• Attention a l'abus d'Alcool dans les blots

    Attention a l'abus d'Alcool dans les blots :


    Nous savons par les textes anciens comme les Hávamál que l'abus d'alcool était déconseillé et que les participant, le Druide/Godi ou les gens du Thingmenn ou de l'Innangardh prenaient le risque de perdre leur esprit, par rapport a l'alcool. Alors un question que beaucoup vont ce poser : « Est ce que perdre son esprit veux dire qu'on est ivre ? » Mais nous savons aussi de par les Sagas que les repas avaient quelque chose de sacré, de même pour l'alcool, le fait que celui ci change notre perception et face tomber nos barrières intérieurs étaient quelque chose de magique et de sacré, mais comme toute les bonnes chose, le Viking ne devait pas en abusé. Il est probable qu'il y ai eu la même recommandation chez les Celtes (Bretons-Pictes ou Gaéliques). On connaît l'usage sacré et rituel de l'Hydromel chez les Celtes et les Scandinaves.

    Contrairement aux croyances, après une bataille ou lors d’un banquet, les Vikings ne buvaient pas dans les crânes de leurs ennemis. Les banquets étaient très importants. Bien boire et bien manger comptaient certainement au nombre des liesses du viking, comme il sied en culture rurale où la chère quotidienne n’est pas toujours abondante et raffinée, et en économie de pénurie qui ne fait pas bombance tous les jours.
    Ce n’est pas dire pour autant que la provende était maigre ou chiche, mais nous sommes, malgré tout, en pays pauvres où l’ordinaire devait être assez fruste. En fait, la journée ne comptait guère que deux repas. Le premier était, de loin, le plus important, pratique que les pays germaniques ont plus ou moins maintenue avec leur petit déjeuner consistant, qui se prenait vers neuf heure du matin, une fois terminée les premiers travaux de la ferme concernant le bétail en particulier. Le second était une sorte d’équivalent de notre souper, intervenait le soir, la besogne de la journée étant terminée, vers neuf heure du soir.
    Les repas étaient donc comme partout au Moyen Âge, avec la confection d’un fond de sauce, sorte d’équivalent de notre moderne ketchup, accessible en permanence, le mets à tout faire étant un gruau, à base de céréales, dont se souviennent fort bien les Anglais (porridge) ou les Scandinaves (gröt). Il s’accompagnait de »pain », en vérité de »pain croustillant » (les pains Vasa), composé d’orge. Sur ce pain, on étalait du beurre, toujours salé pour en assurer la conservation, entreposé dans des seaux ou des boîtes commodes à emporter en cas de navigation. Le plat de consistance était du poisson, bien plus souvent séché que frais, en principe cuit à l’eau, parfois grillé, et consommé avec des algues également séchées ou avec certains légumes comme les pois et les raves. La viande était plus rare. La norme était sans doute de la battre puis de la faire bouillir comme il se trouve encore en Europe centrale, mais l’archéologie a retrouvé un nombre important d’ustensiles pour la faire griller, dont certains fort originaux et pratiques, comme cette longue tige de fer terminée par une spirale du même métal. Les assiettes ou, plus exactement, les écuelles de bois existaient, chacun, homme et femme, ayant son propre couteau et sa cuiller de bois ou de corne. Bien entendu, la fourchette n’existait pas plus là qu’ailleurs.
    De nombreux plats creux en bois ou tranchoirs attestent que certaines pâtisseries n’étaient pas inconnues. On les sucrait avec le miel des abeilles, que l’on savait recueillir en enfumant les ruches. Ajoutons que toutes sortes de soupes ou de décoctions diverses étaient d’usage : les chaudrons, marmites, bouilloires que l’on a retrouvés un peu partout, parfois accompagnés de louches à long manche pour remuer le liquide et servir, en sont la preuve. Les produits laitiers étaient nombreux et variés, les principaux étant une sorte de lait caillé dont les vikings étaient friands, et du petit-lait qui tenait lieu de boisson courante.
    Le fromage, de chèvre sans doute, figurait également au menu et était, comme partout, pressé à la forme. Les fruits n’étaient pas absents, mais on imagine sans peine qu’ils n’avaient ni la richesse ni la variété que connaissent les pays du Sud. Nos textes ne mentionnent guère que des pommes, des noisettes et des noix, qui semblent, d’autre part, avoir joui d’un prestige particulier dans certains mythes religieux, et surtout des baies, toutes sortes de baies, dont, de plus, on pouvait faire une espèce de »vin ». Il est clair, toutefois, qu’une bonne ménagère ne disposait pas d’une palette illimitée pour enrichir ses menus.
    Nos sources, significativement, insistent beaucoup plus sur la boisson, le fait de boire, que sur les victuailles à proprement parler. C’est qu’il s’agissait là, plus que de la satisfaction d’un besoin élémentaire, d’un geste convivial dont l’importance est tout à fait compréhensible dans une société de type plutôt familiale, et où l’hospitalité était de rigueur.
    Cela dit, que buvait-on, en dehors de l’eau et du lait? Avant tout de la bière, mais le terme bière recouvre diverses réalités, encore que, dans tous les cas, il se soit agi de malt, d’orge, plus rarement de houblon fermentés, et, d’aventure, épicés. Les textes ne font pas toujours nettement la différence. La fabrication de ce breuvage était apparemment une affaire délicate et importante, il arrivait qu’elle fût confiée aux soins d’un spécialiste, certains ayant la réputation de la faire réussir, d’autres, non. Le vin était importé par définition et n’a connu de fortune que littéraire. Le mythe qui veut qu’Odin, le roi des Dieux nordiques, ne se soit nourri que de vin, est à l’évidence symbolique. Mais la boisson par excellence était l’hydromel.
    En tout état de cause, ces boissons étaient très probablement fortes et les vikings ne semblent pas avoir très bien supporté l’ingestion des boissons alcoolisées. Non seulement l’ivresse était pour ainsi dire la conclusion obligée de tout banquet. On buvait dans des cornes, naturelles ou de métal, voire de bois, fort souvent très artistiquement décorées, peintes, gravées, rehaussées de plaques de métal et disposées sur d’ingénieux supports. La verrerie, sans pied, était importée de l’étranger, de Rhénanie surtout. Sinon, comme le prouve la tapisserie de la reine Mathilde, à Bayeux, on utilisait des coupes sans pied, des sortes de gobelets très évasés. Dans tous les cas, c’étaient des récipients qu’il était pratiquement impossible de poser sur la table, il fallait les vider dès que pleins, d’où l’ivresse rapide des Vikings.
    Il existait des rites de table que nous pouvons reconstituer à partir de ce que disent les sources écrites, surtout en ce qui concerne la façon de boire. En général, on buvait à la ronde, chacun devant boire autant que son voisin. Il arrivait aussi que l’on bût tout seul, et, dans ce cas, c’était sans doute dans de plus petites cornes. L’habitude existait aussi de boire à deux, soit entre deux hommes, soit entre un homme et une femme, auquel cas les intentions du buveur masculin était claires! En règle générale, la corne circulait à la ronde ou passait à tour de rôle d’un rang à celui d’en face. De toute manière, boire d’abondance était tenu pour une grande prouesse, un vrai héros se devait de vider force cornes sans désemparer, quitte à restituer à la nature la boisson ingérée, chose qui, apparemment, ne tirait pas à conséquence.
    On ne sait, au total, si le banquet était prisé pour les vivres que l’on consommait ou plutôt pour l’occasion qui était offerte de passer en compagnie plusieurs heures, de deviser ensemble, chose apparemment rare, de plaisanter ou de célébrer la mémoires des grands ancêtres.
    Pour en revenir a la boisson le Hávamál dit deux choses :
    D’abord que l’alcool, et en particulier l’excès de celui-ci amène à faire n’importe quoi, Odin nous prévient même que cela peut être dangereux, car lui-même a déjà été affecté par l’abus d’alcool alors qu’il est un dieu et que nous sommes des humains; c’est du simple bon sens.
    L’autre chose qui est dite de manière un peu détourné est que l’ivresse peut amener à la créativité, MAIS (et on rejoint ce qui a été dit plus haut) que c’est dangereux pour les humains qui perdent trop facilement l’esprit, donc le bon sens, quand ils boivent alors que sans bon sens on en peut pas se déplacer, dans le monde réel ou en esprit (strophe 11).

    La consommation d’alcool dans la société Nordique était hautement ritualisée et les soirées festives étaient aussi l’occasion d’effectuer des rituels socio-religieux très importants établissant l’ordre de la société (l’hydromel était servi par la maîtresse de maison dans un ordre bien précis) et les liens entre les hommes, vivants et morts (le sumbel). Ces moments n’étaient pas tristes d’abstinence, mais y boire plus que de raison au point de "perdre l’esprit" semble avoir été extrêmement mal vu. Cela est toujours le cas dans les cérémonies actuelles où c’est un comportement peu apprécié qui fait courir le risque de ne plus être invité.


    Les boissons durant les blots et chez les vikings:
    Les boissons alcoolisées ont eu une place importante dans la culture viking, et la bière était la boisson la plus courante. Cependant, les peuples scandinaves avaient une conscience aiguë des périls et dangers de l'ivresse.
    L'hydromel
    L'hydromel (mjöðr en vieux norrois) est l'une des boissons alcoolisées les plus anciennes en Scandinavie. Dans les Sagas, l'hydromel est la boisson des poètes, de l'éloquence. Le service de l'hydromel s'illustre dans la littérature comme le devoir et la prérogative des rois.
    À la différence des ruches modernes, composées de cadres en bois amovibles, les ruches de l'Age Viking étaient des dômes de paille enroulée qui sont à l'origine de notre représentation iconographique de la ruche encore aujourd'hui, et qui exigeaient que les colonies d'abeilles soient décimées pour prélever la cire et le miel, soit par étouffage en brulant une mèche souffrée, soit par noyade.
    La bière
    La céréale de base cultivée durant l'époque des Vikings était l'orge, et il se peut même qu'elle ait été la seule céréale cultivée en Islande jusqu'au moment où la petite période glaciaire du XIVème siècle rendit tout à fait impossible la culture des céréales. L'orge était utilisé pour brasser la bière, qui était la boisson de base de toutes les classes sociales. Même les enfants buvaient la bière au quotidien, en particulier dans les zones les plus fortement peuplées.
    [ Alors qu'aujourd'hui les noms modernes "bière" et "ale" sont presque interchangeables, au départ les deux boissons étaient très différentes. Selon les sources littéraires, le nom en vieil anglais ealu et le nom en vieux norrois ol sont appliqués à une boisson produite à partir de céréales maltées, alors que le nom en vieil anglais beor et le nom en vieux norrois björr sont appliqués à une boisson alcoolisée sucrée. Jusqu'à très récemment, les philologues pensaient encore que beor et björr étaient des dérivés du mot pour "orge" alors que le terme désigne probablement le "cidre" (qu'il s'agisse de pommes ou de poires) à l'époque des Vikings. Les traductions anglaises des Sagas traduisent les deux termes öl et björr indifféremment par bière ou ale, et ne sont donc pas un bon guide concernant la terminologie utilisée dans les textes originaux en vieux norrois. Pour parachever la confusion, une variété de termes en vieux norrois liés aux boissons fermentées apparaissent dans les versets 34 et 35 du poème eddaïque Alvíssmál, et tous sont implicitement des synonymes. Le terme mungát lui, désigne une bière particulièrement forte.]
    Les recettes exactes et les méthodes que les scandinaves de l'époque viking utilisaient pour produire de la bière sont inconnues. Cependant, des experts pensent que certaines pratiques du brassage de la bière en milieu rural de l'Ouest de la Norvège peuvent avoir hérité des techniques vikings.
    Dans la région rurale éloignée de Voss (comté du Hordaland, Norvège), la plupart des agriculteurs font leur propre bière. [...]Jackson est parti avec l'agriculteur Rivenes Svein collecter des branches de genévrier. Rivenes scie suffisamment de branches pour remplir les 700 litres du réservoir en forme de baignoire dans sa cabine qui sert à la fois de contenant pour la liqueur et de cuve à brasser. Il estime, de même que les moines médiévaux [...] appréciaient le houblon dans leur bière, et que les branches de genévrier, complètes, avec les baies, l'ont aidé à la fois à réaliser un meilleur extrait de son malt et à constituer une parade contre les infections.
    Sa source d'eau - un courant dévalant la colline en amont de sa cabine - a une double fonction. C'est son eau de brassage et il immerge donc des sacs d'orge dans le ruisseau où le grain commence à germer. Un voisin a transformé son garage en étuve, alimentée par un ventilateur de chauffage domestique, et là l'orge est transformé en malt. Dans le processus de brassage, quand l'eau a été ajoutée au malt, le moût est filtré par plusieurs branches de genévrier. Les baies donnent de la saveur au moût- comme elles le font dans le gin et autres spiritueux distillés - mais Rivenes ajoute aussi du houblon lorsque le moût est cuit. La levure utilisée dans la région de Voss a été transmise de génération en génération et Rivenes pense qu'elle peut remonter à l'époque des vikings. Les agriculteurs-brasseurs des terres nordiques commence la fermentation avec un "bâton totem" qui transmet les cellules de levure d'un brassage à l'autre.
    La bière brassée par Rivenes Svein est, selon Jackson, autour de neuf ou dix pour cent d'alcool, avec un caractère riche en malt, un corps sirupeux, un goût prononcé en raison du genièvre et est particulièrement goûtue. Jackson étudia un échantillon de la levure à son retour en Grande-Bretagne ... La levure de fermentation fut classée comme une levure de bière traditionnelle, la levure Saccharomyces Cerevisiae, mais elle était différente de plusieurs manières d'une levure de bière moderne. Elle a des caractéristiques gustatives différentes. Elle est multi-souches alors que les levures de bière plus modernes sont mono ou bi-souches. Les levures modernes ont été soigneusement cultivées pour attaquer différents types de sucre dans le moût et, lorsqu'une une bière est conditionnée en tonneau, pour encourager une puissante fermentation secondaire ...
    A noter qu'il est peu probable qu'une authentique bière viking fut brassée avec du malt pale: jusqu'à la révolution industrielle et l'exploitation commerciale du charbon, le malt étuvait sur des feux de bois, brunissait et souvent roussissait, souvent avec un caractère fumé, quoique la coutume en Scandinavie de faire sécher le malt dans des saunas puisse l'avoir fait pâlir. (Protz, Roger. The Ale Trail: A celebration of the Revival of the World's Oldest Beer Style. Orpington, Kent, UK: Eric Dobby Publishing Ltd. 1995, p. 25-26)



    Les allemands et les scandinaves sont connus pour ajouter une variété d'agents naturels, comme le genévrier, ou gruits (mélange de plantes) à leur bière afin de produire de l'amertume ou pour donner d'autres saveurs, tuer les bactéries et ainsi prolonger la "durée de conservation" du produit, voire ajouter à la boisson des qualités médicinales dans certains cas (Protz, p. 20, la Pensée, pp.128-144). Le houblon était l'un de ses additifs utilisé au Danemark de l'Age viking et au Xème siècle à Jorvik (soit le York moderne, en Angleterre) et probablement ailleurs en Scandinavie pendant l'époque des vikings (Hagen, pp 210, 211; Roesdahl, p. 119). Le houblon, lorsqu'il est bouilli avec le moût dans le processus de fabrication de la bière, libère des acides amers, qui à la fois donne le goût amer et ajoute des propriétés antibiotiques qui permettent une meilleure conservation de la bière. D'autres additifs à base d'herbes comprennent la balsamite ou alecost (Chrysanthemum balsamita), le lierre terrestre (Glechoma hederacea), le piment royal ou la myrte des marais (Myrica gale) surtout utilisés au Danemark, en Allemagne du Nord et en Angleterre, le marrube (Marrubium vulgare, appelé Berghopfen ou "houblon de montagne" en Allemagne où il a été utilisé comme substitut du houblon), l'achillée millefeuille (Achilea millefolium) et autres (La Pensée, pp.128-144, Hagen, p. 212).
    Le brassage était habituellement le travail des femmes dans l'Islande médiévale, et il en était probablement ainsi dans toute la Scandinavie à l'époque viking. Une étude archéologique en Norvège, portant sur un grand nombre de pierres craquelées découvertes dans les fermes de l'époque, défend l'hypothèse selon laquelle les Vikings brassaient leur bière aux moyens de pierres chauffées (
    Les Vikings brassaient leur bière à la pierre selon une étude archéologique).



    La consommation de bière avait une dimension rituelle, notamment à l'occasion de plusieurs fêtes religieuses et saisonnières, dont trois célébrées par les vikings de Scandinavie: la première se déroule après la récolte, la seconde aux alentours de la mi-hiver, et la dernière à la mi-été. Ces fêtes ont continué à être célébrées après l'introduction du christianisme, bien que sous des noms nouveaux.
    Les sources historiques révèlent que la consommation de bière lors de ces fêtes, même à l'époque chrétienne, resta très importante: la loi Gulaþing exigeait qu'un goupe d'au moins trois individus s'attèle au brassage de la bière qui serait consommer aux incontournables banquets de la Toussaint (1 Novembre), de Noël (25 Décembre -Yule), et lors de la fête de saint Jean-Baptiste (le 24 Juin). Ceux qui n'avaient pas réussi à brasser la bière pendant trois années consécutives devait donner la moitié de leur ferme à l'évêque et l'autre moitié au roi, puis quitter le pays. Seules les très petites fermes étaient exemptées de cette réglementation stricte.
    Les festivités ou occasions plus ordinaires, célébrées aujourd'hui encore, sont si étroitement associées à la bière qu'elles sont connues sous des noms ayant le suffixe "öl" ("bière") telles que Gravöl (une veillée, ou "funérailles- bière"), Barnöl (un baptême, ou "enfant-bière" ) et taklagsöl (une édification de grange, ou "toiture-bière"). (Nylen, Anna-Maja. Swedish Handicraft. New York: Van Nostrand Reinhold. 1977., p. 57).


    Le vin
    Le vin est la boisson fermentée la plus recherchée mais la plus onéreuse en Scandinavie.
    Le vin de raisin était essentiellement importé de la Rhénanie au Danemark, en utilisant les comptoirs commerciaux de Dorestad et Hedeby. En conséquence, le vin était réservé aux riches et aux puissants.
    Deux pépins de raisin datant de la fin l'Âge du Fer et de l'Âge Viking qui ont été découverts en 2017 sur le site aristocratique de Tissø (île de Seeland, Danemark) indiquent que les Vikings ont probablement cultivés de la vigne localement. Les conditions de production de vin à l'Âge Viking, et peut-être même au début de l'Âge du Fer, étaient réunies:

    1. Les Vikings ont pu acquérir les connaissances nécessaires à la viticulture au cours de leurs voyages en France et en Angleterre.

    2.  Les Vikings avaient un goût prononcé pour les boissons alccolisées.

    3. Le climat, avec l'optimum climatique médiéval, le rendait à cette époque semblable au nôtre sous ces latitudes,

    4. Un notable viking avait une motivation évidente à produire du vin comme un symbole ostentatoire de son pouvoir.

     

    Les scientifiques ne sont pas encore en mesure de déterminer si la viticulture servait à consommer des raisins frais, à produire des raisins secs comme aliment pour les longs voyages en mer ou bien à fabriquer du vin.(Danemark - Les Vikings ont peut-être bien fait pousser de la vigne)

    Une très petite quantité de vins de fruits était exclusivement réservée à un usage sacramental.
    Le jus de bouleau a pu également être utilisé pour fabriquer des quantités limitées de vin.


    Source:
    http://idavoll.e-monsite.com/pages/vie-quotidienne/l-alimentation-des-vikin…
    et l'Edda Poétique.

     

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