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Bardit d'été de l'oiseau doux
Bardit d'été de l'oiseau doux:
Parmi le vert des arbres, et les couleurs multicolores des fleurs dans les champs.
Parmi la douceur des mousses sur les pierres bleues et les troncs.
Dans la floraison des êtres et de toutes les plantes les plus belles.
Un qui avait fière allure face aux épreuves et au danger.
Aujourd'hui qu'il chante a nouveau vêtu de ses nouvelles couleurs.
Qu'il était brave et grand avant que n'eurent commencés les combats.
Qu'il était courageux face à son ennemi le grand Prince saxon portant un taureau sur le blason de son écu.
Qu'il était digne et noble quand avec lui s'unissaient les armes et les hommes, au temps d'Arthur et de Merlin.
Quand les combattants tombaient comme les fruits murent qui tombent des arbres à la fin de l'été, lui était si attristé.
Dans des cris de colères et de douleurs le Taureau fut méchamment abattus, sur les tiges des plantes son sang coulait et les épées gisaient dans les buissons de la clairière.
De l'ami ou de l'ennemi chaque vie à de l'importance et le chagrin apporte le même poids.
Maintenant qu'il est éblouis pas le vacarme et le tapage des armes, comme le monde et beau loin des conflits, comme la paix est douce sur l'arbre au bord du ruisseau.
En pensée il pourrait s'envoler.
Dans le chateau après les combats, après les banquets où coulèrent le vin et l'hydromel. Les guerriers se hâtaient autour des liqueurs et des plats fins en leur festin.
Lui n'avait plus d'appétit pour rien...
Il fit la rencontre d'une dame vétus de parme et de turquoise, si fine et grâcieuse qu'elle n'appartenait pas à ce monde.
Le chagrin du roi la fit venir depuis ses lointaines îles enchantées.
Il lui confie son chagrin et ses rêves.
La perte du Taureau avec lequel il n'avait jamais été en paix sauf dans ses rêves.
Comme il aimerait être léger et doux, comme il aimerait chanter à nouveau sa joie, celle de ses jeunes années.
Ils partirent tout deux dans les jardins laissant les guerriers à leur festin.
Sous les saules et leur branches de tournoiements et d'ondulations dans les brises d’été, et les fleurs qui envoient tous les parfums
Le vieux roi resta à contempler les feuilles, et les fleurs qui dansaient.
La Dame féerique marchait sur la pelouse, dans les jardins du chateau. Chaud était l’été paré de pommes et des couleurs de la vie. Avec quelques actes magiques. Elle soulage le vieux roi.
Loué qu'il était le chef du peuple des bretons, retiré dans la plaine des souvenirs, et des instants perdus.
Dans les fleurs il retrouva ses vertus.
Plus personne ne revu le roi qui avait disparu. Perdu dans la magie des fleurs et les chansons d'une fée de l'été.
Dans la forêt profonde il retrouva ses ailes pour réapprendre à voler, et son plumage d'été dans la brise sous les arbres dorés, quand les champs sont pleins de grains et que les terres agricoles produissent sans êtres ensemensées.
Il avait trouvé son domaine sous un chêne au bord d'un ruisseau d'eau fraiche.
Ici dans les sous bois proches de la mer, il retrouva celui avec qui il aurait aimé partager des cornes bleues d'hydromel au matin.
Tout deux furent des chefs vêtu d'or et de pourpre à l'avant garde des armés.
Maintenant que les jours sont passés.
Ils sont de nouveau ce qu'ils étaient au commencement du monde, un oiseau chanteur et un taureau paisible.
Quand on y va nous pouvons l'entendre chanter à nouveau.
Il retrouva son ami le taureau sous les chênes d'or.
C'est pourquoi les fleurs profondes de la terre les animent et que dans le silence des bosquets et le savoir des vieilles pierres levées se trouve le mystère des renouveaux de vie en vie, d'été en été.
Tandis que dans le coeur de l'oiseau et du taureau songe le pur pollen à des pensées d'automne.
Ecrit par Eikthyrnir Odinson
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