La Médecine Sacrée dans le druidisme :

Notre médecine occidental, remonte a la très haute Antiquité, mais elle n’est que le reflet parfois réducteur ou partiel de la classification que nos sociétés et notre époque moderne nous représente.

Les livres de phytothérapie et les cours des formations sur les plantes nous montre un aspect souvent unique de l’usage des plantes. Chez les anciens druides et les peuples celtes ou germains l’usage était bien plus complexe. Les plantes et leur usage étaient la base de la culture. En effet les anciens druides entretenaient un amour profond pour la nature, les arbres et les plantes. C’était l’essentiel de leur culture. La forêt et sont caractère sacré qui ne pouvait être compris que par des personnes avancer sur le plan spirituel, et dans une forme de mysticisme dans la tradition qui les amené a comprendre que tout sur terre est connecter, que toute forme de vie dépend les unes des autres. Le but de la médecine sacré chez les druides était de mettre les ingrédients en résonnance avec le grand tout. Le chemin du druide avec les plantes invite à entrer plus en profondeur dans les mystères de la nature et dans l’intimité des plantes. Le chemin sacré des ancêtres et leurs histoires avec les plantes.

1)Les périodes de la médecine druidique dans l’histoire :

La période de l’antiquité c’est déroulé sur trois périodes : la basse période qui commença à la fin de la préhistoire, 3000ans AV.J-C. Ensuite il y eu la moyenne période, et la haute antiquité avec l’apogée de l'empire Romain et de la culture Greco-romaine vers 500ans AV.J-C.

Les écrits et les traces achéologiques sur la médecine de la haute antiquité sont nombreuses, on retrouve des représentation et des classifications en botaniques et en pharmacie. Les draoidh-liaig (ou ovates) étaient les précurseurs des pharmaciens, c’était les apothicaires qui préparaient les filtres et les breuvages médicamenteux pour les malades et soigné les blessés. De nombreuses illustrations et des représentations on fait référence au personnage du druide, il y a aussi des traces sur des sites archéologique d’objets magico-spirituel en lien avec le cosmos et des instruments, des amulettes ou des statuettes votives.

2)La médecine rituel :

Dans le cas de la médecine et des rituels de guérison qui associait il semblerait des connaissances lier a l’önd (l’énergie) des plantes, des roches et d’éléments issu de connaissance anciennes qu’avaient les druides et que nous retrouvons chez les chamanes des peuples premier, ainsi nous pouvons nous représenté ce qu’était la médecine de la basse antiquité qui intégrait des conceptions religieuses, philosophiques, et pratique magico-spirituel lier a la misse en résonance cosmique des plantes et des ingrédients utilisés pour faire des remèdes, cette mise en résonance était en lien avec les connaissance et capacités qu’avait développer les druides de ces époques reculé des capacités et des pratiques fondées sur une connaissance intime que les anciens avaient de leur environnement assez semblables a ce que pratique les chamanes et les médecine men des peuples qui on conservé leur tradition ancestral.

Les pratiques pharmaceutiques de l’époque devait toutefois être réduite à ce que les druides pouvaient obtenir par le commerce avec d’autre peuple ou dans leur ressource local et régional.

Quand nous étudions les sources sur le sujet comme le De Medica de Marcellus Empiricus montre que les médecins des peuples celtes composaient des remèdes ou des plantes étaient utilisés ainsi que des substances animales et minérales. Il est fort probable que ces pratiques magico-spirituel s’accordaient aussi a la loi des signatures qui étaient connue également pas les cultures Greco-romaine.

Ensuite la période de la haute antiquité elle était organiser autour de pratique beaucoup moins La haute antiquité, s'appuyait sur des pratiques moins empiriques, des pratiques qui s'appuie que sur l'expérience, l'observation, non sur une théorie ou le raisonnement comme le fut par la suite la médecine de la basse Antiquité. Il y a eu un glissement a cette époque et la médecine est devenu plus théorique, une partie du savoir ancien des druides a été conservé dans les lignées de druides et surtout pas les femmes gardiennes du savoir et les guérisseurs dans les campagnes, plus tard au moyen âge il y a eu un net recule des connaissances en médecine et sa pratiques de la médecine allopathique, a été réservé aux hommes et encadré par l’église, qui ne s’appuyait plus que sur la théorie et le raisonnement et plus sur l’expérience et l’observation, ensuite a la renaissance il y a eu une autre évolution vers la médecine que nous connaissons de nos jours.

Selon Ausone un poète IV siècle av JC la médecine de son temps avait un objectif triple :

"Un triple but : conserver, prévenir, guérir".

Durant la basse antiquité cette médecine magique, sacré, était intimement lier au cosmos et a l’importance de l’astrologie. Les druides était des spécialistes dans la connaissance du mouvement des astres, l'étude du temps avec les cycles solaire, lunaire et des saisons les astres, mais aussi les cycles naturel de l'homme, de la nature, et fondamentalement, de tout mécanisme qui induisent le vivant et trouve sa source dans le cosmos.

3)La dynamique des heures de la journée:

La terre respire et vie, a petite échelle dans la journée puis a grande échelle sur les saisons.

Les cycles sont importants dans l’évolution du vivant, des animaux, des plantes et de la vie c’est très basique et très simple a la fois. Nous comprenons que tout sur terre est lier et pour les druides c’était la partie essentiel du leur culture. La forêt était leur lieu de vie et la ou se trouvait les plus grandes richesses « les plantes » la source de leur savoir et en observant les arbres il avait une représentation du cosmos. La forêt est toujours le poumon de la terre. Mais plus que ça la forêt est le centre des rêves et le refuge sacré de ma mythologie, la Brocéliande ou la Mirkrvidr le lieu sacré du petit peuple et de toute les magies.

Dans la forêt au niveaux des plantes on retrouve des phénomènes météorologiques qui serait liés à une double traversée de l'éther chimique matin / soir avec des maxima matinaux et vespéraux de pression atmosphérique. Tel que la rosée qui se forme, l'ouverture des stomates des feuilles des plantes le matin, et l'après-midi, leur fermeture dans l’après midi.

Autrefois les druides pratiquaient leurs cérémonies et leurs célébrations dans cette source de vie qu’était la nature et la forêt. Les plantes son toujours là, la terre aussi et elle est toujours porteuse de cette mémoire et il ne tient qu’à nous de retourner a la source de ces anciennes traditions. Avec de l’observation et de l’étude nous pouvons les adapter ces connaissances a notre époques modernes pour retrouver cette sagesse ancienne.

Ecrit par Eikthyrnir Odinson