• Le rôle extrêmement important des Druidesses et des Femmes

    Le rôle extrêmement important des Druidesses et des Femmes:

     

    La notion de souveraineté et de féminité ce trouve personnifiée entre autres par les trois déesses Eiru, Le rôle extrêmement important des Druidesses et des FemmesBanba et Morrigù et par d’autres déesses comme Dana, est une notion très importante pour les celtes, faisant partie de leurs valeurs maîtresses. Elle symbolise le lien du peuple avec sa terre, souveraine dans le sens de généreuse (flaitheas, souveraineté, est étymologiquement très proche de flaithiuil, générosité) : elle fournit nourriture, matériaux pour s’abriter, et pour cela, les hommes doivent la respecter.
    A chaque nouveau couronnement donc, on renouvelle l’alliance avec la terre, pour lui montrer notre respect, et s’assurer sa générosité pour les années du règne à venir. La souveraineté n’est donc pas la suprématie du roi sur son peuple, mais une sorte de gage de confiance entre un peuple et la terre sur laquelle il habite : s’il la traite avec sagesse et en paix, elle le rendra en fournissant chaque année de quoi subvenir à ses besoins

     

    Le femme chez les celtes :

    Les Celtes constituent une civilisation patriarcale protohistorique de peuples Indo-Européens. 
    Le caractère nettement patriarcal de la société celtique est révélé par la structure de l’habitat (maisons indépendantes destinées à accueillir une cellule familiale restreinte).

    Bien que patriarcaux, leurs us et coutumes recèlent de nombreux vestiges de matriarcat des peuples autochtones conquis. L’ère celtique est la transition du matriarcat néolithique au patriarcat indo-Européen.


    Ce que disent les auteurs anciens :
    Le trait que tous les auteurs anciens soulignent le plus volontiers est celui du courage des femmes. Loin de se tenir loin des combats, les femmes sont prêtes à se lancer dans la mêlée pour venir au secours des hommes.


    Ce qui apparaît avec sûreté à la lecture des différents auteurs antiques, c'est que les Celtes ne connaissaient pas la même structure sociale que les Grecs ou les Romains.

     

    Chez les Celtes, la femme est consultée sur les questions qui sont du plus haut intérêt et cela comprend les problèmes politiques.
    Il est intéressant de noter que Plutarque s'attache tout particulièrement à présenter la vertu des femmes celtiques.


    Il nous en donne quatre exemples qui révèlent :
    – L'indépendance de la femme dans le cercle familial : c'est l'un des traits les plus sûrs que tous les auteurs ont souligné.
    – La préminence du groupe femmes / hommes ,sur la famille de type romain (dirigée par un paterfamilias).
    – Le courage des femmes celtiques.
    – Leur violence aussi : on n'oubliera pas que les Celtes ornaient leurs portes des têtes des ennemis qu'ils avaient tués au combat

     

    Le rôle important de la Femme Druide :

    Les Druidesse avaient un grand rôle, celui de prolongé la vie et d'honorer la venu des enfants de s'occuper de la continuité de la transmission du savoir, d'offrir abondance et cœur au groupe humain sur lequel elles veillaient, ce sont aussi les femmes qui s'occupaient des morts et des souffrant dans après les batailles. Les mots le verbe la magie qui boue en elles leurs vient des dieux.

     

    les légendes celtiques relatent souvent les conflits et tragédies résultant du passage du matriarcat « primitif » au patriarcat du « progrès », du droit maternel (liberté sexuelle et amoureuse) au droit paternel (mariage, virginité, et répression sexuelle).

     

    Elles témoignent de cette nostalgie d’une ancienne ère révolue, paradis perdu sous les traits du monde de Féérie, le Sidh (« l’autre monde », ou monde des esprits,

     

    Quand on reprend les légendes celtiques on peut voir que dans l'imaginaire celtique les Fées sont les descendantes des Druidesses chargées jadis du culte de la nature et de transmettre la paix après les bataille.

     

    Le Sidh ou l'îles d'Avalon ces univers parallèles ou sous les eaux, et par delà les océans, royaumes où règnent les puissantes fées, îles merveilleuses des femmes, des Druidesse, de la jeunesse et de l’abondance, où le temps et la souffrance ne sont plus.

    Rien n'est mieux pour apaiser le cœur meurtrie d'un homme après une bataille que l'esprit, la sagesse et la douceur d'une femme.

     

    Les Panthéons Celtiques sont peuplés de nombreuses Déesses telles Brigit, mère de tous les dieux. Elle règne sur les arts, la guerre, la magie et la médecine.

    Mais aussi Dana, la mère primordiale de l’ancienne race elfique des Tuatha Dé Danann (fils de Dana). Ce sont des héros et des magiciens et des femmes sacrées Ban-Sidh (femme du Sidh). Ils maîtrisent le druidisme, le savoir et les arts. Ils vinrent d’îles merveilleuses au nord du monde, pour régner sur l’Irlande jusqu’aux invasions Aryennes des Milésiens (celtes venus en 500 av-JC).

     

    Les Druidesses en Irlande et en Ecosse étaient connue sous le nom de Bean-Draoidh,  BanduaidBanfhlaith/ Bean Faith ou Banfhilid Bean Fili, les Druidesses étaient alors comparables aux vestales Romaines, elles étaient gardiennes du feu. On retrouve dans le « Dinnsenchus » de Rennes une description fort complète de leurs actions. 

     

     

    La femme chez les Vikings :

    Les découvertes archéologiques, les lois et la littérature du Moyen-Âge ainsi que les inscriptions Le rôle extrêmement important des Druidesses et des Femmesruniques et diverses représentations (amulettes, tapisseries...) sont les principales sources à disposition pour esquisser le rôle et le statut des femmes dans la société de l'Âge Viking.

    Dans la société de l'Âge Viking, les rôles étaient clairement définis selon le sexe.

    La femme viking commençait probablement dès l'enfance par apprendre à accomplir les arts ménagers et les pratiques agricoles, suivre les préceptes de sa famille, connaître les lois de la morale en vigueur et servir l'intérêt du clan. En ce sens, Régis Boyer relève que la femme était l'âme d'une société dont son mari n'était que le bras. Car c'était elle la gardienne des traditions familiales qu'elle inculquait à son tour aux enfants.

    Avec les hommes qui partaient en expéditions guerrières ou commerciales, la gestion quotidienne de la maisonnée ou de la ferme devenait l’apanage de l'épouse du propriétaire, la húsfreyja ( « Qui est comme Freya » ou « Gardienne de la maison » ), qui gagnait ainsi en autorité comme en indépendance et jouissait en retour pour cela d'un profond respect. En effet, l'épouse nordique participait de la sorte à la position et à la fortune de son mari. 

    "Les sagas de contemporains, par exemple, prouvent qu'elle n'était jamais tenue pour un objet de plaisir, qu'on la respectait et que ses avis étaient toujours écoutés."

    -Régis Boyer-.

    Les clés avec lesquelles plusieurs d'entre elles ont été enterrées symbolisent leur influence sur le foyer et leurs responsabilités domestiques, en particulier dans la distribution de nourriture.

     

    Toutefois, les femmes n'avaient bien évidemment pas le même statut, ni les mêmes prérogatives, selon la classe sociale à laquelle elles appartenaient.

     

     La femme esclave:

    La femme esclave est appelée ambátt (ambáttir au pluriel)Bien qu'on ne sache presque rien de la vie des servantes et des esclaves, il est aisé de concevoir qu'elles étaient généralement vouées au travail non qualifié, mais aussi aux tâches les plus lourdes et les plus ingrates.

    Les femmes esclaves moulaient le blé et le sel, un travail éreintant nécessitant l'usage d'un moulin à bras manuel, procédaient à la traite, au barattage et à la lessive. Au sein d'une exploitation agricole, elles pouvaient aussi prendre part à des activités telles que le pâturage de printemps pour le bétail, le labour, la plantation, la récolte, l'abattage et le filage.

    Les femmes esclaves s'occupaient aussi souvent des enfants. Egil Skallagrimsson possédait une esclave qui avait été sa fóstra (i.e 'nourrice') étant enfant. 

    Elles pouvaient être les servantes personnelles des maîtres des lieux, et rendre certains services occasionnels en tant qu'esclaves de lit.

    D'après les découvertes archéologiques, certaines d'entre elles ont été sacrifiées pour accompagner leur maître dans la mort.

     

    La femme de la classe moyenne :

    La vie de la grande majorité des femmes se limitait au foyer sur lequel, cependant, elles régnaient de plein droit, avec une autorité absolue.

    Les femmes devaient se marier, faire des enfants, les élever, prendre soin des personnes plus âgées et s’occuper de la maisonnée, c'est-à-dire de la plupart des tâches ménagères (la cuisine, le nettoyage, la confection des tissus et des vêtements) et, dans les fermes, de certaines tâches agricoles (en particulier la traite, la fenaison et les soins aux animaux).

    Les moeurs funéraires et les nombreux outils pour carder la laine, peigner le lin, filer, tisser et coudre,Le rôle extrêmement important des Druidesses et des Femmes découverts dans les tombes des femmes démontrent l'importance de leur rôle dans la confection des vêtements de toute la maisonnée, qui comprenait toutes les étapes de la fabrication : semer et récolter le lin pour la toile de lin ainsi que l’ortie et le chanvre pour les autres types de tissu; élever les moutons, les agneaux et les chèvres pour obtenir la laine. Les fibres devaient être filées, tissées, coupées et cousues pour en faire des vêtements. 

    Outre l'agriculture et la confection des textiles et vêtements, les femmes pouvaient gagner leur vie dans le commerce, que ce soit en famille ou seules responsables. Des balances de marchands et les poids trouvés dans des sépultures de femmes en Scandinavie suggèrent un lien étroit entre les femmes et le commerce. Le compte-rendu d'une mission chrétienne au IXème siècle, à Birka en Suède, un des grands comptoirs commerciaux vikings, rapporte la conversion d'une riche veuve, Frideburg, avec sa fille Catla, qui voyagea pour son commerce jusqu'au port frison de Dorestad.

     

    La femme de la noblesse :

    Les femmes dont parle les sagas ou dont l'archéologie met au jour les sépultures souvent riches d'offrandes funéraires, étaient majoritairement issues de l’aristocratie, à la tête de grandes maisonnées ou d'exploitations agricoles.

    Elles détenaient les clés du garde-manger et des entrepôts, contrôlaient les provisions et avaient sous leur responsabilité un personnel important composés de serviteurs et esclaves. Il est fort probable qu'en supervisant de grands travaux, elles aient pu gouverner par l'exemple et mettre la main à la pâte.

    La domesticité qu'elles avaient à leur service leur assurait sans doute plus de temps pour s'occuper d'elle-même et des moments de loisirs, chose rare et exceptionnelle dans la vie des femmes à l'époque des Vikings.

     

    Les femmes devant la loi :

    Les femmes n’avaient pas le même statut légal que les hommes et certains indices donnent à penser qu'elles n’avaient pas autant de valeur que les hommes dans la hiérarchie sociale. Mais les femmes jouissaient à l'Âge Viking de certains droits et dispositions légales parfaitement enviables pour l'époque. 

    Les filles étaient presque exclusivement les seules victimes d’infanticides, le meurtre des nouveaux nés. Les fils avaient plus de valeur, car ils pouvaient accroître les propriétés terriennes, la richesse et rapporter des honneurs, alors qu'il fallait marier les filles et leur donner des dots. De plus, le fait d’avoir moins de femmes se traduisait par une réduction du nombre de naissances et donc moins de bouches à nourrir. Cette coutume s’est poursuivie même après l’arrivée du christianisme.

     

    Les interdits :

    Légalement, une femme était placée sous l'autorité de son mari ou de son père. Le livre de droit islandais médiéval intitulé Grágás précise qu'il est interdit aux femmes de porter des vêtements d'hommes, de se couper les cheveux courts ou de porter des armes.

    Dans le droit succesoral, une femme ne pouvait pas hériter autant que ses frères. Et dans certaines régions, si elle avait des frères, elle n’héritait de rien. Toutefois, si le mari décédait sans héritier mâle ou si le fils mourrait du vivant de la mère, celle-ci entrait en possession de tous les biens.

    Les mariages étaient arrangés par le père ou d’autres membres masculins de la famille (bien que le consentement de la future épouse était souvent recherché), car les mariages représentaient avant toute considération sentimentale, des alliances familiales et claniques.

    Une femme pouvait demander le divorce, mais pour des raisons spécifiques. Et plus remarquable encore est le fait que dans le cas d’un divorce, une femme reprenait la dot, appelée heiman fylgia, qu’elle avait apportée au moment du mariage et qui constituait la plupart du temps la seule richesse qu'elle pouvait prétendre hériter de sa famille.

     

    Les lois protégeaient tout particulièrement les femmes contre l'attention non désirée d'un homme envers elles mais aussi contre la violence conjugale. A ce sujet, le Gulaþing de Norvège prévoyait même des dispositions spéciales selon que les violences avaient eu lieu ou non en public, et selon leur degré de gravité. Aussi, la violence conjugale est la raison la plus couramment invoquée pour un divorce dans les sagas. De temps en temps, une femme estimait que le divorce n'était pas une vengeance suffisante contre l'insulte d'une claque: Hallgerd dans la saga de Njal fut ainsi impliquée dans la mort de ses deux maris qui ont fait l'erreur fatale de la gifler.

    C'était un grave déshonneur pour un homme de blesser une femme, même accidentellement comme dans l'attaque d'un foyer.

     

    La Shield-maiden ou Skjaldmö :

    Le mot Shield maiden veux dire « Guerrière au bouclier » en vieux norrois c'est Skjaldmö.

    La Skjaldmö est une jeune femme guerrière armée d'un bouclier, elle est a l'image de Freya ou des Valkyries.

    Les valkyries, revêtues d’une armure, volaient au-dessus des champs de bataille, dirigeaient les combats, distribuaient la mort parmi les guerriers et emmenaient l’âme des héros au Valhala le grand palais d’Odin, afin qu'ils deviennent des Einherjar.

    Dans l'histoire on retrouve les traces des Skjaldmös dans les sources écrites, telles que Hervor (saga de Hervor et du roi Heidrekr), Brynhild (saga de Bósi et Herraud), Thornbjörg (Hrólfs saga Gautrekssonar) ou Veborg dans la Geste des Danois. Selon Saxo Grammaticus, 300 skjaldmös combattirent aux côtés des Danois à la Bataille de Brávellir, en 750. Il mentionne également Lagertha qui combattit aux côtés de Ragnar Lodbrok et l'aida à gagner la bataille en conduisant personnellement une attaque astucieuse sur le flanc des ennemis.

     

    Les Femmes Gythia/Völva :

    Les majestueux enterrements païens de femmes, bien que plus nombreux chez les hommes, démontrent qu’il y avait au moins certaines femmes qui exerçaient une grande influence, notamment en matière de croyances et pratiques religieuses.

    Les femmes étaient hautement considérées dans les affaires religieuses. Dans la société scandinave, la Völva, mot en vieux Norrois pour « Sorcière » ou « Voyante » et la Gythia, mot en vieux pour « Druidesse » ou « Prêtresse » (au masculin c'est « Gothi/Goði»). Elles étaient tout autant prêtresses que prophétesses.

    On faisaient appel a leur service pour les rituels publiques ou privés ainsi que dans les situations graves, à l'instar de la femme qui, avec l’aide de Gudrid, dirige les rituels païens pour mettre fin à la famine, dans la saga d’Eirik le Rouge. Son autorité était absolue et elle était largement rémunérée pour ses services.

     

    Le Gythia entre autres disciplines, pratiquaient :

    • Le galdr, soit la transe induite pas l'usage du nom des runes chanter.

    • Le spá, soit la prophétie et la voyance a distance, pratiquée par la spákona ( spámaðr pour les hommes).

    • Le Rùnmàl, soit l'art de la divination par les runes.

    • Le seiðr (littéralement  "bouillonnement, effervescence") soit l'enchantement, pratiqué par la seiðkona. Bien qu'il y ait eu aussi des hommes, les seiðmaðr, le seiðr exigeait tout particulièrement l'ergi (la féminité) car selon Snorri Sturluson, dans la Saga des Ynglingar, sa pratique rend faible et vulnérable, donc peu viril.

    Une chose est sur c'est que pour pratiquer le Seidr il ne faut pas avoir l'esprit trop rigide et garder son côté émotionnel développer pour pouvoir être réceptif aux dieux a leur message et fait la décorporation indispensable pour voyager en esprit, on retrouve cette pratique chez les celte avec l'Imbas Forosnai. Ce sont deux pratiques qui ne peut pas être réaliser par les personnes a l'esprit trop cartésien et fermer, trop « viril » comme peuvent avoir certains hommes.

     

    Pourquoi les Femmes ont plus de facilitées que les hommes :

    Alors pourquoi les Femmes sont meilleurs dans le domaine magique et sacré que les hommes ? La réponse pourrait être très simple il suffit de voir pourquoi le Seidr était plutôt pratiquer par les femmes, mais Odin le pratique, Odin est le dieux de la Poésie et de la sagesse sont esprit est l'ouverture même.

     

    Le problème des hommes c’est peut être qu'ils intellectualisent trop, ce qui aboutie souvent au fait de se couper de l'émotion et de l'instinct, du ressentit, comment appréhender l'awen sans affecte dans ce cas là??

    Les Anciens Druides, selon des sources romaines, débattaient et philosophaient sur la puissance des Dieux et leurs rôles dans le cosmos. Nous pouvons penser a l’oeuf cosmique du serpent qui engendra le monde ou a ça création par Odin et ses frères, Vili et Vé, a la création du monde a partir du géant Ymir, Pour d'autre religion c'est Brahma qui créa le monde ou alors le Dieu Unique qui envoya ensuite sont fils Jésus sur Terre. De faite avec beaucoup de recule et quand on a de l'expérience avec ses propres divinités on ne remet pas en question l'existence des autres, de plus qu'on peut parfois être amener a avoir des contactes avec des Divinités d'autres Panthéons et partie du monde.

    Bref la ou un philosophe va émettre l'idée que peut être le monde n'est pas la création d'un seul Dieu ou d'un seul Panthéon, la personne trop fermée dans sont intellect ne va pas chercher a philosopher mais vous dire qu'il a raison que c'est sont Dieu a lui qui a fait tel ou tel chose, il vous ressortira même la sources tamponné et dûment approuvé. C’est donc là tout le contraire de l’approche d’un philosophe qui lui va chercher des réponses ailleurs ou ce pausé d’autres questions de nature plus profondes ou existentiels.

     Les Femmes se pausent plus facilement des questions, elles qui connaissent les choses en profondeurs, qui ce questionne et éprouve les joies et les peines de ce monde avec plus d'intensité que les hommes, elles qui transmettent et porte en elles la vie.

    Elles approchent alors un sens profond des choses, a un niveau que les hommes ne peuvent pas toujours imaginer, et c'est pour ça que les Divinités de la vie, de la fertilité ou de la mort sont souvent des femmes, a l'image des Valkyries qui réconfortent les morts après leur trépas et une vie souvent faite de souffrances sur la terre.

    De façon concrète dans l'ensemble il est plus facile pour une femme de sentir son corps et de l'habiter. Elle est alors naturellement plus près de ce que nous appelons parfois la pleine conscience. Le fait d'être, de vivre le présent, d'être a ce qu'elle fait et éprouve,. La femme est plus proche alors de l'illumination spirituel de l'Awen que l'homme.

    Pour un homme ça va être plus long il est souvent cliver, de par sont éducation et les clichés dans lesquels la société l'enferme. Ça va être plus compliquer pour luis. Il va falloir qu'il travail sur ses émotions ou son absence d'émotion et son ego, souvent tout cela est lier a son histoire personnel. Parfois on peut avoir de l'aide, quand on est un homme et qu'une maladie nous force a réaliser ce travail. Il lui faudra dans ce cas là faire face et de regarder en soit même pour comprendre son histoire quand on est malade ça aide. Le développement de soit telles les techniques de reiki, de méditation ou d’aïkido peuvent l’y aider. La méditation, l’ancrage et beaucoup d’études et de recules sont souvent les choses les plus importantes.

    Les Femmes sont plus encline a faire ce travail sur elles mêmes sans difficulté, c'est pourquoi de nombreuses cultures anciennes choisissaient instinctivement des personnages ou des symboles féminins pour représenter ou décrire la réalité transcendantale.

    Cette dernière a souvent été symbolisé par la matrice qui donne naissance à toute chose dans la création et qui la sustente et la nourrit durant sa vie.

    Dans le Tao-te-king, un des plus anciens et plus profonds livres écrit sur le sujet de l'éveille spirituel, le Tao qui peut ce traduire par « être » est décrit comme « l'éternel et infini présent, la Mère de l'univers ».

    Les femmes lui sont plus proche que les hommes de par leur nature puisqu'elle « incarne » la femme au sens du sacré.

    Qui plus il est dit dans ces écrits que toutes les choses doivent retourner à la source que toute les choses se fondent dans le Tao. Seul celui ci se perpétue.

    Vu que la source est considérée comme étant de nature féminine, on attribue parfois à cet archétype féminin les polarités de la lumière et de l'ombre lier d'une part a la Mythologie et d'autre part a la Psychologie.

    La Déesse ou les Déesses on souvent deux Aspects, Elles donnent la vie et elles la reprennent. Comme Freya par exemple c'est la Reine des Elfes et des Valkyries ce qui fait d'elle une Déesse de l'Amour et de le Fertilité, mais aussi une Déesse de la Mort.

    Alors dans le Druidisme les obstacles sur le chemin de l'Awen et de sa lumière sacré qui apporte l'illumination sont-ils les mêmes pour les hommes que pour les femmes ?

    Je dirais que pour les hommes c'est bien plus dur et que peut d'entre eu y arrive vraiment. Les chaos et les aléas de la vie fond que les Femmes sont plus courageuses que les hommes, de plus c'est derniers doivent faire face a leur éducation, souvent quand ils étaient enfant on leur a appris a ne pas pleurer a ne pas montrer sa peine, a tout ravallé sans se plaindre. Pour eux il faudra déjà commencer par reconquérir leurs côté doux, tendre et leur émotions même les plus enfouis, parfois c'est douloureux, afin de devenir « Ergi » (sensible), c'est pour ça que ça peut être plus dur a une homme d’accomplir ce travail pourtant si important pour faire vibré l'Awen en soit quand on est un homme.

    On peut voir cette reconquête comme un chevalier ou un viking qui attaque une citadelle ou un château fortifier entourer de haut murs de pierres, et qui déniche un trésor pour revenir chez lui plus riche et plus sage.

     

    Ecrit par Eikthyrnir Odinson. 

    Sources qui m'ont aider à écrire ce sujet:

    « Histoire secrète des Druides » par Bernard Rio.
    « Les Druides un secret celtique bien gardé » par Morgan Brooks.

    « Les Celtes, Histoire et Dictionnaire » par Venceslas Kruta. Laffont.
    « La Bible de la Magie Naturelle » par Ann-Marie Gallagher.
    « Le Druidisme éternel, retrouver le chemin initiatique de nos Ancêtres » par François Willigèns.
    « Le Druidisme au Quotidien » par Viviane Le Moullec.
    « Fêtes et rituels du Druidisme » par Viviane Le Moullec.
    « Le Guide pratique de l'Asatru » par Patricia. M. Lafayllve.
    « La Mage de merlin l'enchanteur, rituels, charmes, sortilèges et potions celtiques » par Francine Boisvert.

    « Nouveau Calendrier Païen » par Glana-Claire Duclay.
    « Préceptes de Vie issus de la sagesse Druidique » par Jean-Paul Bourre.
    « La religion des Celtes » Par Jan De Vries

    « La Magie Blanche, un guide inspirant pour une vie enchantée » par Lucy Cavendish.
    « La Magie Celtique, connaissances de la Magie pour les situations de la vie courante » par D.J.Conway.
    « Almanach des Sorcières, une année sous le signe de la magie » par Opakiona Blackwood et Avy Raé.
    « Le Grimoire des Sorcières, créez votre propre livre des ombres » par Judy Ann Nock.
    « Mythes Celtiques, légendes, art et histoire » par James Harpur.
    « Les Mystères des Celtes, Mythes, cérémonies rituelles, croyances et légendes » par Stefand Mayorca.
    « Vivre la Tradition Celtique au fils des Saisons » Par Mara Freeman.
    « Sagesse Celtique » par Thérry Jigourel.
    « L'Edda poétique » par Régis Boyer.
    « L'Enclos des Ases, spiritualité des Peuples Nordiques » par Aurélia Petri.

    « B.A-BA Tradition Nordique » par Arnaud d'Apremont.

    « B.A-BA Tradition Nordique volume 2 » par Anne-Laure d'Apremont.

    Site internet: http://idavoll.e-monsite.com/

     

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