The ADF Clergy Training Program : Le programme d’étude du Clergé de ADF. 

 Clergy Training Program Course Outline – Baseline Training-

 

 Ethics 1

Il existe un certain nombre de théories relatives à l'éthique et au comportement éthique, mais toutefois, c’est une conception universelle dans le but de résoudre les dilemmes moraux est inexistant. L'éthique par définition est la systématisation, défendre et recommander des concepts de bon et de mauvais comportement. L'éthique 1 explorera l'éthique professionnelle telle qu'elle s'applique à la relation clergé-laïc ADF. L'objectif principal de ce cours est de permettre aux étudiants d'approfondir leurs connaissances professionnelles. Ici l'éthique à propos de travail concernera le clergé ADF, à travers la recherche, l'analyse, l'auto-introspection et l'élaboration d'un code d'éthique personnel de l’étudiant pour devenir Prêtre du clergé.

 

L’objectif principal :

L'objectif principal de ce cours est que les étudiants améliorent leurs connaissances en éthique professionnelle, en ce qui concerne leur travail en tant que clergé ADF, par la recherche, l'analyse, l'introspection et l'élaboration d'un code d'éthique personnel.

Les trois objectifs du cours :

Les étudiants approfondiront leurs connaissances des concepts éthiques de base et exploreront l'impact de ces concepts sur la relation clergé-laïcs.

Les élèves identifieront leur propre moralité et leurs valeurs personnelles et examineront l'impact potentiel de leur moralité et de leurs valeurs sur leur travail en tant que clergé ADF.

Les étudiants utiliseront leurs connaissances existantes des neuf vertus ADF ainsi que les connaissances nouvellement acquises d'autres principes et codes éthiques largement acceptés pour développer un code d'éthique personnel.

 

 

 

1.Vous devez trouver et fournir une définition appropriée, discutez de votre compréhension et fournissez des exemples illustratifs pour chacun des sept termes suivants : La morale, les valeurs, les préjugés personnels, les limites professionnelles, la confidentialité, le bien et le mal.

 

La Morale

 

Définition du dictionnaire Français du Larousse :

La morale est un ensemble de règles de conduite, considérées comme bonnes de façon absolue ou découlant d'une certaine conception de la vie : Obéir à une morale rigide.

Science du bien et du mal, théorie des comportements humains, en tant qu'ils sont régis par des principes éthiques

 Définition du dictionnaire Français du Robert :

1.Science du bien et du mal ; théorie de l'action humaine soumise au devoir et ayant pour but le bien.

La morale stoïcienne, chrétienne.

Synonymes :éthique

2.Ensemble de règles de conduite considérées comme bonnes.

 

La Morale est une notion selon laquelle nous agissons ou nous prenons une décision sur ce qui est bien ou mal dans un comportement ou dans une situation précise. La moralité d’une personne découle souvent de son environnement et de la façon dont c’est construite sa psyché dans la petite enfance.  Par conséquent, chaque personne aura une approche différente de ce qu’il qualifiera de ‘morale’. Il y a ici deux notions dans la morale, celle du groupe ou du pays. Et celle de l’individu ou de la personne. Nos vies moderne et le mode contemporain générera des conflits entre ces deux aspects de la moralité. Quand ce que pense une personne à propos de la moralité c’est différent de ce que pense un groupe de personnes ou un pays toute entier. Il serait facile ici de voir les problèmes de société comme en ce moment en Amérique avec le droit des femmes pour l’avortement ou en France avec l’immigration des personnes qui veulent vivre en France et devenir Françaises. Ici mais c’était aussi le cas pour le mariage des personnes de même sexe en 2013  donc il y a quelque année, ou concernant l’usage de la langue Bretonne ou des langues régionales en France, avec la Loi Molac il y a un an en 2021. Dans ces cas les moralités individuelles entre en conflit avec la moralité de la société toute entière. Mais c’est aussi comme ça que les mentalités évoluent et que les choses changent pour l’amélioration de la société toute entière.  Je pense qu’il ne faut pas oublier aussi que parfois les moralités individuelles permettent de faire changer beaucoup de chose. Le juste équilibre entre nos moralités individuelles et celle de la société est à mon avis la chose la plus importante, c'est-à-dire ce que pense une personne ou un petit groupe n’engendre pas le désordre et le chaos. Je pense que c’est le plus important et le plus morale, l’équilibre.

 

Les Valeurs :

 

Définition du dictionnaire Français du Larousse : 

1. Ce que vaut un objet susceptible d'être échangé, vendu, et, en particulier, son prix en argent : Terrain qui a doublé sa valeur.

2. Équivalent d'une quantité : Ajoutez la valeur de deux cuillerées de rhum.

 

Définition du dictionnaire Français du Robert :

1.C’est ce en quoi une personne est digne d'estime. Et qui signifie le mérite. C'est un homme de grande valeur. Estimer quelqu’un à sa juste valeur. Littéralement le « Courage ».

2.Le caractère mesurable (d'un objet) en tant que susceptible d'être échangé, d'être désiré. Un prix. Avoir la valeur « valoir » quelque chose. Le sens didactique, dans un système d'oppositions, dans un contexte.

 

Les valeurs sont des notions à partir desquelles les définitions du bien et du mal sont dérivées. Mais les valeurs sont plus importantes que les idées du bien et du mal. C’est une façon de penser moderne aussi, souvent avec l’influence du christianisme, mais le bien et le mal pourrait être défini aussi par ce qui fait souffrir une personne = « le mal » ou ce qui est « mal » ici sous entendu la souffrance. Et quelque chose qui procure du bienêtre ou du bonheur = « le bien » ou ce qui est « bien ». Quand nous travaillons avec l’héritage Indo-Européen nous comprenons aussi que le bien est le mal résulte de l’ordre (entretenu pas les dieux, comme Heïmdall, Odin ou Thor) et le chaos (désiré par les géants comme les Jötunar ou les Thursar)
Il est important de comprendre que les valeurs sont assez semblable à la morale dans le sens ou elles peuvent être individuelles ou collectives dans un groupe. Un groupe ou une nation qui est composé de gens qui partagent les mêmes valeurs et ce référent à la même moralité. Dans le cas d’un groupe il est important que les valeurs soient communes pour la cohésion du groupe et dans le cadre de valeurs personnelles il est important qu’elles aident l’individu à s’amélioré dans sa vie personnelle, dans ses choix et sur son chemin spirituel pour devenir une meilleur personne ce qui de toute façon apportera un bénéfice à la collectivité ou à n’importe quel groupe dans lequel il aura des échanges ou dans les aspects de sa vie, famille, travail, loisirs, bénévolat.

 

Les préjugés personnels :

 

Définition du dictionnaire Français du Larousse : 

1.Le préjuger correspond à l’action de porter un jugement sur quelqu'un, quelque chose, qui est formé à l'avance selon certains critères personnels et qui oriente en bien ou en mal les dispositions d'esprit à l'égard de cette personne, de cette chose : Avoir un préjugé contre quelqu'un.  

Comme synonymes nous trouvons alors : idée préconçue, le parti pris, ou la prévention. 

2. Opinion adoptée sans examen, souvent imposée par le milieu, l'éducation par exemple: Avoir les préjugés de sa caste. 

 

Définition du dictionnaire Français du Robert :

1.Préjuger de : porter un jugement prématuré sur quelque chose ou quelqu’un; considérer comme résolue une question qui ne l'est pas. Je ne peux pas préjuger de sa décision.  

2.Porter un jugement prématuré sur quelque chose ou une situation. Je ne veux point préjuger la question. Le préjuger représente le droit de prendre une décision provisoire sur quelque chose. 

 

Les préjugés sont une pensée et une compréhension préconçu d’une situation future ou en cours suivant des critères personnels comme l’expérience que nous avons de la vie, nos idées, nos valeurs personnelles, nos limites, notre visions du monde, notre culture et notre éducation ou notre famille. Mais il peut exister d’autres critères. D’une façon générale nous parlons de préjugés quand le jugement est fondé de façon injuste, ou truqué pour obtenir un certain résultat attendu ou désiré (de la manipulation). Ou alors quand les détails et les événements réels de la situation sont ignorés de plus. Il est possible aussi que des préjugés liés à une certain vision du monde ou à des critères véhiculé par une culture deviennent en quelque sorte systémique à cette culture et au finale se propage avec la propagation de la culture de génération en génération. Tout cela fini par devenir des préjugés personnels. Je pense par exemple les préjugés en France sur les différences de salaire entre les hommes et les femmes par exemple pour le même emploi ou la discrimination des personnes handicapés ou des homosexuels sans parler des gens issus de l’immigration. Au finale il est important pour nous de comprendre que ce type de préjugés personnels entravent le plus souvent le traitement équitable d'une situation et doivent être identifiés et cherchés à être compris, nous devons comprendre pourquoi nous avons se type de préjugés et travailler dessus avec de l’introspection autant que possible pour ne plus être influencé par eux. L’introspection est très importante dans le druidisme et encore plus si nous souhaitons devenir membre du clergé. Il faut prendre du recule et de la hauteur pour voir l’ensemble de la situation.

 

Les limites professionnelles 

Définition du dictionnaire Français du Larousse :

1. Ligne séparant deux pays, deux territoires ou terrains contigus : Le Rhin marque la limite entre les deux pays.

2. Ligne qui circonscrit un espace, marque le début et/ou la fin d'une étendue : Les limites du terrain de jeu.

 

Définition du dictionnaire Français du Robert :

1.Point qu'on ne peut dépasser d’activité ou d’influence. Une barrière, borne. Les limites du possible. La patience a des limites ! Dans une certaine limite.

2.La limite est une mesure. aux pluriel Point que ne peuvent dépasser les possibilités physiques ou intellectuelles. Connaître ses limites

3.Sciences Grandeur dont une variable peut s'approcher indéfiniment, sans jamais l'atteindre

 

La limite représente la frontière, et dans le cadre d’une profession, ici je pense que la question concerne surtout l’activité dans le cadre du clergé, mais il est important de savoir imposé des limites dans le travail ou même dans la vie culturelle ou associative. De ce fait, si dans une entreprise ou dans un groupe de personne comme avec des amis, nous avons des conversations sur la politique ou la religion et qu’un de nos amis à des idées vraiment perturbantes ou extrêmes, ce n’est pas notre rôle de lui dire quoi penser mais juste évité certains sujet avec lui. Dans le monde du travail il est alors primordial d’établir des limites professionnelles, des frontières par rapport aux interactions entre les professionnels et les groupes qu'ils desservent. Ils préviennent les comportements répréhensibles (des déviances de nature sexuelle, des déviances exercés sur les gens en situation de faiblesse, des déviances financières ou religieuses.) Il est très important qu’une personne qui exerce une fonction importante dans un groupe, établisse des limites saines, mais aussi travail sur elle-même afin de ne pas tomber elle-même dans des problèmes d’ego. Mais si c’est le cas et qu’une personne comme ça existe dans un groupe qu’une personne soit égotique et qu’elle chercher à prendre le pouvoir sur une autre personne ou d’autres personnes, les limites saines établies au préalable seront là pour empêcher tout problème aux seins du groupe. De plus il est important que l’ensemble. Au sujet des limites personnelles dans le domaine du travail c’était assez difficile je me souviens par exemple cacher mon handicap au travail quand je devais faire des remplacements en horticulture, quand j’étais envoyer par des organismes comme pole-emploi ou cap-emploi et que rien n’était adapté à mon handicap. C’était difficile d’imposé des limites à ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est comme ça que je me suis abimé les pieds encore plus. C’est la même chose ensuite dans mes relations avec les autres parfois, les gens testent comme des enfants les limites, et avant j’avais tendance à être trop gentil et à me laisser faire ou à leur chercher des excuses. Excuses qui parfois étaient difficile à trouver. Dans le fond quand une personne outrepasse nos limites ce n’est probablement pas entièrement de sa faute, malgré l’éducation des parents ou l’apprentissage du respect et de la politesse, dans ce genre de cas nous devons comprendre que comme avec des enfants il est important de mettre des limites entre eux et nous. Si nous ne le faisons pas hélas comme avec les enfants ils en profiteront. De ce faite alors en raison de plus l'établissement des limites saines est particulièrement important dans la communauté païenne et surtout dans le monde du travail et nos relations personnelles, les sujets les plus souvent problématiques et délicats se sont la santé, le politique, la spiritualité, l’histoire, les langues et les religions. Finalement ça fait beaucoup de sujets. 

 

La confidentialité :

Définition du dictionnaire Français du Larousse :

1. Caractère d'une information confidentielle, secret : Action de demander la confidentialité au début d'une réunion.

2. Sécurité visant à interdire l'accès à un système informatique.

Définition du dictionnaire Français du Robert :

La confidentialité concerne le maintien du secret d'informations (dans une administration, un système informatisé, ou chez le médecin).

 

La confidentialité en conséquent concerne le positionnement et l’observance de quelque chose comme étant privé et même plus quelque chose de caché, de secret et de sensibles entre plusieurs personnes en générale et c’est un des éléments centrale entre le membre du clergé et le peuple ‘le folk’ ou comme on dit parfois en breton pour les croyants dans le christianisme mais aussi pour le druidisme « Ar c’kredennourien » ou « An den a-feiz », « Tudennoù a feiz » voir « Feizad » comme je peux l’imaginé pour les religions chrétiennes les druides qui observent les règles d’un clergé doivent je pense se montré très délicats et ne pas négliger l’aspect confiance que les personnes placent en eux dans l’exercice de la fonction de prêtre. Par exemple dans la religion catholique, le simple rappel du canon 983 prévoyant l'excommunication pour celui qui enfreint le secret de la confession, sans aucune exception, permet de comprendre que les hommes d'Église feront prévaloir le secret est c’est un élément important je pense pour tout clergé que ce clergé soit chrétien ou païen. De ce faite en plus des rituels familiaux et des aspects réconfortants qu’une personne peux trouver ou chercher chez un prêtre la confiance ainsi que les limites personnelles et interpersonnelles que j’ai traité avant doivent être prisent en compte dans la confidentialité car je pense que tout cela joue aussi un rôle important. Il y à aussi un autre aspect de la confidentialité qui je pense est important, c’est le rôle d’intermédiaire ou de représentent des entités honorées lors des rituels et des cultes. Par exemple le rôle d’un prêtre chrétien c’est de rendre Jésus présent partout au milieu des hommes. Pour un prêtre Catholique le jour de son ordination il reçoit une double mission celle d’annoncer le Christ partout où il le peut, alors dans sa paroisse, à l'aumônerie, en prison, dans la vie ordinaire des gens et d’agir en son nom à travers la célébration des sacrements. Je pense que pour un prêtre de ADF il y à quelque chose d’identique comme une tâche du même genre mais sans faire de prosélytisme. Mais être là pour les autres païens, pour ses amis druides et druidesses, honorer le kindred et le rendre présent dans la vie des gens autour de lui dans le but de maintenir l’harmonie et la paix le plus souvent possible.

 

Le bien et le mal :

Définition du dictionnaire Français du Larousse pour le mal:

1. Ce qui est contraire au bon, à la vertu ; ce qui est condamné par la morale (seulement singulier, avec article défini) : Faire le mal pour le mal. Le contraire : le bien  

2. Ce qui est susceptible de nuire, de faire souffrir, ce qui n'est pas adapté : Le mal est fait.  

Les synonymes sont les suivants: dommage - préjudice - tort  

3.Inconvénient, difficulté, problème, tout ce qui perturbe quelque chose : Entre deux maux, il faut choisir le moindre.  

Les synonymes sont les suivants: calamité - ennui - épreuve - malheur - plaie Contraires : avantage - bénéfice - bienfait - bonheur – profit.

 

Définition du dictionnaire Français du Larousse pour le bien:

1.De manière satisfaisante : Je vais bien, tout est bien qui finit bien.

Les synonymes sont: admirablement - convenablement - impeccablement – parfaitement.

Les contraires sont: fâcheusement - mal - malencontreusement

2. Conformément à la morale, à la forme sociale : Il a bien agi.

Les synonymes sont : adroitement - agréablement - artistement - dignement - excellement - gentiment - gracieusement - habilement - honnêtement - honorablement - joliment - magistralement - noblement - remarquablement

Les contraires sont : absurdement - bassement - follement - gauchement - ignoblement - illogiquement - mal - maladroitement - vilement

3.D'une manière conforme à la raison, à la morale. Elle s'est bien conduite,  honnêtement. locution C'est bien fait ! bien fait pour lui !, ce qui lui arrive est mérité. Vous feriez bien de (+ infinitif), vous devriez.

4. D'une manière conforme à la raison, à la morale. Faire le bien autour de soi pour rendre le monde meilleur.

 

Les termes de bien et de mal, sont des notions très claires dans le sens qu’ont ces mots dans la morale. Dans un sens subjectif ils varient énormément d'une culture à l'autre. Par exemple dans la culture Bouddhiste, le bien et le mal sont perçus comme une dualité antagoniste qui doit elle-même être surmontée en réalisant Śūnyatā. Alors que dans le Christianisme le mal est considéré comme l’opposé du bien, dans lequel le bien devrait prévaloir et le mal qui lui aurait vocation à être vaincu. Nous pouvons aussi voir les notions de bien et de mal comme les héritières des notions d’ordre et de chaos. En effet l’ordre entraine la paix (donc le bien) et le chaos (donc le mal). Nous pouvons aussi voir une influence de la morale dans le bien donc du respect des règles et des limites qui permettent de conservé l’ordre dans la société. Les sociétés démocratiques sont basé sur des règles et des lois qui permettent à tout le monde de vivre en bonne entente et donc dans le « bien ». A l’inverse les modèles de sociétés autoritaires engendre du chaos, une forme d’ordre mais basé sur la peur ou une forme d’absence d’égalité. Il y a des sociétés inégalitaires aussi dans le monde qui fonctionne mais peut on parler d’ordre et de paix quand une partie des gens souffrent. Ou quand la société devient agressive, nous l’avons vu cette année encore avec la Russie qui à attaquer l’Ukraine. Dans une société démocratique il peut cependant avoir du chaos. Je repense à mon pays en France à Paris les révoltes des Gilets jaunes. Les citoyens sont libre de se révoltés dans une société démocratique et en conséquent. La morale personnelle, ou celle d’un groupe de personnes comme les gilets jaunes peux cependant, pousser les gens à faire de mauvais choix. Se qui les poussent à crée du désordre. Encore que l’essence en France était chère pour l’époque et le niveau de vie par rapport à notre pouvoir d’achat était bas. Mais ça semble dérisoire maintenant avec le prix de l’essence et du niveau de vie engendrés par la guerre en Ukraine. De ce faite nous pouvons comprendre que le bien et le mal n’est pas aussi tranché les choses dans la vie sont souvent grises. Tout n’est pas totalement bon ni totalement mauvais.

Ça me rappelle un des dits du druide Cadoc, un ancien druide breton. Qui nous explique que tout est liés et que l’ordre et le chaos tournent ensemble en quelque sorte dans le même cercle.

 

Le cercle du monde et de la vie — (XCIII)

La pauvreté cause des efforts.

Les efforts causent le succès.

Le succès cause la richesse.

La richesse cause l’orgueil.

L’orgueil cause des querelles.

Les querelles causent la guerre.

La guerre cause la pauvreté.

La pauvreté cause la paix.

La paix de la pauvreté cause des efforts.

Les efforts se tournent dans le même cercle qu’auparavant.  

 

Pour terminer le bien et le mal sont des notions collectives mais aussi personnelles. De ce faite nous devons remettre en question, nos actions et nos pensées. Toutes les notions d’étique, de morale, et les valeurs ainsi que les règles que nous impose la vie de groupe. Tout cela est contenu dans les notions de Bien et de Mal. Alors les citoyens doivent comprendre ce qu’ils font et se posé ces questions par rapport à leurs actions selon leur propre vie en faisant de l’introspection et aussi selon leur propre sens du bien et du mal dans une situation difficile. Ce qui induit ici aussi une notion importante de liberté. Quoi que nous fassions nous avons toujours le choix et le libre arbitre.

  

2. La conscience de soi est essentielle à la mise en œuvre de l'éthique professionnelle. Vous devez parler de la façon dont votre moralité personnelle, vos valeurs, vos préjugés et votre capacité à maintenir des limites adéquates, la confidentialité et à déterminer le bien du mal pourraient avoir un impact à la fois positif et négatif sur vos relations professionnelles.

 

Ma réponse pour ce travail :

 

Dans le début de la partie Ethic 1 j’ai développé ce qui était mon point de vue sur : La morale, les valeurs, les préjugés personnels, les limites professionnelles, la confidentialité, le bien et le mal. Toutes ces notions et ces valeurs nous aident à nous interroger sur ce qui fait notre chemin et ce qui est important pour le druidisme tel que nous le pensons. Pour moi il aurait été impensable d’être dans un groupe druidique qui ne partage pas ce genre de valeurs. Il est important aussi de pouvoir nous remettre en question aussi personne n’est parfais ou sans failles. En effet je fais partie de ceux qui pensent que bien ce connaitre permet de mieux connaitre les autres. Dans le cadre d’une profession ou du travail de clergé par exemple je pense que les conflits qui pourraient arrivés Il est vrais que sur le programme d’étude pour devenir un membre du clergé païen public, ou semi-public. Je pense dans mon cas avec la Virtual Fire Protogrove. Ou tout autre activité pour ADF ou dans des rituels en groupe. Mais aussi dans les échanges que je peux avoir à propos de druidisme. Il est important de savoir maintenir des limites qui soient adaptés et applicables pour la vie du groupe ou de la communauté c’est important. C’est également aussi important qu’il y a des limites pour nous même car pour pouvoir être un prêtre en action il est indispensable de pouvoir êtres libre, serein et en sécurité. Pour ma part, j'ai manqué de fermeté et d’autorité avec beaucoup trop de personnes dans le passé. En effet comme je suis d’une nature ouverte et joviale, des gens  souvent se sont rendus compte que j’étais quelqu’un de gentil et de doux. Ils ont pris ça pour de la faiblesse et en on souvent profités. Hors je sais couper les ponts quand il faut et me maintenir à distance. Maintenant je suis très prudent et je posse mes propres limites, si je ne sens pas une personne ou une situation je n’y vais pas. De même je pense qu’il est important de comprendre quand des gens essayent de nous jouer un tour, ou de nous mettre en défaut ou nous rabaisse sans raison, c’est en faite une situation qui peut être perçu comme un teste ou un message. Un teste pour nous même parce que la suite dépendra de la façon dont nous allons réagir et c’est un message parce que ça nous informe sur le type de personne que nous avons en face de nous, comme ça nous savons à qui nous avons affaire. Et en générale j’accepte les gens comme ils sont, j’ai toujours privilégié un rapport d’égalité et de réciprocité avec les gens, un peut comme nous faisons avec nos dieux ou les autres esprits du kindred. Donc quand ça se produit je cherche a comprendre dans un premier temps et si ce n’est pas possible je laisse les gens à leur choix et leur actions. Les gens sont adultes et responsables et la vie est si courte. Ensuite et j’en prends conscience en faisant se cours, les problèmes que nous avons eu avec des gens ou les informations qui nous on été transmisse ne doivent pas être divulgué, que ce soit en bien ou en mal il est important de puisé dans notre moralité et nos valeurs pour maintenir tout ça confidentiel, le plus possible.  J’ai souvent des préjuger sur les gens quand ils deviennent agressifs et qu’ils rentrent dans une communication type « triangle de Karpman » (Sauveur-Bourreau-Victime) je l’ai tellement vu, que quand je vois ça je me dis « Gast ! Encore un pervers narcissique » c’est vrais que j’ai du mal à garder contacte avec ce type de personne et à leur trouver des excuses. Bon c’est quelque chose que je vais devoir travailler et développer ma patiente surtout par rapport à mon sentiment d’insécurité. Il est important que je fasse ça pour pouvoir être une meilleure personne et un bon prêtre si je le deviens un jour. J’aime bien faire des rituels et je pense qu’avec des personnes de confiances en Bretagne je pourrais faire de beaux rituels avec des personnes vraiment sincères. J’aimerais partager les tâches aussi si je fais un rituel dans un petit groupe, c'est-à-dire ne pas être le seul druide à officier, mais agir constamment en tant qu'ambassadeur de l'ADF en Bretagne et pour la France fera partie de mon avenir quoi qu’il arrive j’en suis sur. Et je suis volontaire pour ça quoi qu’il puisse arriver de nouveau. ADF est très important pour moi à présent.

 

3.Vous devez parler de la façon dont un individu apprend à distinguer le bien du mal et expliquez les facteurs qui influencent cette détermination.  

 

Ma réponse pour ce travail :

Le bien et le mal, c’est comme de l’huile et de l’eau si on peut dire, ça ne se mélange pas bien.

Je me rappelle d’une citation dans un film «Wolfhound, l'ultime guerrier » qui disait que le bien indispose toujours le mal. Il est possible de voir la vie comme une expérience qui nous permet de connaître la différence entre les deux, entre le bien et le mal et de vivre tout ça. Dans ce cas là  on viendrait au monde en étant neutre sur le plan des énergies et des expériences du bien et du mal , et amnésique des vies et choses vécus dans la période d'avant notre incarnation et que c'est notre passé héréditaire et génétique , l'environnement, l'entourage, la culture et l'éducation qui formate les personnes sur le bien ou le mal , même si le bien ou le mal est une analyse purement humaine basé sur des valeurs comme la morale ou l’étique.

Il est important d’apprendre la différence entre les deux très tôt dans l’enfance, il est important que l’expérience de la vie ne soit pas la plus douloureuse possible, mais l’apprentissage du bien et du mal ce fait depuis la petite enfance.  Il est important pour l’individu qui grandit dans ce monde d’avoir  un bon entourage, des référents dans la famille pour lui inculquer les valeurs à avoir dans la vie pour être une bonne personne et lui apprendre la différence entre le bien et le mal. La famille est importante, avoir des parents, un père et une mère, mais aussi des grands parents ou vivre dans un environnement sécurisant. Face aux épreuves de la vie et aux méchancetés qu’on peut recevoir, c’est la famille quand elle est présente qui nous permet de nous sentir en sécurité et de comprendre la différence entre le bien et le mal, je n’ai eu ça qu’avec ma mère, je me suis parfois senti  un peut  déséquilibrer. Et j’ai construit mes valeurs en opposition à celles de mon père par exemple ou des personnes qui m’on fait de mauvaise chose. Je me suis toujours dit que je ne serai pas comme eux.  Tout ça permet de comprendre  que nous absorbons en partie la culture, la morale et l'éthique des gens qui les entourent que se soit en positif comme un modèle ou en négatif comme quelque chose à ne pas reproduire.

L’influence qu’ont les interactions avec les autres, avec l’expérience de la vie et de notre vision de l’existence ou notre propre perception du monde est aussi très importante. Et c’est vraiment quelque chose qui est fondamentale sur la façon dont sera la personne dans le futur.

Mais nous sommes à une époque ou le monde change et les notions de bien ou de mal sont aussi influencées par les réseaux sociaux ou la politique et bien d’autre chose encore qui ont un lien avec les idées qu’auront les personnes au final. Il est important pour ne pas être trop influencé par tout ce magma il est important de savoir se créer une moralité et d’avoir des valeurs et de l’éthique. Car ce sont nos valeurs et notre éthique qui peuvent changer notre comportement et bien sur la façon que nous avons de percevoir le bien et le mal. Il est aussi important de nous entourés de suffisamment de bonne personne pour nous aider à trouver un chemin éthique dans la vie et de parvenir à être de meilleur personne. Sinon notre moralité et nos valeurs peuvent changer. Pour ma part j’ai toujours eu des valeurs assez développer, et ça m’a attiré pas mal de problèmes. Parce que je fréquentais des personnes qui n’était pas dans la même optique ou opinions que moi. J’ai changer pas mal de chose, en revenant vivre en Bretagne notamment et ensuite maintenant parce que je m'entoure de personnes qui respectent mes croyances et les centres d’intérêts que j’ai dans la vie et qui partagent la même vision du monde que moi.  

 

4.Décrivez plusieurs raisons pour lesquelles une personne s'efforcerait de « faire ce qu'il faut » ?

 

Ma réponse pour ce travail :

 

Il est important que nous aillons conscience je pense qu’il y a deux aspects finalement pour qui veux bien faire. Le premier c’est par rapport à soi même et le deuxième par rapport aux autres.

Soit en rapport a notre propre morale ou notre pensée et ensuite par rapport aux pensées des autres ou aux règles extérieurs comme dans un groupe ou dans la société par exemple.

En tant que chose qui doit être faite en externe par rapport aux autres ou au groupe auquel la personne appartient si une personne fait ce qu'il faut, pour elle sa s'accompagnera d'une sorte de rétroaction qu'elle considère comme positive en générale ou neutre. Il faut savoir que le sentiments d’avoir bien fait les choses ou pris la bonne décision. Dans ce cas là les attitudes et les opinions de ceux qui nous entourent influencent souvent notre comportement et peuvent parfois être une pression pour nous, ça peut être une bonne ou une mauvaise chose, mais la finalité des choses c’est que c’est à nous de prendre la bonne décision par rapport à nous même et à nos proches. Quand nous sommes dans un groupe alors la bonne décision peu prendre la forme d’une sorte de gratification ou de sentiment d’avoir bien fait. Parfois cette gratification s’associe possiblement d’un sentiment d’appartenance par rapport à un groupe ou d’un sentiment de sécurité et de dignité quand c’est par rapport à nous que nous avons fait ce choix.  Je pense que nous devons avoir conscience aussi que bien que nous prenons la bonne décision que ce soit en notre nom propre pour nous ou par rapport à un groupe auquel nous appartenons. Le regarde extérieur n’est pas le même que le notre, c'est-à-dire que chaque personne à un point de vu qui lui est propre et que notre vie toute entière nous voyons le monde à travers nos expériences passées et présentes, mais aussi par rapport à notre caractère ou notre éducation et c’est bien naturel.

Dans un deuxième temps par rapport à nos considérations personnelles en rapport au choix que nous devons prendre il est important de comprendre et de savoir que nous avons des valeurs et une éthique personnelle que nous nous efforçons de respecter du mieux possible. Dans nos foyers ou notre vie de druide de ADF nos neuf vertus sont une forme importante de ce que peut être une moralité, un sorte de code de vie que nous nous imposons, c’est notre garde fou aussi et quand nous observons nos neufs vertus alors nous faisons ce qu'il faut car cela correspond à nos valeurs et à nos serments de druides. 

 Il est aussi important de nous demander si nos actions correspondent aussi aux attentes des êtres avec lesquels nous sommes en liens au travers de notre travail druidique. Je pense aux esprits de la nature, aux ancêtres, à la déesse de la nature et aux dieux qui veillent sur notre foyer et notre famille depuis plusieurs générations. Selon mon expérience c’est important de les inclure dans nos choix quand à ce qui est bon de faire ou de ne plus faire.

 

Une de nos sagesses druidiques dit également :

Ne juge pas, ne décide pas de ce qui est bien ou mal sans avoir consulté ton propre cœur. 

-Sagesses Druidiques- par Jean Paul Bourre.

 

 

5.Vous devez parler du lien entre les valeurs d'un individu et le processus de prise de décision. 

Ma réponse sur ce travail :

 

J’ai déjà développé une réflexion importante à propos des valeurs, le cours sur l’étique pousse à ce poser beaucoup de questions à propos des valeurs, de la morale et de ce qui finalement est important pour nous ou ne l’est pas. C’est vrais. Nous sommes des hommes modernes, nous vivons dans des pays démocratiques avec de grand idéaux et même parfois des contradictions, je pense en écrivant ce sujet à ma chère France, mais aussi aux Etats Unis, au Canada, à l’Europe et à l’Australie. Souvent les idéaux de nos nations sont comme un pilier sur lequel nous basons ensuite tout notre morale et notre éthique personnelle.

Alors ces grands idéaux nous donnent comme un souffle qui nous permet d’entrer en action ou de mettre en pratique nos valeurs avec plus de facilité. Le plus souvent ce sont des idéaux de liberté de tolérance et de bienveillance. En France nous avons notre fameuse maxime qui est écrite sur les façades des mairies en ville : « Liberté, Egalité, Fraternité » je trouve que c’est trois grands idéaux qui nous font nous sentir plus grand, plus digne et plus que nous même, avec eux nous sommes Français. Ils nous permettent de prendre conscience que les choses que nous faisons, ce qui est écrit dans l’histoire ou nos actes, tout ça à de la valeur. Et d’une façon ou d’une autre ça aura de l’importance dans notre processus de prise de décision la plupart du temps. Nous pesons nos décisions suivant nos valeurs et les règles de morales qui sont important pour nous, pour nos proches, dans notre héritage ou nos cultures. Alors que nos valeurs personnelles nous disent et nous montrent c’est important, et alors nous prenons des décisions qui sont conformes à ces valeurs dans nos choix. Là ou c’est souvent difficile c’est quand nos choix nous pousse dans nos limites, je veux dire nous faisons des choix en fonction de ces valeurs, et la morale devrait toujours primée, mais nos limites personnelles peuvent être un frein ou une sorte de garde fou. Je vois ça comme une sécurité ou un sas de décompression. L’avenir que nous construisons et fait de nos idéaux finalement et certain pourrait alors ne voir que le gain et le profit en bradant leur avenir pour de l’or. Finissant ainsi comme de vieux poulpikans sous les ponts de Bretagne. Hors ce sont nos valeurs qui nous permettent de nous élevé au dessus de tout ça, au dessus des notions de récompense ou de punition. Alors il est possible de prendre la bonne décision, et d’oublier l’envie de gagner quelque chose au détriment des valeurs. Celui d’entre nous qui arrive à faire ça peut être plus proche de ses propres idéaux et d’aller dans le sens collectif également. Le fait d’agir correctement à notre monde intérieur, permet aussi de nous sentir correcte avec le monde extérieur. Il y a aussi une notion que nous ne devons pas oublier c’est que  l'homme  qui prend une décision la trouve bonne que lorsqu'elle est prise.

 

6.Vous devez parler de l'importance de l'éthique dans la relation clergé-laïcs. Croyez-vous qu'un membre du clergé a des responsabilités éthiques ? Si oui, quelles sont ces responsabilités ? 

 

Ma réponse pour ce travail :

 

Je pense que en France les Païens auront du mal à considéré qu’ils ont besoins, ou qu’avoir un clergé de païens est utile. Mais je le fois dans ma communauté du Kindred Midgard nous avons le Gothar qui est un clergé qui regroupe l’ensemble de plusieurs Gothi et Hofgothi et ce clergé est utile pour les heathens qui sont l’ensemble des croyants du Thingmen (l’assemblée des hommes du thing). C’est très traditionnel dans ce sens et le clergé du gothar à une utilité dans la communauté. Mais pour l’ensemble des païens de France il est difficile de voir ce que peut apporter un clergé, je pense peut être  que nous ne sommes pas encore près. Le plus facile alors et de comparé avec ce qu’il se passe dans le christianisme. Alors oui de mon côté je pense que l’éthique est vraiment capitale dans la relation qu’un membre du clergé druidique ou du gothar nordique entretiendra avec des croyants. Et même dans un cadre plus laïc à la française si nous nous exprimons en tant que prêtre druide dans une association culturel par exemple pour la culture bretonne ou normande je pense que c’est important d’avoir une étique et de nous montrer les plus dignes possible dans nos attitudes. Montre l’exemple est important.

Je pense qu’avec la morale et nos limites nous devons faire notre possible quand effectivement les relations avec les personnes sont productives en raison des attentes placées sur cette relation et des attentes placées sur le membre du clergé.  Nous devons nous montrer les plus gentils possibles et les plus compréhensible affin de permettre aux gens de se sentir en sécurité avec nous et que nous aussi nous puissions êtres le mieux possible pour qu’une relation de confiance s’établisse entre les gens. Les membres de ADF qui ne sont pas dans le clergé feront appels à des membres du clergé pour avoir des rituels familiaux par exemple ou une relation de confiance pour avoir des conseils dans leur vie ou du soutient dans les moments difficile ou les périodes de doutes. C’est important et ça fait aussi partie du travail. Bien sur nous ne sommes pas des prêtres comme dans l’évêché du Léon ou celui de Quimper en Bretagne, bien sur que oui nous ne sommes pas exactement sur le modèle chrétien. Mais notre culture celtique ou nos cultures de foyer, comme la mienne qui s’exprime avec la tradition nordique aussi tout ça peut être comparé et vu en relation ou en comparaison avec les prêtres d'autres traditions ou avec les religions chrétiennes. Il est important de comprendre que parfois les gens s’attendront à ce que les druides surtout dans un clergé, comme un Gothi dans le Gothar puissent s’organiser comme des prêtres dans un clergé chrétien. Alors ils s’attendront à ce que nous aillons des responsabilités semblables et parfois seront en demande et ce sera de notre devoir de faire de notre mieux possible pour répondre à leurs attentes. C’est donc vraiment important de comprendre qu’il nous échoit dans la fonction de sacerdoce d’avoir une composante éthique et d’avoir des réactions stables et d’écoute, afin de servir les gens et de les aider du mieux possible. Les échanges et les partages avec les prêtres que se soit au téléphone, par écrit sur internet ou autrement tout cela doit reste privée.  Il est alors important que le prêtre soit très à cheval sur la  confidentialité afin d’assurer que les conversations entre le membre du clergé et le laïc ne deviennent pas publiques. Avant tout, le clergé à le devoir d’interagir avec les membres de la communauté dans la confiance, intégrité et droiture. A raison de plus qu’il ne faut pas que le membre du clergé sente une forme de supériorité surtout par rapport à un sentiment de puissance ou un sentiment d’avoir du pouvoir sur les autres que ce sentiment soit réel ou une simple illusion. C’est pourquoi il est important que la personne qui entre en sacerdoce ait les pieds sur terre et suffisamment de recule sur elle-même pour ne pas aller du mauvais côté de la force si on peut dire.

La partie du travail du Pre-CTP je me rappelle parlait de la relation de ghosti avec le kindred, et surtout avec les divinités du foyer ou de la culture choisie, je pense que la relation entre un prêtre et une personne laïc doit être de la même nature. Si comme on le dit souvent les druides, des intermédiaires entre les dieux et les hommes et bien je pense que la relation que nous avons avec les dieux, soit faite de respect de sincérité et d’étique, et bien ça doit être la même avec les hommes et notre entourage dans le cadre spirituel et religieux. Une des choses que je trouve très importante est que j’aime chez ADF c’est que nul n’est parfait que nous ne sommes pas parfait, nous restons des êtres humains avec des failles, des forces et aussi de la bonne volonté et la faillibilité Archidruidique est aussi prévu, tout druide peut avoir une faillibilité. C’est pour chacun d’entre nous. Il faut beaucoup de recul et d’humilité pour prévoir et comprendre ça dans un cadre druidique et spirituel. J’aime beaucoup par conséquent la vision de ADF à propos du druidisme.

 

 

7.Vous devez parler de la signification du privilège confidentiel, des lois de votre État qui prévoient ce privilège et de la mesure dans laquelle il s'applique aux communications entre le clergé et les laïcs dans votre communauté. 

 

Ma réponse pour ce travail :

 

Comme j’en avais parlé dans le Pré-CTP en France c’est différent des Etats Unis d’Amérique.

L’état et l’église sont séparé depuis  la fin du concordat Napoléonien et la loi qui promulgua la séparation de l’état avec les religions et l’église le 9 décembre cette année là cette loi mit clairement fin à l’union entre l'Église catholique de France et le pouvoir politique et c’est ensuite cette loi de séparation qui nous instaura la laïcité dans notre pays. J’ai lu sur le site d’ADF et sur internet différents blogs de nos membres ou des sites sur l’histoire de l’Amérique pour comprendre un peu mieux. Les institutions Américaines sont très fortes pour protéger les citoyens Américains et les croyants dans le cadre religieux sont aussi protéger. En toute considération. Aux USA par exemple dans l’Etat du Texas les membres du clergé d’ADF relève des désignations de membres du clergé et relève également des statuts de la règle 505 qui protège le privilège de la confidentialité entre un membre du clergé et un laïc. En France l'Église catholique reste ferme sur le secret de la confession, rappelant que la sanction applicable au confesseur qui le viole, consiste en son exclusion immédiate de l'Église qui n'envisage aucune remise en question du sceau sacramentel. Ce secret est un fondement nécessaire à l'ordre social.

 

Par contre il existe une loi en France qui permet aux prêtres d’un culte de conservé le secret de la confession et les confidences faites à un membre du clergé par un laïc. Mais la c’est dans le cas ou un croyant se retrouverais devant le tribunal pour un crime ou un délit et le prêtre pourrait être entendu comme témoin si le suspect aurait parler de ses actes à son prêtre.

 

Les principes de base du privilège du clergé

 

Certaines personnes, comme un ministre ordonné ou un dirigeant religieux, sont tenues de témoigner dans certaines procédures. Cela peut concerner tout ce que le pénitent a dit. Ceux qui seraient considérés comme confidentiels dans la capacité professionnelle du dirigeant religieux sont :

 

La révélation d’une communication qui violerait une confiance sacrée ou morale

La confession qui s’oppose à la révélation de cette confession

 

De cette manière, une personne peut faire une confession à un chef religieux. Ce dernier ne doit pas témoigner contre elle à ce sujet. Cependant, un défendeur peut avouer un crime pour faire pénitence. Mais il n’assumera pas la responsabilité du crime devant un tribunal pénal ou en vertu de la loi.

 

Les communications confidentielles

 

Le privilège du clergé concerne les communications confidentielles. Il s’agit de communications privées qui ne sont pas destinées à être divulguées à d’autres personnes. Il y aura une exception si cela est nécessaire pour les besoins de la communication. Si l’individu fait une confession devant d’autres personnes, il ne s’agira pas d’une communication privée ou confidentielle. Si le membre du clergé souhaite divulguer la communication, le défendeur aura le droit d’empêcher cette divulgation. Le privilège s’attache immédiatement lorsqu’une personne fait une communication confidentielle. Le défendeur et le membre du clergé peuvent tous deux invoquer le privilège.

 

Divulgation obligatoire

Malgré ce privilège, la loi peut permettre au juge de contraindre à la divulgation de ces aveux. Un test d’équilibre est utilisé avant de décider de divulguer des communications privilégiées par le clergé. Le tribunal peut considérer des facteurs qui servent de garde-fous contre la divulgation de ces communications. La communication en question doit provenir d’une confidence selon laquelle elle ne sera pas divulguée. Cela signifie qu’elle est faite dans le cadre de la relation entre le membre du clergé et le communicant. La communication est faite dans l’attente de la confidentialité et qu’une violation de la confidentialité affectera la relation entre les parties.

 

Les confessions publiques

 

Le privilège du clergé peut également ne pas s’appliquer dans certains cas. L’auteur de la communication peut avoir avoué à une autre personne ou déclare publiquement à l’église une confession. Cela peut être considéré comme une déduction d’une confession. Certaines églises ne traitent pas les confessions en privé. Elles autorisent plutôt un membre à se confesser à un ancien. Ce dernier se lève alors et informe le reste de la congrégation de ce que la personne a confessé. Dans ces situations, la communication n’est pas considérée comme confidentielle. Il est peu probable que le privilège du clergé s’applique.

 

Pour le Clergé du druidisme d’ADF :

De ce faite dans la communauté d’ADF je pense que la confidentialité est primordiale, bien qu’il soit important de privilégié l’écoute, la confiance et le respect à propos de la communication clergé-laïcs avec confidentialité dans  tous les cas, certaine situations peuvent être difficile à géré pour un membre du clergé, c’est pourquoi je pense que la structure de ADF est importante, pouvoir s’appuyer sur un supérieur et demander conseil à d’autres membres du clergé par exemple me semble primordiale. Je prends conscience en écrivant cette réponse et en réfléchissant à toutes ces questions de la tâches et des responsabilités et de ce que signifie être membre du clergé.   Les prêtres de ADF doivent s’efforcer de communiquer le mieux possible entre eux et avec leur propre valeurs morales et étiques en s’efforçant d’agir du mieux possible au cas par cas et en agissant dans le cadre des lois de leurs pays respectifs.

 

 

8.L'un des grands principes de l'éthique est de « ne pas nuire ». Vous devez parler maintenant de la signification de ce principe tel qu'il s'applique à la relation clergé-laïcs. 

 

Ma réponse pour ce travail :

 

Le mal est souvent assimilé à l'immoralité. Et souvent dans les religions et la spiritualité le mal est perçu comme étant une force surnaturelle. Le mal est quelque chose qui est également parfois difficile à expliquer ou à évaluer,  la perception que nous avons du mal varient, tout comme l’analyse de ses motifs ou de ses sources. Cependant, les éléments qui sont communément associés au mal impliquent un comportement déséquilibré au travers de l’opportunisme, l’égoïsme, l’ignorance ou la négligence et s'efforcer toujours de « ne pas nuire » est quelque chose de très difficile à faire. Il y a toujours un moment dans la vie où nous avons beau faire de notre mieux pour ne pas nuire, nous ne pouvons pas toujours blesser personne surtout dans les situations compliquées voici bien une tâche largement impossible, je pense qu’il est important de comprendre ça aussi.

Même si l'on ne souhaite pas toujours identifier le plaisir et le bien, l’être humain est en recherche du plaisir et de ce qui en découle, la joie et le bonheur, donc le bien ?  Une question importante alors c’est de savoir si le plaisir a la moindre valeur morale ? Et surtout s'il constitue ce qu’on appelle le bien ? Finalement ?  Il est probable que le bonheur que chacun recherche dans sa vie soit l'unique source de moralité et parfois pour certain la seul forme que prendra le bien dans nos vies.

Mais il est également possible que l’existence de la morale et de la valeur du bien s’imposent tout deux à nous indépendamment des effets sur notre bonheur.

Alors la recherche du bonheur nous apporte une forme de moralité, provenant de cette recherche ou qui en résulte.

Nous pouvons aussi réfléchir sur l'idée que la capacité d'une action ou d'un état de choses à produire le bonheur pourrait être le critère permettant d'établir que ces actions ou cet état de choses sont des formes du bien.

La seconde orientation souligne au contraire la distinction, sinon la divergence, qui existe entre l'aspiration à faire le bien et la poursuite du bonheur.

Dans une histoire de l’antiquité le héros Hercule hésite entre  une vie vertueuse austère et sans joie, et le vice qui lui est paré de tous les attraits de la vie heureuse. La certitude de l'incompatibilité entre la moralité et le bonheur, et donc entre le bien et le bonheur, peut dans certain cas nous conduire à l'immoralité, ou l’on opte pour le bonheur sans se soucier du bien  et en étant résolu, à mal agir. Mais d’un autre côté avoir la même certitude pour nous conduire à la plus rigoureuse des moralités pour bien agir, pour nous même et pour nos proches. Dans ce cas là nous pouvons nous repositionné dans le cadre de l’éthique du clergé, et nous dire que ne pas nuire et faire le moins de mal possible, le tout en agissant avec moralité rigoureusement pour le plus petit nombre de personnes, d’un groupe de personne de confiance et d’amis ça entre dans les fonctions et les attentes de la communauté d’ADF envers un prêtre du clergé.

Cependant les prêtres ADF occupent souvent des postes importants dans les protogrove ou des clairières plus grande, des postes de druide régionaux ou à l'échelle nationale de l'organisation. En tant que dirigeants, ils doivent prendre des décisions importantes pour nous, et c'est un exercice utile pour examiner quels sont les coûts en aval en termes de bien, de morale qui pourrait être lésé par une prise de décision  en partant des membres solitaires, d’une protogrove ou d’une clairière mais aussi aux proches du prêtre ou de son foyer ADF nous devons savoir que les importantes décisions sont souvent difficiles à prendre. Les décisions éthiques ou nous devrons évaluer notre décision entre les valeurs du bien et du mal auront toujours des conséquences.

 

9.Vous devez comparer et faire un constat sur les Neuf Vertus décrites dans le Chemin du Dédicant ADF et les valeurs proéminentes dans la culture dominante du pays dans lequel vous vivez. 

 

Ma réponse pour ce travail :

 

Dans notre communauté de ADF nous avons neuf vertus et c’est le fondement de notre druidisme, un druide indo-européens de ADF doit savoir exercé ses vertus et elles nous aident aussi à devenir de meilleur personne. Nos vertus sont je le rappel  la Sagesse, la Piété, la Vision, le Courage, la Persévérance, l'Intégrité, la Fertilité, l'Hospitalité et la Modération. 

Je pense que ce sont de bonne vertus elles sont claire, nous permette de comprendre le sens de la vie et de ce que nous faisons dans ADF, elles ne sont pas sans rappeler les vertus chrétiennes et les vertus de l’Asatru aussi. Je vis en France et en Bretagne, alors tout le monde connaît la devise de la France « Liberté, Égalité, Fraternité » et son attachement à la liberté et à la démocratie. Et en Bretagne nous avons aussi une devise « kentoc'h mervel eget bezañ saotret » qui signifie en Français « Plutôt mourir qu'être souillé » et qui a donner notre devise sur le cap badge Breton chez les bretons qui porte le kilt et qui est enregistré en Ecosse « Jamais souillée ». Je pense que c’est deux devises « Française » et « Bretonne » s’accorde parfaitement avec les neufs vertus de ADF et nous permet de crée notre propre chemin de clergé en France et en Bretagne. J’aime beaucoup vivre ici, nous avons la culture Française très développé et le côté celtique avec la culture bretonne et les influences de l’Irlande, du pays de Galles, et de l’Ecosse, surtout durant le festival Inter-celtique de Lorient chaque année.

La première vertu de Bretagne c’est je pense la vertu la plus importante ici c’est l’hospitalité. Avec tout nos échanges culturels et l’importance de l’entraide chez les bretons aussi.

 

Mais si on prend les neufs vertus une par une nous avons 9 vertus de ADF: soit les vertus de la sagesse, la piété, la vision, le courage, l'intégrité, la persévérance, l'hospitalité, la modération et la fertilité.

 

La sagesse : c’est une vertu qui lorsqu’elle est exercée correctement nous permet de connaître la vérité et l'essence d'une situation, ou sur nous-mêmes en lien avec l’héritage aussi. Cette vertu est importante, elle influence nos pensées et nos actes, en France nous avons le siècle des lumières avec la révolution qui nous influence beaucoup à propos de la sagesse et aussi les écrits des anciens Grecques les penseurs et philosophes comme Socrate Platon et Aristote etc… en Bretagne les contes populaires formes eux aussi une sagesse importante pour nous en plus du reste. Ici la sagesse est aussi faite de transmission, comme le fait de ne pas oublié qui nous sommes et d’où nous venons. C’est quelque chose d’important pour nous.

 

La piété, dans ADF, est définie par l'action juste au sens religieux dans notre groupe druidique et l’ensemble de la communauté. La piété en France c’est assez libre, comme je l’ai expliqué dans le cadre de la loi de séparation de l’église et de l’état notre état Français est laïc alors la piété est donc dans le domaine du privé. En effet nous avons le droit de croire ou de ne pas croire et d’exercé notre culte comme nous le souhaitons.  Alors la piété est donc exercée en privé la pratique religieuse Française la plus populaire est le christianisme, culturellement c’est le plus populaire, ainsi que les autres traditions monothéistes.

 

La vision est une vertu importante je trouve que nous pouvons la rapprocher de l’inspiration aussi, le fait de voir avec notre esprit, de crée des choses ou d’écrire avec inspiration. Et bien sur d’avoir une vision d’ensemble et sur le long terme d’une situation ou d’un projet. La vision est très importante, je pense que nous l’oublions parfois en France les gens sont un peut formatés ici et la créativité n’est pas toujours encouragée comme elle le devrait, nous mettons les gens et leurs idées dans des « cases » parfois et ce n’est pas toujours bon d’après mon expérience. J’espère que c’est quelque chose qui changera à l’avenir. La France et l’Europe en aura besoin.

 

Le courage je pense que le courage est un des moteurs de la vie, nous vivons dans un monde de plus en plus difficile et dangereux, alors que ce soit des problèmes avec les intégristes des religions, les épidémies comme le sida ou le covid, les problèmes de xénophobie ou les maltraitances de toutes sortes, le changement climatique, la guerre… Il nous faut beaucoup de courage pour affrontés tout cela. En France nous avons beaucoup de belles références au courage dans notre histoire, comme Jean Moulin qui fut un grand résistant durant la deuxième guerre mondiale. Et dans notre quotidien nous pouvons encore voir ce courage chez certain d’entre nous. Je pense aux courages qui nous permet alors d’affronter les difficultés, que ce soit dans le monde du travail chez les ouvriers ou le courage chez les membres de la classe dirigeante, en politique par exemple. Il y a du courage dans toutes les strates de la société Française. Et pourtant la France est un pays où il fait bon vivre, les gens l’oublie parfois. Même quand le quotidien est moins difficile. Nous pouvons alors repenser à l’avenir courageusement. Je pense que c’est important, le courage en France est je peux le sentir fait de persévérance et d’idéalisme. Les gens pensent souvent que les choses peuvent être mieux, ce qui les pousse souvent à ce dépassés pour avancer. Avancer avec courage.

 

L'intégrité je pense dans l’image que j’en ai est semblable à la dignité. Le fait de vivre et de surmonter les épreuves que nous rencontrons parfois avec autant de savoir être qu’il nous est possible d’avoir. J’ai souvent été confronté à des situations difficile, j’ai toujours appliqué un principe de réciprocité avec les autres ou les choses dans ce type de situation, mais je pense que je n’ai pas toujours été une bonne personne, pourtant j’ai tenté de rester le plus intègre et digne possible à mes yeux. Alors l’intégrité dans le cadre de notre druidisme de ADF c’est le fait de rester intègre dans l'action juste, et alors c’est une vertu que les gens doivent rechercher en eux même. Alors bon ça m’ennuis parce que je ne sais pas si je suis assez neutre pour juger de la vertu de l’intégrité en France. Je l’ais pas souvent vu. Je me rappel par exemple de ma maman qui était battue par mon « père » qui était gendarme et quand elle est allée porter plainte à la police, l’agent de police lui avait répondu qu’il ne pouvait rien faire parce que c’était un collège… Je pense que dans une situation comme ça l’agent de police était à des années lumières de l’intégrité que devrait avoir un agent de police. Après il y a quand même une forme d’intégrité et d’éthique dans les milieux médicaux je trouve que c’est peut être là qu’il y en a le plus. Mais c’est compliquer quand même d’identifié clairement l’intégrité dans notre société, je pense que dans une certaine mesure peut être que le fait que notre état soit Laïc donc détacher de la spiritualité ou de la religion et donc des vertu que la religion peu véhiculé avec la laïcité et que tout cela soit plutôt du domaine du privé, il en découle que beaucoup d’entre nous ne se sentent plus responsable de leur acte, plus directement en tout cas et qu’ils calquent leurs pensées ou leur attitudes sur le comportement de leur entourage qui consiste surtout à ne pas faire de vagues. Et pourtant notre histoire de France et le romain national est fait de hauts personnages les plus intègres qui véhicule des idéaux de justice et de liberté.  J’en reviens encore à notre devise qui est visible sur certaine mairie en France « Liberté, Egalité, Fraternité » je pense que ce sont trois mots qui peuvent tout changer en nous si nous les cherchons un peu et qu’il est possible pour un citoyen Français de ce crée une forte intégrité grâce à eux. Comme une phrase magique. Les mots ont un sens et nos actes aussi je suis persuadé.

 

L'hospitalité pour nous l’hospitalité en France fait partie de l’héritage culturel, nous sommes une terre d’asile, pour les gens qui fuient la guerre, ou qui rêvent simplement d’une meilleur vie, je pense que c’est quelque chose que nous partageons avec les USA. Ici en Bretagne je trouve que l’hospitalité est une des vertus les plus présentes dans notre mode de vie. Les gens s’entraident beaucoup, ici c’est vraiment la fraternité exprimé dans la devise française qui se ressent le plus. Nous prenons soin les uns des autres, c’est un héritage issus d’une époque ou la Bretagne était plus isolée du reste de la France. Avec les tempêtes l’hiver ou les voyages dangereux en mer, les gens prenaient attention de leur famille, amis et voisins étaient souvent convié à passé du temps à la maison et pour s’entraider dans les tâches quotidiennes qu’incombe le travail et l’entretient de la terre et d’une ferme. Les marins en mer aussi avaient l’habitude de rencontrer du monde dans tout leurs voyages ce qui nous à donner une forme d’ouverture sur le monde et les autres cultures. Il nous reste la mentalité de cette époque et en vivant ici nous pouvons le ressentir. J’ai vécu vers Bordeaux ou c’était assez différent je dois l’admettre sans vouloir être mauvaise langue. Mais je me rappel une fois qu’une Bretonne qui vivait en Charente m’avais dit qu’un Breton ne peut être vraiment heureux qu’en Bretagne entouré des siens chez lui. C’est peut être ça que j’associe à de l’hospitalité. J’imagine que d’autres Français ressentent eux aussi la même chose dans d’autres coins de France.

 

La modération, cette vertu je pense est importante, je pense qu’une vie bien équilibrée et une vie faite de modération, c’est cette vertu qui nous apporte l’harmonie. cependant, il est juste de penser que nous sommes modérés dans nos actes en France. Mais je pense que la société actuelle nous pousse un peut au vice, par exemple avec les parties politiques qui poussent les gens à ce déchirer entre eux. Et nous oublions aussi la modération souvent face à la société de consommation qui nous pousse à faire des achats dont nous n’avons parfois pas besoins. Je pense que c’est une des vertus les plus importante pour moi aussi, par exemple je suis parfois un peux râleur et avant de rejoindre ADF quand j’avais un problème dans la vie je sur-réagissais. Maintenant que je travail avec nos neuf vertus mes réactions sont plus modérées et appropriées. Je pèse souvent le pour et le contre, avant de dire ou de faire quelque chose, j’ai aussi appris à m’éloigner de ce qui provoquait chez moi tant de réaction. J’ai aussi rencontré une jeune femme qui me pousse à faire la part des choses. J’ai en effet beaucoup changé et le changement à eu lieu en plusieurs étapes. Le premier c’était quand j’ai fini le travail du Dedicant path je dirais que ça à bien commencer à ce moment là alors depuis que j’ai fini mon DP et que j’ai obtenu plus de compréhension de mon vécu et de ce qui m’importe vraiment dans la vie. Alors c’est une vertu  que les Français devraient travailler plus je pense, mais en avons-nous conscience ? La modération en France est surement dans la volonté que nous avons en nous une fois que nous avons compris que l’importance c’est aussi d’avoir une vie modérée si c’est notre volonté. Car nous sommes libres de choisir. Il est alors important de définir par nous même ce qui est la modération et comme l’exprimer dans notre vie. Nous devons alors définir et assurez nos propre propres limites pour nous même dans les aspects de notre vie ou la modération à de l’importance. En ce qui concerne la religion et la spiritualité il y a beaucoup de problème souvent parce que les gens peuvent avoir du mal à être modéré surtout en comparaison avec la vie personnelle dans les autres domaines comme l’alimentation ou la consommation de loisir. De nombreuses personnes ont du mal à être modérées dans leurs croyances et parfois la religion permet à certaine personne de trouver un sens dans ce qu’ils font dans la vie.  Je trouve par exemple personnellement que je suis en train de changer, je travail sur moi-même et aider par Anaïs ma compagne ainsi que la maladie qu’a traversée ma mère. Je vois les choses différemment et je ne m’accroche plus a mes anciens comportement dans certaines situations. Je pense les conflits que j’ai rencontré avec d’autre gens dans le druidisme en France, je ne me détache petit à petit de tout ça, je sais que je vais maintenir à distance ceux qui pourrait troubler ma paix intérieur. Mais tout cela ne m’appartient plus, je comprends que j’ai beaucoup appris en traversant les problèmes que j’ai rencontré. Et ça appartient à la personne que j’étais avant, plus à celle que je suis ou à celui que je vais devenir. Je me dois de faire un travail intérieur en moi-même et d’œuvré en paix dans ma pratique quotidienne, il me sera toujours possible de repensé à mon passé mais avec modération afin d’être un druide de clergé efficace pour ma communauté, et être la meilleur personne possible pour les autres. La modération m’a apportée ça.

 

La fertilité, pour moi la fertilité est en lien avec la créativité pour nous elle peut aussi être considérée et comprise comme étant la fécondité et liée au sexe. Les Français peuvent avoir des excès là dedans, en effet la France est le pays de l’amour et du romantisme mais c’est là un exemple des aspects de nous même qui à besoin de modération. Pour moi la fertilité est plutôt la capacité à crée quelque chose et à faire aboutir un projet à son terme. Probablement que cela peut être compris comme une des facettes de la créativité aussi. Nous avons probablement besoin de fertilité dans notre vie et dans nos activités liées au druidisme aussi mais cependant nous ne devons pas tomber dans une forme de déséquilibre et faire trop de chose, trop d’activité, ce qui nous remettrait dans une situation ou nous aurions besoin de la modération pour revenir dans une situation d’harmonie. Il est important que la fertilité permette à notre esprit de s’ouvrir à de nouvelles idées ou a de nouvelle chose, que l’esprit ne se fige pas, mais qu’il évolue. Et qu’il nous apporte la confiance nécessaire pour essayer de crée ou d’expérimenter de nouvelles choses. Que cette ouverture nous permette de faire de nouvelles expériences. D’établir une connexion plus forte avec notre esprit et l’intuition. Il est aussi important que la fertilité dans notre vie soit un facteur favorable pour la confiance et le respect.

Je pense à une prière que la fertilité m’a inspirée avec tout ce que j’ai expérimenté et appris par le passé. La modération est importante mais la fertilité aussi.

 

Gwall nebeut gêrioù:

Me m'eus skrivet nebeut gêrioù diwar-benn ma soñjoù. 

Me m'eus soñj e-bazh al labour, Me a ouien hon c'harantez, hor c'halonoù, hon speredoù.

Int a oa pouezus. Hag an bannoù heol evit un den hag a zo o bourmen war an hent disheol, nebeudik, an tan karantez, kaer eo anezhañ.

Hon mamm zouar zo ganomp. 

Bez'ez eus ur bern kubennoù ouzhin.

Gallout a ran da soñjal, pe zen en deus graet an dra-se?

Me... piv zo da eil? 

Karantez zo pouezus...

Ret eo deomp da eskemm karantez ha joa ivez.

 

 

 

10.Les neuf vertus décrites dans le chemin du dédicant ADF sont proposées comme point de départ pour les individus qui adoptent un système de valeurs inspiré des traditions du passé. En utilisant les neuf vertus de l'ADF, développez un code d'éthique à votre usage en tant que clergé de l'ADF. Décrivez comment vous avez tiré ce code des neuf vertus et comment vous appliqueriez ce code. (Aucun nombre minimum de mots pour le Code ; cependant, le Code doit contenir un minimum de cinq principes ; 300 mots minimum pour la description) 

 

Ma réponse pour ce travail : 

 

Dans ma pratique de prêtre je garderais la flamme du feu sacré, je ritualiserais avec piété chez moi pour le foyer Ty-Elfed Dieub, avec la petite clairière de Virtual Fire protogrove sur zoom le plus souvent possible. J’essaierais aussi de faire des rituels en extérieur le plus souvent possible dans la nature en Bretagne. En tant que prêtre, il sera important pour moi d’avoir mes propres pratiques spirituelles  de les pratiquer régulièrement et d’aider les autres dans leur propre pratique spirituelles. Je pense que c’est important de mettre en avant la piété et l’entretient des prières et rituels avec nos reliques et le feu surtout.  

 

Dans mon rapport au monde je ferais mon possible pour être le plus gentil possible et je vais faire un travail pour voir le meilleur chez les gens, et être le plus optimiste possible. Il est important aussi d’encourager les actes de bonté et de gentillesse autour de soi. En tant que prêtre, si je m’engage avec des gens je chercherai toujours à être présent pour les autres et le plus gentil possible, je pense qu’il est important aussi de savoir être  conscience de qui nous sommes et de comprendre que nous avons tout une vie faite d’épreuves, de haut et de bas pour garder l’équité dans le rôle de prêtre. En France la gentillesse et souvent perçu comme une faiblesse, je ne pense pas. Pour moi la gentillesse c’est plutôt une expression de la sagesse quand elle est misse en action. Il est important de comprendre que nous pouvons être gentil et que c’est le mieux que nous puissions faire pour écouter les autres et leur venir en aide c’est important. Dans une situation difficile ou il y a un problème important à régler il est bons de savoir s’arrêter au milieu du conflit deux minutes et voir comment régler la situation de la meilleur façon possible pour tout le monde.  Dans une telle situation être gentil c’est savoir être un prêtre et agir en prêtre.

 

Je chercherais toujours à être le plus juste possible. En m’inspirant des neuf vertus pour m’appliquer  et me montrer digne de mon chemin, je pense que c’est ce que je ferais en tant que prêtre. Être digne de ADF mais aussi des idéaux de nos pays, la France et les USA ou le Canada. La liberté la justice et l’équité est importante et si je suis prêtre je ferais mon possible pour me montrer à la hauteur des idéaux de nos ancêtres et de l’histoire de nos pays. Je ferais mon possible pour respecter la liberté de chacun et chacune, je chercherais dans la mesure de mes possibilités à corriger les injustices si je suis témoins d’une injustice et je ferais mon possible pour me montrer équitable, et cela même si je ne peux agir en tant que prêtre que dans notre communauté ou avec mes proches.

 

En tant que prêtre je me montrerais le plus intègre possible, je m’efforcerais d’agir avec honneur pour le kindred et la dignité des gens. Afin d’être un bon prêtre pour ADF je me montrerais digne de confiance et je ferais un effort continue pour me montrer impartiale suivant les situations et si je suis face à une situation compliquer ou un problème de premier plans je demanderais conseil auprès des autres membres du clergé que je connais. Afin qu’ADF réponde du mieux possible aux exigences de chaque personne ou situation. Pour moi la Terre Mère ou Mamm Zouar est une force qui nous unis tous, sur la terre. Je suis un amoureux de la nature et en tant que prêtre je respecterais la nature ou je vis. Ici en Bretagne nous les Bretons sommes des gens très proche de l’Armor et l’Argoat. Sur les rivages le plus claire du temps ou dans les bois des terres au centre de la Bretagne. Nous sommes entourés d’une nature merveilleuse ce qui nous rapproche grandement de la terre et des forces naturelles dans notre lieu de vie. Je m’efforcerais d’honorer la terre et de mon coin de France en conscience. Par exemple me mobilisé pour réparé les dommages qu’il y a eu dans les monts d’Arrée avec les feux de l’été 2022 cette année. L’écologie est importante pour les druides de ADF et pour les Bretons aussi, alors je pense que c’est quelque chose de naturel que je doit entretenir. Le rapport à la terre est un lien sacré que j’entretiendrais en tant que prêtre. Je pense que pour finir le plus important c’est d’avoir conscience que nous sommes druides, que c’est important de ce rappeler que nous avons un rôle d’intermédiaire entre notre monde et celui des divinités et des esprits, un peut comme les médiums ou les chamans, mais avec un chemin différent peut être plus construit, en tout cas dans un cadre celtique. Et construit avec nos études de ADF. Je pense que c’est important de ce souvenir que nous recréons un chemin avec ce que nous avons, ce qui nous reste des anciens peuples et ce que nous recréons avec nos rituels en communs, les étapes de nos rituels et le travail en amont les liens que nous créons entre nous et nos divinités de foyer, le kindred et alors si nous devenons prêtres pour la communauté nous avons des devoirs envers cette communauté et les personnes qui nous contacterons en rapport à notre prêtrise, mais pas seulement nous avons aussi les mêmes devoir envers la nature et les autres êtres vivant qui peuplent la terre. Alors si je suis prêtre, je penserais à tout ça, je me souviendrais que j’ai des devoirs envers les dieux, les êtres vivants et la nature. Et que tout les êtres vivant son dignes d’amour de respect et de dignité. Et je n’oublierais pas que les trois plus grands problèmes que l’on peut rencontrer dans la vie sont le manque d’amour, l’ignorance et l’indifférence et que donc tous les êtres sont dignes de dignité, d’amour et que nous devons toujours faire de notre mieux. Il est aussi très important de penser. A la façon dons nous devons nous exprimer et comment bien parler, que ce soit avec la nature, les esprits et les dieux mais aussi est surtout avec les gens qui nous entours et les amis de la communauté. Je pense aux conseils du Druide Cadoc à Taliésin dans les Dits du Druide Cadoc.

 

Conseils que Cadoc donna à son élève Taliésin,

chef des poètes, avec sa bénédiction.

« Les dits du Druide Cadoc » — (CXVIII)

 

Avant de parler, considère : premièrement ce que tu dis ; secondement pourquoi tu le dis ; troisièmement à qui tu le dis ; quatrièmement de qui tu le dis ; cinquièmement ce qui résultera de ce que tu dis ; sixièmement quel bien proviendra de ce que tu dis ; septièmement qui écoute ce que tu dis.

Mets tes paroles sur le bout de ton doigt avant de les dire, et tourne-les de ces sept manières avant de les exprimer, et alors aucun mal ne viendra jamais de tes paroles.

 

 

Un code d'éthique pour mon usage en tant que clergé de l'ADF : 

Je pense que j’ai toujours eu un code personnel, avec la vie que j’ai vécus surtout plus jeune, j’ai souvent eu des difficultés dans mon rapport au monde qui m’entourais et dans mes relations avec les autres personnes. Cela va mieux maintenant heureusement, bien que j’ai des problèmes de temps en temps. Mais j’arrive à mieux géré les problèmes. Il est important de ce crée un code de conduite, par rapport à soi même et pour se sentir le mieux possible avec les autres. Je travail avec nos neuf vertus de ADF depuis environs trois ans, j’ai fini mon DP en 2021. Mais bien avant cela j’avais fait mienne les vertus de la tradition nordique. Je continue d’appliquer aussi ces vertus dans le groupe Asatru Français du Kindred Midgard ou j’étudie, je commence un mandat de quelque année avec eux je serais Gothi de 2023 à 2026. Je pense que c’est important d’avoir des vertus et de savoir les exercés dans nos vies, même si il est difficile de toujours bien se comporter, c’est une aide d’avoir des valeurs et des vertus, c’est comme une boussole qui nous permet de ne pas nous perdre dans le monde.  Je m’efforce d’être un bon Druide ou Gothi pour les dieux et le kindred (celui de ADF) et les personnes Asatru du Kindred Midgard quand nous célébrons nos Blots sur zoom.

 Alors les vertus d’un prêtre formeront un code d'éthique, dans cette optique mes valeurs personnelles sont semblables à celle affichées ici et elles sont inspirées de nos  neuf vertus d'ADF.

 

La vertu de la sagesse est bien la première et la plus important car elle est le résultat des expériences accumulées au cours de ma vie depuis ma naissance et c’est important d’avoir aussi conscience que de cette vertu découlent les autres. Bien sur le comportement d’une personne résulte également de la sagesse issue des expériences vécus dans la vie.

La vertu de la vision, la vision peut avoir plusieurs sens comme je l’ai vu avec le programme du Dedicant path. Alors il y a les présages et le sens large des choses, c'est-à-dire la connaissance apportée par l’étude et l’expérience. Bien sur je pense aussi à la vision dans le cadre de la prêtrise et à la personne que je serrais dans un an ou dans quelque année si je suis prêtre. J’ai aussi ma propre vision de ce que pouvais être un prêtre chez les anciens breton ou chez les scandinave, j’essaye de faire correspondre ces deux images avec la vision du prêtre que je serais dans plusieurs années.

La vertu du courage, j’ai fait l’expérience du courage dans ma vie passé mais aussi ces dernier temps avec la maladie qui est revenu dans nos vies. J’ai aussi du faire preuve de courage pour continuer à étudier et à pratiquer le druidisme. Malgré les perturbations rencontrées sur le chemin. J’ai trouvé que le courage de me retourné et de comprendre comme fonctionne mon esprit et celui des gens. Je donc pensé que ça à été bénéfique pour moi et mes études. Mon courage à été éprouvé et je pense que j’aurais encore besoin de courage à l’avenir car le chemin du prêtre peut être difficile. Je dois me montrer courageux si je veux servir la communauté en tant que prêtre. Je n’oublie pas nom plus qu’en employant bien mes heures et mon temps d’étude je conserve ma motivation et le courage commence avec la motivation je pense que c’est important aussi d’être motivé pour être prêtre.  

La vertu de la piété, pour moi la piété est naturelle dans mon rapport aux divinités de mon foyer et au kindred. J’entretiens en plus une relation étroite entre les divinités et le feu que je garde avec notre programme du Hearth Keeper, et avec le cosmos que je garde avec les reliques de ADF pour maintenir l’ordre dans l’univers. L’ordre qui signifie l’équilibre et la paix. Alors je cherche a faire preuve de piété avec une autre vertu la persévérance, malgré les difficultés et les moments ou faire des rituels sont plus difficile, je maintiens des prières et des cultes quotidiens. Et j’assiste le plus possible aux rituels de la Virtual Fire protogrove, avec le décalage horaire ce n’est pas toujours facile, mais je fais mon possible. Je pense aussi que tout mon quotidien tourne autour du druidisme, alors même quand je ne fait pas de rituel j’ai des attitudes ou des pensées en lien avec le druidisme, les esprits ou les dieux. Je pense que ça fait aussi partie de la piété dans une certaine mesure.   

La vertu de la persévérance, pour moi la persévérance est étroitement liée à la piété et au courage deux autres vertus importante pour le chemin d’un prêtre. Il est important aussi de se montré persévérant dans l’exercice et la pratique de notre druidisme et aussi dans l’observation de nos vertus dans notre vie quotidienne et l’exercice de la fonction de prêtre.  

La vertu de l’intégrité, cette vertu personnelle est plus en lien avec l’histoire de la personne et les limites que nous imposons aux autres, je trouve que c’est important si nous souhaitons rester des personnes intègres. Nous imposé des limites a nous même aussi pour rester digne et intègre face à tout les problèmes que nous aurons a surmonter. L’intégrité est liée à la justice, à la fidélité et à la confiance. Tout cela est lié et il me semble difficile de resté intègre sans confiance ou sans fidélité, de même être juste sans intégrité me semble difficile.  

La vertu de la fertilité, maintenant je pense que la fertilité est liée à la création, à l’inspiration mais aussi à notre croissance spirituelle dans le druidisme, mais c’est aussi la croissance de la communauté et définitivement pour un prêtre la croissance spirituelle des autres. Le paganisme et à raison de plus le druidisme, s’intéresse à la relation que la personne entretiendra avec sa terre, ses ancêtres, les dieux et avec lui-même ou la communauté, une relation ou plusieurs qui doivent être accomplis et développées avec la fertilité pour être opérationnelles et productive, pour le prêtre et la communauté avec les laïcs.  

La vertu de la modération, il est important de comprendre que cette vertu est importante parce que sans modération, nos actes ou nos pensées peuvent nous conduire à une situation de déséquilibre. Il est alors important d’être modéré et de comprendre surtout dans nos relations avec les autres où se trouve nos limites et les leurs. Je comprend maintenant en travaillant sur cette vertu et avec un peut d’introspection que j’ai parfois manquer de modération, c’est quelque chose que je vais m’efforcer de corriger à l’avenir si je devient prêtre.  

La vertu de l’hospitalité, voici une vertu qui fait partie de la culture bretonne, l’ouverture aux autres et au monde est quelque chose qui nous parcours et fait partie de nous ici en Bretagne. Et les échanges les contactes et l’hébergement des voyageurs autrefois dans les fermes et les petites maisons de campagnes autrefois. Ça me rappel la tradition des bolées pour boire le cidre, le lait ou le chouchenn, il y en avait toujours un en plus pour le cas ou un invité de dernière minute se présenterais à la porte pour le souper. L’hospitalité fait partit des celtes eux même. On retrouve la relation de l’hospitalité dans nos rituels druidiques quand nous invitons nos êtres sacrés du kindred, les dieux, les esprits de la nature ou les ancêtres et dans l’autre sens c’est possible aussi quand nous effectuons des voyages astraux ou chamanique pour aller à leur rencontre, c’est bien la vertu de l’hospitalité qui entre en jeux. De nombreuses histoires et mythes parlent aussi des visites des dieux ou des ancêtres surtout à Samhain ou à Yule en fin d’année.

 

Travail avec le code de druide :

Il est important d’effectuer un véritable travail sur soi pour avancer avec ces vertus et avoir un code moral. L’introspection est l’élément central de tout travail druidique de toute façon. Avant de rejoindre ADF j’avais une pratique méditative basé sur les vertus Nordiques des Hàvamàl et des Sagas Eddiques je vais continuer à le faire avec ce travail de clergé alors que je marche sur le chemin de la prêtrise dans notre groupe de ADF.

 

La méditation Sur les neuf devoirs que je fais:

1- Etre sincère et fidèle en amour et dévoué envers l'amis fidèle: même s'il m'attaque, je ne lui causerai aucun tort.

2- Ne jamais prêter de faux serment. Grand et impitoyable est le tribut pour avoir rompu une parole donnée.

3- Ne jamais traiter durement les humbles et les petits.

4- Se souvenir du respect du au grand âge.

5- Ne pas laisser de mal sans remède; ainsi combattre sans répit les ennemis de la famille, de la communauté, du peuple et de la foi

6- Secourir l'isolé, mais n'accorder aucune foi à la promesse d'un étranger.

7- Ne pas réagir aux délires d'un homme ivre: nombre de querelles, la mort même, en sont parfois le fruit.

8- Accorder des soins attentifs aux morts: morts au lit, en mer ou au combat.

9- Se conformer aux ordonnances des autorités légitimes et accepter avec courage et fermeté les décrets des Nornes*.

*Les Nornes sont 3 déesses-soeurs filant la destinée des choses et des êtres. Urd ("ce qui fut") symbolise le Passé, Verdandi ("Ce qui devient"), le Présent et Skuld ("Ce qui devrait advenir"), le Futur.

 

Sources :

https://ng.adf.org/article/what-do-neopagan-druids-believe/

https://ng.adf.org/article/basic-principles-of-roman-religion/

http://www.chronarchy.com/misc/dp-req-1-nine-virtues.pdf

http://www.texasevidence.com/article-v-privileges/rule-505-communications-to-members-of-the-clergy/ 

https://avocat-tv.com/application-et-limites-du-privilege-du-clerge/ 

https://www.adf.org/clergy-blog

https://www.adf.org/members/training/dp/manual/chap-1.html

https://hellenicdruid.com/adf-clergy-training-program/ctp-1/

https://www.sahpl.asso.fr/site_sahpl/Rio_Joseph_Celtisme_et_Druidisme.pdf