• La vertu du courage pour le Kindred Midgard

    La vertu du courage pour le Kindred Midgard :

     

    La définition du dictionnaire :

    nom masculin

    1. Force morale ; fait d'agir malgré les difficultés, énergie dans l'action, dans une entreprise (s'oppose à la paresse, ou au laisser-aller).

    Je n'ai pas le courage de continuer.

    1. Fait de ne pas avoir peur ; force devant le danger ou la souffrance (s'oppose à la lâcheté,ou à la peur) bravoure. Exemple : « Combattre courageusement».
    2. Force de caractère, fermeté que l’on a devant le danger et la souffrance. Ardeur, zèle pour entreprendre quelque chose. Envie de faire quelque chose et de l’accomplir. Vaincre sa timidité, se décider à agir.

     

    La définition que je fait du courage :

    Pour moi premièrement le courage pourait ce définire comme étant la capacité d’agir de la façon la plus appropriée face au danger, et la façon d’être la plus équitable et juste face à toute formes d’adversités. L’un des animaux qui simbolise le plus le courage dans la mythologie nordique reste l’ours, il y a aussi d’autres éléments comme les combats du dieu Thor contre les géants et les événements de la vie.

     

    Une reflection personnelle sur le courage :

    • J’ai deux citations d’un livre sur le druidisme qui illustre parfaitement cette vertue. La pemière : « Construis ton courage dans les événements de tous les jours. Ils sont les plus rudes et les plus difficiles à vaincre. Combats tes mauvaises habitudes, tes mensonges, tes lâchetés sans reculer d’un pas. » et l’autre : « L’animal le plus agressif se met à trembler face à l’homme déterminé qui reste maître de lui-même. L’esprit vidé de toute émotion, avec confiance et détermination, il sait déplacer la peur. »
    • La divinité du Tonnerre, dans notre panthéon « Thor » illustre parfaitement cette vertue. Dans l’histoire de l’Ecosse aussi le personnage historique et romanesque de Willam Wallace pour moi illustre également parfaitement cette vertue du courage.
    • Dans la vrais vie sinon je prend exemple sur ma mère. Ou des gens qui doivent faire face avec courage à la maladie ou la mort et a des traitements difficile.
    • Pour moi une personne courageuse l’aura démontrée par ses qualitées d’adabtation au changement de situation et surtout le fait de voir les choses en face, la situation dangeureuse ou l’épreuve de façon juste en ressentant la peur. Pour moi en effet l’absence de peur n’est pas une définition du courage, oui comment être courageux si nous n’éprouvons pas la peur ? La peur fait partie de l’expérice et elle est un des révélateur du courage.

    L’importance de cette vertue sur le chemin Nordique:

    Le courage est déterminant sur le chemin des dieux d’asgard, et en particulier dans la voie païenne. Il est vrais que la notion de courage implique une prise de risque face au danger, et du moins un acte de foi lier a des notions comme le bien et le mal ou la justice et l’honneur. On dit aussi qu’on ne peut pas être courageux si nous n’avons pas peur. Se rendre compte aussi des risques encourus dans une situation en particulier et agire en concéquence. Le courage peut peut être abordé de plusieurs façons d’une part du point de vu de la moral, il devient une forme noble d’élévation et d’éthique. De point de vu de la tradition guerrière il est la réalisation du guerrier et des héros qui accomplit son destin.  Le courage peut être compris dans un cadre philosophique comme l’enseignait Socrate avec les notions primordiale de sagesse, de justice et de courage.

     

     Les Païens prennent les dieux et les héros en modèles et qu’ils font tout dans leur vie pour être a leur image, ce rapprocher d’eux et réduire la distance entre eux et nous. Nous idéalisons alors souvent cette notion d’être a leur image, et nous l’associons bien souvent au courage.

    Hors la vie est difficile et nous pouvons avoir beaucoup de difficultées et nous ne serrons jamais que ce que nous sommes, qui nous sommes.

    Quand on a un bon cœur, que nous soyons sensible, introvertie ou extravertie, que nous sommes juste une personne a la vie simple, dans un rapport de respecte avec les autres et que nous souhaitons être altruiste et bienveillant. Il est normmal et parfaitement naturel pour une personne d’avoir envie d’aider ses proches, ou ses amis.

    De vouloir faire quelque chose pour la planète ou pour les gens démunies.  On ne peut pas endosser le destin d’un héros ou d’un guerrier ou prétendre a quelque chose de plus grand que nous. Toutefois nous pouvons intériorisé toute ces idées en nous, les porter en nous même, que ça deviennent un idéale dans une volonté de réalisation de soi. L’important c’est de comprendre que nous c’est que malgrer les embuches ou les situations dangereuses notre volonté d’être juste et altruiste, notre désir d’être a l’image des dieux nous donne assez de force pour avancer.

    Ce dire a soit même je veux progresser, je peux évoluer, je peux devenir un homme ou une femme meilleur(e) c’est garder en son cœur le courage de nos héros. Chuter régulièrement dans la vie c’est normale, être confronté a des situations délicates et a des difficultés c’est normal c’est le chemin.

    Quand il y a des cailloux parfois on bute dessus. Le chemin peut devenir grand ou alors pentu ou bien sablonneux ou avec des sables mouvant qui nous entrainnent vers le fond. Il y a tout ces changements dans la vie l’important c’esr d’avoir en son cœur assez de courage pour continuer et assez d’humilité pour pouvoir s’adapter.

     

    Dans la vertus du courage nous retourvons la notion d’âme et de cœur. L’esprit et la force de vie, en surpassant les obstacles et en réagissant de façon juste face au danger,  nous réafirmons en quelque sorte notre volonté de vivre. Et nous sommes dans l’une des deux polaritées qui hante l’esprit et le cœur de l’homme. L’homme est toujours en prise avec deux pulsions celle de la mort, du mal, de l’obscurantisme et de la dépression et celle de la vie, du bien et de la clareté. En étant courageux nous affirmons notre désire de vivre. De rester droit dans la lumière. La notion d’équilibre et de balance qu’il y a dans le caractère cyclique de d’existance aidant et favorisant le devenir des êtres et des événements rencontrer. On a toujours une lecon a apprendre de ce que nous traversons. Un dernière notion en lien avec cette vertu c’est la volonté, par exemple être régulier dans nos engagements, ce qui implique d’avoir assez d’énergie pour ne pas céder a la paresse ou pour ne pas ce laisser submerger par quelque chose de soudain et difficile.  Dans un cas comme ça le courage est vertueux.

     

    Le Bardit du Courage :

    Qu’il est beau le temps simple de l’été quand les fleurs couvrent nos terres, le charme de l’abeille et les frelons fredonnent. La reine en son bouton dorée face au soleil. Comme il est beau le merle bleu de l’été qui chante de branche en branche, comme mon cœur se réjouit de l’écouter chanter.

    Merle bleu de nos collines, petit magicien qui chante pour nous faire oublier les temps anciens et les peines d’autrefois.

    Merle bleu petit oiseau, mon doux ami, comme ta musique berce mon cœur d’enfant. L’enfant perdu que j’étais autrefois et qui avec toi retrouve sa maison. Comme tu chante bien mon doux ami petit oiseau !

    Sur les bords de la mer, ou dans les bois, ton appel est si captivant. Quand poussent les fleurs et les feuillages. Petit oiseau, enchanteur sur la montagne ta chanson piège mon cœur.

    Comme il est beau ce chant qui me fait dire que la vie et belle et que j’aime se voyage.

    Que le lapin et le chevreil broutent dans le sanctuaire paisible de la clairière parfumée. Tienneront t’ils compagnies au Cerf blanc toute sa vie ? 

    La glace, la faim et le combat ne sont t’ils que des souvenirs ou des contes oubliés ?

    Mais qu’arrive t’il quand les vents de tempête s’étendent par delà les ombres de Uthgard ?

    Quand la fleur de froid fanne et que le jeune homme traverse les ages.

    Quand le petit vieillard titube dans les souvenirs de sa jeunesse…

    Quand la biche meurt de froid sur la colline grise...

    Ou est mon ami de plumage bleu et son chant mélodieux ?

    En été si paisible et si fidèle avec sa simple présence qui m’apporte la joie.

     

    Quand vient le temps du froid et des peurs, que les hommes de pierres s’élévent des glaces et des profondeurs obscures.

    Quand s’élévent les vents des tempêtes et que la terre tremble. Quand le héros fait face au danger.

    Quand l’orage roule et tonne, et que son char groude quand l’ennemi rode. L’élcaire déchire le ciel, quand des géants de pierre couvert de glace marchent sur notre terre. Que chacun de leurs pas apporte la faim, le froid et la maladie.

    Thor le puissant brandit son marteau, ses combats font trembler les cieux dans leur entièreté.

    Qu’il est fort ! Tombe les pluies et les vives ondées.

    Dans des bruits de verres brisés tombe la possière des glaces. Et les géants disparaissent laissant une gelée blanche derriére eux.

    Trent mille et un ils étaient et Thor seul armé de son marteau et de sa force de caractére.

    Qu’il est bon de prendre exemple sur lui.

    Thor le protecteur de toute vies !

    De la hantise de son souvenir je ne peut l’oublier. A-t-il lutter contre les géants lui aussi ?

    Merle mon ami pourquoi te tais tu dans ces frimas et ce silence terrible ?

    Quand reviennent les géants des glaces tu te tais… Avant les grand froid de l’hiver il se retire dans les enchantements de brocéliande comme j’aimerais être avec lui et l’accompagner pour son dernier voyage.

    Sans lui il me faudra vivre supporter avec bravoure les épreuves de  la vie quelles soient physiques ou morales et écouter les souvenirs des chants d’espoir de l’oiseau.

    Comme elle doit être douce la dernière heure du petit être qui porte dans son cœur l’été et la vie, la bas sur la source aux fées dans la robe de la mort fait de plumage bleu au cœur des bois. 

     

    Ecrit par Eikthyrnir Odinson pour les cours de Gothi

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