• Law and the Church

    The ADF Clergy Training Program : Le programme d’étude du Clergé de ADF.

     Clergy Training Program Course Outline – Baseline Training-

     

    Law and the Church :

    Les différentes parties du programme d’étude :

    1. L’histoire de la Laïcité en France
    2. La laïcité arrive en Bretagne
    3. Les Normes de sortie du programme d’étude de clergé 

                     

    Partie 1) L’histoire de la Laïcité en France :

    En France la situation du clergé et des prêtres est particulière par rapport à l’Amérique. La place des prêtres en Amérique je pense est plus importante qu’en France. Chaque communauté peut avoir un prêtre, nous en France c’est quelque peut différent, bon je ne juge pas. C’est ni mieux ni moins bien. C’est suite a la révolution Française que les choses ce sont missent en place comme ça. Et c’est bien, ça fait partie de l’histoire du pays et peut être de la vision du monde des Français aussi. La rébublique est garante de toutes choses, et elle préserve l’ordre publique. Pour ce faire il y a eu une séparation des pouvoirs « spirituel » et « pouvoir temporel ». Suite à la révolution Française il y a eu en plusieurs étapes une évolution des relations entre l'autorité spirituelle, représentée par la papauté en Occident et l’Eglise Catholique en France, et la politique qui était représenté autrefois par le Roi et la noblesse, et qui est représenté par nos hommes Politiques et le Président de nos jours.

    La loi du 9 décembre 1905 relative à la séparation des Églises et de l’État est l’aboutissement, sous la IIIe République, d’un long processus de laïcisation et de sécularisation, engagé depuis la Révolution française.

     

     

    Les dates importantes qui on conduit à la laïcité de la France :

    21 février 1795 : une première séparation des Églises et de l’État :

    Avec le début de la Révolution, l’Assemblée constituante décrète la nationalisation des biens du clergé et adopte la « Constitution civile du Clergé ». Le patrimoine imobilié de l’Eglise devient la propriété de l’Etat. Il s’en suivera une abrogation du Concordat conclu en 1516 entre le roi François 1er et la Papauté. En 1792 en France un mouvement fait sont apparition et a pour but de déchristianisé le pays. Avec en premier lieu la création du calendrier républicain. L’idée de république, influe même sur la date du point de départ de ce calendrier la  France ne prend plus comme point de départ la naissance du Christ, mais celle de la République, le 22 septembre 1792, année dite de « l’An I de la République ».

    Avec la fin de cette période d’après révolution et la mort de Robespierre et dans l’espoir de réconcilier les Français entre eux, il y à eu la ratification d’une nouvelle Convention le 21 février 1795 afin de permettre le rétablissement de la liberté des cultes, cela rend définitif la séparation des Églises et de l’État en validant le début de la séparation, il est fait mention dans cette Convention de 1795 : « La République Française ne salarie aucun culte. »
     

    Concordat de 1801 : le début de l’ère moderne :

    Il y a une période troublée dans la nouvelle société Française après la révolution et la paix civile et religieuse ne survient véritablement que sous le Consulat, avec la signature du Concordat, le 15 juillet 1801. Ce concordat ratifié par Napoléon Bonaparte qui était alors Premier consul de la République Française, et le Pape Pie VII, vise a rétablire l’ordre et la « concorde » dans la nouvelle république. Le Peuple Français ayant beaucoup souffet au moyen age c’était soulevé par les révoltes succesives et la grande révolution du mardi 14 Juillet 1789 avec la prise de la bastille (dit aussi « le jour de la bastille ») se libérant de la noblesse et des effets sur le petit peuple (faim, abut d’autorité, misère) avec le début de la séparation de 1795 qui avait pour but de limité également les effets négatif du clergé sur le petit peuple (abut d’autorité et ingérance dans la vie des gens, engendrant misère et frustration du peuple) cela eu aussi pour but d’éloigné les Français de la religion chrétienne. La finalité avec ce Concordat de 1801 signé entre Napoléon Bonaparrte et le Pape Pie VII était de réarmonisé les Français avec la religion sans que cela n’affecte leur vie et déclanche a nouveau des révoltes. En effet le Concordat de 1801 restaure le lien entre le Saint-Siège (la Papauté) et la France. A cette époque la Religion Catholique n’est pas la religion officielle de la Rébublique Française. Cet acte écrit entre Napoléon Bonaparte et Le Pape Pie VII constitue un des actes fondateur de l’Etat Napoléonien qui adviendra ensuite basé sur la neutralité et la pluralité des cultes. Le lien séculaire entre l’Eglise Chrétienne et la Monarchie ou le système Monarchique de l’ancien régime « La royauté Française » et alors rompue officiellement par le Concordat de 1801. Ce qui marque le début de l’ère moderne pour la France. Une époque caractérisée par le fait que le Saint-Siège est désormais amené à signer des traités avec des États non catholiques.

     

    1905 : la République devient laïque :                                        

    Suite au Concordat de 1801 le vote de la loi du 9 décembre 1905 sur la séparation des Églises et de l’État est l’acte décisif qui met fin au régime concordataire de Napoléon en vigueur depuis un siècle et quelques années.

    Si la politique de laïcisation est amorcée depuis les annés 1880, c’est bien la loi de 1905 qui forme le point crucial de l’évolution de la France vers la Laïcité que nous connaissons de nos jours. C’est le député républicain-socialiste Aristide Briand qui le 6 juillet, le député républicain-socialiste qui réussit à faire adopter la loi à la Chambre des députés par 328 voix contre 221.

    Ensuite la loi qui fut promulguée le 9 juillet 1905, est devenue un des plus grands textes de la IIIe République, et qui se résume par ses deux premiers acticles qui sont très explicites.

     

    Article 1er : « La République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes. » 

    Article 2 : « La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte. »

    A l’époque du Concordat de 1801, l’État reconnaissait quatre cultes « Catholique, réformé, luthérien, israélite » qui étaient organisés suivant le droit public. C’est L’Etat qui payait lui-même les ministres du culte, et l’Etat participait également à cette époque à leur désignation, ainsi qu’à la détermination des circonscriptions religieuses. Avec la loi du 9 juillet 1905, la France devient un Etat laïc : la République ne reconnaît plus aucun culte, et il n’est plus question que tel ou tel culte bénéficie de fonds publics, à l’exception bien sur à: 

     « des dépenses relatives à l’exercice de certains services d’aumôneries destinées à assurer le libre exercice des cultes dans les établissements publics ».

     

    La laïcité devient un principe à valeur constitutionnelle :

    Au moment de la promulgation de la loi de 1905, l’Église catholique refuse sa mise en œuvre, craignant notamment la création d’associations cultuelles diverses, échappant à sa hiérarchie. Un accord entre l’État français et l’Église catholique intervient cependant en 1923, et en 1945 la hiérarchie catholique accepte et reconnaît la laïcité.
    L’année suivante, le 27 octobre 1946, la laïcité devient un principe à valeur constitutionnelle dans la Constitution de la IVe République, qui qualifie la France de « République laïque » et précise que «l’organisation de l’enseignement public, gratuit et laïc à tous les degrés est un devoir de l’État».

    La Constitution de la Ve République du 4 octobre 1958 proclame à son tour : «La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances.»

     

    Partie 2) La laïcité arrive en Bretagne :

     

    La religion chez les Bretons :

     

    L’arrivée des Bretons :

    Quand les Bretons insulaires émigrèrent en Armorique à partir du IVe siècle, ils amenèrent avec eux leur ancienne religion celtique ainsi qu’un christianisme influencé par la culture celtique et bien différent de celui qui était pratiqué sur le continent, l’influence des cultes anciens à été conservée plus longtemps. Néanmoins les premiers évêques bretons apparaissent au concile d’Arles en 314. Et Pélage et son culte breton si importante pour l’histoire de la Grande Bretagne fit peur au  grand Augustin d’Hippone lui-même. Ce christianisme là fortement influencé par les histoires de la vie des saints, St Patrick, St Colomban, et bien sur les Sept st fondateurs de la Bretagne avec les grandes villes importante et les vieux pays associés Saint-Malo fondée par saint Malo (ou Maclou), Dol-de-Bretagne fondée par saint Samson Saint-Brieuc fondée par saint Brieuc Tréguier fondée par saint Tugdual Saint-Pol-de-Léon fondée par saint Pol Aurélien Quimper fondée par saint Corentin Vannes fondée par saint Paterne (ou Patern).

    Deux religions coexistants et ne formant qu’une spiritualité :

     

    Les légendes bretonnes et les coutumes du pays permettant le développement d’une spiritualité proprement bretonne, avec ses cultes des sources, des rivières, des arbres et ses cultes du feu solaire. La langue bretonne y étant pour beaucoup également.

    Les êtres du merveilleux et du légendaire breton peuplé de dragon, de Korrigans, de Sirènes, d’Elfes, de Géants et de valeureux chevaliers Arthuriens, ou ceux du roi Gradlon. Les histoires des anciens dieux perdurent dans les contes des veillées bretonnes. Sans parler du terrible l’Ankoù et de ses lavandières de nuit.

    Tout cela coexistaient avec le Christianisme, mais un christianisme typiquement celtique qui reprenait les cultes anciens aux profits des Saints et des Saintes. De Jésus et de Marie, sans parler du Diable noir qui rodait la nuit dans les collines prenant parfois la place de l’Ankoù.

     

    En Bretagne , deux religion semblent avoir coexisté, toutes deux, le christianisme « celtique » comme l’avait désigné l’abbé Louis Gougaud, christianisme qui est parfois appeler « brittonique » ou du bassin de la mer d’Irlande, et l’ancienne religion ou plutôt ce qu’il en restait dans les pratiques quotidiennes, les croyances populaires et dans les histoires des conteurs. Les pratiques bien différentes d’autrefois le nom de drouiz (druide) existait toujours dans la vieille langue celtique ou en ancien breton dorguid ou draguid. Mais les pratiques « druidiques » de l’époque n’étaient plus que le reflet de ce qu’elles étaient probablement autrefois. Il n’en restait que l’essentiel, les rituels quotidiens et les gestes ou les croyances populaire véhiculé par les légendes et les contes, partagés dans les veillées au coin du feu. C’est à cette époque aussi qu’on parlait de « An eskobien derv » (Les évêques du chêne) pour parler des personnes qui entretenaient la mémoire et l’ancienne tradition. C’était souvent aussi des guérisseurs et des voyants, des poètes et des gens restés proche de la terre, des sources et des forêts bretonnes.  

     

    Le christianisme romain ou continental, a également coexister avec le christianisme celtique de Grande Bretagne. Les Bretons qui émigrèrent en Armorique arrivèrent dans un territoire avec  des populations en déclins suite a la fin de l’empire romain et qui s’amalgamère aux Bretons venus de l’autre côté de la manche, ensuite la Bretagne dans la région nord ouest économiquement la plus riche de Bretagne, région riche à bonnes terres, région qui contrôlait le passage entre la Manche et l’Atlantique, entre donc l’Europe du Nord et l’Europe du Sud. Les Vannetais sont ceux qui on gader une plus grande influence de l’héritage romain, notamment sur l’art breton du morbihan et les églises.

     

     

    Malgré tout, on considèraient en France que les façons de croire et de pratiquer en Bretagne n’étaient guère « Catholiques ». Bien sûr l’adhésion de la symbolique chrétienne montrait bien que les Bretons étaient catholiques dans la forme, mais l’adhésion populaire restait plus démonstrative qu’intériorisée. L’amalgame d’éléments dits celtiques ou pré-celtiques (ou brittoniques, armoricains) et orthodoxes (romains) avait donné naissance à une foi hétéroclite qui convenait aux fidèles, mais guère aux autorités ecclésiastiques de la république Française qui suivaient les dogmes romains ou la foi était plus collective qu’individuelle. En Bretagne la vie paroissiale avec ses grands rassemblements populaires, dont les traces de paganisme étaient bien visibles, était trop flamboyante pour les nouveaux prêtres qui étaient envoyer d’autre région de France. Ils n’appréciaient guère, mais étaient contraints d’accepter, que les Bretons entretiennent d’étroites relations personnelles avec leurs saints à qui ils demandaient tout ou presque : la prospérité, la santé, la fécondité et même la vengeance. Ces saints qui avaient servie a remplacé les anciennes divinités des peuples qui s’étaient instalés en Bretagne.

    La Laïcité en Bretagne :

    En bretagne la situation à propos de la Laïcité fut la même que dans le reste de la France, mais avec une particularité en plus c’est la place de la langue Bretonne, mais aussi du Gallo.

    Après 1905. Et en particulier après la première guerre mondiale. Les hommes avaient quitté la Bretagne pour la première fois et ils partirent dans les tranchées. Ou certains d’entre eux apprirent le Français pour la première fois. Et peux d’entre nous parlaient bien Français à cette époque.

    La suite de cette guerre et la laïcité et sa misse en place, à fait que l’enseignement dans les écoles à été encouragé en Français et que le Breton n’a gardé sa place que dans les églises et quelques familles très attachés à la langue. La politique Français à fait beaucoup de mal aussi, les gens avaient peur et honte de parler le Breton, on se cachaient aussi pour chanter et danser.

    Mais la place du Breton est rester dans le cœur des gens et les rituels, les druides de Bretagne aussi ceux de la Gorsedd Breizh ont fait un grand effort pour concervé la langue. De nos jours le Breton est encore parler pas beaucoup d’entre nous.

    La laïcité en Bretagne à apportée avec elle la modernité, et l’ouverture sur le reste de la France, en effet les bretons sont parties en train et en voiture grâce à la construction de nouvelles routes et l’aménagement du territoire pour les voies de chemin de fer, la bretagne était avant la première guerre mondiale une terre un peu excentrée par rapport au reste de la France, avec un paradoxe c’est qu’avec la mer elle était ouverte sur les autres pays en partculié la Grande Bretagne, l’Irlande, le Canada ou l’Espagne avec les marins, la pêche et le commerce. Le pays c’est grandement enrichie grace à la loi Française de la Laïcité. L’école et l’instruction apporter par l’école en Français, à engendrée aussi une élévation et une amélioration de l’économie bretonnes et donc des situations familliales. Malgré le fait qu’il y eu un recule du Breton et des coutumes anciennes, ou du folklore dans un premier temps. Dans un second temps le patrimoine de bretagne à connue un essort en profitant des bienfaits apporter par ce nouvelle Etat Laïque. Par exemple avec les congés payés à la fin de la deuxième guerre mondiale. La Laïcité à permis aussi de concerver beaucoup de chose en bretagne mais aussi de développer la bretagne vis-à-vis du reste de la France. Parmis cela il y a eu la Francisation des noms de lieux, des villes ou des noms de familles… etc.Le Français à permis aussi aux gens de se comprendre entre eux, et des gens plus éloignés qui ne parlais pas le même Breton, car il y a beaucoup de dialecte en Breton, avec le Français on commencer à ce comprendre et des gens issus de groupe Breton dont l’intercompréhension était plus difficile avant on put ce rencontrer, pour travailler, pour nouer des amitiés et des couples, et des familles se sont formés. Suite ça cela, la création du peurunvan ou orthographe unifiée. En 1941, alors que la langue bretonne était jusque-là sévèrement réprimée dans les écoles, des intelectuelles Bretons eurent l’idée de la création d’une orthographe commune en s’inspirant de la posibilié d’avoir une intercompréhension comme avec la langue Française. Ce qui était difficile avant avec l'existence de plusieurs orthographes (Triste détaille c’était des gens du régime de Vichy qui eurent cette idée). Pour ce qui est du Drapeau Breton le Gwenn ha Du (blanc et noir). Il prend la place de la « Kroaz Du » le Drapeau de l’Ouest de la Bretagne des régions de langue Bretonne et de la Bannière d’hermine des ducs de Bretagne et des régions Gallaises (on les gens parlaient le Gallo, un vieux Français). Ce drapeau, le « Gwenn ha Du», est le symbole de la Bretagne. Il fut créé en 1925 par Morvan Marchal avec comme inspiration les deux anciens drapeaux, le blason de la ville de Rennes et le souvenir des Américains et leur Drapeau avec la bannière d’étoiles. Beaucoup de gens surtout après la deuxième Guerre mondiale venaient en Bretagne pour visité et être dépaysé par le pays et sa culture. La culture Bretonne et la Bretagne à vraiment connue une importante évolution du à la Laïcité et aux libertés et aux inovations qui ont put être mit en place grace à son caractère protecteur et libérateur. C’était le bon terreau pour permettre des évolutions, des créations et de pouvoir préservé une partie de notre héritage.

    Les Américains en Bretagne :

    Avec l’ouverture sur le monde et la laïcité durant la première guerre mondiale et ensuite la première une chose qui a beaucoup influencé la Bretagne fut l’arrivé des américains et l’idée de liberté et de démocation qui résonnaient avec la modernité que la France apportait à la région et dans la vie des bretons.

    L’un des événements important de cette époque dans le Finistère à été l’arrivée du président Américain Woodrow Wilson à Brest, le 13 décembre 1918, pour des négociation et des pourparlers de paix de Versailles. La Bretagne fut très enstousiasme et se mit en scène pour l’occasion, la façon dont elle dit a cette époque sa foi dans le peuple Américain et le président Wilson, un vibrant plaidoyer qui fut apprécié à Paris par nobre d’élus Bretons.

    Les « Cahiers de l’Iroise » (une société d'Études de Brest et du Bro-Leon) n’ont pas manqué à l’époque le rendez-vous fixé par la commémoration du centenaire de l’arrivée des premiers Américains en Bretagne les documents sont disponibles sur leur site internet, un numéro spécial intégralement est consacré aux Américains à Brest. C’est un dossier réalisé entier qui a été consacré sur le sujet.

    Tous les 4 juillet, les Américains célèbrent leur fête nationale. En Juillet 1918, pour montrer leur solidarité avec les Américains qui combattent désormais aux côtés des poilus, les Bretons fêtèrent également l’Independence Day en décorant les villes de drapeaux Américains ou en se rendant dans les camps d’instruction. Une spontanéité et un enthousiasme qui furent apprécier à l’époque et qui était représentatif de l’hospitalité Bretonne.

     

    Le parcours de Jean Jégou :

    La Première Guerre mondiale est un événement qui à bouleversé les sociétés Française et qui à généré de nombreux parcours individuels improbables pour l’époque. Ce fut le cas pour un jeune paysan des environs de Guingamp, pour lui en son temps monter à Paris et travailler dans un de ces luxueux grands magasins c’était la meilleur chose qui pouvait arriver, mais il allait vivre une aventure plus grande, partir de la Bretagne et traverser l’océan Atlantique vers l’Amérique pour être instructeur pour les soldats qui prennèrent part au conflut de la première guerre celle de 14-18.

     

    De nos jours en Amérique dans l’Etat de Virginie, sur la côte Est des Etats Unis, proche du district de Columbia, dans le Cimetière National d’Arlington parmis les sépultures des combattants des guerres Américaines ce trouve la tombe d’un poilu Breton, Jean Jégou.

    Jean Jégou à été instructeur pour les grenadiers au début de la guerre, ensuite en 1917, il est devenu instructeur au dépôt de Guingamp. Ensuit il à été détaché à l’Etat major de l’armée Française à Paris et ensuit il fut envoyé aux Etats Unis où il débarque à New York le 22 Août 1917. Dans le camp de Fort Sill dans l’Etat de l’Oklahoma, puis ensuite dans celui de Cody dans le Nouveau Mexique. Il s’occupe du mieux possible de son travail d’instructeur. La correspondance qu’il entretient avec son épouse restée vivre à Paris, nous laisse découvrir qu’il occupe une position importante pour l’armée Française en Amérique, il est presque un ambassadeur quand il participe à des dîners de représentation de la France avec la notabilité locale.

    A la fin de la guerre alors que Jean Jégou compte retourner à la vie civile, quand avec un des camarades, le lieutenant Herbert un Français et le Sergent Picard un Américano-Canadien. Il trouve accidentellement la mort, en effet sa voiture quitte la route et fait une chute d’environ 30 mètres dans un ravin le 26 Juillet 1918. Son épouse est informée trois jours plus tard de la mort de son mari. Le lieutenant Jégou est enterré ensuite avec huit autres soldats Français dans le Cimetière National d’Arlington. Encore de nos jours sa sépulture est fleurie chaque 11 Novembre par l’ambassadeur de France à Washington.

     

    Les bénéfices apportés par la laïcité:

    Dans le principe :

    La laïcité telle qu’elle est définie par la loi de 1905 repose sur deux principes essentiels : le régime de séparation, qui soumet les cultes à un régime de droit privé (il n’y a ni religion d’État, ni cultes reconnus et financés par l’État) et la reconnaissance de la liberté en matière religieuse et son corollaire, ce qui encourage la neutralité de l’État face à toutes les religions et à toutes les croyances personnelles de chaque citoyens Français.

     

    Dans les faits :

     

    Dans les faits donc l’Etat Français ne subventionne aucun culte, ni aucun service religieux.

    Les Eglise est groupe religieux doivent trouver une façon de s’autofinancer. Financer ses propres investissements pour les lieux de culte (Eglise, Chapelle, Temple, Synagogue, Mosquée), la communauté religieuse peut financée d’une manière ou d’une autre.

    La subvention publique est d’autant plus élevée que le croyant a les moyens de faire un don important, jusqu’à 20 % du revenu. S’agissant du financement des cultes (prêtres et édifices), il est important de prendre en compte le rôle central joué par les subventions fiscales. Si vous faites un don à l’Eglise de France ou à la Mosquée de Paris, vous obtenez une réduction d’impôt égale à 66 % de votre don. Autrement dit, un don de 100 euros ne vous coûte que 34 euros (si vous êtes imposable), et les 66 euros restants sont payés par la collectivité nationale, de même que pour les dons aux associations d’intérêt général (culture, humanitaire, santé, éducation, etc.).

    Concrètement, les subventions publiques liées aux réductions d'impôt sur le revenu pour les dons aux associations se montent au total à 1,5 milliard d'euros par an (dont environ 200 millions d'euros pour les associations cultuelles, essentiellement en faveur de l'Eglise Catholique, qui en plus possède davantage de riches donateurs).

     

    Un problème très Français qui peut avoir lieu dans l’Hexagone c’est les disputes religieuses, alors ce n’est pas nécésairement inutile de penser à une question bassement matérielle mais en réalité centrale : comment financer les religions, tout en assurant la neutralité de l’Etat Français et du service publique vis-à-vis des différentes croyances ?

    En France il est vrais que nous sommes très attacher à notre Laïcité et il est vrais également que contrairement à nous amis Américains chez nous un président prêterait pas serment sur la bible ! Mais il peut y avoir un petit problème alors avec le grand récit national qui s’accompagne parfois d’idée pas neutre du tout en matière de religion ou d’héritage culturel (plutôt Greco-Romain dans les faits et chrétien). Autre l’histoire il est vrais que le système en place en France n’est pas toujours très neutre ou exemplaire en ce qui concerne la religion, ou les cultures régionals, mais les gens fond de leur mieux, il y a des choses qui peuvent parfois nous froisse, ou nous choquer, mais le bien commun n’est jamais oublier et l’Etat fait de son mieux. Ainsi les lieux de culte ne sont officiellement pas subventionnés, sauf lorsqu’ils ont été bâtis avant la loi de 1905. En pratique ce n’est donc que les églises chrétiennes qui sont alors concernées. Hors les pratiques religieuses des Français on changés depuis la loi de 1905. Si les mosquées et les croyants musulmans se retrouvent hélas souvent dans des caves, et les Juifs ont parfois aussi du mal à crée de nouvelles synagogues. De même les païens Français ont du mal à obtenir des lieux de culte, en principe pour nous c’est la nature partout, mais des salles pour exercé un rituel avec du publique c’est très rare, et si ça arrive c’est souvent mal perçu ou les gens sont soupconneux et pensent à une dérive sectaire. Et il y à aussi les écoles, les collèges et les lycées confessionnels catholiques qui étaient déjà en place lors du vote de la loi Debré (1959) et qui continuent alors d’être massivement financés par le contribuable, dans des proportions que l’on ne retrouve quasiment dans aucun pays. Les établissements scolaires conservent depuis le droit de choisir librement leurs élèves, sans respecter forcément les règles de l’Etat Français comme la mixité sociale, (problème que nous retrouvons aussi souvent dans le monde du travail même pour le service publique). En fin de compte c’est problèmes au sujet de la scolarité contribuent puissamment à l’évitement scolaire et à la ghettoïsation d’une partie de la population Française.

    Une exception française

    La France est également le seul pays à avoir choisi de fermer ses écoles primaires un jour par semaine (le jeudi, de 1882 à 1972, puis ensuite le mercredi) pour le donner au catéchisme, des Eglises catholiques. Cette journée de repos devait être supprimée pour ensuite être réintégrée dans le temps scolaire normal, mais l’actuel Président a décidé de faire perdurer cette exception à base de semaines morcelées. Ce qui restera longtemps un exception Française.

     

     

    Mon point de vue à ce sujet :

    De mon côté, je pense que la Laïcité est importante, qu’elle peut être une bonne protection pour un culte, et en particulier le culte païen. Mais ça peut aussi être un frein par moment, du moins il faudra à un prêtre païen prouver sa bonne foi. Je prend pour exemple Kindred Midgard le groupe Français de Heathenisme-Asatru, avec lequel j’étudie pour devenir Gothi, l’Allsherjargothi du groupe, est en train de crée une association loi de 1901 pour pouvoir exercer notre culte en extérieur, dans des salles ou en publique, voir aussi juste avec zoom sur internet ce qui est bien déjà. Le but est ici de pouvoir alors soumettre le culte religieux païen à une activité régulière, en vue d'entretenir ou de développer sa pratique. Bien sur dans le respect des institutions Françaises. Je pense qu’il y aura toujours des difficultés parce que la base de la culture Française est influencer par l’Eglise Chrétienne et ça a vraiment marquer l’histoire de France, c’est normale. De ce faite les prêtres Monothéistes occupent la place officielle du culte de l’Etat qui les reconnait plus facilement et officiellement que les autres forme du culte qui entrerons plutôt dans l’espace des croyances privées. Donc si un prêtre de ADF est amener un jour à faire quelque chose en France, il serra nécéssaire de crée un statue avec une association loi de 1901 afin de montrer sa bonne foi concernant la spiritualité, sa religion et l’exactitude ou la légitimité de son culte.

    Quelques exceptions à la laïcité

    Sous domination allemande au moment de  l’adoption de la loi de 1905, l’Alsace et la Moselle vivent encore aujourd'hui sous le régime concordataire de 1801. Les prêtres, pasteurs et rabbins y sont rémunérés par l’État. Outre-mer, en Guyane, Polynésie française, Wallis et Futuna, Saint Pierre et Miquelon, Nouvelle Calédonie et Mayotte, s’appliquent les décrets Mandel de 1939, qui permettent à toutes les sensibilités religieuses, en raison de la non-application de la loi de 1905, de bénéficier d’une aide publique.

     

    Partie 3) Les Normes de sortie du programme d’étude de clergé :

    1 . Énumérez neuf (9) lois, ou autant que possible si moins de neuf, concernant le clergé que vous avez trouvé en recherchant les lois de votre municipalité la plus proche. Par commune, on entend sur le village ou niveau de la ville. S'il n'y en a pas, dites-nous comment vous l'avez découvert.

    Pour répondre à cette partie j’ai déjà expliqué plus haut, je suis allé voir sur le site internet de la commune de Guiclan et ensuite je suis allé voir à la mairie.

     

    • Voici neuf lois de l’Etat Français dans sa constitutions en rapport à la Laïcité :
    • Elle garantit le libre exercice des cultes sous les seules restrictions édictées ci-après dans l’intérêt de l’ordre public.
    • Elle prolonge ainsi l’article 10 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui consacre la liberté d’opinion, même religieuse.
    • La Convention européenne des droits de l’homme prévoit également dans son article 9 que la liberté de manifester sa religion ou ses convictions ne peut faire l’objet d’autres restrictions que celles qui, prévues par la loi, constituent des mesures nécessaires, dans une société démocratique, à la sécurité publique, à la protection de l’ordre, de la santé ou de la morale publiques, ou à la protection des droits et libertés d’autrui.
    • Sont ainsi garanties la liberté de conscience et la liberté de manifester son appartenance religieuse.
    • La liberté religieuse suppose la liberté pour chacun d’exprimer sa religion, celle de la pratiquer et celle de l’abandonner, dans le respect de l’ordre public.
    • Ceci implique notamment pour l’État et les services publics la neutralité face à toutes les religions et à toutes les croyances.
    • L’État, se doit de rendre possible l’exercice et la pratique du culte.
    • Le libre exercice du culte peut avoir des conséquences dans la vie sociale et nécessiter des adaptations du droit commun.
    • L’Etat peut parfois adopter des réglementations spécifiques afin de garantir la liberté religieuse et, dans certains cas, proscrire les prescriptions religieuses.

     

     

    Notres sur ce travail :

    Ceci est un extrait du site internet de l’Etat Français a propos des neuf lois, je suis allé à la Mairie de Guiclan voir le maire Adjoint Monsieur Croguennec, c’est une de ses collègue qui m’a reçu et j’ai epliquer mes recherches. La commune comme je m’en doutais n’à pas de loi à propos de l’Eglise, parce que c’est la Laïcité de l’Etat qui s’applique partout sur tout le territoire Français. L’Eglise de Guiclan, les frais sont en partie payer par l’Etat Français à environs 15% en rapport avec le patrimoine historique que représente le monument « An Iliz Sant Pêr Gwiglann » (L’Eglise Saint Pierre de Guiclan) qui date de 1615, le clochet lui est très représentatif de l’architecture religieuse au 17e siècle du Bro-Leon et du Bro-Pagan et daterais environ de 1660. Les trois cloches du clochet dates toute les trois de 1767. C’est sur l’édifice religieux en dur et les cloches que porte le financement de l’état, le reste est à la charge de l’Eglise Catholique et du diocèse de Léon « Dioecesis Leonensis » (en Latin).

     

    • Voici neuf lois de l’Eglise Catholique Française concernant le Clergé :

    Je suis aller voir sur le site internet de l’Eglise Catholique en France, pour voir à quoi pourai ressembler des lois pour l’Eglise en France si c’était comme en Amérique. Ici il s’agit des lois du droit Canonique  « Jus canonicum » (en latin).

     

    Rapporter par Fernand Ménigoz

    1. 7 - La loi est établie lorsqu'elle est promulguée.
    2. 8 - § 1. Les lois universelles de l’Église sont promulguées par leur publication dans l'Actorum Apostolicae Sedis commentarium officiale, à moins que dans des cas particuliers un autre mode de promulgation n'ait été prescrit ; elles n’entrent en vigueur que trois mois après la date que porte le numéro des Acta, à moins qu'en raison de la nature des choses, elles n'obligent immédiatement, ou que la loi elle-même n'ait expressément fixé un délai plus bref ou plus long.
      § 2. Les lois particulières sont promulguées selon le mode déterminé par le législateur et commencent à obliger un mois à compter du jour de leur promulgation, à moins que la loi elle-même ne fixe un autre délai.
    3. 9 - Les lois concernent l'avenir, non le passé, à moins qu'elles ne disposent nommément pour le passé.
    4. 10 - Seules doivent être considérées comme irritantes ou in habilitantes les lois qui spécifient expressément qu'un acte est nul ou une personne inhabile.
    5. 11 - Sont tenus par les lois purement ecclésiastiques les baptisés dans l'Église catholique ou ceux qui y ont été reçus, qui jouissent de l'usage de la raison et qui, à moins d'une autre disposition expresse du droit, ont atteint l'âge de sept ans accomplis.
    6. 12 - § 1. Sont tenus par les lois universelles tous ceux pour qui elles ont été portées.
      § 2. Ne sont cependant pas soumis aux lois universelles tous ceux qui se trouvent de fait sur un territoire où elles ne sont pas en vigueur.
      § 3. Aux lois établies pour un territoire particulier sont soumis ceux pour qui elles ont été portées, qui y ont domicile ou quasi-domicile et, en même temps, y demeurent effectivement, restant sauves les dispositions du can. 13.
    7. 13 - § 1. Les lois particulières ne sont pas présumées personnelles mais territoriales, sauf s'il s'avère qu'il en va autrement.
      § 2. Ceux qui sont en dehors de leur territoire ne sont pas tenus :
      1 Par les lois particulières de leur territoire aussi longtemps qu'ils en sont absents, à moins que la transgression de ces lois ne nuise dans leur propre territoire ou qu'il ne s'agisse de lois personnelles.
      2 Ni par les lois du territoire où ils se trouvent, sauf par celles qui intéressent l'ordre public, fixent les formalités des actes ou concernent les choses immobilières sises sur ce territoire.
      § 3. Ceux qui n'ont ni domicile ni quasi-domicile sont obligés par les lois tant universelles que particulières en vigueur dans le lieu où ils se trouvent.
    8. 14 - En cas de doute de droit, les lois même irritantes ou in habilitantes n'obligent pas; en cas de doute de fait, les Ordinaires peuvent en dispenser pourvu que, s'il s'agit d'une dispense réservée, l'autorité à qui est-elle réservée ait coutume de concéder cette dispense.
    9. 15 - § 1. L'ignorance ou l'erreur portant sur les lois irritantes ou in habilitantes n'empêche pas leur effet, à moins d'une autre disposition expresse.
      § 2. L'ignorance ou l'erreur portant sur la loi, sur la peine, sur son propre fait ou sur le fait notoire d'autrui, ne sont pas présumées ; elles sont présumées, jusqu'à preuve du contraire, quand elles portent sur le fait d'autrui qui n'est pas notoire.
    10. 16 - § 1. Le législateur interprète authentiquement les lois, ainsi que celui auquel il a confié le pouvoir de les interpréter authentiquement.
      § 2. L'interprétation authentique donnée sous forme de loi a la même force que la loi elle-même et doit être promulguée ; si elle ne fait que déclarer le sens des termes de la loi en eux-mêmes certains, elle a effet rétroactif ; si elle restreint ou étend la portée de la loi, ou si elle explicite une loi douteuse, elle n'a pas d'effet rétroactif.
      § 3. Cependant l'interprétation par voie de sentence judiciaire ou par un acte
      administratif dans une affaire particulière n'a pas force de loi ; elle ne lie que les personnes et ne concerne que les questions pour lesquelles l'interprétation est donnée.
    11. 17 - Les lois ecclésiastiques doivent être comprises selon le sens propre des mots dans le texte et le contexte ; si le sens demeure douteux et obscur, il faut recourir aux lieux parallèles s'il y en a, à la fin et aux circonstances de la loi, et à l'esprit du législateur.
    12. 18 - Les lois qui établissent une peine ou qui restreignent le libre exercice des droits ou qui comportent une exception à la loi sont d'interprétation stricte.
    13. 19 - Si, dans un cas déterminé, il n'y a pas de disposition expresse de la loi universelle ou particulière, ni de coutume, la cause, à moins d'être pénale, doit être tranchée en tenant compte des lois portées pour des cas semblables, des principes généraux du droit appliqués avec équité canonique, de la jurisprudence et de la pratique de la Curie Romaine, enfin de l'opinion commune et constante des docteurs.
    14. 20 - Une loi nouvelle abroge la précédente ou y déroge, si elle le déclare expressément, si elle lui est directement contraire ou si elle réorganise entièrement la matière ; mais une loi universelle ne déroge en aucune manière au droit particulier ou spécial, sauf autre disposition expresse du droit.
    15. 21 - En cas de doute, la révocation d'une loi en vigueur n’est pas présumée, mais les lois nouvelles doivent être rapprochées des lois antérieures et, autant que possible, conciliées avec elles.
    16. 22 - Les lois civiles auxquelles renvoie le droit de l'Église doivent être observées en droit canonique avec les mêmes effets, dans la mesure où elles ne sont pas contraires au droit divin et sauf disposition autre du droit canonique.

     

    Notes sur l’observation de ces lois :

    Pour l’Eglise Catholique des lois sont nécessaires pour que les gens puissent vivre et travailler ensemble. L’Église a son propre système de droit, appelé « droit canonique » qui forme ici l'ensemble des lois et des règlements adoptés ou acceptés par les autorités catholiques pour le gouvernement de l'Église et de ses fidèles. Le droit canonique n'a pas de portée sur les accords conclus par l'Église, ni sur les questions de dogme à proprement parler. A propos de la liturgie, le code ne donne que des orientations dans la partie liée à la charge ecclésiale de sanctifier ; les normes liturgiques se trouvent dans la présentation des divers rituels.
    Ces normes ont force de loi et doivent être respectées car, pour certaines d'entre elles, il y va de la validité du sacrement.

    Ensuite  les rituels ne concernent pas tout les sacrements, et il convient, là aussi, de respecter les normes, en particulier pour les funérailles.

     En ce qui concerne la messe, les normes se trouvent dans la PGMR (Présentation Générale du Missel Romain). La dernière PGMR a été publiée par Jean-Paul II en 2002, et traduite en français par le CNPL (le Centre National de Pastorale Liturgique).

    La règle, le modèle. Le terme a rapidement pris une connotation ecclésiastique en désignant au IVe siècle les ordonnances des conciles, par opposition au mot νόμος / nómos (la coutume, la loi) utilisé surtout pour les lois des autorités civiles.
    Du fait de cet usage, le terme canoniste renvoie ordinairement à un expert de ce droit interne de l'Église, tandis qu'un juriste peut être expert de droit religieux ou ecclésiastique s'il connaît le droit de son pays touchant aux diverses religions.

     

     

    1. 2.S'il existe un ensemble de lois entre les lois municipales et les lois étatiques/provinciales où vous vivez, énumérez neuf (9) lois, ou autant que possible si moins de neuf, concernant le clergé, que vous avez probablement réussi à trouver sur le terrain.

    Notres sur ce travail :

    Il n’y a pas de lois spéciale pour la municipalité, ni pour la province de Bretagne ou le département du Finistère et encore moins pour le Pays Léonard ou le Pays des Monts d’Arrée. La Laïcité s’applique partout sur tout le territoire Français. Avec les deux premières lois concernant la Laïcité qui sont les suivantes :

    • La République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes.
    • La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte.

     

     

     

    • 3.Maintenant vous devez parler de neuf (9) lois concernant le clergé que vous avez trouvées en recherchant votre état/province

     

    Notres sur ce travail :

    Il n’y à aucunes lois concernant le clergé dans la région de Bretagne ce sont les lois de la République qui s’appliquent spécifiquement au Clergé, justement parce qu’elles sont Laïques et que donc elles s’appliquent à chaque citoyens Français, sans accorder d’importance à leur condition de prêtre ou autre. Les lois suivantes sont intéressantes :

    • Elle garantit le libre exercice des cultes sous les seules restrictions édictées ci-après dans l’intérêt de l’ordre public.
    • La Convention européenne des droits de l’homme prévoit également dans son article 9 que la liberté de manifester sa religion ou ses convictions ne peut faire l’objet d’autres restrictions que celles qui, prévues par la loi, constituent des mesures nécessaires, dans une société démocratique, à la sécurité publique, à la protection de l’ordre, de la santé ou de la morale publiques, ou à la protection des droits et libertés d’autrui.
    • Sont ainsi garanties la liberté de conscience et la liberté de manifester son appartenance religieuse.
    • La liberté religieuse suppose la liberté pour chacun d’exprimer sa religion, celle de la pratiquer et celle de l’abandonner, dans le respect de l’ordre public.

     

    4.Énumérez ici neuf (9) lois concernant le clergé que vous avez trouvées en recherchant vos lois nationales.

    Notes sur ce travail :

    Il n’y à aucunes lois concernant le clergé dans la Nations Française ce sont les lois de la République qui s’appliquent spécifiquement au Clergé, justement parce qu’elles sont Laïques et que donc elles s’appliquent à chaque citoyens Français, sans accordé d’importance à leur condition de prêtre ou autre. Les lois suivantes sont intéressantes :

    • L’État, se doit de rendre possible l’exercice et la pratique du culte.
    • Le libre exercice du culte peut avoir des conséquences dans la vie sociale et nécessiter des adaptations du droit commun.
    • L’Etat peut parfois adopter des réglementations spécifiques afin de garantir la liberté religieuse et, dans certains cas, proscrire les prescriptions religieuses.
    1. Comment les lois de votre nation, état ou région répondent-elles au paganisme et au clergé néo-païen ? Existe-t-il des lois qui interdisent certaines fonctions que notre clergé remplit habituellement (telles que la divination, consultation, ou conduite de mariages ou de funérailles) ? Votre pays, implicitement ou explicitement déclarent que les néo-païens ne peuvent pas avoir de clergé, ou qu'ils ne peuvent pas exercer certaines fonctions ou reçoivent des droits similaires à ceux des autres religions ?

    Notes sur ce travail :

    En France il n’existe pas de lois spécifique pour un clergé néo-païen. Les religions Païennes sont même plutôt ignorées ou méconnues. L’Etat Français reconnait plus volontiers l’Eglise Catholique et par extentions les Monothéismes, par inclination au faite que la France finance en partie certain lieu de culte en raison de leur appartenance au patrimoine histoirique de la France. En conséquence il est nécéssaire de crée une association loi de 1901 pour avoir un statue et commencer à avoir un statue juridique pour le travail avec des cultes ou des rituels communautaires comme les rituels funéraires ou les mariages.

    A propos de la divination elle était interdite autrefois. Prédire l’avenir est complètement autorisé en France. C’est une pratique libre d’exercice. Anciennement la voyance était sanctionnée par l’article R34-7 de l’ancien code pénal de la France.  L’article dissait à l’époque que « seront punis d’une amende de 600 F à 1300 F les gens qui font métier de deviner et pronostiquer, ou d’expliquer les songes ».

    Cet article permettait de sanctionner les personnes faisant des « arts divinatoires » leur métier tout en autorisant un usage personnel du paranormal et en facilitant l’administration de la preuve. Ensuite l’Europe a assimilé la voyance à la sorcellerie et a donc interdit la pratique. Ainsi, c’est en 1994 que la France dépénalise « l’art de prédire l’avenir ». De nos jours il est donc possible de faire de la divination dans un rituel druidique sans être victime de poursuite judiciaire.  

    Toutefois nous devons rester étique dans notre pratique des présages et de la divination, un membre de clergé qui exerce l’art de prédire l’avenir devrait être possible à condition de rester intègre et digne dans la pratique surtout face à un public.

     Il ne faudra pas oublier que même si l’article R.34-7 a été supprimé du code pénal, il est toujours possible de sanctionner les escrocs. En effet, les abus importants restent punis grâce au délit d’escroquerie.

    Dans le code pénale de la France l’arcticle 313-1, explique que : « L’escroquerie est le fait (…) de tromper une personne physique ou morale et de la déterminer ainsi, à son préjudice ou au préjudice d’un tiers, à remettre des fonds, des valeurs ou un bien quelconque, à fournir un service ou à consentir un acte opérant obligation ou décharge. »

    En France, l’escroquerie est punie de cinq ans d’emprisonnement et de 375 000 euros d’amende.

     

    • 6.En regardant ces lois énumérées dans les questions 1 à 4 et comment elles vous affectent, y a-t-il des des lois qui semblent déplacées, mauvaises ou injustes ? Quelle est la possibilité de modifier ces lois, et Pensez-vous qu'il soit nécessaire de modifier ces lois particulières ?

     

     

    Notes sur ce travail :

    Les lois que j’ai cité dans les parties 1 à 4 sont importantes, je trouve qu’elles sont faite pour protéger les citoyens et j’ai n’ais rien à en redire. Là où il y aurait un problème qui engendrerais des désagréments et des difficultés, c’est dans l’esprit des gens. C'est-à-dire dans l’esprits des Français, il ne peut y avoir des prêtres païens. Ce n’est pas les lois ou la laïcité qui en sont là cause, mais peut être plutôt l’éducation, ou l’influence sur la pensé centraliste de Paris sur le reste de la France. En Bretagne qu’il y ait des druides ce n’est pas un problème mais parler de druide ou de prêtres païens d’ailleurs, déjà le poinds de l’Eglise Catholique fait que je pense aussi qu’il serrait difficile de parler de chose importante comme la prêtrise des femmes. C’est déjà un problème dans le druidisme, dans les groupes parfois, alors aux yeux des Français comme la référence c’est le Christianisme, dans l’esprits des gens. Mais c’est quelque chose que nous pouvons changer au fur et à mesure. En faisant œuvre de pédagogie d’écoute et de dialogue. J’en avais parler avec mon Allsherjargothi sur le groupe où j’étudie le Heathenisme/Asatru déjà aussi. C’est à nous de prouver notre bonne foi et nos bonnes intentions ainsi que la justesse de ce que nous avons à proposé aux gens en matière de religion et de spiritualité. Montre que ce n’est pas une dérive sectaire surtout pour rassuré les gens. Les Français ont très peurs des sectes et des dérives en matière de religion, c’est quelque chose qui peut être un frein vis-à-vis de tout ce qui tourne autour de l’administration ou des lois. En plus c’est très Français aussi de mettre les croyances dans des cases, il y aura le christianisme, l’islame et le judaïsme d’un côté rangés ensemble avec les sujets sérieurx et les affaires rationnelles et des sujets adultes et de l’autre côté le paganisme, le druidisme ou le numinisme rangés quand à eux à côté de la fantaisie, de la magie, des contes de fées et des légens, voir même des films féeriques et des dessins annimés comme ceux de Disney, donc plutôt des choses infantiles. Cela peut être un frein  et très difficile de faire reconnaitre nos traditions païennes sans être ridiculisés ou rabaissés. Il est alors important et primordiale de montrer que nos intentions ne sont pas mauvaise et rassuré les gens. Je ne vois pas d’autre manière de faire. Par contre en bretagne par rapport au reste du territoire comme les druides ont toujours plus ou moins été présent c’est plus facile. J’avais fait une conférence sur le druidisme à mon village un an avant de rejoindre ADF. Et les gens sont assez intéressés par tout cela ici, ça fait partie des meubles avec le binioù, la bonbarde, la coiffe bigoudenn, les korrigans, les menhirs ou les dolmens.

     

    7 .Comment voyez-vous ces lois affecter la façon dont vous servez votre Grove, ADF ou la communauté en tant que ensemble?

     

    Notes sur le travail :

    Le travail que je fait envers la communauté de ADF, c’est surtout des partages de prières ou les rituels sur le weekly ritual de Zoom. Avec la Virtual Fire(flame) Protogrove aussi, je ferais des rituels. Ce culte reste en privé donc la loi de la laïcité est une garante de sa pratique, je dirais. C’est plutôt quelque chose qui favorise la pratique de ce culte dans ce sens là.

     

    8.Quelle est la différence entre le conseil pastoral et les autres types de conseil, et est-ce que la loi fait-elle la différence entre ces deux types de conseil? De quel type de licence avez-vous besoin dans votre état afin d'effectuer des conseils de tout type? La divination tombe-t-elle dans ce genre de conseil ?

     

    Notes sur le travail :

    En France le conseil de type pastorale n’aura pas de loi prévue pour l’encadré, à par les lois prévus par les groupes religieux. La morale et l’éthique semble primordiale. Vivre et pratiquer un culte avec pour connaissance l’ensemble de règles de conduite qui permette de donner des conseil dans le cadre de la religion et de la laïcité, on peut prendre exemple sur l’organisation faite par les Prêtres Catholiques, qui réunit pour leur conseil le clergé paroissial et les représentants des laïcs, il est présidé par le curé, examine les besoins à propos de leur Eglise sur le territoire de la paroisse, et ensuiste ils décident des moyens a mettre en place afin d’y répondre. Pour l’ensemble de la paroisse, un seul conseil pastoral se rassemble autour de notre curé.

    Les Prêtres Catholique ont une loi Canonique prévue pour l’usage du conseil pastoral, mais rien n’est prévu dans les lois de la Laïcité de la France. Je mets en exemple la loi canonique pour illustré ce que ça peut être en France dans une Eglise.

    Le conseil pastoral de paroisse trouve sa définition a la loi canonique n° 536 du Code de droit canonique de 1983 :

    Can.536 § 1. Si l’Évêque diocésain le juge opportun après avoir entendu le conseil presbytéral, un conseil pastoral sera constitué dans chaque paroisse, présidé par le curé et dans lequel, en union avec ceux qui participent en raison de leur office à la charge pastorale de la paroisse, les fidèles apporteront leur concours pour favoriser l’activité pastorale.
    § 2. Le conseil pastoral ne possède que voix consultative et il est régi par les règles que l’Évêque diocésain aura établies.

     

    Il n’y a rien sur la divination puisque les catholiques n’en fond pas et ça fait plutôt partie des savoirs vernaculaires du peuple et donc c’est une sience profane pour les Chrétiens. Je pense que dans la partie 5 j’y ai répondu déjà depuis 1994 la divination ou « « l’art de prédire l’avenir » est légale et n’est plus punis par la loi, toutefois il faut faire attention, rester intégre et honnête afin et ne pas tomber dans la caricature, ou avoir des attitudes qui pourraient être mal comprises, les gens ignorant pourait nous prendre pour des escrots. Et dans la divination et la voyance il y a souvent des escrots c’est possible, le travail du prêtre ici serra surtout de rassuré les gens et de faire une séance de tirage runique ou de tarot ou avec une autre méthode aussi juste et honnête que possible. Mais à par une loi qui est prévue pour sanctionner il n’y a rien d’autre de prévu pour encadrer cette pratique.

     

    9.Décrivez les lois sur la déclaration obligatoire dans votre région et comment elles vous affectent en tant que membre du clergé. Expliquez le processus que vous suivrez pour déposer un rapport si cela s'avérait nécessaire.

     

    Notes sur le travail :

    Il n’y à donc pas de loi dans ma région, ni en France qui nous oblige à nous déclarer en tant que prêtre, une façon de le faire serai probablement de crée une association loi de 1901 ou alors de s’inscrire dans une association ou un groupe extérieur à la France comme la structure de ADF et encore pour être prêtre et avoir un service religieux, je pense que la meilleur chose à faire serrait de crée une association loi de 1901. Pour ainsi avoir une forme de reconnaissance de la France à fournir à notre communauté si une déclaation est une chose obligatoire ou souhaitable pour ADF bien sur.

    Mais en ce qui concerne les lois de la Laïcité c’est deux là sont intéressente et elles entrent dans ce cas je pense, mais ce sont des lois pour chaque citoyen Français pas uniquement les prêtres.

    • La liberté religieuse suppose la liberté pour chacun d’exprimer sa religion, celle de la pratiquer et celle de l’abandonner, dans le respect de l’ordre public.
    • Ceci implique notamment pour l’État et les services publics la neutralité face à toutes les religions et à toutes les croyances

     

     

     

    10 . Quelles sont les règles concernant le culte à l'extérieur pour toute base militaire locale, et que se passe-t-il si un soldat sur cette base veut avoir accès à un prêtre qui n'est pas dans l'armée ou qui n'est pas militaire aumônier? S'il n'y a pas de bases militaires locales, quelles sont les règles générales ?

     

    Notes sur le travail :

    Dans l’amrée Française si un soldat à besoin d’un prêtre il aura affaire un un militaire aumônier le plus souvent et ce sera un prêtre catholique le plus souvent. Les deux autres cultes monothéis les plus présent pouront être présent aussi, donc un imame ou un rabin. Plus rarement un prêtre bouddhiste. Il n’y à pas de loi vraiment qui contrait l’Etat Français a fournire par exemple un prêtre en relation avec la croyance ou la pratique religieuse du soldat en question. Hélas non. Dans le meilleur des cas le soldat imaginon que se soit un soldat païen qui pratique un paganisme greco-romain ou celtique, dans le meilleur des cas si ses croyances personnelle ne lui on pas coûté sa carrière, (problème avec le regarde des autres et les jugements rapides)  dans le meilleur des cas il poura avoir affaire à un prêtre catholique venu de bretagne qui aura des sensibilités avec la tradition païenne, en rapport avec le christianisme celtique de bretagne, ça c’est dans le meilleur des cas, mais il serra aussi possible pour le soldat d’avoir un prêtre bouddhiste pour parler. Bien sur une personne sage pour parler serra toujours là bienvenue, mais des prêtres païenne qui visite l’armée Français ou même des gens en prison c’est je pense pas encore possible en France, le poids de la pensée et de l’héritage sont encore trop lourds C’est un paradoxe Français, la Laïcité dans sa forme explique que les croyance et religion de chaque citoyen doit être protégé et encourager dans la messure ou elle ne trouble pas l’ordre public, et dans les faits les choses sont différente, les gens jugent souvent et rabaisse les croyances païennes et il y a aussi souvent des problèmes entre les communautés religieuses, sans parler du milieux druidique Français, un vrais panier de crabes. Le fond du problème je pense, c’est que je constate que la loi à évoluer pour protéger les citoyens de France mais les Français intelectualisent trop les lois et les pratiques religieuses, les esprits et les cœur n’ont pas suivie, mais c’est pareil avec la technologie par exemple, nous avons évoluer et progresser, mais l’amour, l’émotion, la comprehension de l’autre et la vision du monde … tout ça semble à la traine dans mon pays, c’est un triste constat, moi qui adore la France. Je pense que c’est a nous de faire œuvre de pédagogie et de montrer notre bonne foi et le sérieux de notre démarche, peut être qu’avec le temps les choses changeront. Je ne sais pas, il faut rester obtimiste. Je suppose que nous pouvons peut être l’être dans le cas d’un prêtre qui n’est pas dans l’armée ou qui n’est pas militaire aumônier

    Les parties de la loi sur la Laïcité de la France qui sembleraient correspondres à la situation d’un soldat de l’armée qui souhaiterais parler avec un prêtre de l’extérieur de l’armée ou un prêtre païen par exemple :

    • Elle garantit le libre exercice des cultes sous les seules restrictions édictées ci-après dans l’intérêt de l’ordre public.
    • La Convention européenne des droits de l’homme prévoit également dans son article 9 que la liberté de manifester sa religion ou ses convictions ne peut faire l’objet d’autres restrictions que celles qui, prévues par la loi, constituent des mesures nécessaires, dans une société démocratique, à la sécurité publique, à la protection de l’ordre, de la santé ou de la morale publiques, ou à la protection des droits et libertés d’autrui.
    • Sont ainsi garanties la liberté de conscience et la liberté de manifester son appartenance religieuse.
    • La liberté religieuse suppose la liberté pour chacun d’exprimer sa religion, celle de la pratiquer et celle de l’abandonner, dans le respect de l’ordre public.

     

     

     

    11.Quelles sont les réglementations et les options pour le ministère des prisons dans votre comté et votre état ?

     

    Notes sur le travail :

    Pour l’Etat Français, mais aussi pour la région Bretagne, le Finistère ou le Bro-Leon ici pour Brest, notament avec les deux prisons là bas qui sont léonardes. Soit « Ar brizon gozh Pontanioù » (en Français : L’ancienne Prison de Pontaniou) ou « la Maison d’Arrêt de Brest ». C’est les lois de la Laïcité qui s’appliquent en prison, comme partout en France. Il n’y a aucunes réglementations spécifiques pour les prisons ni rien d’autre qui est mit en place. Juste que la Laïcité s’applique partout.

     

    Sources pour ce travail :

    https://www.gouvernement.fr/

    https://www.interieur.gouv.fr/

    http://enenvor.fr/

    https://www.cahiersdeliroise.org/

    https://www.aeppf.fr/

    https://eglise.catholique.fr/

    https://www.vatican.va/archive/cod-iuris-canonici/fra/documents/cic_libro2_cann515-552_fr.html

    https://www.aeppf.fr/13-documents-archives/892-les-lois-de-l-eglise-catholique.html

    https://www.echr.coe.int/librarydocs/dg2/hrfiles/dg2-fr-hrfiles-20(2004).pdf

    « La Correspondance du lieutenant Jean Jégou » (1884-1918). Ancien officier de la mission Française aux Etats-Unis, Lille, 2011 par Ives Rauzier.

     

    « Chant en l'honneur de Wunjo/Wyn rune de Paix d'Amour et d'HarmonieADF Structure, Customs, and Policy »

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