• Indo-European Studies 1 clergy program

    The ADF Clergy Training Program : Le programme d’étude du Clergé de ADF.

     Clergy Training Program Course Outline – Baseline Training-

     

    Indo-European Studies 1 :

     

     

    1.Décrire plusieurs des facteurs qui définissent une culture comme indo-européenne et comment ces facteurs définissent ce qui est utiles pour comprendre cette culture.

     

    Réponse sur le travail :

     

     La basse de notre druidisme et de la communauté de ADF c’est bien les indo-européennes la culture commune entre plusieurs peuples, j’ai plus comparé les cultures celtes et nordiques en ce qui me concerne. Chez les auteurs et dans les différentes approches de cet héritage c’est bien les classifications type culturelle et linguistique surtout qui sont importante, mais on pourait aussi ce dire qu’il y a quelque chose en commun dans l’approche cultuelle.

     

    Au niveau linguistique :

    La parenté des langues indo-européennes est très étroite.

     

    Cette parenté se retrouve sur 3 plans :

    • La phonétique.
    • La grammaire.
    • La lexicologie.

     

     

    Dans l’étude des langues ce qui les déffinies les liens étroits qui existent entre les différentes langues ou dialectes se sont ici les sons, appeler aussi parfois les phonèmes, la grammaire, avec la formation des mots, dans ce qu'on appelle la morphologie, soit les terminaisons des verbes avec leurs conjugaisons, il y a aussi les fomes des noms dans les déclinaisons, une partie importante c’est également le vocabulaire.

    La phonétique, la grammaire et la lexicologie sont toute les trois apparentées et elles ont diverses ressemblances qui sont de plus en plus nombreuses quand nous étudions les langues et que nous regardons les langues les plus anciennes. Surtout avec le grec ancien, le latin et le sanskrit c’est trois langues se ressemblent énormément bien plus que les langues modernes que sont le français, le grec moderne et le hindi. Pour les langues indo-européennes le vocabulaire c’est ce qui les rapproches le plus, c’est la ressemblance la plus frappante. Toutefois au cours de l’histoire une langue peu emprunter énormément de mots au niveau du vocabulaire ou de la grammaire à d’autres langues qui aurait cotoyer cette langue. Beaucoup de mots ou de noms apparentés dans l’héritage indo-européen, ici le vocabulaire complète les deux autres dimensions importantes au niveau du language de la phonétisme et de la grammaire.

     

    La classification linguistique et culturelle qui définit un groupe ou un ensemble de groupes en fonction d'un certain nombre de critères. Le critère le plus important est que la langue parlée par le ou les groupes soit un descendant d'une langue indo-européenne, ou de la langue ancestrale, qui est supposée être alors proto-indo-européenne.

    La reconnaissance de la parenté des langues indo-européennes peut en rester là au niveau de la linguistique.  Les langues sont formidable pour ça en particulier le grec, l'indien, l'iranien  langues connues sur quelques trois millénaires ou le latin. Ou encore une langue que j’aime beaucoup et qui à beaucoup évolué c’est le breton, la forme la plus ancienne au moment de la migration bretonne du VIe sciècle le prennadeg qui a évolué vers le breton moderne, le gallois et le cormique, c’est vraiment intéressent d’étudier ces trois langues entre elles, il y a énormément de mots et de choses au niveau de la grammaire ou de la phonétique.  Il est aussi très intéressant des les comparer avec les trois autres langues celtiques que sont le Gaélique Irlandais, le Gaélique Ecossais et celui de l’île de Man.

    L’indo-Européen avec toute les langues montre bien l'existence d'une famille linguistique unique qui constituait un groupe du dizaines de langues, depuis l’Europe occidentale jusqu’à l’Inde.  Ce petit état des lieux à propos des langues Indo-européennes  nous amène à nous poser d’autres questions qui sont sur autre chose que la linguistique.  Si il y à eu imaginons une unité très forte de ces langues (peut être ? supposons ? ) L’unité de ces langues n'a certainement pas pu s'opérer par des contacts prolongés, (peut être le commerce ? avec les voyages pour l’exercer ?) car cette famille linguistique est étirée  sur un vaste territoire et dans le temps de plus la plupart des peuples n'ont jamais eu de contact avec la plupart des autres, cela  pose la question du lieu à partir duquel ces langues se sont étendues ?

    Les liens entre les langues et les partie de vocabulaire « commun » (au niveau de l’étymologie et de la grammaire par exemple) peuvent t’ils nous permetre de déduire ou de supposé de l’état des civilisation ou des peuples qui parlaient la langue Indo-Européenne avant qu’elle n’éclate en différent dialectes ?

     Il y a quelque chose d’intéressant par exemple  c’est que plusieurs des langues indo-européennes possèdent un terme apparenté ou assez proche pour désigner certain métaux, comme le cuivre, l’étain ou le bronze . Alors qu’au contraire les termes et les mots qui désigent quand à eux le fer sont eux très différents.  Alors d’après l’archéologie nous savons que l’âge du fer est postérieur à l’âge du bronze. Le bronze à précédé le Fer. En effet au niveau des travaux métallurgiques le bronze est mis au point techniquement au Ve millénaire avant notre ère, tandis que le fer commence à être produit dans le courant du IIe. Cela peut nous comfirmer que probablement les Indo-Europées ont connu le début de l’utilisation du bronze, lorsque le cuivre à commencer à ajouté avec un peu d'arsenic ou d'étain . C’est très vraisemblablement pour ça que le même mot peut signifier parfois le bronze ou d’autrefois le cuivre. Par contre quand la connaissance de la métallurgie et de la technique artisanale du Fer c’est répandue en Europe ils étaient complètement dispersés et leurs languages étaient plus différents. Nous pouvons en déduire ici que l'éclatement de la langue indo-européenne en dialectes qui devinrent des langues différentes ensuite  s'est produit lors de l'époque qu'on appelle chalcolithique, soit à l’âge du bronze, quand les hommes, en Eurasie occidentale, élaborairent à partir du cuivre le métale qui deviendra  le bronze, soit un métal plus solide. Du coup nous pouvons ensuite nous poser la question de la culture à l’époque dite chalcolithique. Y avait t’il une culture commune des Indo-Européens à cette époque ?  L’art du broze ayant connu une diffusion à la fois sur l'Europe et sur l'Asie, qui pourrait rendre compte de la répartition des langues indo-européennes ? Je pense que probablement oui. Et que nos langues modernes gardent peut être encore quelque traces de ça. Mais faudrait faire une étude approfondie. Il y a beaucoup de mot communs d’une langue à l’aurtre, les langues sont apparentés entre elles c’est certain.

     

    Enfin la partie visible de l’héritage commun dans les cultures Indo-Européennes, et qui est commune à tout et ce retrouve particuliérement dans les cultures celtiques, germaniques ou grecque.  C’est la Tripartition et la mythologie comparée. La tripartition est un système dans la culture qui démontre qu’il y avait une organisation de la société basée principalement sur trois classes de personnes. Soit le clergé (magie et religion), les guerriers et les nobles, et enfin les producteurs et les artisants.La mythologie comparée nous montre que les peuples indo-européennes conservèrent une sorte de structure mythologique partagée et rencontrera de nombreux mythes similaires. L’étude des mythes et des thèmes communs est une chose très importante, en plus de l’étude des langues afin de trouver les liens entre les différents peuples afin de savoir si une culture est effectivement Indo-Européenne.  Une autre bonne chose c’est l'archéologie qui est également généralement suffisante pour définir une culture comme Indo-Européenne avec comme par exemple les pratiques funéraires, la disposition des temples et les matériaux utilisés pour fabriquer des armes qui peuvent varié  d'une culture à l'autre mais qui on des conceptes commun là encore.  Toutefois la meilleur façon pour déterminer si un groupe est indo-européen c’est encore de regarder sa linguistique dans un contexte culturel.  Par exemple les sociétés, celtique, germanique, romaine et védique peuvent être liées par leur fonction commune de la position de brahman, de gothi, de druide et de flamen , ces différents prêtres peut importe la forme locale que prendra la culture Indo-Européenne où ils vivent se sont eux qui supervisent les sacrifices, les rituels et qui s’occupe du sacré ou/et d’une partie de la transmission de l’héritage culturel. Dans les différentes culture nous pouvons trouver aussi des termes interculturels pour «père du ciel» en tant que chef des dieux dans divers panthéons comme preuve d'une culture et d'une langue partagées.

    Il y a aussi des similitudes des noms des dieux et des déesses, par exemple des divinités du soleil, de l’agriculture ou encore la déesse mère qui de la même manière peuvent être utilisés pour montrer qu’il y a des liens culturels en rapports à tout ces peuples et à leur culte ou phylosophie religieuse. Dans un tel cas nous pouvons voir, la fonction indiquée par la langue pour transmettre des idées à travers les cultures.  Ces facteurs nous fournissent de toute évidence un endroit où chercher, un point de départ. Il nous est nécéssaire de faire beaucoup de recherches et nous fournissent des preuves historiques des croyances, des pratiques plus ou moins communes dans les différentes forme de spiritualités païennes à l’époque ou encore de la question de l'ascendance indo-européenne,  tout cela constitue pour nous le commencement du questionnement à nous de faire le travail de recherche mais pour moi je pense vraiment que se sont les liens entre les langues, la mythologie et la tripartision qui constituent  les facteurs qui définissent une culture comme Indo-Européenne et qui permettent de comprendre la culture Indo-Européenne.

     

     

    2.La théorie de la tripartition de George Dumézil a été au cœur de nombreuses approches modernes des études indo-européennes. Maintenant vous devez décrire les trois fonctions sociales de Dumézil en général, et telles qu'elles apparaissent dans une société indo-européenne particulière. Donnez votre avis pour savoir si vous croyez en ce que Dumézil affirment a propos de la tripartition dans les cultures Indo-Européennes.

     

     

    Réponse sur le travail :

     

    Les trois fonctions du système tripartite de Dumézil sont : magico-religieux, guerrier-noblesse et éleveur-cultivateur.

     

    Dumézil pris conscience qu’il y avait une homologie homologie entre les trois principaux dieux de la Rome antique et les idées qui président aux trois plus anciennes castes de l’Inde ancienne. Dans le groupe des prêtres appelées les flamines, il y avait trois flamines majeurs lié à trois divinités et qui étaient plus éminents que les autres. Les dieux auxquels ils étaient dédiés à cette époque dans la Rome ancienne (la préhistoire de Rome) sont à la base de la création du sacerdoce romain. C’est divinité ce sont Jupiter, Mars et Quirinus.

     

    • Mars (le premier dieu) est le dieu des puissances célestes, il est le maître des signes qui apparaissent dans le ciel.
    • Jupiter (le deuxième dieu) est le dieu qui préside à la guerre et qui est responsables des tout ce qui concerne la protection.
    • Quirinus (le troisième dieu) est beaucoup moins connu aux époques historiques, il fut ensuite remplacé par la déesse Minerve au Capitole. La fonction de Minerve laisse deviner des activités de son flamine. Il interviennait régulièrement dans des cultes liés à la fécondité agricole.

     

     Dans une autre partie du monde  Indo-Européen, Dumézil avait étudié depuis plus de vingt ans une situation très proche de celle des prêtres romains.

     Celle des grandes castes qui, en Inde, répartissent l’humanité dans son ensemble avec quatre catégories : les brahmanes, les ks.atriya, les vais´ya, les s´udra.

    C’est catégories sont donc celle des prêtres et enseignants, des guerriers, des producteurs, et ds serviteurs qui ici ne se discernent, dans les plus anciens textes indiens (à savoir quelques hymnes de la collection appelée Rig-Véda), qu’avec l’apparition de trois caégories de ce que deviendra par la suite les trois premières castes (la quatrième à été elle plus tardive : les s´udra sont définis comme les serviteurs des trois autres varn. a).

     

    Donc ici c’est trois principes sont le brahman (au neutre), le ks.atra, et le vis´. Le premier de ces principes correspond à la religion, le deuxième à la puissance, le troisième à la collectivité (vais´ya signifie « les clans »), un groupe qui, socialement, rassemble les producteurs.

     

    Il y a donc homologie entre la série divine romaine et la série théorique et sociale indienne . C’es deux série ici trouvent une organisation plus ou moins similaire à propos des idées de religion, de force, et de production. Bien évidement nous retrouvons la tripartition dans d’autre culture Indo-Européennes, c’est la même chose chez les celtes, les germains et les slaves.


    Nous pouvons aussi comprer deux divinités nordiques avec d’autre divinité du panthéon romain ou hindou.

     

    Divinité tutélaire

    Divinité de la loi

    Odin

    Tyr

    Varuna

    Mitra

    Liberté

    Justice

     

    Nous pouvons aussi comprarer ensemble les dieux Mars (Romain) Thor (Scandinave) et Indra (Védique).

     

    Pour la culture Scandinave qui est celle qui correspond à mon culte de foyer :

     

    Dans la culture Scandinave alors nous trouverons aussi les trois castes suivante :

     

    Il est intéressant de remarquer que chez les peuples vikings l’organisation de la société est à la base très clanique et que tout tourne autour de la famille (Aett = famille) et de clan (kyn = clan) qui sont sacrés. La société Scandinave était une société très peu hiérarchisée, assez égalitaires et autarcique. Les vikings étaient modérément libertaires et individualistes et en revanche très solidaires et pas vraiment inféodés. Ils constituaient ensemble une société pragmatique et réaliste. On pourait dire d’eux qu’ils étaient des hommes d’action aimant les valeurs d’action.

     

    Les prêtres et les magiciens :

    • Le gothi et la gythia = le prêtre et la prêtresse. Qui officient durant les cultes, souvent la partie privée du culte est à leur charge.
    • Le strogothi et la Strogythia = prêtre ou prêtresse de plusieur thingmen (assemblée ou groupe)
    • L’allsherjargothi ou l’allsherjargythia = le haut prêtre ou la haute prêtresse qui avait des prérogatives politique ou un rôle de chef de clan parfois (en Islande médiévale).
    • Le hoffgothi ou la hoffgythia = soit le prêtre ou la prêtresse d’un temple ou d’un lieu sacré en particulier plutôt en rapport avec le culte publique.
    • Les völvur (les magiciens) avec la Völva (la magicienne ou la voyante) et le Völvo (le voyant et le magicien) se sont les personnes qui pratiquent la magie et la voyance.
    • Les seiðkona (la femme qui pratique le chamanisme scandinave soit le seiðr) et le seiðmaðr (l’homme qui pratique le seiðr).
    • Les vikti qui sont les spécialistes des runes et de leur sens et magie.
    • Les Skalds ou le Scop, le rôle d’incantateur ou d’orateur et de poètes.

     

     

     

    Les guerriers et la noblesse :

     

    Les jarlar (au singulier « jarl ») =  Ils sont aussi appelé « konungar » ou au singulier « konugr » le mot dérive de « kyn » (famille ou clan), ce sont des chefs de clan, des roitelets et des chefs de village.

    Les hovding = Ce sont les chefs d’expédition viking, ils ont été élus ou ont hérité de la fonction avec l’accord du conseil au thing des boendr.

    Les jarlar (ducs ou comtes) étaient à la tête de filki (une division administrative) avec au moins quatre hersar (groupes de guerriers).

    Les saekonungr = les seigneurs des mers, ils ne posèdaient pas de terres. Les sagas les décrivent ainsi : « Celui qui jamais ne dormait sous une charpente couverte de suie ni ne buvait au coin de l’âtre ».

    Les hersar (au singulier « hersir ») = les guerriers, des guerriers organisés ou alors les boendr quand ceux si font les vikings.

     

     

    Les paysans, les producteurs et les artisants:

    • Les boendr (au singulier « bondi ») = des hommes libres constituent la grande majorité de la société. Ils sont les paysans, les pêcheurs, les commerçants, et les artisants. (ils peuvent être aussi guerriers).
    • Les storboenir = les grands boendr.
    • Les smaboendr = les boendr ordinaire.
    • Les smidr = ils sont charger de l’administration et du gouvernement.
    • Les logsugumar = les gardiens de la loi et les hommes de loi.
    • Les thraellar (au singulier « thraell ») = ils étaient les esclaves capturés durant les strandhogg (les raides), que les vikings vendaient ou ramenaient dans leurs clans. Quand ils avaient rendu à leur maître, ils pouvaient devenir des leysingi ou des fjalsgjafi (des hommes ou femmes à qui on a donné la liberté).
    • L’umagi = C’est celui qui ne peut subvenir à ses besoins tout seul, des indigents assez nombreux en scandinavie, (personnes agées, infirmes, malades, vagabonds…). Le hreppr est un sistyme de solidarité prévu par le clan pour leur venir en aide à eux et aux fatoekar aussi.
    • Les fatoekar (au singulier « fatoekr ») = Ils sont les gens les plus pauvres du clan ou d’une famille.

     

    Les travaux de Dumézil pour moi sont correctes :

     

    Je pense que la tripartition de Dumézil est correcte et qu’elle forme un facteur déterminant de la culture Indo-Européenne. C’est vraiment en étudiant les divinités et leurs rôles dans le panthéon et les différentes classe d’homme et leur rôle dans la société que nous pouvons trouver un lien entre les deux pour définir si cette culture est Indo-Européenne ou pas. La retrouver facilement ensuite en comparant différentes cultures entre elles. C'est plutôt ici la théorie de la trifonctionnalité qui résume "L'idéologie tripartite des Indo-Européens". Montrant que les indo-Européens occidentaux et les Indo-Iraniens s'organisaient fondamentalement sur une même structure tripartite. Dumézil dans ses études à observé des concordances constatées entre les textes égyptiens, sumériens, acadiens, phéniciens, sibériens, bibliques, taoistes et confucéens. Il a alors trouver des séparations et une organisation de la société, entre pouvoirs religieux, guerriers, producteurs, et démontrer dans ses travaux que cela constitue une base de compréhension dans l'articulation de la trifonctionnalité en montrant l'existence et la fonction d'un regroupement central de divinités solidaires, qui se définissent les unes des autres et se répartissent les principes du sacré. Dans les trois fonctions, la dernière constitue à elle seule le fondement des deux autres. ce qui est à rapprocher du rôle moteur souterrain accordé par les approches marxistes à la classe ouvrière. Nous pouvons voir que l'héritage commun de la tripartition comme les autres éléments du fond commun indo-européen ne constituent qu'un cadre général que chaque peuple organise à sa guise.

     


    3.Choisissez une culture indo-européenne et décrivez brièvement les influences qui l'ont façonnée et le distinguer des autres cultures dérivées indo-européennes. Les exemples incluent la migration, le contact avec d'autres cultures, des changements de religion, de langue et des facteurs politiques. Y a-t-il un sens à quelle culture peut-on dire avoir cessé d'être une culture indo-européenne ? 

     

    Réponse sur le travail :

     

    La culture nordique à la préhistoire :

    La Scandinavie trouva sa physionomie actuelle s à l'échelle géologique qu’il y a très peut de temps, plusieurs pays éloignées où un  ensemble ne fut à une période qu'un seul bloc avec le continent et avec la Grande-Bretagne, ce qui explique les migrations de populations qui, peu à peu, ont constitué la réalité que nous appelons Scandinavie. Il y a longtemps dans l’antiquité la scandinavie était prise pour une simple île la Scandzia insula. Alors vers les années  10 000 avant J.-C, la Scandinavie comme partout ailleur était peuplée de chasseurs-pêcheurs-cueilleurs qui étaient vraisemblablement venus du sud, sans que l'on puisse préciser en d’étaille d’où ils étaient originaires. A cette époque ils n’avais comme outils et armes que de grossiers silex et de barques de peau à armature de bois, ce qui est un signe que la navigation était quelque chose de vraiment important pour les peuples de ces époques déjà. La Scandinavie est un lieu ou l’eau est toujours présente partout dans l’environement, des lacs, des rivières, des fjörds et bien sur la mer.

     

    Les premiers de ces peuples son découvert au Danemark à Allerød  et à Fosna en Norvège. Il y a eu de nombreuses découvertes archéologique. Ensuite dans les années 7000, de nouveaux venus, en provenance du sud est qui étaient plus en avance au niveau des techniques de chasse et dans leur artisanats sont repérables à Klosterlund au Danemark.

    Après cela autour des années 6000 et jusqu'en 3000 environs, ce sont les peuples de Kongemose au Danemark qui s'installent petit à petit, principalement à Ertebølle au Danemark et à Viste en Norvège Ce sont ces migrations successives qui, auront probablement repoussés vers les nord les Sames  (ou aussi appeler « Lapons ») qui étaient les premiers habitants des pays Scandinaves.

     

    La colonisation indo-européenne de l'âge de pierre :

     Dans l'histoire de l’humanité chez les scandinaves c’est à l’âge de pierre que débute vraiment l’histoire avec l’arrivée des Indo-Européens dont on discerne deux vagues successives de colonisation. Dans les années 3000 la première vague de migration qui se déroulà probablement plutôt sous forme d’une invasion, ensuite la seconde vague serra vers 1800 par le biais des colonisations ou d'influences reçues entre différents peuples et différentes tribues. De se faite les Scandinaves sont sans le moindre doute des Indo-Européens à commencer par leur langue, une branche septentrionale du germanique, une autre preuve ce cela c’est bien le surgissement chez eux de l'agriculture et de l'élevage. Ensuite l'arrivée et l’usage du cheval qui jouera un rôle très important dans la religion des scandinaves. Ensuite le type d'habitat, l'organisation sociale, le mode d'administration et d'inhumation chez eux en sont des témoiniages.  Ainsi s'achève ce que les spécialistes du Nord  comme Régis boyer appellent l'âge de pierre (ou l’âge de la pierre scandinave), ce qui ne correspond pas tout à fait aux habitudes « continentales ». Des preuves en objets d’usage utilitaire de l’époque nous montre également que leur société étaient organisé et orientées vers l’utilitaire.

     

    L'âge du bronze germanique :

    Il y eu une culture intéressant avec l'âge dit du bronze (1800 à 400) c’est qu’il y avait une grande culture tant sur le plan artistique que sur le plan domestique, qui était probablement originaire d'Asie Mineure.  Par exemple les célèbres gravures ruperstres qui sont nombreuses dans les pays scandinaves ce qui par leur profusion et leur uniformité qui montre l'existence  d'une religion pratiquée par une société évoluée  à lépoque très orienté par le culte de la fertilité et de la fécondité qui est en lien étroit avec le soleil (le soleil était féminin dans cette culture). Nous avons retrouvés de cette époque le petit chariot solaire de Trundholm, tiré par un cheval et menant le disque solaire  dans un chariot, avec des éléments comme celui-ci ou ceux retrouver sur les gravures ruperstres nous pouvons comprendre qu’il y avait ici des pratique de magie comme celle du chamanisme.  Ensuite au niveau artistique, les pétroglyphes des gravures sont remissent en perspective et elles préfigurent  les « formes scandinaves » telles qu’elles seront nommées et étudiées plus tard. Pour finir  des objets usuels en particulier.  La principale activité des années de l’époque de l'âge du fer (400 avant J.-C. à 800 de notre ère) était le commerce et le commerce amménera la culture scandinave à s’étendre dans les années futures dans les époques suivantes.

     

    L'âge du fer celtique :

     Après l’âge du fer germanique  celui des celtes en - 400 et le tournant de l'ère, nous parlons d'âge du fer celtique par rapporte aux influences dans le dommaine des arts domestiques, des usages domestiques, des vêtements des ornements, de la linguistique et dans le dommaine religieux.  Le culture celtique et la culture nodrique étant très proches l’une de l’autre, peuvent parfois être une source inévitable de confusions entre ce qui demeur la propriété des Celtes et ce qui demeur la propriété des Scandinaves.  Hors nous savont à quel point les peuplades celtiques furent en mouvement, en migration et en expansion. Il s ont eu une grande influence sur les autres peuples y compris les romains et les germains. Un dommaine très important aussi c’est celui de l’art au sujet de ce qui est de la paternité des peuples du Nord ou ce qui  en liens avec les Celtes.  L’un des progrès techniques les plus remarquable c’est celui à propos des bateaux qui connait alors de grand progres technique comme celui de Hjortspringkobbel  au Danemark.  mais c'est le moment où les peuples germaniques déferlent sur le continent ce mouvement commence avec les Cimbres et les Teutons, que suivent, entre autres, les Lombards, des Norvégiens ,les Vandales, les Danois les Suédois , les Burgondes, les Souabes (ou Suédois) et sans parler des Gots  (probablement des Suédois eux aussi) qui iront installer, au nord de la mer Noire, leur domaine s’étendera sur deux branches celle des Ostrogots (les glorieux gots) ou les Visigots (les sages gots) Les hommes de Théodoric ou ceux d'Alaric ils développeront unr grande et remarquable civilisation.

     

    L'âge du fer romain :

    L’âge du fer romain demeure l’époque des rois et des runes.  Au commencement de l'ère au début du Ve siècle  l'influence qui a eu une grande impacte sur la cultue germanique continentale et insulaire (en germanie et en scandinavie)c’est celle de la culture latine. Les échanges entre les peuples et en particulier entre les germains et les romains deviennent fréquents et productifs. César (De Bello, 51 avant J.-C.) puis Tacite (Germania, 98 de notre ère) nous ont laissés des témoiniages des échanges avec ces peuples que vérifieront assez bien nos connaissances ultérieures.

    Les Danois, du sud de la Suède qui partirent s’installer au Danemark auquel ils donnairent leur nom. La Suède aussi qui trouva son nom par les Sviar ou Svithjod.  Le territoire des Sviar pris alors forme autour de Sigtuna et d'Uppsala. Plus au nord en prenant le chemin du nord c’est la Norvège ou Nordrvegr, soit le chemin du Nord. Qui commence à s’agrandire aussi principalement par le sud, autour de quelques centres importants comme Trondheim.  La Scandinavie est alors bien en place, construit par de nombreux « royaumes » chacun gouverné par un konungr ou un roi, les rois avaient leur importance en tant que roi et représentant des divinités s’ils avaient un rôle de prêtre en tant que Gothi ils devaient assurés à leur sujets la fertilité et la fécondité, donc il était choisi par ses pairs til ars ok fridar, « pour une année féconde et pour la paix ».  A l’époque l'Islande ou les Féroë ne sont pas encore connue, ces îles seront connue ensuite avec l'âge viking  environ  en 800 pour les Féroë, et 874 pour l’Islande.

     

    Nous devons faire remarquer qu’à cette époque les rois ne sont pas systématiquement là pour être que des chefs de guerre. Les gens  vivent d'agriculture, d'élevage, sans excès en raison de l'aridité des sols et de la rigueur des climats, et surtout de pêche et de commerce, lequel demeurera l'activité fondamentale du Nord.

     

     L'âge du fer germanique ancien :

    C’est dans les années 400 à 600 environ que s'instaure l'âge du fer germanique ancien, un période assez obscure pour la raison qu’il y eu de nombreuses collusions entre Scandinaves et Germains continentaux et aussi en raison des grandes migrations de cette époque.  Cette période est parfois appeler le « folkvandringstid »  ( soit l'époque des errances des peuples). Ce fut une époque d'insécurité et de violence, c’est à ce moment-là qu'un début d'administration ou d'organisation politico-sociale se met en place avec le byggd, qui était alors le début d’une forme d'unité territoriale appartenant à une famille ou a tout un clan. Les byggdir formère ensuite ce qu’on appelait des  par une « famille » ou un clan ; les byggdir se formeront ensuite des structures plus grande les hérad ou fylki qui furent le débuts de ce que nous pouvons appeler de nos jours des régions.  C’est à cette époque que le début du fonctionnement démocratique que connurent plus tard les Vikings se concrétisa pour la première fois au sein des Byggdir. Chaque Buggd se donte d’une instance législative et judiciaire. Ce qui deviendra plus tard le Thing chez les vikings, soit une assemblée d’hommes et de femmes libres.  L'institution  du thing se développa énormément  en Islande, bien plus tard. Le thing exprime le droit devant la loi à chaque personnes libres de donnés son oppignon sur tout les sujets qui traitent de la vie en groupe.

     

    L'âge du fer germanique récent :

    Ensuite les germains eurent de nombreuses routes commerciales et  ils connurent une expansion territoriale Avec l'âge du fer germanique récent (600 à 800), d'autres observateurs  fait par les romains en particulier Procope de Césarée un rhéteur et historien byzantin  nous donna une observation dans ses textes sur le foisonnement des Gots et tout les activités et caractéristiques des peuples des Gots. La plus importante caractéristique étant leurs attrait du commerce.  C’est alors que de grands centres de commerces émergèrent comme ceux de Lindholm Høje ou de Hedeby, au Danemark. Le Danemark fut un très important lieu pour le commerce, de par sa situation entre le nord avec la norvège et le sud avec la germanie et le rhin qui était à l’époque l’équivalent de la méditerranée pour le commerce par voie navigables. Il y eu aussi dans la mer Baltique l'île de Gotland qui possède une longue tradition autour du commerce entre le nord et le continent. Les chroniques légendaires des Sagas nous parlent des  grands rois de cette époque comme  Ivarr vidfami ou Haraldr hilditönn au Danemark tandis que les premières conversions au christianisme prennent place avec la mission chrétienne. La suite de cette apport du christianisme dans la culture scandinave fut faite par Willibrord d'Utrecht  toujours au Danemark vers 700. En Norvège il y eu une grande cours royale celle des Ynglingar. C’est de cette cours que descendra au IXe siècle le célèbre Haraldr à la belle chevelure. Ce roi Haralde très connue est un des symboles du phénomène « viking » qui viendra ensuite. Les vikings  vont amorcer un mouvement d'expansion et de création de colonies vers l'ouest en particulier en Ecosse avec les îles Orcades, les îles Shetland, les îles Hébrides puis enfin les îles Féroë avant la colonisation de l'Islande pour laquelle les vikings sont plus connue en France. Les Vikings en Ecosse ont beaucoup contribués bien plus tard à la formation de certains clans comme le clan MacLeod, les MacDougall ou encore le Clan Gunn dans les Orcades. Les vikings allèrent aussi en Suède. Qui fut le lieu de l'émergence d’une brillante civilisation dite de Vendel ou de Valsgärde, au centre de ce pays.  C’est a cette époque qu’apparaissent les pierres historiées de Gotland qui portent de superbes figurations des scènes mythologiques ou guerrières. Le motif du bateau y règne avec grande élégance. En même temps, les Suédois s'en vont établir sur la rive nord de l'actuelle Allemagne et vers l’Est aussi avec les comptoirs commerciaux de  Wollin à l'embouchure de la Vistule, de Grobin ou d’Apuole dans notre actuel pays Européen de Lituanie, Wiskiauten ou Truso. De nos jours il existe un vaste corpus d’inscriptions runiques en ancien futhark  qui nous a été laissé en héritage par les peuples de cette époque.

     

    La base Indo-Européennes chez les Scandinaves recouverte par le christianisme :

    Le problème qui demeure pendant est celui de savoir sur quelles bases s'est réalisée l'unité scandinave au cours des siècles. Dans les pays Scandinaves la diversité des paysages entre fjords de Norvège,  les rivières fructueuse et les vastes plaines du Danemark ou encore les forêts coupées par des lacs en Suède, ce paysage de lieu vaste. Ou partout règnent le froid et il y a aussi une grande disparité des saisons. Une saison froide très longue ainsi qu’une saison  chaude plus courte et intense.  Une des choses qui caractérise aussi se mode de vie c’est surtout l'immensité des distances sans parler de l'omniprésence de l'élément aquatique sous toutes ses formes . Il y a eu une grande influence de ce climat et de ce paysage sur l’histoire de ces pays par exemple le Danemark a pu connaître de puissants lignages de rois-marchands. En revanche de son côté la Norvège un pays très morcelé entre les fjords et les fjells n'a eu longtemps que des petits rois et des chefs de clans durant très longtemps avec pouvoirs très limités. L a Suède durant longtemps à  oscillée entre le pouvoir des Sviar et celui des Gautar  décrit sous le nom Geatas dans le poème Anglo-saxon de Beowulf. Demeure alors la culture païenne sous une forme plus faible et recouverte par le christianisme, à ses époques beaucoup de peuple scandinave adoptèrent le christianisme en raison des avantages que cette religion apportait aux nouveaux rois Danois et aux avantages pour faire du commerce avec eux. Au niveau des Sames ou Lapons nous pouvons aussi comprendre qu’ils ont servies de substrat autochtone que seront venus recouvrir les apports indo-européens.

     

     

    4.Choisir ensuite une autre culture indo-européenne et comparez-la à la culture développée en réponse à la question 3, développée ici à propos de la culture en ce qui concerne la nature indo-européenne de chaque culture.

    Réponse sur le travail :

     

    La Culture Celtique et la culture germanique :

    La deuxième culure Indo-Européenne que je vais étudier pour la comparé à la culture germanique est la culture celtique.

    Tout d’abord, à la question « qui sont les Celtes ? » un homme de l’Antiquité ne répondra pas de la même manière qu’un historien de nos jours.  Nous devons chercher les liens entre ces peuples dont les critères d’analyses principaux sont les langues, l’arts, les pratiques mortuaires, la cultes. De plus, les études sur les Celtes se renouvellent à grande vitesse , de ce faite ce qui semblait vrai il y a cinquante ans ne l’est plus toujours aujourd’hui. C’est seulement depuis la deuxième moitié du XXe siècle qu’il y a eu une grande avancer sur ce que sont les Celtes pour la communauté scientifique contemporaine. Qui sont les Celtes ? D’où viennent-ils ? Quelles langues parlaient-ils ? Quelles traces ont-ils laissé dans le temps ? Il y a bien un point sur lequel les historiens, linguistes et archéologues se mettent d’accord, c’est que chacun voit dans les Celtes ce qu’il a envie de voir. Pourtant, nombreux sont les ouvrages contemporains au sujet de ces peuples. L’étude des Celtes est alors qualifiée de délicate, d’ardue, exigeant des efforts.  l’ethnie, la culture, la tradition, le folklore.

     

     

     

    Le but ici est de faire une comparaison entre deux cultures différentes la culture celte et la culture germanique. Pour les celtes leur culture commence dans la région de la Tène sur le continent. Ce qui est probablement un élément clé dans se qui rapproche les deux cultures entre elles c’est qu’elles commencent sur le continent avant de s’exporté en scandinavie pour l’une et dans les iles brittaniques pour l’autre.

    Les Celtes est leur culture on commencer durant le second âge du fer, est une culture archéologique qui se développe en Europe entre environ 450 et 25 av JC celle de la Tène elle est Considérée comme l'apogée de la culture celtique qui prend la place de la culture de Hallstatt ( 1200 à 500 av JC). De son côté la culture Germanique originaire de la mer noire. Pour ce qui est du reste nous pouvons constater que les deux peuples partages des éléments de leur histoire puis de leur culture en commun, par exemple le début de leur langue celtique et germanique qui commence à se distinguées l’une de l’autre entre -500 et –400. Nous pouvons constater qu’il y a dans les deux cultures les trois fonctions Indo-Européennes des prêtres, de guerriers et de paysans

    La culture celtique et la culture nordique ou plutôt germanique sont toute deux représentatives de la tripartition de Dumézil, tripartition que nous retrouvons aussi dans d’autre cultre comme la culture hellenique ou romaine. 

    Ces deux cultures ont énormément de choses en communs dans leurs Arts, (entrelacts, motifs dits « celtiques ») culte funéraire, mythes et poésie, avec par exemple le mythe de Beowulf et de Greendel qui est très proches de la légende de Fionn MacCumhaill à Samhain à Tara et sont combat contre Aillén MacMidgna ici les héros Beowulf et Fionn MacCumhaill ont le même rôle et Greendel et Aillén MacMidgna ont aussi la même fonction dans ses deux histoires très semblables entre elles.

    Les celtes ont eu de nombreux contactes avec les Celtes à des époques différentes, probablement que les premiers contactes ont eu lieux entre la Gaule et la Germanie, sur les bords du Rhin, ce fleuve devait très vraisemblablement être une grande route de commerce entre le nord et le sud de l’europe à cette époque. Et des contactes devaient avoir lieu assez réguliérement. Plus tard sur l’Îles de Bretagne, l’acctuelle Grande Bretagne, les Saxons, les Jutes et les Angles, qui deviendront les Anglo-Saxons eurent des contactes avec les Bretons qui émigrèrent en Armorique, qui deviendra alors la Bretagne. Ensuite il y eu des contactes entre les deux cultures de nouveau à l’époque chrétienne avec les Vikings dans les territoires d’Irlande, et d’Ecosse et dans leurs îles. Nous retrouvons des mots d’orrigine norroise dans les langues gaélique et bretonne aussi. De plus des éléments importants comme le chaudron celtique de Gundestrup à été retrouver au Danemark.

    La tripartition de la société celtique semble avoir continuer un moment même peut après la christianisation de l’Irlandes, qui est réstée plus longtemps issolée  Et chez les vikings en Islande le système de tripartition de la société sur sa version scandinave qui a perduré jusqu'à 1000 après JC, lorsque le christianisme est devenu la religion officielle. Mais quand on y réfléchis bien, la tripartition c’est retrouvé ensuite dans nos cultures et civilisations Européennes avec la clasification au moyen age de la noblesse, le clergé et le tiers-état.

    Pour finir qu’appelons nous Celtes ? De nos jours c’est bien de la culture, de la langue celtique, de la mythologie et des légendes, de la musique et même de la cuisine celtiques, mais la culture actuelle que nous avons en Irlande, en Ecosse ou en Bretagne, n’est déffinitivement pas la même que celle des anciens celtes, ceux de l’antiquité ou du moyen age. Les celtes comme ils existaient avant ne sont plus mais leur descendants eux sont toujous là, ils vivent la culture celte et la fond vivre, à la fois dans les pays celtes comme la Bretagne ou dans les pays d’immigration celtes avec une forte diaspora irlandaise, eccossaise ou bretonne comme les Etat Unis ou le Canada par exemple. Ce ne sont pas les humains qui disparaissent, mais les cultures qui évoluent.

    Il y a quand même une question qui resort de ça c’est : comment restituer l’identité culturelle des sociétés disparues, ou qui on évolués grandement à partir des traces matérielles et immatérielles qu’elles ont laissées derrière elles ? Une bonne façon de commencer à y répondre c’est certainement de chercher les traces de leur culture et aussi la tripartition Indo-Européennes qu’elles ont concervées.

     

     

    5.Depuis ses débuts, l'ADF s'est définie par rapport aux traditions païennes indo-européennes. Quelle pertinence pensez-vous qu’il y ait dans les traditions historiques reconstruites des Indo-Européens du passé ont dans le fait de construire ou reconstruire une spiritualité païenne pour le présent et l'avenir ?

    Réponse sur le travail :

     

    Les Indo-Européens et leur Héritage dans notre Druidisme :

    Les traditions païennes Indo-Européennes, soit les formes différentes prisent par la tradition primordiale des premiers Indo-Européens ce retrouve donc dans les différentes cultures, il y a quand même peut de traces dans nos traditions modernes reconstruite, en ce qui concerne le druidisme en France les Indo-européens ne sont hélas pas la priorité, la part belle est faite au gaulois et les liens communs entre les peuples ne sont pas ou peut étudier. Il y à certainement des groupes que je ne connais pas qui étudie cet aspect de notre héritage. Les Indo-Européens sont les ancêtres de nos cultures païennes pré-chrétiennes, il reste des traces pour nous  Européens et Américains exclusivement dans les traditions Greco-romaine, Celte et Germanique. Les traces de culte et d’héritage Indo-Européen qui sont restés les plus intactes ce retrouve néanmoins aujourd’hui dans les religions indo-européennes où la tradition n’a as été interrompue (le zoroastrisme, l’hindouïsme, et le bouddhisme). Dans l’hindouïsme, par exemple, certains rituels et éléments de rituels se sont transmis depuis plusieurs millénaires et ces rituels sont toujours en usage de nos jours.  Ils sont toujours utilisés aujourd’hui, avec la langue sacré en usage dans cette tradition le sanskrit, mais qui parfois est moins utilisé comme langue du quotidien. Tous les groupes religieux n’ont pas conservé l’usage de cette langue. Ils ont conservés le plus important de l’héritage Indo-Européen. Les traces pour nous qui sommes des prêtres des cultures Grecque, Celte, Romaine, Slave, Germanique et Scandinave nous avons peut être perdu plus d’éléments primordiale de nos cultes et cultures. Mais il n'y a aucune raison de croire que ce qui est potentiellement perdue ne peut pas être retrouvé ou recrée.  Et les éléments Indo-Européens sont toujours pertinent dans nos pratiques du Druidisme. Avec ADF nous recréons nos cultures primordiales avec comme base les coutumes et les traditions du paganisme reconstructioniste dans nos voies mais aussi nous intégrons des éléments de styles Indo-Européens pour crée un lien en commun et une religion commune. C’est ce qu’a fait ADF avant à ses début, c’est ce qui est fait aujourd’hui et c’est il me semble la route qu'ADF prendra dans le futur également. Le rôle le plus important du Clergé de ADF est bien sur dans une optique Indo-Européennes de maintenir la fonction magico-religieuse des Indo-Européens au sein de la communauté néo-païenne, et c'est ce que l'ADF a toujours fait et continuera de faire, car nous comprenons aussi que le druidisme c’est la communauté, la communauté c’est la mémoire et la mémoire c’est la transmission future génération.

     

    Notre Tradition du Druidisme Indo-Européen comporte :

    • Une croyance en la centralité rituelle du feu,
    • La relation « ghosti » entre les hôtes et les invités, (esprits, ancêtres, divinités, amis).
    • Les reliques, le feu sacré, le puits sacré, l’arbre sacré ou la montagne sacrée.
    • Une perspective unique du rôle du sacrifice dans la religion pour crée du lien entre les vivants, les morts, les esprits et les divinités.
    • Une vision tripartite fonctionnelle de la société.

     

    L’importance de la langue et de la culture dans la religion :

    Quand il vient au monde, l’enfant se développe avec ses parents. Avec son père et sa mère, ou alors avec des parents de même sexe (deux mamans ou deux papas) et l’entourage, la famille, les amis, les voisins, les institutions aussi comme l’école, les structures communes comme l’administration ou l’Eglise de la communauté, les rites religieux peuvent être importante ou les célébrations culturelles laïcs. 

    Comme la étudié le médecin, neuropsychiatre et psychanalyste Français Boris Cyrulnik. Ce qui construit l’enfant dans sa petite enfance c’est l’attachement à une figure sécurisante et en particulier la mère de l’enfant. C’est au contacte de sa mère que l’enfant apprend ce qui deviendra son univers, son monde ou celui de sa mère et en particulier la langue, c’est pour cela qu’on parle de « Langue maternelle ». Le contacte, le berceau affectif et ensuite le milieu social ou culturel durant les premières années de l’enfant est déterminant. La culture du druidisme dans le cadre familliale ou une autre religion comme le christianisme ou le judaïsme et en lien directe avec la langue, et la culture, en particulier la culture maternelle. Parce que c’est la langue qui amène l’enfant à aimer le dieu ou la culture de sa mère. C’est par amour de la figure d’attachement maternelle que l’enfant s’imprègne d’une culture et d’une religion ensuite, alors une religion polythéiste ou monothéiste peut importe. Par la parôle qui à quelque chose de magique, parce que par la parôle on peut rendre présent quelque chose de totalement invisible ou de difficilement perceptible, par la suite les rituels religieux serront importants pour matérialisé l’invisible ou plutôt la présence de dieu ou des dieux. Et tout commence par la parole, la parole rend présent toute la cosmologie religieuse d’une culture. La personne croyante, avec des mots éprouve en son cœur par ses émotions la présence de dieu ou des dieux.  Aucun enfant ne parle le jour de sa naissance, à par des héros de légende comme Merlin l’enchanteur ou Gargantua le géant. C'est-à-dire que quand un enfant vient au monde, il a un object sensoriel qui le sécurise et le rassure, qui l’aide à se développer et le fait sortir de lui-même. La religion est transmise par la mère chez les Juifs et aussi probablement chez les Celtes. C’est maman qui parle en premier à l’enfant des dieux qui le protègent, des héros qui se montrent braves et forts et d’une vieux sage qui nous guide dans la vie. On apprend donc a rencontré nos dieux ou notre dieu parce qu’on aime notre mère et sa culture. Tout est ensuite une histoire d’apprentissage et qui commence par la langue. Ce n’est pas pour rien que le druidisme est une tradition orale dans ce cadre là.

    Et tout dans la vie commence par la relation affective avec la mère, parce que c’est par elle que nous apprenons notre langue maternelle, c’est ensuite parce que nous aimons notre mère que nous aimons sa culture ou sa religion, ensuite nous aimons l’homme qu’elle aime et qu’elle désigne comme étant notre père, ensuite nous aimons l’endroit ou nous vivons et notre pays, nos nations et voila ça s’écurise les gens et sa structure les groupes. L’amour maternelle est la première et la plus importante des choses que doit ressevoir un enfant. C’est d’un banale de dire ça. Mais c’est indéniable, sans attachement et sans lien familliaux entre les gens, sans amour, sans amitié, il n’y a pas de religion, ni de culture possible.

     

    C’est je pense une des choses les plus importantes dans la trasmission de notre culture et du culte Indo-Européen de notre propre druidisme c’est aussi en cela que la langue est primordiale.

     

    Sources pour ce travail :

     «L’Indo-Européen » écrit par Jean Haudry.

    « La civilisation celtique »  écrit par Christian Guyonvarc'h.

    « Le Breton, langue des Mères, langue des Frères » par Marie-Thé Legendre.

    « Les Vikings,Vérités et légendes » écrit par Jean Renaud.

    « Vikings, des premiers raids à la création du duché de Normandie » par Jean Renaud.
    « Viking, les Dieux des Vikings » par Jean Renaud.

     « Les Vikings » par Régis Boyer.
    « Les Vikings la légende des barbares » trimestriel n°11 Décembre/Janvier/Février 2017 par les mystères de l'histoire.

    « L'Edda poétique » par Régis Boyer.
    « L'Enclos des Ases, spiritualité des Peuples Nordiques » par Aurélia Petri.

    « B.A-BA Tradition Nordique » par Arnaud d'Apremont.

    « B.A-BA Tradition Nordique volume 2 » par Anne-Laure d'Apremont.

    http://palimpsestes.fr/gauche/tripartition/tripartition.pdf

    https://excerpts.numilog.com/books/9782081240155.pdf

    http://piketty.pse.ens.fr/files/Dumezil1958.pdf

     

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