autour de leurs guerrières sauvages et blondes
    connais tu le nom de chacune de mes Valkyries?
    Que donnerais tu pour être l'hôte de la mine?
    Que jurerais tu de me servir?


    Pour souper à Sessrumnir,
    et siégé avec moi au Valhalla a la table d'Odin.
    Pour éprouver du feu d'amour.
    Pour goûter avec moi a la bière bénie par la rune de la joie.
    Connais tu le chemin de la porte de Folkvang mon ami?


    Alors je ne crains plus les frimas de l'hiver, les géants des glaces et les illusions des loups.
    Dans la forêts je fait mes Druidiques vagabondages, sous le sapin, sous le chêne, sous le hêtre puissant et le frêne l'arbre d'Odin, que j'en oublie les noms perdus d'autrefois tel Uoten ou Odhinus dans les vallées froides, et les fées elles savent me parler, me chuchoter des contes et des histoires oubliées au creux de mon oreille. Ainsi j'accueille le retour du Printemps comme un ami, que ce renouveaux nous soit favorable a tous. Au milieu du sourire des roses et des jonquilles, dans le sourire de Freya les feux de la chance bondissent aux sommets des collines vertes dans cette terres des Korrigans, des Cluricaunes et des Fées.

    Qu'il est bon de vivre en Bretagne"

    Ecrit par Eikthyrnir Odinson

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