• Les Dises ou Disir

    Les Dises ou "Disir":

     

    Les Dises ou DisirLes Dises (vieux norrois : dísir ; au singulier : dís) forment, dans la mythologie nordique, un ensemble de divinités féminines, comparables aux Nornes, sur lesquelles peu de choses sont connues, à l'exception qu'elles sont associées à la mort et la déchéance. Elles coexistent avec deux autres groupes de divinités, qui sont les Ases et les Vanes.

    Les Valkyries sont des divinités mineures appelées "les Dises qui servaient Odin".

    Les Dises sont les ancêtres féminins qui veillent sur leurs descendants, La dise est en effet l'un des ancêtres féminins qui protège et qui suit une personne toute sa vie, offrant protection et soutien. Ce sont des guides et des gardiennes protectrices du Inngard (Clan/Famille).

    Les Valkyries sont elles aussi appeler Dises en raison de leur pouvoir et de leur rôle de protectrices.

    Les érudits ont associé le destin à l'Idis (en Saxon) estimaient que le premier mot en vieux Norrois ou en Proto-Indo-Européen avait été perdu très tôt, bien avant l'époque Vikings ou même l'Epoque Romaine. L'Auteur et Conteur Jacob Grimm fait remarquer que le mot dís Skjöldunga dans l'Eddique Helgaskvida Hundingsbana II (v. 52) est exactement parallèle aux ides Scildinga "reine Scylding" au mythe de Beowulf. Il suggère également que le nom de la déesse Idunn pourrait être un réflexe de la forme originale du mot. Cependant, à l'exception du texte « Second charme de Merseburg, dans lequel les protagoniste travaillent la magie du combat, idisse correspond seulement avec le sens "dame", parfois "jeune fille".

    Certains chercheurs ne supposent pas que les mots soient directement liés, bien que la ressemblance ait de toute évidence conduit à une influence sur les usages poétiques vieux-nordiques.Les Dises ou Disir

    D'autres érudits regroupent tous les esprits féminins et les divinités associées au combat dans la classe des idis, dis, valkyrie et autres noms tels que sigewif (femmes victorieuses, associées par un groupe d'abeilles) et trouvent les points communs sur le plan linguistique et les mythes et les charmes magiques qui ont survécu suffisent à rassembler toutes les variations de ce thème issues de diverses cultures germaniques.

    Les histoires de ces autres cultures survivent à des dates plus anciennes que les Eddas et il est difficile de construire de manière concluante une mythologie pré-chrétienne claire sans conjectures. Cependant, les langues germaniques semblent avoir progressé vers le nord plutôt que vers le sud depuis le contact initial avec les locuteurs de langues indo-européennes près du Danemark ou du Jutland. H. Davidson note une progression similaire de la mythologie vers le nord, où des éléments de concepts proto-germaniques se sont transformés ou ont été combinés au moment de l’enregistrement des sagas islandaises.

    Selon Rudolf Simek, le mot en vieux norrois « Dís » apparaît souvent comme un simple terme « femme », tout comme l' ancien haut allemand « Siti », vieux saxon « Idis », et anglo-saxons Ides, et peuvent aussi avoir été utilisé pour désigner un type de déesse. Selon Simek, « plusieurs des sources Eddiques pourrait nous amener à conclure que les Dise étaient les gardiens de valkyrie comme des morts, et même dans Gudrùnarkvida, les Valkyries sont même appelés Herjans Dise 'de la Dise d'Odin.

    Les Dises sont explicitement appelés les femmes mortes dans Atlamàl 28 et une croyance secondaire veux que les Dises soient l'âme des femmes mortes, est également à la base du folklore islandais. "Simek dit que" la fonction des Matrones était aussi extrêmement variée de déesse de la fertilité, gardiennes personnelles, mais aussi déesses de la guerre ou du foyer les croyances dans les dísir , comme la croyance en les valkyries, les nornes et les matrones, peut être considérée comme une manifestation différente de la croyance en un certain nombre de déesses (semi-féminines).

    L'étymologie de "Valkyrie ce fait par "Val" (la Mort) et "Kyrja" (qui vient chercher, qui choisi) "Valkyrja" au pluriel c'est "Valkyrur" ou "Valkyrjur"

    Qui est différent du "Fylgja" (pluriel "Fylgjur") = Divinités favorites d'une personne et qui veille sur celle ci.

    Il y a aussi une autre étymologie mais qui veux dire la même chose Valkyrja = de "Val" = Mort ou Choisi et de "Kyrja" = abattre.

    Les Dises ou DisirLittéralement: "Qui choisit les morts" ou "Qui choisit les abattus".la Valkyrie est donc celle qui choisi les morts. D'aileur le Valhalla vient de « Val » (la mort) et de « gwalla/höll» (La Maison) le Valhalla ou la Valhöll c'est la maison des morts, de ceux qui sont mort et qui y résident auprès d'Odin. Les Valkyries sont des êtres bienfaisant, elles s'attachent a certains humains en cela elles sont nomé « Fylgur » où y sont apparentés.

    Freya est considérée comme la première parmi les Valkyries. C'est pourquoi elle est la Reine des Valkyries. En tant que Vanes et divinité de la Nature, et des liens qu'a son frère Freyr avec Alfheim elle est aussi Reine des Elfes.

    Elles sont porteuse des force des dieux et en particulier celle d'Odin. On sans qu'a ce titre les Druidesses Nordiques appeler

    Gythia étaient appeler « Valkyrie » ou selon la seul traduction qu'on ai « Ange de la Mort » cette traduction nous vient du témoiniage d Ahmad ibn-al-'Abbas ibn Rashid ibn-Hammad ibn-Fadlan qui fut un lettré d’origine Arabe du xe siècle qui a laissé un récit de ses voyages comme membre de l’ambassade du Calife de Bagdad au roi des Bulgares de la Volga.

    Ibn Fadlan a été envoyé de Bagdad en 921 comme secrétaire d’un ambassadeur du Calife abbasside Al-Muqtadir à Almış, le roi des Bulgares de la Volga, à propos de la Route commerciale de la Volga.

    Le but de l’ambassade visait à obtenir du roi des Bulgares un hommage au Calife, en échange de quoi il recevrait de l’argent pour la construction d’une forteresse. Partie de Bagdad le 12 juin 921, l’ambassade passa par Boukhara, Khwarizm (au sud de la mer d'Aral), Jurjaniya (où ils passèrent l’hiver), au nord de l’Oural avant d’arriver, après maintes difficultés, chez les Bulgares aux trois lacs de la Volga au nord de Samara le 12 mai 922. Cette mission fut un échec car ils ne réussirent pas à collecter l’argent destiné au roi qui, irrité de ne pas recevoir la somme promise pour le financement de fortifications contre les Khazars, refusa de passer du rite hanéfite au rite chaféite de Bagdad. Après son arrivée à Bolğar, Ibn Fadlan se rendit à Wisu où il consigna ses observations sur le commerce entre les Bulgares de la Volga et les tribus finnoises locales.

    Ibn Fadlan consacre une partie non négligeable de son récit à la description d’un peuple qu’il nomme les Rūs’ identifiés par la majorité des érudits comme étant les Varègues, ce qui ferait de son récit un des premiers portraits des Vikings

    Dans la mythologie nordique , une Dís ("dame", pluriel de dísir ) est un fantôme, un esprit ou une divinité associée au destin qui peut être bienveillant ou antagoniste envers les mortels. Dísir peut agir comme un esprit protecteur des clans nordiques . Leur fonction originale était peut être celle des déesses de la fertilité qui étaient l'objet des deux cultes privés et officiels appelé Disablot , et leur vénération peut tirer du culte des esprits des morts.Le dísir, comme les valkyries , les norns et le vættir, sont presque toujours référés collectivement.

    Le vieux Norrois « Disir » et l'ancien Germanique continentale « Idisi » sont considérées par certains chercheurs à être liés en raison des similitudes linguistiques et mythologiques, mais la preuve directe de l'Anglo-saxonne et continentale mythologie allemande est limitée. Les dises jouent des rôles dans des textes nordiques qui ressemblent à ceux de fylgjur , de valkyries et de nornes , de sorte que certains ont suggéré que dísir est un terme large incluant les autres êtres. Les nornes sont les trois divinités du destin de toute chose, et les fylgjur est une entité protectrice, un gardien ou un guide.

    Les sources Indo-Européennes nous permettent de nous faire une idée de l'importance des Dises, quand on regarde dans la tradition Védique et dans la Tradition Romaine.

    Une étymologie possible rapproche dís de dhísanas, un groupe de divinités du Yajur-Veda.

    Pour un Druide Insulaire des îles au large de l'Ecosse le terme « Dís/Dise» pourrait aussi être un titre (dame ou déesse), puisque Freya est appelée Vanadís, c'est-à-dire « dise des Vanes ».

    Et certainement que parmi les druides qui ont fuit la Gaule après l'interdiction du Druidisme par l'empreur Claude, et qui sont aller au delà du Rhin selon Otto Karl Seeck. Il y ait eu probablement un certain nombre d'entre eux qui firent usage de ce terme pour honorer la déesse Freya ou d'autres ancêtres Féminin et il et encore plus probable qu'a l'époque du Roi Ecossais Ferghus Mòr quand le fils de celui si a quitter l'Ecosse pour la Norvège avec une troupe de guerrier, que ce roi ai eu a son service des Druides qui firent de même.

    Pour les Flamines ou les Druides Gallo-Romains le terme « dis » fait référence au dieu romain Dis Pater, qui est un des noms du dieu du monde d'en bas, les enfers du Tartaros (Tartare) le Dieu Hadès/Pluton. Hadès est son nom Grecque et Pluton son nom Romain. Chez les Gaulois il était selon César révéré comme dieu père, lié au côté nocturne mais il ne n'indique pas de quelle tribue Gaulois, je pense aux Celto-Ligure ou a des peuples semblable, avec l'origine Gauloise et Latine.

    Dans les Fana (les temples Gallo-Romains) il y a du y avoir aussi un culte des « mater » des mères par le sang ou la lignée ou des ancêtres féminins ou divinités protectrices.

    Les Dises ou DisirChez les Vikings le rôle de la femme était encore plus important au niveaux du foyer, la mère de famille ou la maitresse de maison était d'ailleur appeler « Lahùs Freyja » (qui est comme freya) cette femme avait la responsabilité de la bonne marche de tout, ce qui est naturel quand on regarde le rôle des déesses et des dises par rapporte a la salle d'Odin le Valhalla. Le monde d'ici bàs n'était a l'époque que le reflet de l'autre monde. Les Volvä et les Gythia avait un rôle a jouer aussi dans le bon déroulement de la récolte et de la bonne gestions des ressources alimentaires (chasse/pêche) sur le plans Magique et esotérique avec la pratique du Seidr, il en fut de même, mais avec l'avancement et l'influence du Christianisme, la pratique du Seidr dans un but lier a la fertilité était plus une affaire de femme.

    Enfin plus récent et proche de nous dans les œuvres de fictions :

    Dans l'univers romanesque de J.R.R. Tolkien, Dís est la fille de Thráin, fils de Thrór roi sous la montagne, la sœur de Thorin « Écu-de-chêne » et de Frerin, et la mère de Kili et Fili, par conséquent de la prestigieuse lignée de Durin. Elle est l'unique naine célèbre.

    Dans la série de livres Les Secrets de l'immortel Nicolas Flamel, les Dises sont une race de féroces guerrières nordiques appartenant à la Génération Suivante. Ce sont de farouches ennemies de Scáthach, qui possèdent le pouvoir d'invoquer Nidhogg. ( Scàthach ou Scota) et une Déesse Ecossaise, ou la retrouve dans de nombreux mythe et c'est elle qui donna sont nom au peuple « Scot » puis a la lange des Ecossais et a l'Ecosse. « Scotland » en anglais.

    Faire un Disablòt ??

    Il existe des preuves considérables que les dísir ont été vénérés en Scandinavie à l’époque païenne.

    Premièrement, un festival sacrificiel ( blót ) les honorant, le dísablót , est mentionné dans une version de la saga Hervarar ok Heiðreks konungs et dans la saga Víga-Glúms , la saga Egils et le Heimskringla . Selon la saga Víga-Glúms, il s’est tenu lors des nuits d’hiver (au début de l’hiver). Dans la saga Hervarar , le dísablót a également lieu à l’automne et est interprété par une femme, fille du roi Álfr d’Alfheim, qui "rougit le hörgr de sacrifices et est ensuite sauvée par le dieu Thor".après qu'elle ait été enlevée; John Lindow suggère que, à première vue, le texte représente un modèle mythologique du comportement humain. En Scandinavie occidentale, dísablót semble avoir été une célébration privée; même le grand rassemblement de la saga Víga-Glúmsétait réservé à la famille et aux amis.

    En revanche, selon la saga de Saint-Olaf de Heimskringla , à Gamla Uppsala, le dísablót a été célébré pendant le mois de Gói,(la pleine lune de Févrer-Mars, se mois et aussi appeler « Góa ») c’est-à-dire fin février ou début mars, et accompagné d’une assemblée populaire connue sous le nom de Thing de tous les Suédois ou Dísaþing et une foire annuelle. Lorsque le christianisme est arrivé, l’assemblée et le marché ont été déplacés vers un festin chrétien au début du mois de février.

    À l’époque où le règne des mères régnait encore en Suède, c’était une vieille coutume selon laquelle les principaux sacrifices étaient célébrés à Uppsala au mois de Gói... Des sacrifices devaient être faits à ce moment-là pour la paix et la victoire du roi, et des gens de toute la Suède devaient y avoir recours.

    À cet endroit et à cette époque devait également se tenir l'assemblée de tous les Suédois, et il y avait aussi un marché et une foire qui duraient une semaine. Maintenant, quand le christianisme a été introduit, l'assemblée générale et le marché y étaient encore tenus. Mais à présent, lorsque le christianisme est général en Suède et que les rois ont cessé de résider à Uppsala, le marché s'est déplacé pour se rencontrer à Candlemas ; . . . mais maintenant cela ne dure que trois jours. L'assemblée générale des Suédois ce fait a cette date.

    Le nom Dísaþing (maintenant Disting ) est resté en usage et la foire a toujours lieu chaque année à Uppsala le premier mardi de février et est peut-être l’un des plus anciens de Suède.

    Les Dises ou Disir

    Le but déclaré du dísablót d’Uppsala est de se sacrifier pour la paix et la victoire. Des endroits norvégiens appelés Disin , du vieux norrois Dísavin , "prairie du dísir", et le lien possible entre ce mot et le dhīsanas indien ont laissé entendre à certains spécialistes que le dísir était un indice de fertilité.

    Il y a aussi deux mentions d'une salle ou d'un temple d'un dís. Dans la partie de la saga Ynglinga de Heimskringla , leRoi de Suède Adils meurt lorsqu'il monte un de ses chevaux dans le dísarsálr à l’époque de Dísablót et qu’il est jeté et s’endure sur un rocher. [ En outre, il apparaît également dans la saga Hervarar où Helga est si furieuse de la mort de son père aux mains de Heiðrekr , son mari, qu’elle se pend au sanctuaire.

    Bien que Snorri Sturluson ne mentionne pas les Dises dans le Edda , il fait la liste vanadis 'dís du Vanes "c'est un nom pour Freya et öndurdís 'la dise des skis' en est un autre pour Skadi. Lotte Motz a suggéré que dís était le mot original vieux norrois pour «déesse» et avait été remplacé plus tard par ásynja , qui est tout simplement le féminin de áss.

     

     

     

    Une liste de noms pour désigné les Valkyries :

    Valmeyjar ( " vierge des occis")

    Skjaldmeyjar ("vierges protectrices")

    Hjalmmeyjar ("vierge dirigeante")

    Herjan dísir ("les dises d'Odin")

    Óskmeyjar ("filles qui accomplissent les désirs d'Odin")

    Svanmeyja ("femme-cygne")

    Valakusjó (forme gothique du mot valkyrie)

    Waelcyrie or Waelcyrge (forme en vieil anglais du mot valkyrie, signifiant aussi "corbeau")

    Walachuriá (forme du vieux haut germain du mot valkyrie)

    Voici une liste de quelques Valkyries :

    Alvilda: princesse guerrière, fille d'un roi du Götaland.

    Brynhildr ( ou Brunehilde "manteau messager de la bataille"): valkyrie maudite par Odin pour sa désobéissance et condamnée à un sommeil magique. Odin l'enferme dans un mur de flammes que seul un homme qui ne connaît pas la peur, ou qui lui apporte l'or de Fáfnir (selon les sources), pourra traverser.

    Geirahöd ("lance de bataille")

    Geiravör ("déesse des lances")

    Geirdriful ("lanceuse de lances")

    Geirönul, Geirrönul, Geirrömul, Geirölil (différentes orthographe du nom d'une valkyrie : "celle qui bondit à l'assaut avec sa lance"): valkyrie qui sert la bière aux einherjar dans la valhöll.

    Geirskögull ("combat des lances")

    Göll ("vacarme", "cri de guerre"): valkyrie qui sert la bière aux einherjar dans la valhöll.

    Göndul ("baguette magique" ou "animal fabuleux" ou peut-être,"celle qui était loup")

    Grimhildr ("masque ou direction de la bataille")

    Gudr ou Gunnr ("bataille")

    Herfjötur ("chaîne de guerre"); valkyrie qui sert la bière aux einherjar dans la valhöll.

    Herja ("dévastation")

    HerÞögn ("celle qui reçoit l'armée")

    Hervör : valkyrie dépeinte sous les traits de vierge-cygne que la chemise de cygnes rend capable de voler.

    Hildr ("bataille"): valkyrie qui ressuscite la nuit les guerriers morts au combat pendant la journée, ce qui fait que ces derniers sont obligés de se battre éternellement, et valkyrie qui sert la bière aux einherjar dans la valhöll.

    HjalmÞrimul (" celle qui fait du bruit avec son heaume")

    HjörÞrimul ("celle qui combat à l'épée")

    Hladgudr ("celle qui tisse les batailles"): valkyrie surnommée Svanhvit ("blanche comme un cygne") dépeinte sous les traits de vierge cygne que le manteau de cygne rend capable de voler.

    Hilda ("bataille")

    Hildeberg ("forteresse de bataille")

    Hildegund ("combat guerrier")

    Hlökk ("vacarme, combat"): valkyrie qui sert la bière aux einherjar dans la valhöll.

    Hrist ("celle qui ébranle, agitatrice"): valkyrie qui sert la bière aux einherjar dans la valhöll.

    Hrund ("celle qui pointe")

    Kára ("la sauvage,l'impétueuse" ou "celle qui est bouclée"): valkyrie qui protège Helgi Haddingjaskadi et qui est Sigrún, valkyrie née à nouveau.

    Kreimhildr ?

    Mist ("brume" ou "brouillard"): valkyrie qui sert la bière aux einherjar dans la valhöll.

    Nipt ("soeur")

    Olrun ("rune de la bière"): fille de Kiarr, roi de Valland, décrite comme une vierge-cygne.

    Oskmey ("jeune fille qui réalise les désirs")

    Ráðgriðr ("dominatrice"?): valkyrie qui sert la bière aux einherjar dans la valhöll.

    Randgríðr ("destructrice de boucliers"): valkyrie qui sert la bière aux einherjar dans la valhöll.

    Reginleif ("fille des dieux"): valkyrie qui sert la bière aux einherjar dans la valhöll.

    Sanngridr ou Sangridr ("très violente, très cruelle")

    Sigrdrifa ("celle qui chasse la victoire")

    Strigg (« qui garde la porte du Valhalla »)

    Sigrún ("rune de victoire"): fille du roi Högni et bien-aimée de Helgi Hundingsbani. Après sa mort elle renaît et prend le nom de Kára.

    Skalmöld ("temps de l'épée")

    Skeggjöld ou Skeggöld ("porteuse d’une hache de guerre"): valkyrie qui sert la bière aux einherjar dans la valhöll.

    Skögul ("bataille"): valkyrie qui sert la bière aux einherjar dans la valhöll.

    Skuld ("dette, faute"): valkyrie qui ressuscite la nuit les guerriers morts au combat pendant la journée, ce qui fait que ces derniers sont obligés de se battre éternellement.

    Sváva ("celle qui endort, celle qui tue")

    Sveid ("vibration, vacarme"?)

    Svipul ("variable")

    Tanngnid ("grincement de dents")

    Þögn ("silence")

    Þrima ("combat")

    Þrúðr ("puissance"): valkyrie qui sert la bière aux einherjar dans la valhöll.

    ValÞögn ("celle qui accueille les occis")

     

    Les Dises ou Disir

    Sources:

    http://idavoll.e-monsite.com/

    « L'Edda poétique » par Régis Boyer.

    « L'Enclos des Ases, spiritualité des Peuples Nordiques » par Aurélia Petri.

    « B.A-BA Tradition Nordique » par Arnaud d'Apremont.

    « B.A-BA Tradition Nordique volume 2 » par Anne-Laure d'Apremont.

    « La Germanie/Germania » par Tacite.

    « Vikings, des premiers raids à la création du duché de Normandie » par Jean Renaud.

    « Viking, les Dieux des Vikings » par Jean Renaud.

    « Les Vikings, vérité et légendes » par Jean Renaud.

    « Les Vikings » par Régis Boyer.

    « Les Vikings la légende des barbares » trimestriel n°11 Décembre/Janvier/Février 2017 par les mystères de l'histoire.

     Ecrit par Eikthyrnir Odinson. 

     

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