Les états modifier de conscience (EMC) :

La pratique du Druidisme induit a un moment ou a un autre sur le parcours des états de reliance avec les forces qui nous entoure, les Dieux ou simplement l'autre monde. Dans la coutume celtique plusieurs héros ou poètes dans leur histoire et dans nos mythes sont aller dans l'autre monde au delà des limites que nous impose le monde physique. C'est pratique sont proche des traditions première qui n'ont pas connue d'interruption jusqu'à nos jours je pense a la Sibérie, la Laponie (quoi qu'il y a eu une forme de Christianisation) et celle des Medecine Men.
Le Chamanisme représente au yeux de beaucoup de personne une sorte la " proto-religion ", et même l'origine de ce qui est considéré comme une pratique spirituelle.

Pour le Druide ou le Gothi:

Ces deux termes servent a désigné des personnes en charge des mêmes fonctions, le Gothi est souvent décrit comme le chef de Famille et le chef du clan qui officie, chez les peuples continentaux avec la proximité de la culture Romaine ils ont formé une classe a part, voués au sacerdoce et a presque rien d'autre, dans le Nord sur les Orkney ou en Ecosse ainsi qu'en Norvège la nature était plus austère et une vie rude implique de participé a toute les activités de la société afin d'assuré la vie du Clan et de la Famille, la structure des pratiques religieuses et de la spiritualité semble avoir été plus imbriqué dans la vie quotidienne et dans les activités lier a la survie (chasse, pèche, travaux domestique et agriculture) dans ces milieux et ces pays ou vivre signifiait avoir un contacte rudimentaire avec la nature. C'est l'approche que je développe le plus lier au Druidisme Ecossais de ma famille. C'est vraiment intéressent quand on recherche quelque chose d'authentique dans ce sens. La magie, le sacré, les liens avec les divinités et la nature une pratique lié à la vie de tout les jours dans la simplicité aussi.

Les équivalences:

Des parallèles peuvent être fait entre les Filidh et les Seidramadr ou les Draoidh et les Goðar.  

Freya reste la maitresse de cet art et si nous voulons avancer dans l'étude et la pratique du seidr elle peut être d'une aide précieuse.

Le Druide ou Draoidh:

Pour le Draoidh Fili et les Filidh ou Faith c'est de l'Imbas Fosonai (qui se traduit en Gallois par « Awen ») dont il est question.
L’Imbas forosnai, dans la mythologie celtique Irlandaise c'est une incantation magique réservée aux Filidh (Druides) les plus élevés dans la hiérarchie Druidique, les Draoidh Ollamh. Ce rituel est décrit dans plusieurs textes mythiques.
Le plus intérésent c'est encore de lire le Mythe de "la Razzia des Vaches de Cooley" dans ce mythe celte on retrouve la pratique de l'Imbas Forosnai.
C'est cette pratique la qui apporte la connaissance de l'autre monde. On a de nombreux bardes dans nos textes qui en parle, un que j'apprécie beaucoup c'est Thomas the Rhymer. (ou de son véritable nom "Thomas Learmonth" qui était "laird" soit un petit seigneur Ecossais, on la appeler aussi "Erceldoune").

Selon Christian Guyonvarc'h l’expression signifie « grande science qui illumine ». Le file (Fili) mastique un morceau de viande rouge qu’il place ensuite sur une pierre en offrande aux dieux, puis il fait une incantation. Le lendemain, il doit refaire deux incantations, il place les paumes de ses mains sur ses joues et reste ainsi jusqu’à ce qu’il s’endorme.

Pour un Gothi ou Goði:

 Il sagit d'un terme qui englobe plusieurs pratiques, qu'on retrouve sous le terme de "Seidr" dans les pays Nordiques et les Orkney (avec les Eddas). Dans ces mêmes Eddas on parle de Seidramandr ou de la Seidrköna (l'homme ou la femme qui pratique le Seidr).
En fait il faut d'une par ce rappeler que "Fili" ou "Ollamh" le fili qui enseigne est partage ses connaissances, après faut voir tout les anciens grades dans le "Senchus Mòr" c'est un Barde et que ce n'est pas un grade intermédiaire comme c'est le cas dans le Druidisme dit « continental » ou Gaulois, mais bel et bien l'aboutissement d'un travail, fruit de reflexion et d'un longue pratique, de ce qu'on appel parfois dans les mythes (aller sous le rameau de la connaissance) en faite l'imbas forosnai ou la pratique du Seidr qui consiste en un rituel ou on fait une offrande on dit des incantations et on réalise une migration de l'âme (un voyage astral) décrite souvent comme une sieste dans les mythes, mais ce n'est pas une simple sieste.  L'équivalent dans la culture Scandinave du Fili étant le Seidramandr et de l'Ollamh le Godi ou Gothi.

Les pratiques du Fili:
- Geis = "Sort" ou "vision" = une divination avec les visions par flash, ou le fait d'avoir une vision au contacte des objet ou des personnes.
-Imbas forosnas = "source de révélation" ou "embrasement de frénésie poétique" = la pratique proprement dite de la migration de l'âme, par la méditation ou la transe.
-Teinm laída = "illumination du chant" = le fait de chanté des incantations, proche du chant chamanique traditionnel qu'on retrouve dans d'autre tradition et d'on les Galdar en sont une forme.
-Dichetal do chennaib = "incantation improvisée" = c'est un chant pour centrer l'esprit et l'ouvrir a d'autre réalités au cours d'un rituel ou non, on peut aussi être dire des poèmes comme cela si on est inspirer, mais c'est plus un chant, qui vient de l'inspiration issus du contacte profond avec la nature, c'est de l'extase poétique.

Le Geis:
Le mot « GEIS » et le plus souvent traduit par « sort » ou « sortilège ». Avec l'influence du Christianisme dans les Textes Druidiques, comme certains texte Arthuriens.
Les textes comme les chroniques de la branche rouge. Le terme Geis a pris parfois comme traduction «mauvais sort».
En faite la personne qui possède le dons, souvent dans les filiations druidiques familiales (donc transmit par le sang) et qui a force de pratique devenait experte en geis était capable de voir' les auras, et dans ce que dégage la personne les images qui influencent le comportement d'un être, et d'en parler avec lui ou d'en déduire le danger qu'une telle image réactivée pouvait faire courir a la personne.
Chez les anciens Druides qui avaient une réel connaissance du Geis, cela donnait parfois lieu a des interdictions au premier abord, souvent illogique , du genre : « Ne pas s'approcher un jeudi d'un cheval dans un près ».

Certaines personnes selon la Druidesse Viviane Le Moullec (elle nous met en garde dans ses livres) on fait un mauvaise usage du geis ils ajoutaient à ce qu'ils percevaient normalement (dans le cadre d'un conseil ou d'une mise en garde) des détails qui entraînaient l'activation (l'incarnation dans le monde matériel) d'un événement potentiel.
Et ils renforçaient parfois de façon négative leur menace avec une condition suspensive : « Cela ne se produira pas si vous faite telle ou telle chose » …

Tous ça ce sont aussi des coutumes et des cultes de nature intermédiaire, qui permettent d'attendre un certaine état spirituel afin de pouvoir passer d'un monde a l'autre et d'entretenir des liens avec les gens ou entités qui résident dans les autres plans d'existence. On retrouve ça aussi dans les traditions Chamaniques de Mongolie ou de Russie, voir aussi d'Amérique du Nord et du Sud.

Nous retrouvons toute c'est pratiques dans les savoirs faire du Fili ou du Faith soit "Fili" voyant poète = Barde et le "Faith" voyant guérisseur = Ovate. Si on cherche a traduire avec les termes des ordres druidique, mais c'est différent puise qu'il ne s'agit aucunement de quelconques grades intermédiaires, mais bel est bien de la finalité du travail et de la mise en place des compétences de la personne.

On Parle aussi de "Draoidh Fili" et de "Draoidh Faith" (Draoidh = Druide en Gaélique). Il semblerait qu'autrefois il y avais une coutume qui était transmisse par l'oralité pour savoir qui était druide et d'on la marque la plus importante était de faire la preuve de son savoir faire. Tel un teste ou une « quête » effectuer dans le monde des Dieux. Peut être simplement parler a un ancêtre ou un des Druides qui avait quitter ce monde avant l'arriver de celui qui était tester.

Les  voyageurs en esprit dans les Mythes:

La plupart des mythes religieux Celtiques, Nordiques et Indo-Européens proviennent de l'époque précédant l'histoire écrite. Des symboles comme l'axis mundi, c'est à dire l'axe du monde, présenté sous la forme d'un arbre de vie ou d'Yggdrasill qui date d'avant l'avènement du monothéisme. Yggdrasill reliant le ciel et la terre et qu'il est possible d'utiliser pour visiter autant les mondes inférieurs que supérieurs, des animaux comme Sleipnir (le cheval d'Odin) ou des objets sacré comme le Valshamr (la cape de plume de faucon de Freya).
La mort et la résurrection sont également des symboles intrinsèques a la pratique du Druidisme par le Fili puisque dans la plupart des traditions chamaniques, le chaman endosse finalement son rôle seulement après une initiation ou il doit " mourir ", de façon symbolique et revivre à sa nouvelle vie. La visite de monde supérieurs mais aussi de mondes inférieurs et la rencontre avec certaines entités fait également partie intégrante du Druidisme du Fili.
Qu'on appel ça Seidr ou Imbas Forsonai le plus important et de maîtriser les techniques tel que le chant, ou l'usage de la musique comme le bodhran (percutions celte) ou la harpe, il suffit de penser a la harpe de Dagda ou a celle de Braga, qui dans les mythes pouvaient provoquer la tristesse ou une immense joie voir le sommeil, comme cette musique jouer par un seigneur sombre du Sidhe qu'a affronté Fion MacCumhaill un soir de Samhain a Tara.
Il y a aussi l'usage de Chants, d'incantations appeler Bardits ou Galdar quand il s'agit du nom des runes chanté dans un bût extatique pour atteindre cette transe propice au voyages de l'esprit.
Le but de ces techniques et pratiques c'est de générer l'extase de celui qui officie, et donc de modifier ça conscience, pour qu'il deviennent plus réceptif et puisse « s'endormir » colle le faisait Thomas The Rhymer sur la colline des Elfes pour aller dans l'autre monde. Le fili voyage alors en esprit, chez les Dieux Ouraniens ou Chtoniens. Il peut aussi visité des lieux du monde du Milieux ou ce rendre chez le petit peuple, voir entrer en contacte avec les Landvaettir. Le Voyage Astral apporte beaucoup dans la Pratique du Druidisme, on appel de nos jours ça des OBE (Out of Body Experience) ou « sorties hors du corps » en Français.
Ces phénomènes viennent d'être étudier par L'Institut suisse des sciences noétiques ou « Issnoe » anciennement appeler « Noêsis » citoon plus particulièrement le cas de Nicolas Fraisse qui s’est prêté à l’analyse scientifique de son cas par Sylvie Déthiollaz et Claude Charles Fourrier.

De fait le Seidr ou l'Imbas Forsonai ce sont ni plus ni moins que des OBE mais ritualisé au cours d'un culte et après des offrandes faites aux Divinités Auxiliaires (Guides).

Que ce soit par le biais de la musique, du chant, de la danse ou de l'usage de fumée a bases de plantes, le Fili se spécialise de par sa capacité a entrer dans une transe extatique lui permettant de vivre toute une gamme d'expériences inaccessibles à d'autres. Le Fili est le spécialiste de l'abstrait; quand les moyens habituels ne suffisent plus, c'est lui qui offre de nouvelles pistes de solutions. Dans un monde ou la force brute offre l'avantage sur les compétiteurs, le Fili est celui qui possède la clé des symboles de l'imaginaire et c'est ce qui lui permet d'altérer l'esprit de ses semblables et ainsi de les inspirer. Il est l'artiste primordial.

On peut retrouver des traces de c'est pratiques dans d'autres religions par exemple les Saints et leur révélation ou le fait, par exemple dans la religion du livre Moise ait reçu sa révélation, les dix commandements, au sommet du Mont Sinai, évoque clairement le concept de l'axis mundi, ou l'Yggdrasill que les praticien du Seidr/Imbas forosnai escaladaient déjà depuis des temps immémoriaux dans le but de s'entretenir avec les " grands esprits " et de ramener ensuite l'information à son peuple.

On retrouve aussi dans le Soufisme (tradition de l'Islam) le soufisme oriente ses adeptes vers l'expérience directe et non pas vers une croyance basée sur une doctrine purement théorique. Et il nous dit :

" -L'existence, selon les soufis, est la trouvaille de Dieu dans l'extase. "
-Al-futûhât al-makiyya- (Les Illuminations de la Mecque)

Toute c'est techniques ce sont développer avec l'avènement de l'agriculture voila environ douze mille ans, la société humaine autrefois nomade, commence à entrevoir les avantages d'un mode de vie sédentaire et développe donc une nouvelle forme de culture basée sur la stabilité résultant d'une compréhension accrue des cycles naturels. L'une des techniques d'EMC qui peuvent être utiliser de nos jour pour communiquer avec nos Divinités Auxiliaire. C'est la Psychographie c'est ce qu'on appel plus communément l’écriture automatique soit un mode d'écriture dans lequel n'interviennent ni la conscience ni la volonté.

Les différents états de conscience modifié et leur usage en divination:

1) La Psychographie: qui peut s'appliquer a la littérature, la psychologie ou parapsychologie ou encore le dessin ou la peinture.

2) La Psychométrie : c'est lier au « Geis » quand on médite et qu'on ouvre notre conscience ou devient plus réceptif et plus empathie, ce qui peut provoquer des visions par flash, au contacte de personnes, de lieu visité est chargé historiquement ou d'objets témoins d'événement particulier. C'est quelque chose que les médiums connaisses bien.

3) La Clairaudience : C'est l'aptitude psychique à percevoir des voix ou des sons qui parlent d'événement passés ou à venir ou qui transmettent des messages provenant de l'autre monde. Les paroles peuvent parfois venir des Guides (nos Divinités ou Ancêtre) ou d'êtres qui tente de rentrer en contacte, voir parfois comme pour la Psychométrie ce sont les lieux qui sont chargés. Il y a aussi la clairvoyance qui est un autre terme pour Psychométrie.

4) La perception extrasensorielle par le goût : Il s'agit dans ce cas de la faculté de percevoir et de deviner la signification d'une chose à travers la gustation, sans avoir aucuns aliments ou objets dans la bouche. Par exemple durant la lecture d'un livre, il est possible qu'un voyant détecte un goût sur sa langue. La Sorcière Lucy Cavendish explique qu'il est fort possible que les personnes capables de faire ça puissent percevoir l'essence d'une substance venant du royaume spirituel ou éthérique par l'entremise du goût.

5) L'oniromancie : C'est la faculté de prédire l'avenir par des rêves, soit d'avoir des rêves prémonitoires soit d'interpréter les rêves ordinaire, parfois dans un but térapheutique.

Et ensuite la partie la plus importante que j'ai déjà pratiquer avec le Feu et l'Eau et que chacun peut faire facilement avec un peut de pratique de la méditation.

6) La Pyromancie : la divination par le feu (lire dans le feu) autrefois on disait regarder dans les flammes. Voir des images et des visions du futur dans le feu, souvent aidé par des substances lancées dans les flammes comme des offrandes de plantes ou d'huile.

7) L'aéromancie : la divination par l'air, les tempêtes, les coups de vent ou les brises.

8) L'hydromancie : la divination par l'eau, alors a une source, sur un cour d'eau d'une petite rivière ou alors simplement remplir un chaudron d'eau claire.

Pour les sources, ou la divination par les fontaines on parle de Pégamancie.

9) La Géomancie : la divination par la Terre.

Les anciens Druides selon Tacite interprétaient l'avenir selon le vole des oiseaux et certain animaux comme les chevaux.

Le but de nos activités est aussi d'avoir des contactes avec les Divinités que nous honorons ou les Ancêtres. Ou des informations sur l'avenir ou le passé.
Pour les OBE et les messages que nous pouvons recevoir, il y a parfois un esprit ou un guide qui entre en jeux.
C'est ce que nous appelons Fylgja au singulier en Vieux Norrois ou au pluriel Fylgur. Ça peut être dans le cas d'ancêtre féminin des Disir (les Dises, Valkyries, certaine Déesse et les femmes de la lignée).

Un des personnages historiques qui parle de ces pratiques aussi ce fut Socrate avec son Daimôn.
Socrate le père de la Philosophie parlais souvent avec son Guide ou (Dieux Auxiliaire).

Dans les écrits de Platon sur le sujet dans sont texte :

« l'Apologie de Socrate selon Platon » écrit en 399 avant J.-C quand les philosophes Grecques a la mort de Socrate âgé alors de soixante-dix ans quand Platon et Xénophon s'opposèrent au sujet du sérieux de Socrate.

« -[...]comme vous me l'avez maintes fois et en maints endroits entendu dire, se manifeste à moi quelque chose de divin, de démonique […]. Les débuts en remontent à mon enfance. C'est une voix qui, lorsqu'elle se fait entendre, me détourne toujours de ce que je vais faire, mais qui jamais ne me pousse à l'action. Voilà ce qui s'oppose à ce que je me mêle des affaires de la cité[...] »
-Socrate- (a son ami Platon)

« -[...]Ce daimôn dont je parle, gardien privé, préfet personnel, garde du corps familier, curateur particulier, garant intime, observateur infatigable, juge inséparable, témoin inévitable, réprobateur quand nous agissons mal, approbateur quand nous agissons bien, si nous lui accordons l'attention qu'il requiert, si nous cherchons de tout cœur à le connaître et si nous l'honorons pieusement comme Socrate l'a honoré avec un esprit de justice et d'innocence, nous offre sa prévoyance dans les situations incertaines, ses conseils dans les situations difficiles, sa protection dans le danger, son assistance dans la détresse et il peut, par des songes, par des signes ou même par sa présence quand le besoin s'en fait sentir, détourner le mal, faire triompher le bien, relever ce qui est à terre, soutenir ce qui chancelle, éclairer ce qui est obscur, diriger la bonne Fortune, corriger la mauvaise[...] 
Tout ce que nous disons, que nous sachions le dire ou que nous croyions le dire, est au service de l'inconnu qui fait signe en nous. C'est cet inconnu qui est en nous plus que nous que Socrate se mit à appeler daimôn [...] »
-Platon- (Platon au sujet de Socrate)

En conclusion :
Les Draoidh filidh, n'étaient pas seulement des poètes inspirés, mais des guérisseurs, des adeptes de la magie. on sait que les Draoidh filidh d'avant l'ère chrétienne, se servaient de trois oracles, chamaniques :
-Imbas forosnas = "source de révélation" ou "embrasement de frénésie poétique"
-Teinm laída = "illumination du chant"
-Dichetal do chennaib = "incantation improvisée".

Dans une démarche Druidique et une forme de spiritualité de la transcendance a la recherche de l'Awen.

On peut ce posé des questions encore du style ce qu'on peut lire souvent "tu n'est pas ton corps"
On peut voir le corps comme un simple 'véhicule' de la conscience.
Mais on en a besoin, l'ascétisme que certain fond peut être une forme d'apaisement et si ça marche pour eux c'est très bien aussi.
Hors d'après mon vécus dans ce domaine, je pense qu'on ne peut pas attendre pleinement l'éveille spirituel ou l'awen en ce battant contre le corps ou en sortant tout le temps de lui, les expériences de voyage astraux et de sortie de corps sont vraiment enrichissante et fascinante et peuvent nous donner un aperçu de ce que peut être la libération de la matière, quand nous mourrons, mais pour progresser on doit toujours en fin de compte revenir dans cette "habitacle" qu'est le corps pour que le travail fondamental de la transformation s'effectue et non pas loin de lui ou sans lui.
Du coup c'est normale de ritualisé dans la nature, de recrée des temples domestiques ou ce retiré pour accomplir ce travail qui demande des années de pratique en "ermite" et de travailler en ce reliant au force qui nous entour. Il est primordiale de trouver une forme d'équilibre a tous ça c'est un début pour appréhendé l'awen, et cheminé dans la Druidité.

Ecrit par Eikthyrnir Odinson

Quelques sources a voir en plus pour aller plus loin:

« La Magie des Druides secrets et symbolique des plantes sacrées » par Florence Laporte.

« Histoire secrète des Druides » par Bernard Rio.
« Les Druides un secret celtique bien gardé » par Morgan Brooks.

« Les Celtes, Histoire et Dictionnaire » par Venceslas Kruta. Laffont.
« La Bible de la Magie Naturelle » par Ann-Marie Gallagher.
« Le Druidisme éternel, retrouver le chemin initiatique de nos Ancêtres » par François Willigèns.
« Le Druidisme au Quotidien » par Viviane Le Moullec.
« Fêtes et rituels du Druidisme » par Viviane Le Moullec.
« Le Guide pratique de l'Asatru » par Patricia. M. Lafayllve.
« La Mage de merlin l'enchanteur, rituels, charmes, sortilèges et potions celtiques » par Francine Boisvert.

« La Magie Blanche, un guide inspirant pour une vie enchantée » par Lucy Cavendish.

« La Magie Celtique, connaissances de la Magie pour les situations de la vie courante » par D.J.Conway.