• Dedicant Path Nature Awarness : L’éveille a la Nature

    Dedicant Path Nature Awarness :

    Nature Awarness : L’éveille a la Nature :

    L’éveille de la nature, c’est un beau sujet. Je me rappelle quand j’étais enfants, avoir ressenti une profonde émotion face a un champs labouré en Octobre et la même émotion face a un tronc d’arbre couver de mousse en forêt. L’attachement a la nature au fil des saisons et en grandissant l’attachement a des choses plus simple liées elles aussi a la nature, la lumière du paysage dans un couché de soleil, les étoiles la nuit, les couleurs des arbres en automne ou les bruyère en fleurs l’été. 

    Les histoires et les noms des lieux aussi j’y suis très attacher, l’étymologie et par concéquent les Esprits des lieux, leurs histoires et les contes qui étaient transmit aux cours des veillées jadis en bretagne. Le lien avec les anciens et la terre était très fort grâce a ça. Je m’inspire de sa aussi dans mon druidisme au quotidien et ça me nourrit.  D'hier à nos jours, les korrigans ont investi l'imaginaire breton et l’âme bretonne. Je pense que nos histoires ou notre folklore ainssi que le lien que nous portons a la terre, les liens d’afection, de respect et aussi la transmission, à travers les histoires. 

    Alors il y a deux grandes catégorie d’esprit de la nature chez nous, les Korrigans dehors et les Teuz à l’intérieur des maisons et des lieux de vie. Comme les Landvaettir ou les Housvaettir dans la tradition Nordique. 

    Le Korrigan est un lutin ou un nain, sa nature elfique est présente dans nombre de nos histoire ici en Bretagne également, le mot Breton « Korr » veux dire Nain. Et le mot est suivie du diminitif « -ig » (petit) et du suffixe « -an » (ancien diminuif qui n’est plus utilisé en breton moderne, mais le terme est rester dans le folklore), ce qui signifie alors « le très petit nain ».  Le pluriel en breton ce fait en « Korriganed ». Dans la tradition populaire de Bretagne le Korrigan est un Elfe ou un Lutin mais sont étimologie viens bien du terme Nain « Korr » en Breton.  On le retrouve chez les autres peuples celtiques Brittoniques avec le « Corr » Gallois et le « Cor » en ancien cornique qui veulent dirent tous les deux Nain. En Cornique moderne cependant le mot est « Korrik » (au pluriel « Korrigow ») termes qui désignent les mêmes Esprits de la Nature. 

    Nous pouvons aussi les rapprocher des Leprechauns et Cluricauns Irlandais.  

    Les Korrigans selon leurs lieux de résidences : 

    Les bois et les forêts sont occupées par les Kornikaneds.

    Les arbres et en partiluclier les chênes sont habités par les Korils, les Courils et les Kourriks, c’est même eux qui donnent ces formes particulières et tordus aux branches des chênes.

    Les bosquets sont peuplés par les Kriores, ils occupent les vieilles souches et les collines aussi où ils chachent leurs trésors.

    Les Kereores et les Kannerez Noz vivent dans les landes et les lieux isolés. 

    Les Poulpiquets vivent dans les lieux bas, les marais et sur les bords des rivières et des lacs. 

    Les Morganed qui sont sur le bord de mer et en particulier sur l’île d’Ouessant.

    Les Bouffons Noz, les Boudics, les Boudiguets et les Teuz vivent dans les maisons des hommes. Ils occupent aussi les fermes et les villages. 

    Les Hosegueannets gardent les cercles de pierres, les menhirs et les dolmens. 

    Les Bolegueans vivent dans les tumulus et ils gradent l’esprits des morts. 

    Ensuite il y a les farceurs et les festifs les Korrigans qui aiment faire des farces, jouer avec les enfants, et danser avec les humains pendant un fest noz par exemple. Ce sont les Korrigs, les Kerrighed, les Komaudons, Les Komaudons, les Korandons, les Kormandons, les Kerions, les Duz, les Ozegans, et les plus farceurs qui jouent de drôle de tour au bretons surtout la nuit les Fomiquets ou les Chorriquets.

    Dans mes liens avec la nature j’ai toujours eux l’instint de me rapprocher du petit peuple ou des « Tud-koz » (le vieux peuple). Donc ce vieux peuple qui vielle sur la Bretagne toute entière, sur les gens, sur les animaux, les végétaux et les enfants. Eux qui viellent aussi sur l’âme Bretonne. Une très ancienne légende dit qu’ils nous ont accompagnés durant les grandes migrations au IV et V èmes siècles depuis la Grande-Bretagne on les appelaient a l’époque les Korranyeit ou Corraniaid. A L’époque ils avaient le pouvoir d’entendre toutes les conversations tenues sur l’île de Bretagne, dans toute la Grande-Bretagne même les  conversations a voix basse ou lointaines. Ce qui déplu au roi Lludd qui leur ordonna d’accompagner le peuple Breton qui allais partir de l’autre côté de la mer, pour s’installer en petite Bretagne la terre appeler « Breizh ». Ils acceptèrent et depuis ils sont les gardiens de la Bretagne et des Bretons. 

    Les Korrigans sur mon chemin druidique je les perçoit en méditation ou durant une ballade dans les bois par exemple, et je les conçois comme étant des intermédiaires entre les hommes et la nature. Ils sont nos protecteurs des lieux où nous vivons et ils gardent en eux un partie inportante de mystère et de richesse. Les créateurs Féeriques en Bretagnes en générale pour moi sont plus que de simple esprits, ils vehiculent en eux une partie du savoir des anciens et une partie de la nature, l’énergie des lieux et l’histoire, les histoires qui s’y rattachent. Comme l’Ankoù, l’esprit psychopompe des Monts d’Arrée ou la Dour groac'g cette fée des eaux qui apparait sur les berges des rivières, dans les lacs, les Abers (Fjörds Bretons) ou les marais. Tous sont une partie de la nature et de nous même. Quand je fait le conteur, j’adore colporté nos histoires auprés d’amis ou quand on me demande de le faire. J’aime beaucoup ressentire ce lien profond avec la nature dans mes transmissions d’histoire. Je ressent la même chose quand j’écrit des bardits pour mes rituels druidiques à la maison. 

    La Nature est toujours présente, cette ancienne déesse Mère, on la retrouve dans l’art Breton sur les calvaire par exemple celui de Brasparts ou celui de Sizun, on retrouve l’image d’une déesse triples, avec trois femmes d’ages différents qui portent dans leurs bras le Christ mort. Cette image est puissante et elle nourrie mon imaginaire. Il est vrais qu’autrefois dans les Monts d’Arrée le paganisme est rester plus vivace encore que dans le reste de la Bretagne, mais le Paganisme et en particulier le Druidisme à véritablement eu un impacte sur le Christianisme Breton et le folklore. Par exemple la Déesse Mère des Bretons Anu ou Ana. A été Christianisé en Sainte Ane et devenu la Grand-mère du Christ elle a acceuillie son petit fils en Bretagne, dans une histoire tiré de la vie des Saints de Bretagne. Il y a énormément d’histoire comme ça ici. La Nature qui a tant fait souffrire les hommes a l’époques des grandes famines en Bretagne, elle a aussi tant donner. 

    Pour moi la divinité qui représente le plus la Mère dans le Panthéon Nordique c’est Frigg. J’honore aussi Nerthus parfois mais avec Frigg je retrouve cette image d’une mère qui prend son enfant dans ses bras. Pour les rituels de ADF je suis plus a l’aise avec Frigg pour ça. J’en prend conscience en écrivant ce devoir a rendre. Je pense que dans mes prochains rituels j’honorerais plutôt Frigg en tant que mère de la Terre. « Ma hini Mamm-zouar eo » (C’est ma mère de la terre).

     

     

    Les liens avec la Nature : 

    J’entretiens des liens privilégié avec la nature, et avec les korrigans, je pense a eux dans chacun de mes rituels et quand je me ballade, dans la nature je fait attentions. Les histoires ne sont pas de simples histoires, en s’inspirant des contes et du respect qu’avaient les anciens pour les êtres Féeriques ou les dieux locaux si on peut dire. Nous pouvons retrouver un respect plus profond pour les êtres vivants qui nous entourent, les plantes, les arbres, les animaux. Mais aussi pour les lieux et la paix qui se dégage souvent quand nous visitons un endroit particulier. 

    Sur un chemin de Druide il est normal pour nous d’honorer et de respecter la nature, je m’emploie a faire attention a ce que je mange. Pour des légumes et des fruites de mer par exemple, la provenance est important et qui les produits ou les pêches. Mais les déchets aussi le recyclage, le verre, le plastique ou les cartons. Ici en Bretagne la chaîne de recyclage est les prises de conscience au sujet de l’importance de la nature et de la fragilité des ecosystèmes sont plus développer. Les Bretons fond partie des hommes qui ne se sont jamais vraiment beaucoup éloigné de l’eau, de la terre et du feu. Il y a toujours eu une proximité avec la nature. Peut être en lien avec les anciennes famines autrefois et la nécessité de travailler la terre ou de chercher sa nourriture en mer, sur les rivages ou des cultures. Tout ça dans une nature parfois hostile avec les tempêtes et les fortes pluies, la neige et la grêle qui pouvait apparaitre sans prévenir. La nature ici a toujours été difficile mais aussi très généreuse avec nous l’écart entre ce qu’elle nous apporte et ce qu’elle nous prend ou nous a pris par le passer et certainement plus important que dans d’autres régions de France.

     

    La Nature à nos yeux elle est complexe et regroupe plusieurs choses importantes 

    1. L’environnement, l’habitat et les milieux naturels, terrestres et marins.

    2. Les Paysages, le côté sauvages, les parties aménagés ou altérés par l’homme.

    3. La Structure de la Nature, la météorologie, la biologique, la biosphère, l’étude de l’équilibre des écosystèmes, la géologie ou la science tectoniques.

    4. Ensuite l’étude des groupes vivants les animaux et les plantes. Les espèces lié a un milieux en particulié, les espèces migratoires. Et pour les plantes leurs saisonnalité ainsi que la botanique. 

    5. Les sols et le milieux, avec les roches et l’étude des mineraux et des éléments comme l’air et l’eau. 

    6. Les Micro-organismes la vie dans son niveau le plus petite, le fongique, le bactérien et le microbien.  

    7. Les Cycles naturels, les quatre saisons, les cycles lunaires, les cycles plus vaste du climat comme la glaciation, le réchauffement ou le cycle sylvigénétique avec les migrations des espèces d’arbres par exemple.

    8. Le cycle primordiale qu’on retrouve partout dans la nature, celui de la naissance et de la mort.

     

    Mon approche de la nature et le respect ainsi que l’amour que j’éprouve envers elle est plutôt manifester par la poésie, la paroles en générales, parler d’elle, transmettre des histoires lié aux esprits de la natures qui l’habitent.  Et je m’attache à de petites choses. Les petites choses qui me touchent le ciel, ses contrastes avec les nuages et le soleil, les ombres et la lumière dans le paysage. 

    La beauté des rivages en Bretagne, la clareté de l’eau bleu pur avec ses reflets verts, les roches de granites grises, bleu foncé et rose sur la côte du côté du Bro-Sant Brieg.  Et les Monts d’Arrée que j’aime tant, les fleurs de bruyères en fleurs en été et leur couleur brulé en automne-hiver. Les roches dans la forêt de Brocéliande là partie du côté de Huelgoat avec la beauté de ces roches rondes et couvertes de mousses dans la forêt et la chaussée des géants qui serpente dans les bois, on jurerais entendre la voix de merlin dans les sous-bois. Toute cette beauté qui contrebalance la laideur que nous pouvons voir dans le monde des hommes, les hommes entres eux, souvent les rapportes sont très conflictuels fait d’émotions négatives, de soucis, de considération intérieure contrefaite par la dureté du monde dans lequel ils évoluent. La Nature et sa simplicité et sa beauté. Son ordre et sa fragilité, ses cycles et son équilibre. Elle est le meilleur térapeute qu’on puisse avoir, elle nous montre comment retrouver plus de calme et de stabilité. Quand j’ai un soucis ou que j’ai des périodes difficile c’est toujours vers elle que je me tourne. Des lieux comme les monts d’Arrée ou les Menhir du côté de Saint Brieuc, l’île de Batz, la pointe de Perharidy du côté de Roscoff  ou les forêts profondes, comme Huelgoat, Penhoat ou Koat ar gwenn. Tout ces lieux sont important et fond partie des histoires que je raconte quand je fait le conteur. Evoquer les esprits des lieux et remettre un peut de poésie et démerveilleument, du merveilleux dans le cœurs des gens qui viennent m’entrendre raconté nos légendes et nos histoires quand je vais a l’hopitale de Perharidy. 

    La vie est souvent difficile pour les gens, et j’ai remarquer que la nature peut nous aider a nous souvenir d’où nous venons et nous rendre un peut de « noblesse » alors a travers les histoires de chevaliers et de héros qui triomphent du dragon, ou accomplissent une quête. 

    A nous d’acomplire nos propres miracles, nos prores quête de nous même. La nature elle est toujours là pour nous et malgrés les choses désagréable que nous lui faisons subire, elle se relève toujours, après les incendis de forêt et les inondations du au bétonnage des zones résiduelles. Les arbres repoussent toujours et les oiseaux reviennent chanter dans les prairies d’été. Elle reprend ses forces. Elle se remet a vivre avec justesse et elle retrouve son équilibre. 

    Penser a la nature comme une exemple pour mieux vivre, se souciers des êtres vivant qui l’habite et aussi honorer les esprits gardient des lieux et de l’ancienne tradition. C’est comme cela que je me sens proche de la nature et que je l’aborde avec plus de conscience. 

    La noblesse c’est je pense notre rôle a chacun, nous tenire droit extérieurement et intérieurement, quand des petites choses affectes ou nous perturbes, et retrouver ensuite notre équilibre, ensuite pour les grandes perturbation ou les grands obstacles que la vie placera en face de nous, nous pourront plier pour nous redresser ensuite. Tout ce qui existe en ce monde, trouve son commencement, grandie, prospère évolue et décline pour finir par disparaitre, et revenir ensuite sous une autre forme. De même les situations d’équilibre peuvent rencontré des événements perturbateurs, qui provoque déséquilibre et destructions, derrière quand la pérturbations disparait le calme et la paix reviennent, la situation d’équilibre s’en trouve restaurée de nouveau. S’inspiré des cycles de la nature, ça nous pousse a prendre conscience qu’il y a des cycles partouts dans nos vies personnelles, dans l’existence collectives des hommes, dans la vie en générale et que tout est lié ensemble. Et que ce qui nous lie tous sur terre c’est la nature.

    Conclusion de la conscience à la nature :

    La nature est notre mère, elle nous nourris et c’est aussi notre maison, l’endroit ou nous vivons tous, nous partageons tous cette même planête. La Terre, The Earth ou Ar Bed. Peut importe comment nous l’appelons. La terre c’est la mémoire aussi, c’est elle qui a nourris les premiers enfants de l’humanité. Le sang des ancêtres qui ont combattu pour protéger leur famille ou la sueur des paysans qui l’on retournés pour la cultiver et nourrire leur femmes et leurs enfants. Nous sommes les enfants et les arrières petits enfants de ces gens là qui vécurent autrefois. Et c’est encore a traver la terre que nous sommes tous lié a eux. La mémoire qui est contenue dans les lieux ou nous vivons, les villages ou nous avons grandie, les voyages que nous avons entrepris nous aussi. Et les esprits des lieux le Korrigan ou le Lepreuchaune qui guette son or dans la colline, ils ont d’importantes choses a nous dire, des secrets sur nos anciens qu’ils sont les seuls a connaître. En avoir conscience, savoir que nous ne sommes pas seul dans notre coin de nature nous aide a nous éveiller à autre chose. La vie n’est pas faite que de labeur quotidien. Nous ne sommes pas tous perdus dans le monde moderne, avec ses attitudes et ses modéles de pensés souvent mécanique ou automatique. Des pensés sans conscience Ou l’âme des choses ont été perdues. Non  le travail a faire pour retrouver la cosncience de la nature n’est pas si complexe qu’il n’y parrait non plus. Il nous suffit d’observer comment fonctionne la nature et de nous observé nous même après. Comment réagit la nature face a une tempête ? Et comment réagissons nous face a des difficultés ? Alors en observant nous devenons conscient et si une de nos atitudes nous déplait, que nous trouvons qu’elle n’est pas juste ou pas utile. Alors nous pouvons nous adapté et en adopté de plus belles avec conscience. 

    La Nature est une grande libératrice, c’est elle aussi qui nous apporte le retour vers une situation d’équilibre, quand je pense a elle j’ai comme beaucoup de personne l’image d’une mère qui prend ses enfants dans ses bras. Elle nous fait comprendre que tout dans la vie n’est que transitoire, les situations conflictuelles, les joies et les moments de sérénité ou les choses désagréables ou douloureuses. Tout cela ne représente que de simple étapes dans nos vies. Et la nature serra toujours là pour nous, avec nous. 

     

    Pour conclure je pense a la sagesse Druidique de Jean-Paul Bourre dans son livre de receuille de triades bardiques et de sagesse populaire Druidique : « Préceptes de vie issu de la Sagesse Druidique » qui dit a propos de la Nature page 20.

     

    « -Aie chaque jour une pensée pour le miracle de la vie, son mystère, ses enchantements. Gratitude à notre mère la Terre, voyageant nuit et jour, et à son sol, riche, fertile et tendre. Gratitude aux animaux sauvages, nos frères détenteurs de secrets, qui partagent leur lait avec nous, courageux et éveillés. Gratitude au soleil, à travers la brume, réchauffant les cavernes où dorment ours et serpents, lui qui nous éveille. Gratitude au ciel immense rempli d’étoiles, par delà tous les pouvoirs et toutes les pensées, et qui cependant est en nous. Qu’il en soit ainsi dans nos esprits. »

     

    Ecrit par Eikthyrnir Odinson pour le travail du Dedicant Path

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