• Liturgy of the clergy ADF-Liturgy1

    The ADF Clergy Training Program : Le programme d’étude du Clergé de ADF.

     Clergy Training Program Course Outline – Baseline Training-

    *Liturgy 1*    

     

     

    1.Maintenant vous devez définir ce qu’est un rituel, d'autant plus que le terme s'applique au travail religieux et spirituel.

     

    Ma réponse pour ce travail 

     

    Le rituel est un ensemble de rites choisis comme procédés effectués sur une base régulière et réalisé dans un but spécifique. Un rite est une pratique sociale codifiée, qui possède un caractère sacré ou une fonction symbolique. Un rituel est destiné à susciter l'engagement émotionnel des participants au service d'une même attente ou dans le cadre d'un culte.

    • Le rituel d’un point de vu structuré sur le travail religieux :

    L’usage d’une ortopraxie commune est quelque chose d’important pour notre développement en tant que communauté et dans un but religieux de reliance. Il serait possible de définir un rituel comme étant la misse en action d’une somme de connaissances et de croyances, une éthique non pas secrète mais discrète qui visent à nous mettre en reliance et en ordre avec le cosmos, les rituels sont tous agencés par des phases ou des étapes spécifiques et d’actions qui se répètent chaque fois de la même façon, certaines étapes sont très importantes. Certaines de ces actions qui sont conçues pour produire et gérer un ou plusieurs états modifiés de consciences comme la transe, ou la gnose, le lien avec les êtres spirituels dans l’autre monde. Et les états de sérénité dans lesquels nous offrons des louanges et des offrandes au moment du centre sacré. C’est étapes se produisent plusieurs fois au cours de nos rituels.

    Le but d’un rituel pour nous et sa mise en pratique sont deux éléments important, nous ritualisons dans un but ou pour atteindre un objectif particulier ou pour célébré la saison ou remercier une divinité. L’objectif du rituel aura toujours une influence sur notre façon de le célébré et c’est une chose que nous devons garder en tête quand nous officions à un rituel. Quoi qu’il en soit nous savons qu’il est important de faire les choses d'une manière établie afin de récolter un résultat en particulier et d’une façon qui soit honnête et approprié.

     

    • Le travail spirituel et la spiritualité :

     

    La spiritualité dans le travail des rituels est une partie visible à un instant bien précis de quelque chose de primordiale qui doit être développé quotidiennement. Des techniques spirituelles doivent être alors mises en place dans une pratique de tout les jours, comme la méditation, la visualisation, la transe et toute les techniques qui permettent d’atteindre des états modifiés de conscience et d’obtenir des expériences de gnoses plus ou moins poussées dans nos dévotions quotidiennes. Il est aussi possible d’ammener la spiritualité sous un autre plans ensuite, dans l’expression des gnoses obtenues par la transe ou d’autres techniques, c’est l’inspiration poétique avec l’ecriture de poèmes et de bardits qui en découle ou alors l’expression artistique sous d’autres formes comme la peinture ou la création en artisanat d’une autre façon comme la sculpture ou la pyrogravure. Nous pouvons aussi obtenir une vision poétique du monde et voir la vie différement. Eprouvé comme de l’enchantement.

    C’est peut être aussi une des choses qui importe le plus voir le monde et la vie sous un jours différent. Et partager ce retour à l’harmonie avec des gens avec lesquels nous réalisons nos rituels quand nous sommes en groupe en plus d’un travail en solitaire. C’est aussi le but des rituels que nous faisons. La communauté Druidique de ADF permet ça justement aussi et en plus nous pouvons comprendre l’importance d’avoir un esprit de groupe qui pour nous facilitera l’élaboration des rituels et la mise en commun d’énergies et d’intentions dans un but ciblé permettant alors à notre Kindred et aux autres esprits ou divinité qui se joindrons à nous durant un rituel pour nous assisté de facilité l’envoie des énergies vers là ou elles devront aller selon le but du rituel.

     

    2.Vous devez décrire certains des rôles que les individus pourraient assumer dans le contexte d’un rituel.

    Ma réponse pour ce travail

    Je comprends en tant qu’étudiant pour le programme de base du clergé que cette question concerne les rituels en public avec beaucoup de personnes. Dans les rituels faits en solitaire la personne qui officie aura tout les rôles à faire et toute les étapes à faire tout seul. Ça peut être beaucoup moins formel qu’un rituel de groupe, plus complexe et avec différents intervenant pour toutes les étapes et les différents rôles à endosser durant un de nos rituels.

    Dans nos rituels il y a différentes étapes qui peuvent être attribués à différentes personnes quand nous pratiquons en groupe. Comme allumer le feu sacré, verser l’eau du puits. Ensuite s’occupé de la consécration de l’arbre sacré. Qui sont nos reliques, une seule personne peut faire ça ou alors trois personnes différentes, ensuite il est possible pour une autre s’occuper de l’ouverture et de la fermeture des portes avec le portier ou gatekeeper. Une autre personne peut honorer les trois Kindred durant le rituel, une autre peut se charger de l’être de l’occasion.

    Il y a plein d’autres rôles qui peuvent être attribué à des personnes durant nos rituels, le signale sonore, la prière d’ouverture pour initier le rite. L’organisation d’une procession, le travail avec notre sigil.  Il y a aussi l’étape de la purification des gens qui participeront à nos rituels. Il nous est possible aussi d’organisé la purification du site du rituel. Nous honorons et remercions aussi la Terre Mère durant nos rituels cela peut également être attribué à une personne. Une partie importante aussi concerne le centre sacré du rituel nous pouvons le définir durant nos rituels et c’est une autre personne qui peut le faire et ensuite l’évocation des divinités du feu et de l'eau et lien avec le centre sacré. Il est possible aussi d’invoquer la ou les divinités Bardiques, celles qui nous apporte l’illumination de l’Awen et la recherche du présage de l’ « omen » étant un élément important aussi, une personne peut avoir le rôle de voyante ou de druide dédié à la divination durant un rituel. C’est agréable d’avoir plusieurs personnes qui participe à un même rituel de cette façon ça renforce les liens de communauté, alors que dans un rituel solitaire le druide portera un peut toute les casquettes et sera plus polyvalent, dans un groupe les gens se spécialiserons plus dans leurs pratiques.

    Et bien sur le travail d’offrande pour l’étranger afin qu’aucuns esprits ne trouble nos rituels.

    Pour les rituels publics et très officiels de notre druidisme ADF les rôles sont distribué entres plusieurs membre du clergé et avec les druides les plus anciens. D’après se que j’ai vu des rituels de certaines de nos grandes clairières sur leur rituel sur Zoom. Cedarlight Grove et Three Cranes grove. J’ai vraiment beaucoup aimé ces rituels, et j’ai lu aussi les liens vers le site internet de ADF pour bien comprendre tout les éléments de nos rituels.

    L’un des points les plus important que nous devons respecter c’est que la personne qui organise le rituel ou les personnes qui organisent le rituel sont celui ou celles qui auront écrit le rituel, le texte liturgique et tout la préparation autour, comme la nécéssité de contacter les participant, d’attribuer des responsabilités aux personnes les plus compétentes pour remplir les besoins du rituels.

    Bien évidemment chaque parties attribué aux personnes serra sous leur entières charges en rapporte avec leur compétences, le barde par exemple s’occupera de la musique et des chants ou des poèmes et autres bardits. Le Devin lui s’occupera des présages dans la partie de l’omen. Et ainsi de suite, les rituels de l’ADF sont basés sur la mise en communs des savoirs de chacun d’entre nous et sur le partage des mêmes valeurs, des vertus et l’adoration des reliques et du triple kindred à travers elles. Tout ça se retrouvera dans nos rituels de groupe avec une structure plus élaboré que pour les rituels solitaires, les rituels aussi seront souvent plus longs et plus structurés en groupe.

    3.Expliquez pourquoi les rituels ADF n'ont pas besoin d'avoir une limite extérieure définie, ou un "cercle" et expliquez ensuite quelle est la méthode d’ADF pour la sacralisation de l'espace.

     

    Ma réponse pour ce travail 

    Quand nous célébrons des rituels en extérieur ou des cérémonies quotidienne il semble assez important de consacré le lieu et d’utilisé l’espace du rituel une fois qu’il est rendu « utilisable » après la sacralisation par un acte rituel en début de cérémonie. Dans le Druidisme quand les druides tracent des cercles nous délimitons nos espaces rituels par des cercles, que nous traçons par divers moyens ou par des circumambulations. Les cercles rituels sont des limites sacrés qui sont protégées pas les éléments utilisés 'leurs forces ' (Eau, Feu, Air, Terre) et l’association les points cardinaux. Avec les cercles le but premier dans le fait de crée un cercle c’est de consacré un temps et un espace a quelque chose de l'ordre du sacré pour le différencier du temps et des occupations ordinaires ou profanes c'est de nous soustraire a la distraction des problèmes du quotidiens, permettant de prendre du recul par rapport à la vie de tous les jours. Il nous faut remarquer que l’usage du cercle est de contenir à l’intérieur du cercle les énergies qui sont apporter par les druides et que dans un espace énergétique de forme sphérique et qu'il représente une forme de macrocosme a l'intérieur et a l'extérieur du monde. C'est aussi une partie du monde qui est soustraite durant un instant au reste de l'existence quotidienne et de la réalité consensuelle. De ce faite le cerlce peut être une forme de protection vis-à-vis des énergies extérieurs du cercle, hors dans la nature nous travaillons pour nous reconnecter à la terre et au ciel, les plantes, les lieux, les arbres, les sources, les rivages ou les montagnes … etc. Les limites ainsi posées rendent l'espace spécifique pour les objectifs sacrés. De mon point de vu a présent bien évidemment dans le druidisme la formation de cercles nous impose néanmoins des limites qui peuvent nous restreindre.  Le périmètre du cercle est une sorte de murs, de limite contenant les activités sacrés ce déroulant a l'intérieur. L'énergie produite durant le rituel ou la célébration sera relâché une fois le cercle dissipé après l'activité druidique. Ainsi le cercle à une fonction de protection pour les rituels, dans le but d’obtenir une protection contre les énergies indésirables ou nuisibles entrant dans la zone rituelle, ce cercle peut aussi nous empêcher de bénéficier des énergies positives des lieux et des esprits de la nature ou de toutes les formes d’énergies possitives contenues à l’extérieur du cercle. Le cercle ainsi nous enferme dans notre rituel et nous empêche d’invoquer des entités ou des forces qui devraient être attirées afin d'aider au bon fonctionnement de la cérémonie. Les rituels chez les peuples Grecs et Scandinaves étaient quand à eux plus ouverts et permettaient de laisser entrer les énergies éxtérieurs bénéfiques pour la cérémonie. Au sujet des anciens rituels celtiques par contre il ne nous reste que très peut d’éléments. Il y a beaucoup à reconstruire et beaucoup de chose qui peuvent être mises en place bien sur et c’est heureux. Néanmoins a l’heure actuelle une chose est sur personne ne peut prétendre avoir les anciens rituels d’il y a deux milles ans dans l’époques présromaine. Même nous druides de ADF nous reconstruisons nos rituels à partie d’éléments plus anciens.   

    L’espace Sacré dans nos rituels de ADF :

    Pour nous dans nos rituels l’importance de la création d’un espace sacré et donc de crée un espace hors du temps ordinaire et du monde profane mais sans enfermer les gens dans le rituel et sans nous coupés des forces bénéfiques éxtérieurs à notre rituel, tout en éloignant les énergies et entités négatives avec l’aide de divinité qui ont le rôle de gardien des frontières et des portes entre les mondes, d’où le rôle important de Portier ou Gatekeeper. L’éloignement des éngeries négatives et des entités perturbatrices se fait aussi par la purification rituel bien sur mais également pas l’offrande et l’intégration des Êtrangers ou Oudwellers dans nos rituels. Principalement le but de la création d’une espace sacré et alors de débarrasser temporairement les convives de nos rituels du monde profanes et des acctivités ordinaires afin de pouvoir ensuite les ammener vers le chemin du sacré.

    Les cercles c’est comme les les antibiotiques ce n’est pas automatique :

    « Les antibiotiques c'est pas automatique » Affirmait une publicité de la TV Française bien connue pour mettre en garde les Français contre la sur-médication. On pourait dire la même chose des cerlces dans les rituels druidiques.  Dans notre vision des rituels druidiques il n’est pas indispensable d’utiliser des cercles pour protéger les rituels des énergies négatives venant de l’extérieur et pour crée un espace sacré et se détacher le temps d’un rituel du monde profane. Dans notre communauté de ADF nous recréons le cosmos l’hors de nos rituels ce qui à alors ensuite pour effet d’apporter de l’ordre et de mettre fin au chaos de la vie le temps du rituel, nous pouvons aussi avoir de l’effet sur le chaos du monde en gardant nos reliques et l’ordre qu’elles apportent avec elles par la prière et les rituels. Il nous est alors possible avec les faveurs que nous accordent nos reliques et le travail avec le triple Kindred de pouvoir consacrer un lieu pour nos rituels sans nous sentir enfermés dans un cercle. Et c’est même je trouve important pour avoir des relations étroites avec les esprits du kindred, en particulier les esprits de la nature quand nous ritualisons en extérieur. Ici avec le travail des reliques nous sommes capable de crée un fil conducteur entre nous et le ciel, la terre et la mer, les trois aspect du monde qui nous entoure, mais aussi avec le monde d’en haut et celui d’en bas. Tout cela s’articule autour de nos précieuses reliques druidiques contenues alors dans le centre sacré du rituel. ADF nous permet d’avoir une forme de druidisme que je dirais plus adulte, plus responsable et plus dans la continuité de l’idée qu’être un druide c’est être une sorte d’intermédiaire entre les hommes et les esprits ou les dieux, être druide c’est être un passeur, voila nous sommes des passeurs durant nos rituels et tout cela doit être fait avec bienveillance et dans l’hospitalité pour que les êtres spirituels du kindred nous accompagnent dans la nature ou dans nos maisons ou tout autre endroit pour le rituel de notre cérémonie.

     

    Avoir des limites pour notre rituel :

    Il est toutefois important de garder à l’idée que c’est toujours une bonne chose d’avoir des personnes compétentes dans nos rituels et que tout ne repose pas sur les épaules d’une seule personne. Il en va de même pour les étapes rituels et les différents êtres du Kindred, et de touts les autres éléments. Les limites dans nos rituels sont principalement faites autours de nos reliques et du centre sacré. L’espace sacré coupent le rituel du monde ordinaire sans enfermé cet espace dans les énergies du seul rituel, il connecte aussi le rituel à tout ce qui nous entoure. Alors il est important d’avoir un espace rituel correctement formé pour par exemple ne pas entravé la circulation des personnes qui assistent aux rituels mais également des entités invoqués durant le rituel. Un rituel ADF est un rituel vivant, pas figé ou bloqué, tout circule naturellement et paisiblement dans le cœur de nos rituels. De ce fait nos rituels sont inclusif plutôt qu’exclusif et en cela ils reflètent la mentalité de notre communauté de Druide. Cependant nous ne devons pas oublier qu’il est souvent nécessaire de donner un sens à l'espace à la fois au clergé et à la congrégation de personnes qui assiste à notre rituel. Afin de rendre l’espace sacré nous avons plusieurs possibilité de sacralisation de l’espace, ça peut être par le chant, les lustrations, ou comme en Bretagne avec les Pardons et les troménies l’organisation d’une procession pour la congrégation de druides. Ainsi nous délimitons les limites du lieu de notre rituel, parfois ces limites peuvent être encore plus visible, si la clairière à un temple qui lui est attribué ou un jardin, une colline, une forêt. Les limites peuvent aussi être marquées visuellement, avec des panneaux, des chaises ou des drapeaux. Voila cela fait nous alors ensuite recrée le cosmos, en utilisant nos reliques, le feu, le puits et l’arbre. Et en les sanctifions nous relirons ensemble le triple kindred, les trois mondes du cosmos et la tripartition de la terre. Alors l’espace sera consacré pour le rituel de la communauté.

     

    4.Maintenant vous devez parler de la Terre Mère et de sa signification dans la liturgie de ADF.

     

    Ma réponse pour ce travail

     

    Dans de nombreux groupes druidiques ou païens il y a un moment ou la terre mère est honorée. Elle à de nombreux noms dans différentes cultures. Danu, Anu, Dana, Nerthus, Jord. Gaïa, Maïa et pleins d’autre encore. En Breton je l’appel « Mamm zouar » en Français il serrait aussi possible de la nommé avec une phrase un peut poétique comme « Notre Mère de la Terre » quelque chose comme ça semble approprié. Et c’est ici l’image de la déesse mère du néolithique couplé avec le ciel père. . Elle est connue comme la mère des dieux et la mère des eaux sacrées, elle à un lien avec les sources et les fontaines qu’on retrouve en Bretagne avec le culte des Saints Guérisseurs Bretons, la Sainte Anna ou Sainte Marie est directement inspirée de l’ancienne divinité de la terre Anu ou Danu. La vie sur la terre est possible grâce à elle et la terre c’est aussi se qui nous unis tous. Dans les rites de notre communauté de ADF  elle est honorée en début et en fin de rituel et elle est connue et reconnue comme étant la mère de nos dieux et de la vie. Nous l’honorons en tant que conscience qui nous relie tous entre nous. Elle forme l’énergie de la vie qui relie toute chose et qui se retrouve dans la trame du cosmos. Dans nos rituels nous l’honorons et nous lui faisons des offrandes un peut comme le faisaient les anciens Grecs et sur un modèle qui reste très Indo-Européen et que nous pouvons adaptés également à notre panthéons de foyer ou avec celui d’une clairière ADF en particulier. Tout est possible, j’honore dans mes propres rituels la Déesse un peut comme les autres Druides de la Gorsedd en m’adressant directement à la Bretagne et ensuite aux divinités Scandinaves ou Germaniques comme Jörd et Nerthus, la première étant la mère de Thor et la seconde la Sœur de Njörd une déesse Vanes qui protège la fertilité de la terre et qui était honorée chez les germains d’après Tacite. Nous la prions la déesse souvent et à chaque rituel des offrandes lui sont offertes. Il est possible aussi d’adopté des signes d’adoration envers elle, comme de toucher le sol ou de s’agenouiller. Je pense qu’il serrait aussi possible d’avoir un bol avec de la terre sur l’autel pour la représenté. Et quand nos rituels sont fini et qu’il nous reste des offrandes qui n’ont pas été offertes nous les lui donnons. Et durant les méditations nous nous connectons à elle par nos esprits elle nous apporte énergie et stabilité. Pour nous les Druides de ADF la Terre Mère soutient nos rites, elle est considérée comme la Mère de tout les dieux et la Mère de toute vie qui donne naissance et permet à la vie d’existée. Nous la considérons comme étant la personnification de la nature et du sacré de la vie sur notre chemin de la spiritualité druidique.

     

    5.Vous devez décrire de quelle façon le Feu, le Puits et l'Arbre sont devenus des parties du centre sacré de l'ADF, et le signification de chacun dans le rituel ADF.

    Ma réponse pour ce travail

     

    Le Feu sacré :

    Le feu est un élément central dans les cultures Indo-Européennes.

    Le feu de foyer pour nous c’est le pouvoir qui est à faire avec la transformation qui a créé la vie à partir de la substance des eaux primaires dans de nombreux mythes Indo-Européens. Ainsi il représente le feu primitif et l’essence par nature du changement de tout chose et de l’étincelle de la vie. Le feu et l’eau sont deux forces indispensable pour notre vie, l’homme primitif d’autrefois comme l’homme moderne de nos jours à besoin d’eau pour vivre, pour étancher sa soir ou se laver, et faire de la cuisine. Le feu lui réchauffe le corps, permet de cuire la nourriture, de forger des objets et de faire durcir le bois, de tanner des peaux pour faire du cuire. Bref l’eau et le feu nous civilisent. L’eau est une force nourrissante qui nous permet de vivre et le feu nous vivifie. Et le feu nous apporte aussi l’inspiration, comme ce feu que les dieux nous allument sur la tête, une façon poétique pour parler de l’inspiration. Pour nous dans nos rituels druidiques le feu des sacrifice est le moyen par lequel nous sacrifions à nos dieux et déesses, les êtres brillants qui écoutent nos prières et reçoivent nos offrandes à travers les flammes et la lumière durant nos rituels. Pour nous le feu sanctifie les actes que nous faisons avec lui. Il nous rappel l’importance des relations avec les divinités mais aussi avec les invités donc la vertu de l’hospitalité. Et le plus important il restaure l’esprit et nous permet d’offrir des offrandes qui peuvent être consommé par lui et la part la plus importante et l’essence des offrandes sont apporter vers les êtres brillants. Avec le temps et la pratique vertueuse fait dans la piété le feu crée un fort lien d’amitié avec les êtres brillants que nous vénérons et aussi avec les autres membres de notre communauté ou de nos clairières et petite clairière. En ça le feu est vraiment important c’est la flamme vivante et un des points les plus important de nos rituels pour nous.

    Le feu est aussi le point centrale de notre foyer, c’est par lui que nos divinités de foyer comme Brighidh, Freya, Hestia ou Agni viennent entrer en contracte avec nous. C’est par lui que tous les dieux et que toutes déesses d'entendre nos voix et reçoivent nos prières et nos louanges, mais c'est aussi un point focal pour notre sacrifice et c’était aussi le cas autrefois il y à énormément d’élément dans la tradition Grecque et la Nordique ou encore celle des Celtes Irlandais ou des Hindous.

     

     

    Le Puits sacré :

     

    Pour nous durant nos rituels le puits et ses eaux saintes nous relient aux puissances souterraines du monde d’en bas. Les eaux qui coulent sous la terre et qui forme le sang de la Terre. Ces eaux sont un lien puissant avec les ancêtres. Pour nous dans le fond de ses eaux nous trouverons les os de nos ancêtres pour nous sont alors symbolisé par les pierres qui tapissent le fond du puits, les esprits des anciens et leurs souvenir et leur connaissances, ainsi que de nombreux souvenirs oubliés qui flottent dans ses eaux. Les eaux de ce puits contiennent une partie de notre passé de celui ou de celle que nous étions.

    Nous pouvons aussi nous dire que le passé évolue en un présent qui lui aussi évolura vers le futur, donc notre présent est aussi contunue dans ces eaux et le futur le sera lui aussi sous une forme ou une autre.

    Dans la tradition nordique il y a plusieurs sources sacrées qui sont en lien avec notre puits sacré. Le puits de Mimir, celui de Urdr et les eaux du Hvergelmir. C’est une des formes de la source des eaux primaires de vie et de mort pour nous. Et en lien avec la sagesse comme cette source de Mimir ou Odin sacrifia son œil pour obtenir la sagesse. Les eaux de la fontaine Urdr servent à asperger l’arbre des mondes afin de lui permettre de se renouveller. Yggdrasil pousse ainsi plus fort et plus beau que jamais, c’est ainsi que les Nornes  maintiennent l’ordre dans l’univers. Ce qui est complémentaire et peut paraitre étrange c’est que les Nornes connaissent le sens et le but de chaque vie, car elles sont les tisserands qui font créent les événements et connaissent les actions mêmes dans le chaos. Le destin de tout dépend en ce sens à la fois de l’ordre et du chaos.C’est là que l’arbre du monde est enraciné, avec chacune de ses trois racines principales alimentées par un puits

    Le puits est aussi important dans la tradition Gaélique le puits sacré du dieu Nechtan le puits de Segais qui contient les noisettes de la sagesse et le saumon doré de l’inspiration qui se nourrit des fruits des noissetiers. Pour nous le puits est la porte d'entrée vers le monde souterrain et permet aux Ancêtres d'entendre nos voix. La plupart des représentations du puits prennent la forme d'un chaudron, mais un puits creusé dans la Terre est également une forme acceptable qui a l'utilité supplémentaire de servir de récipient pour le sacrifice.

     

    L’arbre sacré :

     

    Pour nous autre Druides de ADF l’arbre s’étend partout grâce à ses racines et a ses branches et son tronc lui est au centre de l’univers. Le cenre symbolise un état que nous définissons dans notre vison du cosmos, vision que nous reprenons durant nos rituels. Le centre sacré ce développe entre les eaux primaires et le feu primaire, couvrant le grand fossé qui les séparait, donnant structure au monde ainsi qu’une grande diversité.

     

    • L’arbre Yggdrasill dans la cosmologie Scandinave :

    Tout en haut de l’arbre Yggdrasill se trouve l’Aigle Víðófnir. Et en dessous des raçine de l’arbre il y a un grand serpent Nidhogg qui  en ronge les racines, et le long du tronc court Ratatosk l’écureuil portant des messages entre les deux protagonistes qui symbolise les forces du bien et celles du mal, l’écureil lui représente l’équilibre.  Au sommet de la grande salle du Valhalla se trouve le cerf Eikthyrnir qui mange les feuilles sur les branches de l’arbre sacré, de ses cornes sacrées coulent des eaux douces et pures, jusque dans  les eaux de Hvergelmir. Il y a aussi sur les toits de la grande salle du Valhalla une chèvre Heidrun qui mange elle aussi les feuilles sur les branches de l’arbre sacré et de ses pis coule de l’hydromel, cette boisson sacrée d’Asgard et dons la renomée est connue jusque dans le monde des hommes.

    • Les changement de 1991 :

    A propos du puits et de l’arbre.

    Les changements ont eu lieu en 1991 le puits au départ n’était pas un puits mais un simple « versement des eaux »  ou « libération des eaux » en anglais c’était « releasing the waters » et  l’arbre sacré à également été intégrer avant il ne sagissait que d’une méditation sur l’arbre appeler « Méditation de l’arbre »  ou en anglais « Three meditation ». Je pense que c’est la méditation qui était utilisée avant notre méditation des deux pouvoirs que nous utilisons actuellement.  Les rituels de centrage sont fait avec un arbre entre les branches et les raçines et c’est possible de comprendre que le feu du ciel et les eaux dans la terre sont aussi en lien avec l’arbre qui est présent entre les dieux.  J’ai eu des difficultés à trouver cette imformation sur le site internet de ADF je ne l’ai trouver que sur un blog d’un de nos prêtres et il y a des éléments intéressent dans un PDF aussi « Sacred fire and Holy well » par Ian Corrigan. Je pense qu’il serrait bon d’avoir des éléments plus visibles sur notre site qui parle des débuts de ADF et de comment était réalisé les rituels ou d’en parler, un cours sur l’histoire de ADF ou autre chose comme ça serrait vraiment utile. Bien sur il est possible à un étudiant de faire comme j’ai fait et de demander à son mentor ou à une autre personne plus expérimentée dans ADF au sein du clergé.

     

     

    6.Vous devez maintenant décrire trois modèles culturels spécifiques pour créer ou recréer le cosmos en cohérence avec le Corps de l’Ordre du Rituel (the Core Order of Ritual).

     

    Ma réponse sur ce travail

     

    Les trois modèles culturels que je vais développer pour ce travail seront la Nordique, la Celtique (Gaélique Irlande) et la culture Grecque.

     

    • La culture Nordique 

    Dans cette culture les éléments sont en lien avec la mythologie Germano-Scandinave.

    Donc nous aurons l’arbre « Yggdrasill » et les modèles du Feu et de l’Eau qui seront soit en lien avec l’arbre Yggdrasill les sources (Mimir, Hvergelmir ou Urdr) dans les raçines de l’arbre et le feu solaire de Sol au dessus de l’arbre. Il est possible aussi de pensé au feu de la grande salle du Valhalla. Ensuite en tant que divinité de la terre nous honorerons Nerthus ou Jörd qui sont deux des déesses primordiales de la terre, il nous est aussi possible d’honoré Frigg en tant que mère des dieux. Pour l’inspiration nous pouvons travailler avec Bragi, Odin ou Saga. Pour le travail de Portier afin de garder les portes entre les mondes nous pouvons dans cette culture travailler avec Thor, Odin, Freya ou Heimdall. Le rôle de gardien semble êtres dévolu a Heimdall et ce dieu semble être celui qui s’impose dans le choix d’une divinité ici pour ce charger du travail de Portier. Thor peut aussi être un bon choix sirtout pour garder le lieu du rituel des énergies indésirables. Ensuite Odin et Freya sont des divinités psychopompes très bien pour accomplire cette tache aussi durant nos rituels. Ainsi avec ces dieux là nous recréons le cosmos composé par exemple d’une représentation d’Yggdrasill, du feu de la salle des héros d’Odin ou du soleil de Sol, et d’un puits représentant par exemple la source de Mimir. Une divinité de l’inspiration nous apportera le souffle de l’awen pour notre rituel après avoir honoré la terre mère, donc par exemple ici avec Nerthus en déesse de la Terre et Bragi en dieu de l’inspiration. Il nous sera possible d’honorer l’Êtranger aussi par exemple en sacrifiant au Jötunn ou Jötnar et encore aux Thursar ou aux Trolls. Ainsi ils ne troublerons pas notre travail, ensuite nous pouvons demander à Thor ou à Heimdall d’être notre Portier pour le rituel avec la culture Nordique.

     

     

    • La culture Celtique (Gaélique d’Irlande) 

    Dans cette culture il y a plusieurs éléments important qui sont intéressent en les associants à notre systhème de création du cosmos, tout d’abord il y a le dieu Nechtan  et seigneur des eaux qui possède la source Segais qui contient les noisettes de la sagesse et le saumon. C’est la source magique dans laquelle se baigne Boann pour se laver d’une relation coupable. Elle y perd un bras, une jambe et un œil, puis devient la rivière Boyne.  La raison principale de sa punition n'est pas son adultère, mais qu'elle ait menti. Nechtan, « rejeton des eaux », est comme Dagda un Feu gardien de la vérité. Selon les mythes Irlandais, Nechtan est soit son père ou  soit son époux, suivant les versions qui sont parfois différente.  La source de Segais est gardée par trois gardiens, Flesc, Lâm et Luam car neuf noisetiers magiques donnent des fruits de la connaissance et de la sagesse. Il y a aussi le feu de la cuisson initiatique de l’esprit par un feu, qui à un rôle de pouvoir changeant ou équilibrant, on le retrouve dans l’histoire de Kerridwen et de Taliesin aussi mais dans la culture Gaélique c’est du héros Fionn MacCumhaill et du barde Finegas et du «bradán feasa » soit le Saumon de la sagesse, qui est à l'origine un saumon ordinaire, qui mange les neuf noisettes  tombées dans les eaux de la sources depuis les Noisettiers qui poussent sur les bords de la source Segais ensuite ces noisettes ce retrouve dans le fleuve Boyne ou dans le Shannon, parmis les saumons. Ce faisant, le saumon devient énorme et acquiert tout le savoir du monde, devenant plus sage que les hommes. Fionn MacCumhaill rend visite à Finegas et l’aide pour la cuisson de ce saumon sacré et par accident il en mange un peut et ainsi il obtient le savoir qui était destiné à Finegas. A mon avis il faut lire cette histoire correctement et voir le feu comme un élément créateur qui par la cuisson change la chaire du saumon et aussi qui peut avoir des effets sur les personnes qui servent le feu, qui officient près du feu et qui le garde. Et il ne faut surtout pas lire cette histoire de travers et se dire que le savoir était contenue uniquement dans la chaire du poisson et se dire que Fionn la volé à Finegas, et que donc tout les moyens sont bon pour arrivé à ses fins et que nous devons volé un savoir si nous le voulons, ce serait une erreur de voir dans cette histoire une sorte de «validation» de mauvais comportement que nous pourrions avoir. Non c’est le fait d’être au service du feu et d’œuvré avec lui qui change Fionn et qui change aussi la nature du poisson, pour devenir le saumon de la sagesse. Comme je l’avais dit avant nous retouvons cette histoire de cuisson de l’âme aussi dans le mythe de Kerridwen et Taliesin mais aussi dans d’autre histoire comme celle de l’Hydromel d’Odrerir. Donc le feu sera en lien avec la cuisson de l’âme et le changement, la sagesse et l’eau de la source liée également à la sagesse le tout au travers du symbole du saumon. L’arbre sacré quand à lui, sera très vraisemblablement un arbre de vie, ou une représentation de l’arbre sacré des druides, le chêne. Mais les druides et les celtes ont toujours été associé au bosquet et au arbre depuis je pense la description faite dans les sources romaines à propos du rituel de la cueillette du gui. C’est quelque chose qui peut être concervé et développer grandement dans notre pratique du druidisme ADF et la recréation du cosmos ici. Ensuite dans cette culture la déesse Dana sera la mère des dieux de sa tribu les Tuatha de Danann, mais nous pouvons aussi travailler avec Eire ou Eriu en tant que Déesse Mère de la terre. Et les dieux de l’inspiration, Oghma, Brighidh, ou même Aengus Mac Og. Le portier dans cette culture sera Dagda pour son lien avec la foudre et le ciel, la magie et la sagesse, son chaudron aussi qui représente le monde souterrain et le passage entre la vie et la mort. Mais le portier peut aussi être des dieux de la mer ou du voyage comme Dylan ou Manan mac Lir. Dans nos rituels Gaélique de ADF le plus populairement utilisé en tant que portier c’est Manan Mac Lir. Ce rôle lui va très bien, un dieu qui voyage sur l’eau par un char et qui à donné son nom à une île en mer d’Irlande. Il est vraiment approprié. Le dieu Lugh quand à lui peut aussi avoir de l’importance, notamment pour l’inspiration ou le fait de garder le rituel en ordre en tant que portier afin d’évité aux énergies et entités négatives de venir troubler notre travail. Du coup l’êtranger avec cette culture poura être un géant du peuple des Fomoires ou un représentant des Fir-Bolg.

     

    • La Culture Grecque

     

    Dans la Culture Grecque il y a énormément de divinités intéressente, je me sens moins en lien avec ce panthéon mais il m’est arrivé d’avoir des contactes avec certaine de ces divinités en méditation ou durant des rituels. J’aime beaucoup Athéna et Aphrodite surtout. Elles sont douces, fortes et rassurantes c’est divinités. Je me rappole aussi de contactes avec Artémis durant mon travail sur le sujet des deux pouvoirs quand j’ai fait mon Dedicant Path. Et avant quand j’étais tout seul et que je pratiquais mon druidisme en solitaire, (avant de rejoindre ADF ou des groupes d’études)  j’avais eu des contactes avec Hécate. De ce faite j’ai travailler un peut avec ce panthéon quand j’ai eu fini mon Dedicant Path. L’histoire de la Grèce antique est vraiment intéressent.  Dans ce panthéon les divinités sont toute divines que grâce à leur nectar divin qui est une boisson sacrée qui leur donne l’immortalité et un pouvoir suprême  qui ensuite donnera aux dieux des pouvoirs divins ou plutôt un rôle à jouer dans la vie des humains sur terre. Ils apportent la vie et la mort, ils peuvent manipuler les sentiments d’un humain.

    Ils ont aussi un rôle important à jouer à propos de l’équilibre dans le climat ou les éléments de la nature, par exemple c’est à Zeus de s’occupé de la foudre. Les tempêtes quand à elles sont déclanchées par Poséidon. Les dieux Grecques aident ainsi les humains à vivres en leur accordent leurs bienfaits. Ils peuvent aussi les chatier.  Et montrer leur désire par des oracles et des présages. Les Grecs honorent leurs dieux par des prières, des offrandes, des sacrifices d animaux, des processions ou des concours sportifs. Le culte religieux est célébré par le chef de famille ou des prêtres avec un rôle de magistrature, mais connue plus tard sous le nom de Flamines et Vestales avec la culture Romaine, ensuite cette religion prendra diffarent noms notamment  celui d’Hellenisme ou de Numinisme.  Dans cette culture les rituels tournent aussi autoure de la pratique des cultes agraires pour favoriser la fertilité des champs. Les cultes poliades pour protéger la cité et les cultes panhelléniques qui rassemblent tous les Grecs périodiquement dans les grands sanctuaires d’Apollon ou de Zeus. Ici les reliques seront donc en le feu est l’eau, le feu des dieux et de la cité, celui que gardaient les Flamines et les Vestales, donc le feu est en lien avec Héstia ou Vesta (d’où le nom de ses prêtresses) et la lumière joue aussi un rôle important en lien avec le soleil et la poésie ou l’inspiration par le dieu Apollon.

    Pour les Greques l’eau avait surtout un rôle de purrification durant les rituels de lustration et elle permettait aussi d’assainir et bonifier les terres, et les sources étaient vénérées pour le culte des Nymphes. Dans les amménagement de la cité vers 330-320 av. J.-C., un canal en pierre, alimenté par une canalisation acheminant l’eau depuis une source captée à l’extérieur de la cité et qui courait de façon interrompu à intervalles réguliers par des cuvettes, ainssi il apportait de l’eau fraîche aux voyageurs. De tels dispositifs à ciel ouvert sont assez fréquents dans les édifices Grecs, le long des agoras aux époques hellénistique et aussi dans les sanctuaires. Ainsi, sur les côtés nord et est du sanctuaire d’Apollon à Délos ainsi que le long de l’agora des Déliens, deux réseaux enterrés de près de 200 m de long, associant des canalisations de terre cuite à des vases espacés d’environ 6 m, furent aménagés à l’époque hellénistique. Installés le long de voies de circulation fréquentées, ces réceptacles enterrés alimentés à partir de réservoirs avaient l’avantage d’offrir un accès à l’eau aux pélerins nombreux lors des panégyries, sans pour autant provoquer d’attroupement autour d’un unique point d’eau. On a observé un système comparable à Olympie qui, partant du Kladéos, débouchait à l’autel des Nymphes d’où l’importance de l’eau dans les sanctuaires et le culte autour de l’eau et des lustrations.

    Pour nous donc la source peut être une représentation de l’eau en tant qu’élément nettoyant et apportant la propreté rituel sous plusieurs sens, c’est une propreté physique mais aussi spirituelle ici et de nature sacrée, l’eau apporte le sacré avec elle pour nos rituels et bien sur elle représente la continuité avec les ancêtres et ici les anciens Grecs qui se donnaient tant de mal pour l’acheminer à leurs sanctuaires.

    Il n’y aura pas d’arbre dans la culture Grecque, il sera quand même possible d’associé le Pin, les Romains ont en effet une symbolique autour du Pin qui semble assez proche de la vision du Chêne dans la culture celtique. Mais pour les Grecs de l’antiquité, la montagne et en particulier celle de l’Olympe qui avait toutes les caractéristique que nous attribuons à notre arbre sacré.

    Le feu aura une symbolique lié à l’esprit de la cité et du foyer au travers de la déesse Vesta ou Hestia, mais il est possible aussi de l’associé à Héphaïstos qui est un dieu du feu et de l’artisanat ou encore à Apollon pour l’inspiration et la poésie qu’il apporte.

    La Déesse Mère de la Terre pour nos rituels avec la tradition Grecque pourra être Gaïa, elle est très apprécier par les Païens du monde entier sous ce nom là en plus. Mais il est possible aussi d’honoré la déesse Rhéa qui avec Cronos qui furent les parents de Zeus et donc de tout les dieux Grecs.

    Pour le Portier il nous est possible aussi de travailler avec plusieurs divinités, Zeus dans son rôle de gardien et d’intermédiaire entre les mondes et de protecteur avec la foudre. Mais Hermes qui est le dieu des voyageurs ou le messager des dieux semble le plus approprié. Hécate aussi est une déesse qui peut avoir se rôle pour nos rituels.  Durant nos rituels l’êtranger peut être représenté par un des Géants comme les Titans qui ont ce rôle dans la mythologie Grecs ou encore la Keres qui représente à elle seule la violence du monde, mais compris dans une triade ce sont divinités de la souffrance, de la mort et du malheur. D'après la Théogonie d'Hésiode, elles étaient initialement qu’un seul être. Mais on les distingue en trois, soit la Keres déesse de la souffrance mais aussi la déesse de la mort Kèr, la déesse de la nuit Nyx, qui engendra en même temps que la notion de destin appeler Moros, le sommeil d’Hypnos, et la mort le Thanatos.

     

    7.Décrire les concepts en 1) du Centre sacré et en 2) celui des Portes dans l'Ordre Rituel de Base de l'ADF, y compris deux variations culturelles de chaque concept.

     

    Ma réponse pour ce travail

    Les deux culture que je vais décrire seront la culture Nordique et la culture Celtique.

     

    1. Le Centre sacré

     

    La vision celtique :

    La tripartition de l’univers sur un axe vertical semble avoir été connue des peuples celtes, un visions des mondes supérieurs et inférieurs très proches de ce que nous retrouvons dans les traditions chamaniques qui existes encore dans certaines parties du monde. L’élément le plus important dans ce que nous faisons dans nos rituels d’ADF c’est la tripartition du monde (visible) en Terre, Ciel et Mer.

    Par rapport à l’arbre du cosmos nous retrouvons néanmoins des éléments dans la tradition celtique Brittonique nous trouvons le Keugant et le Gwenved qui correspondent au monde d’en haut, l’Abred et l’Annouim qui correspondent au monde du milieu, et ensuite vient Cythraul pour le monde d’en bas. Bon ce sont ici les 5 mondes qui correspondent à un enseignement particulier en philosophie dans le druidisme mais ils ont un lien avec les mondes suivant l’élévation de l’individu dans ces cercles d’existence. Bien sur cette conception du druidisme est assez récente ça remonte au plus loin qu’au Moyen âge mais on y trouve ici un trace de tripartition entre les différents plans d’existence qui n’est pas sans intérêt. Ensuite dans la tradition Gauloise reconstruite plus récemment nous trouvons des traductions possibles en nouvelle langue gauloise. Ici l’arbre du cosmos est appelé « Dru »  qui provient du Breton ar gwez-derv (les chênes) et le monde d’en haut « Albios » en référence au Gwenved Breton, le monde du milieu est appelé quand à lui « Bitus » qui provient de « an teñv » (la sève) et celui d’en bas « Dubnos » en lien avec le mot Breton « Du » pour la couleur noire. Tout cela est très intéressent et ça nous permet d’avoir une vision d’ensemble de l’arbre cosmique.

     

    La vision Nordique

    La notion de cet Arbre du Monde est un archétype que nous retrouvons au sein de plusieurs mythologies, dont la mythologie Nordique chez les Scandinaves et les Germains avec un arbre cosmique reliant les différentes parties de l'Univers entre eux.

    Ici l’arbre Yggdrasill est la version de  l'Arbre Monde dans la mythologie nordique.

    Il contient en ses branches les neuf royaumes, soit pour la partie du monde d’en haut donc la partie supérieur de l’arbre Asgard royaume des Ases, Vanaheim, le royaume des Vanes, Alfheim, royaume des elfes clairs, Midgard le royaume du milieu, royaume des hommes ; Jötunheim, royaume des géants qui est lui aussi dans le monde du milieu quelque par à l’ouest ou à l’est du Midgard. Ensuite dans le monde d’en bas nous trouveons Svartalfheim le royaume des elfes sombres ou dökkalfars et parfois des nains, Niflheim le royaume des Brumes, Muspellheim le royaume du feu  et enfin Helheim le royaume des morts. Tout ces mondes sont aussi maintenus ensemble en équilibre entre L’aigle du monde du sommet de l’arbre et le serpent des racines, par l’écureuil qui maintient le tout en équilibre et en ordre d’une certaine façon.

     

    Le centre Sacré maintenant grâce à l’arbre :

    Avec les notions de l’arbre nous comprenons plus facilement à travers les deux cultures que j’ai choisi et avec lesquelles je travail le plus, que l’idée d’un centre sacré ne vas pas sans la notion des autres parties et plans d’existence. A savoir le monde d’en haut et celui d’en bas relier entre eux au milieu de tout, au milieu de l’univers si on peut dire. L’arbre pour nous dans nos rituels est un axe vertical qui relie entre eux les mondes supérieurs des dieux, le monde du milieu ici sur terre avec les esprits de la nature et les divinités locales qui y habitent. Et le monde souterrain des morts et qui représente la mémoire de nos ancêtres. Dans un rituel Indo-Européen l’arbre représente en lui-même aussi le centre des trois parties du monde du milieu, il est au centre du ciel, de la mer et de la terre. Sur les trois parties qui se chevauchent comme dans une figure celtique appelée le triquetra. La partie centrale de cette figure serait le centre sacré.

    Il nous est donc possible d’avoir cette image et de comprendre que à travers le monde d’en bas et le monde d’en haut ainsi qu’au travers de la tripartition du monde du milieu Terre, Ciel, Mer, nous recréons un centre sacré pour nos rituels et pour interagir ensemble avec le Kindred.

     

    1. Les Portes

     

     

    Un rituel païen à toujours un élément important qui montre que nous sommes sorties du temps ordinaire ou de nos activités profanes de la vie de touts les jours. Dans les rituels Wicca et ceux du Druidisme plus standard qui est plus classique avec des cercles aussi et des circumambulations et des invocations aux quatre directions. Et il y a aussi les rituels de l’Asatrù ou du Heathenisme, la tradition nordique que j’aime tant avec le rituel du Marteau pour consacré et bénir le lieu du rituel qui forme un Vé, avec le Vé nous retrouvons ici quelque chose de comparable à notre centre sacré dans nos rituels de ADF. Ce que j’aime bien aussi en y réfléchissant c’est que le rituel Nordique avec la façon de faire les rituels en « Asatrù-Heathenry » et assez ouvert et n’enferme pas forcément les participants dans un cercle.

    Dans nos rituels lorsque les Portes sont ouvertes avec l’aide d’un Portier, qui est une divinité en laquelle nous avons confiance et avec laquelle nous avons crée une relation très spéciale d’amitié et de respect mutuel nous pouvons en toute sérénité faire nos offrandes dans le centres sacré et elles sont reçues de la façon la plus convenable et approprié, les dieux de l’occation et le Kindred nous offres en retoure des bénédictions et rituel après rituel cette forme de magie ou ce chemin sacré pour nous se renforce et devient de plus en plus fort. De plus nous retrouvons notre place dans le cosmos en gardant les reliques. Je pense que si le rôle d’un druide avec le Hearth Keeper et de garder la flamme de son foyer afin de se sentir unis à notre communauté et avec sa divinité de foyer. Avec le rôle du Clergé il deva maintenir l’ordre dans le monde au travers de nos trois reliques du puits, du feu et de l’arbre qui simbolise les trois parties divine du monde de la mer, la terre et le ciel. Nous gardons cela et si il y a un problème dans le monde ou dans la vie de nos proches ou d’autre chose qui sont source de chaos nous y remédions avec des rituels ou des prières. En effet le puits des ancêtres, l'arbre des esprits de la nature, le feu des êtres brillants. Un chose qui est importante pour nous c’est que nous nous sentons reliés à tout en plus avec l’aide de l'arbre du monde reliant les deux royaumes du monde supérieur et souterrain. Le centre sacré devient aliors en quelque sorte ans un grand cône sacré avec des portes qui nous permettent de nous connecter au triple Kindred et au différents mondes et plans d’existences. Quand on y réfléchie bien le centre sacré de nos rituels druidique remplace les cerlces que fond les autres druides avec leur enseignement. Je trouve que ce n’est intéressent de comparé les différentes méthodes. Je trouve que notre méthode est la meilleur car comme dans les rituels Nordiques avec le rituel du marteau nos rituels druidiques permettent à l'énergie et à l'intention de circuler parfaitement entre les Mondes dans un bel échange d'énergie et de conscience. Et c’est ce que nous cherchons en tant que Druides.

    Le rôle important jouer par le Portier :

    Afin de facilité notre travail et pour protéger et équilibrer l’ouverture et la fermeture des portes lorsqu'elles sont ouvertes, nous appelons donc une divinité qui à le rôle de gardien et de portier, la divinité ouvrira et fermera les portes pour nous et elle s’occupera aussi de protéger le rituel le temps de la célébration pour nous et nous aidera en nous accordant un peut de sa propre magie pour soutenir la nôtre. Le portier est important car non seulement le nous aide pour les portes mais il protége aussi le rituel et les participants, il nous aide aussi à bénire les Eaux de la Vie quand nos offrandes ont été reçu avec faveur par le Kindred et l’être de l’occasion.

     

    La magie de ADF dans notre Centre sacré :

    Notre communauté de Ar nDraiocht Fein, ou ADF, encourage les druides à s'appuyer sur des informations académiques sur notre religion, plutôt que des notions romantiques, et à étudier les cultures différentes qui compose l’héritage Indo-Européen. Nous devons comprendre comment l’héritage et l’histoire survivent dans le folklore, les histoires anciennes et les chansons. Nous essayons donc de tisser quelque chose de nouveau avec des éléments plus anciens dans nos rituels. Bien sur nous apprenons beaucoup avec l’archéologique et l’anthropologique a propos des anciens druides et des peuples Indo-Européens. Cette démarche et alors la base de notre démarche rituel, et c’est aussi quelque chose qui aura de l’importance et un impacte sur se que nous faisons et ce qui ce passe dans nos rituels sur un plans magique et sacré. Nous pensons que c’est un aide précieuse qui nous aide à rester honnête sur ce que les anciens druides ont effectivement fait  ou pas et parce que, frinalement il ne reste plus beaucoup d’éléments et de connaissances sur se qu’ils faisaient autrefois dans leurs rituels, tout est en chantier permanent, tout est en construction et en évolution. Nous sommes en quelque sorte des bâtisseurs des reconstructeurs et des éclaireurs, pour notre propre chemin et notre propre druidisme de ADF.

     

     

    8.Vous devez parler de la représentation rituelle de la relation entre le feu et l'eau dans la liturgie d’un rituel d’ADF

     

    Ma réponse pour ce travail

     

    Le Feu et l’Eau dans la tradition des druides :

    Notre feu celui de nos rituels est le réceptacle de notre spiritualité et de la vie, du souffle de l’inspiration et de l’énergie et l’intention bienveillante des dieux du foyer dans nos différente cultures, pour la celtique c’est Brighidh en Gaélique ou Berc’hed en Breton la déesse du feu, pour la tradition Nordique c’est Freya mais ça peut être aussi Frigg. Et dans la tradition Grecque nous trouvons Hestia ou sous son nom romain Vesta. Le feu est je le répète l’élément le plus sacré qui nous relie à  nos dieux, nos Shining Ones ou Être Brillants. Je pense que c’est un élément important de l’avoir dans nos rituels et sur notre autel. Nous savons que les druides Irlandais et Ecossais allumaient des feux en particulier à Samhain qui servait ensuite à bénir les maisons. Dans la tradition Grecque la déesse grecque Hestia était représentée par une flamme sur un autel, à la suite de cela l'importance des gardiens de la flamme de l'époque romaine fut grandissante, en particulier avec les Vestales et les Flamines. Ou chez les celtes avec Birghidh ou Berc’hed les druides honoraient le feu et leur foyer pour certaines de nos fêtes comme Samhain. Le Feu et l'Eau sont les deux éléments qui furent des plus importants pour la création du monde dans de nombreux mythes Indo-Européens. 

    On peut le voir plus clairement dans le mythe de la création nordique, où les mondes ont été créés lorsque le feu du monde de Muspelheim et la glace du Niflheim se sont rencontrés et se sont mélangés pour interagir dans les profondeurs du gouffre sans fond  de Ginnungagap. Ensuite des vapeurs et des fumées de leur rencontre à menée à la création du premier géant, Ymir et du corps de se géants, tuer par les dieux fut crée la Terre des hommes le Midgard.

    Dans nos cultures Indo-Européennes l’eau à aussi un rôle extrêmement important que nous retrouvons à travers le culte des puits sacrés, des sources et des rivières, dans les histoires sur le puits de Wyrd et le puits de Segais, demeure de Nechtan et bien sur sont usage universelle qu’on retrouve dans chaque culture pour la purification.

     

    En étudiant les trois cultures comme la Grecque, la Celtique et la Nordique.

    Nous comprennons ici que l’importance du feu et de l’eau prend une place centrale dans ces cultures là et dans les rituels de l’époque d’après le peut qu’il nousreste sur le sujet mais surtout dans les mythes et les histoires des dieux.  Nous comprennons qu’autrefois le feu était quelque chose de sacré pour les peuples Indo-Européens et surtout dans le monde antique. Le feu avec son rôle de transformateur dans l’artisanat par exemple avec les forgerons ou les pottier oubien encore la cuison de la nourriture, son rôle aussi dans les rituels avec tout ce qui touche a la nature sacré du feu. Le foyer bien sur mais aussi les feux durant les célébrations druidique en Feu de joie au sommet des collines, ici c’est une chose qu’on retrouve en bretagne rien que dans le nom de certains lieux je pense a Commana dans le sommet des Monts d’Arrée avec Tarun un lieu qui tire son nom de Tan (feu) et de Run (colline) ainsi que le Roc’h Ruz dont un légende bretonne affirme que la roche a été rougie par le feu fait par les Korrigans durant les solsitices et les équinoxes. Le feu durant les célébrations celtiques est quelque chose d’important, tout comme le cultre des sources et de l’eau. L’eau trouve de multiples usages aussi, avec le feu l’eau était utilisé comme méthode de purification. Les deux éléments sont très proches l’un de l’autre et complémentaire en ce sens. Par exemple quand les anciens druides conduisaient le bétail entre deux feux de joie la veille de Beltane pour les purifier et les protéger. Les flammes du feu de joie purifiaient ici les annimaux qui passaient durant le rituel en lien avec le soleil et aussi les divinités solaires célébrées vraisemblablement avec le retour du soleil. Dans la tradition Grecque l’élément qui purifie le plus était l’eau le feu avait un rôle plus de symbole sacré de la présence de la divinité, c’est pour cela que les Vestales et les Flamines avaient pour rôle de le concervé et de garder la flamme vivante.

     

    Le Feu et l’Eau dans les rituels de ADF.

    Dans nos rituels les deux éléments de l’eau et du feu ont un rôle important non seulement parce qu’ils font partie de nos reliques mais également parce qu’ils représentent les deux forces qui existaient au commencement du monde pour nous et que nous retrouvons dans différents mythes Indo-Européens. De plus nous travaillons avec durant nos rituels avec la méditation des deux pouvoirs. Ainsi nous nous relions ensemble à ces deux puits d’énergies puissantes et primordiales pour nos rituels et notre communauté. Ils constituent ensemble un passage ves les autres plans d’existence, là ou vivent les ancêtres et les dieux.

    • Le feu en lui-même illumine nos rituels, permet de nous ouvrire intérieurement et représent la part vivante des divinités durant nos rituels et dans notre maison. Avec la méditation des deux pouvoirs le feu purifie aussi notre esprits et nous aide à entrer dans le rituel par un changements de conscience ce qui nous permet de communiquer plus facilement avec nos divinités et les esprits.
    • L’eau est un symbole de vie et de libération, de purification et de bénédiction. Cet élément représente le puits dans nos reliques. L’eau nous permet de purifié nos rituels et de communiquer efficacement avec nos ancêtres et avec certaine divinités aussi. Avec le feu c’est un élément important qui nous permet de rester en contacte avec les esprits du Kindred. Mais un des aspects important aussi pour l’eau c’est les bénédictions qu’elle nous apporte, les bénédictions du Kindred que nous recevons par les Eaux de la Vie.

     

    9.Vous devez parler des Etrangers (Outdwellers) et de leur importance dans le rituel (ou non, si ce n’est pas le cas).

    Ma réponse pour ce travail

    Les  Etrangers ou Outdwellers en Anglais qui nous serait aussi possible d’appeler « les résidents extérieurs » en référence à « Dweller » (habitant en anglais) sont des représentants des forces du chaos et sont généralement considérés comme des êtres qui agiraient en totale oppositions aux dieux ou contrairement au rite qui est exécuté par les druides.  La partie en début de rituel qui est destinée à la reconnaissance et a faire une offrande aux étrangers  entre la purification et l’honneur de la terre mère est une étape facultative destinée à reconnaître les esprits qui sont généralement en désaccord avec nos dieux et déesses ainsi qu’avec l’ordre du cosmos que nous nous employons à maintenir avec nos rituels. Les étrangers pour nous sont principalement les géants nordiques, les titans grecs ou le Fomoires ou Fir Bolg Gaéliques. Mais ils peuvent aussi être les Ramzed bretons qui sont eux aussi des géants, il y a aussi d’autres créatures du folklore Bretons qui peuvent être considérés comme des étrangers durant nos rituels. Toutefois les étrangers pour nous ne se limite pas particulièrement à des esprits de la natures ou a des dieux. Pour les dieux c’est pareil tout dépendra de la relation que nous avons avec les divinités, par exemple Skadi est parfois considéré comme une étrangère pour les rituels de ADF, pour moi je l’honore chaque hiver et j’ai une bonne relation avec elle, peut être parce que je suis très attaché à mon Bro-Menez Are ici (des montagnes) alors j’aurais plutôt tandance un penchant pour elle en tant qu’être de l’occasion. Mais les étrangers peuvent être aussi des défunts ou des ancêtres qui étaient maltraitant ou des personnes qui ont vécus sur les lieux ou nous vivons et qui ont eu un impacte négatif, sans parler du cas des maison hantée ou faire une offrande à l’esprits qui habite ou plutôt hante le lieu en lui demandant de ne pas troubler notre rituel semble plutôt approprié.

    Il faut toutefois que nous gardions à l’esprit la vertu de l’hospitalité et celle de l’intégrité avec eux, nous n’avons pas a nous montrer agressif ou hostile envers eux mais juste rester le plus respectueux possible et chercher à les apaiser si possible par des prières ou des offrandes pour qu’ils laissent simplement nos rites se dérouler en paix. 

     

    Demander une protection à une de nos divinités dans leur rôle de Portier (Gatekeeper) :

    Il nous est possible de demander en complément une protection à une de nos divinités pour que les étrangers ne troublent pas notre rituel ou toute autre forme d’énergie négative. Il est possible de faire des offrandes à Thor par exemple qui est très enthousiasme pour ça, je lui fait en générale des offrandes de bière, de chouchenn (de l’hydromel breton) ou d’encens pour ça et je le remercie ensuite après quand les portes sont fermé. Ça m’est arrivé d’aller faire un rituel ADF très simple du côté de Roscoff, j’avais apporter avec moi une pomme que j’ai couper en plusieurs morceau pour en faire des offrandes, une bouteille d’eau, un bol pour le puits une bougie plate et un briquet, pour l’arbre j’ai utilisé une branche de pin trouver sur la falaise, c’était après une après midi ou j’avais fait le conter à l’hopital de Perharidy il y avait un ancien bunker Allemand de la deuxième guerre mondiale et quand j’allais me balader dans ces falaise très belle je sentais une hostilité et ça m’est arriver plusieurs fois de voir en flash des allemands ou des personnes. Je pense comme des fantômes là bas. Du coup pour mon petit rituel sur les collines de la falaise j’ai demandé à Thor de me protéger contre ces êtres hostiles qui devaient je pense être des défunts, des fantômes de soldats Allemands bloquer entre les mondes. Il y à d’autre endroit en Bretagne comme la bibliothèque de Carhaix ou j’ai ressentis se type de présence. J’ai fait des offrandes à Thor pour la protection et aux Etrangers, même symboliquement et des offrandes de Pommes. Ça c’est passer correctement et j’ai pu remercier le kindred dans la nature pour les bénédictions reçu. Voila une façon qui peut être appropriée pour demander à Thor sa protection, je fais toujours appel à lui pour me protéger de toute façon. Je l’en remercie.

     

    10.Maintenant vous devez expliquer quelle est l'intention et quelle est fonction des trois kindred quand nous les invitons.

    Ma réponse sur ce travail

    Le Kindred est un des éléments les plus important dans la construction et la structure de nos rituels, dans le Corps de l’ordre du rituel. Ils sont la parenté des druides, nos esprits de la nature, nos dieux qui sont les êtres brillants et bien sur nos ancêtres. Ils nous rappelent se pourquoi nous sommes des druides et pour qui nous officions pour nos rituels et nous offrons des offrandes et des louanges.

    Le triple Kindred, An teir Kerent :

    Le Triple Kindred comme son nom nous l’indique est composé de trois parties, comme trois berceaux énergétiques et magiques. Le tout compose pour nous un seul éléments puissant et possitif qui nous lient à nos esprits saints, nos Korrigans ou tout autres esprits de la nature, mais aussi à nos ancêtres familliaux ou de tradition, et bien sur à nos divinités les Êtres Brillants.

    Les Ancêtres, An Hendadoù :

    Les ancêtres pour nous sont des guides et des confidents, ils représentent notre passé et le poids de l’héritage familliale parfois mais aussi sa richesse. Leur sagesse, leur connaissances mais aussi leur manquement nous ont permis d’évoluer et de devenir les personnes que nous sommes actuellement, et c’est aussi avec eux que s’écrira notre avenir. Car ils sont nos ancêtres, nos racines, notre famille et donc aussi notre futur dans la mesure ou nous aussi nous avons conscience qu’un jour nous serrons les ancêtres de quelqu’un. La vie n’est pas éternelle, mais l’amour et les liens entres parents et enfants peuvent le devenir. Les ancêtres dans notre druidisme sont des soutients puissants et indispensables pour nous.

    Les Esprits de la Nature, Ar speredoù deus Natur :

    Les esprits de la nature sont les gardiens de la terre, les représentants du peuple féerique dans notre coin de pays, ici en Bretagne se sont surtout les korrigans qui sont très présent avec leurs multitudes de variétés sivant leur lieu d’habitation ou leur caractère. Se sont tous les gardiens de notre terre, ils protègent ses richesses et apportent parfois leur aide ou alors joue des tours aux hommes quand cela sont mal intentionnés. Pour nos rituels druidiques ils représentent le monde naturel et les forces qu’il contient. Pour nous les esprits de la nature sont les pourvoyeurs de l’énergie vitale de la nature dans nos rituels, leur inspiration, leur puissance et leur magie dans la nature vivifiée ou au repos grâce à eux est aussi présente dans nos rituels quand ils se joignent à nous pour nous assiter durant notre travail, ainsi notre rituel bénéficie des énergies de la saison qui nous est apportée par les Korrigans les Elfes ou tout autres esprits de la nature. Ils nous apportent aussi un bon renouvellement d’énergie quand nous en avons besoins.

    Les Êtres Brillants, An Tudennoù Sklaer :

    Ensuite il y a les dieux de nos panthéons Indo-Européens, pour moi c’est principalement le Panthéon Nordique et aussi le Gaélique avec lequel je travail parfois, mais mon chemin est Nordique et c’est avec ces divinités là que je me sens comme à la maison. Ma maison est nordique et mes rituels le seront forcément. Dans ADF nous travaillons avec différent panthéons nous nommons les dieux par le terme « Êtres Brillants » ou en Anglais « Shining Ones » en Breton aussi « An Tudennoù Sklaer » ou « Tudoù Sklaer », ce sont les divinités, ils possèdent le pouvoir le plus élevés et leur lumière vient à nous par celle du soleil et de notre feu sacré. Nous les invitons durant nos rituels pour qu’ils nous aident, intéragissent avec nous et bénissent nos rituels. Nous avons parfois des demandes et des prières à leur dire. Pour nous ils ont une place importante  au centre du rituel ou liés à l'objectif et au but auquel nous aspirons pour nos célébrations, nos rituels druidiques ou nos prières.

    11.Vous devez parler de la façon dont on choisirait le point centrale (ou les sujets sur lesquels nous concentrer) pour les offrandes clés (qui peuvent inclure : l’Êtres de l'occasion, un thème saisonnier ou alors d’autre centre d'intérêt pour le travail).

     

    Ma réponse sur ce travail

     

    Quand un rituel est écrit il faut se demander pour quelle célébration le rituel aura lieu et savoir pourquoi on le fait, en effet un simple rituel quotidien n’aura pas la même portée, la même longueur ou le même sens qu’un rituel pour une de nos hautes journées. Nous devons tenir compte du sens que nous souhaitons donner à la célébration. Nous devons réfléchire sur l’offrande clés au sujet de l’être de l’occasion et de la nature de la célébration, si nous devons écrire pour un groupe de nombreuses personnes l’offrande clés n’aura peut être pas le même sens ou la même importantce que si nous célébrons seuls, un rituel en solitaire à souvent quelque chose de plus intime ou de plus simpliste dans la façon d’écrire. Les offrandes douvent tenir compte de l’être de l’occasion et du pourquoi nous célébrons, par exemple des offrandes à Imbolc ne serront probablement pas les même qu’a Samhain ou à Yule, surtout si l’être de l’occasion n’est pas le même. Nous devons tenir compte des gôuts spécifiques de chaque divinités également. Odin n’aimera pas les mêmes choses que Brighidh ou Athéna par exemple. Nous devons aussi tenir compte des panthéons avec lesquels nous travaillons. Je pense par exemple si nous officions pour un rituel avec le Panthéon Nordique et que nous appelons divers divinités nous le faisons après avoir crée de forts liens d’amitié et de relation de Ghosti avec chacune d’entre elles. Pour que le rituel se passe le plus harmonieusement possible pour chacun des participants. Un rituel devrait toujours être comme une réunion de famille ou avec des amis. Nous pouvons y mettre toute les formes que nous voulons et faire des rituels très cérémoniels c’est important, mais le plus important celon moi c’est de ne pas oublier que nous devons être des personnes amicals avec les divinités ou les esprits que nous invoquons et les traiter de mieux que nous pouvons. C’est la même chose si nous réalisons un travail magique pour un de nos rituels avec une divinité ou celle de l’être de l’occasion, nous devons crée une belle relation de confiance et de resiprocité Ghosti avec elle, et ce travail doit être réalisé aussi simplement que pour un travail fait à deux avec un membre de notre famille ou un ami proche. Je pense que c’est ici quelque chose de primordiale. Et de cette façon là le travail magique aura le plus d’impacte et de chance de réussire.

     

    12.Vous devez parler de votre compréhension du sacrifice et de sa place dans le rituel d’ADF.

     

    Ma réponse sur ce travail

    Dans nos rituels nous créons que les autels, des sanctuaires en êxtérieurs ou des sanctuaires domestiques, des lieux simples ou des instalations plus complexes qui nous permettent de consacrer en sécurité et serainnement nos offrandes et de les déposer sur l’autels, dans des bols a offrandes ou directement sur le sol. Il est utile d’avoir des bols a offrandes pour les offrandes périssables comme les boissons, les gâteaux ou les fruits. L’acte de faire une offrande est hautement sacré et cette sacralisation de ces supports d’offrandes que sont les bols et le lieu ou ce déroule le rituel avec la mise en scène dans nos cérémonies des sanctuaires et des autels sont vraiment important, avec la créations du cosmos et du centre sacré. Les offrandes bénéficiaient d’une multitude de supports variés, dont le but premier est de les mettre en valeur lorsqu’il s’agissait de dons originaux. Il est possible pour nous de consacré des objets aussi pour nos divinités de foyer comme des satuettes ou des cristaux. Les anciens celtes ou scandinaves offraient aussi des objets comme des épées ou des bijoux, et d’autres objets qui ont été retrouver dans des lacs ou des marais.

     

    On est en droit de poser deux questions suivantes :

     

    • Le fait pour un support d’être associé à une offrande le rendait-il alors sacré lui aussi ?
    • Et le lieu ou se déroule l’offrande et t’il important avant que nous ne fassions un rituel, comme les sites sacrés en extérieur en Bretagne, les sources, les bosquets ou les dolmens. Ou est-ce le fait de faire des rituels et d’offrire des offrandes qui fait qu’un sanctuaire devient encore plus sacré ?

     

    A c’est deux questions je répondrais « oui ».

     

    Dans le cas des offrandes rendues sacrées par l’accomplissement du sacrifice est un acte magique d’échange et de reconnaissance qui nous permet de maintenir le lien et de l’entretenir avec les Êtres spirituels auxquels elles sont offertes. C’est Êtres spirituels peuvent être le triple Kindred, les divinités, les esprits de la nature et les ancêtres. Ça peut aussi être l’Etranger, ou le Portier, ou encore une divinité de l’inspiration ou la déesse mère. Mais il y a aussi des offrandes qui sont destinés aux Êtres de l’occasion durant le rituel, toujours dans le cadre de notre relation de Ghosti, dans un échange entre eux et nous, nous leur offrons des offrandes pour pouvoir recevoir ensuite leur bénédiction ou leur aide. On peut aussi offrire des offrandes pour les remercier d’un bienfait ou de leur protection. Pour les remercier pour la vie et les événements bénéfiques qui sont venus à nous. 

    Les sacrifices montrent également l'intention et l'engagement de l'adorateur. En vérité quand nous nous engageons à offrire quelque chose, a faire un sacrifice. Nous le faisons avec régularité d’une part et pour remercier et partager un peut de nous même avec les divinités ou le Kindred. Mon Arrière arrière grand-mère avait coutume de dire a ma mère quand celle-ci était petite que nous devons offrire se que nous avons de meilleur. Faire un sacrifice c’est donner une partie de soi en effet ce qui caracthérise un sacrifice c’est qu’il s’agit d’une offrande rituelle à la divinité, qui est parfois caractérisée par la destruction (réelle ou symbolique) ou l'abandon volontaire de la chose offerte ou de ce qu’elle représente pour nous. Par exemple donner une bonne partie de notre récolte ou de toute autre chose, comme autrefois chez les Indo-Européens  des annimaux qui étaient chasser et cuisiner pour ensuite voir une partie offert aux divinités, un sacrifice à l’époque monderne peut avoir ce côté-là, bien que nous ne sacrifions plus d’annimaux mais nous pouvons offrire quelque chose de très spéciale et qui aura autant de valeur pour nous. L’idée ici reste d’offrire quelque chose en demandant à une de nos divinités ou à un de nos ancêtres de nous aider dans les moments difficiles ce qui permet de garder de l’espoir et de l’optimisme dans nos vies et dans notre cœur. Ensuite par exemple quand la situation c’est amélioré ou que la divinité à répondu à notre demande, nous pouvons offrire de nouveau quelque chose pour la remercier.  Dans les rituels d’ADF et nos rituels c’est intéressent de mettre des offrandes dans le feu pour qu’elles soient apportées aux divinités. Nous pouvons aussi prier en plus. Ainsi de cette façon, nous offrons en sacrifice quelque chose d’important pour nous en l’accompagnant de prières.

     

    13.Vous devez parler de la relation entre le sacrifice et la bénédiction et comment cette relation se reflète dans le Corps de l’Ordre du Rituel (the Core Order of Ritual).

     

    Ma réponse sur ce travail

     

     

    Pour nous dans notre druidisme un des aspects important du sacrifice est d’établire et d’entretenir une relation de Ghosti avec les divinités ou les esprits auxquels sont destinés les offrandes. Nous recevons de l’aide et de la protection, des bénédictions ou juste un soutient de la part de notre kindred ou bien par l’Être de l’occasion ou les divinités de foyer. Il est normale pour nous dans ce type d’échange d’offrire des offrandes en remerciment également, pas seulement pour demander des bénédictions ou de l’attention des divinités et des esprits. C’est une relation de retour et de partage que nous établissons alors par le sacrifice. Mais nous ne devons pas oubier que les hommes qui officient aux rituels comme les esprits ou les divinités sont libres. Et les dieux ont un niveau de conscience qui est plus élevé que le notre, la vie sur terre nous restrint d’une certaine façon et parfois les dieux peuvent juger que quelque chose est meilleur pour nous, quand nous en souhaitons une autre. Les bénédictions peuvent prendre alors des formes inattendues. Dans nos rituel nous recréons le cosmos nous honorons la déesse mère de la terre, nous invoquons notre portier et notre kindred et leur présence est toujours bénéfique nous ressentons alors la vague d’énergie positive nous submergé et ces présences suffissent pour nous sentir connecter avec la terre, le monde et ce qu’il y a au-delà du visible. Les offrandes sont offertes dans ce cadre là. C’est un moment à la fois simple mais hautement magique pour nous. Les esprits et les dieux quand les honorons peuvent accepté nos offrandes et voir notre dévotion envers eux. Ensuite suivant ce que nous désirons et se dont nous avons vraiment besoin depuis leur point de vue plus complet que nous sur nos vies et le sens générale dans l’existence de tout chose et de ce dont nous avons encore à vivre ou à apprendre ils nous bénirons en nous apportant ce dont nous avons vraiment besoin. Alors si nous demandons de l’amitié ou de l’amour dans notre vie il est possible que nous aillons a vivre des situations difficiles ou des conflits qui nous permettrons d’ouvrire les yeux sur les personnes qui nous entourent. Et un trie naturel peut avoir lieu, alors avec plus ou moins de douleur suivant ce qui résonne en nous. Ensuite nous pouvons crée de vrais relations avec les gens et rencontrer des personnes plus vrais et plus saines pour nous. C’est parfois vécus difficilement mais c’est ici une des voies que peut prendre la bénédiction des dieux et des esprits pour nous. Tout cela pour expliquer qu’ils peuvent juger bon d'offrir quelque chose en retour, quelque chose de parfois différent de ce que nous avons demander mais de bon pour nous. Et bien sur nous offrons des sacrifices et nous prions mais il n’y a jamais de garantie que les esprits ou les dieux nous réponderons et qu’une bénédiction tant attendu se produira, ou que nous verrons le don se manifester s'il est offert. Mais des actes possitifs et des offrandes faites avec régularités pour nous est suffisant pour qu’il y ai un retour positif.

     

    14.Maintenant vous devez parler de votre compréhension du Présage (La partie « Omen »).

     

    Ma réponse pour ce travail

     

    J’ai toujours utiliser les runes et les cartes de tarot pour mes présages avec un support. Dans les rituels de ADF les présages nous servent en quelque sorte de moyens de communication avec le tripe Kindred. C’est un peut différent de ce qu’on peut faire ailleurs ou de ce que je faisais avant de devenir membre d’ADF. Le présage est donc une partie importante de communication entre nous et le Kindred dans le rituel. Pour nos présage nous dans cette partie du rituel nous utilisons principalement le système de divination qui nous semble le mieux approprié a notre culture de foyer ou à celle de notre clairière ou petite clairière (protogrove) alors surtout les Oghams et les Runes, mais les tarots sont en usage aussi, il y a même un membre de la protogrove Firtual Fire qui a crée lui-même un système de divination Gaulois, un sorte de jeux de runes Gauloises, c’est brillant de faire ça et c’est vraiment une partie du travail de la voie de l’ovate ou du devin. Moi j’utilise presque uniquement les runes et les tarots, alors les runes nordiques du vieux Futhark. Mais je pense nous avons des runes liées à des légendes de Korrigans en Bretagne, ça serrait peut être possible de les adaptées aussi. Mais le futhark marche mieux avec moi. Je pense que c’est une des richesses de cette parties de nos rituels de nous laissé utilisé le supporte que nous souhaitons et la possibilité de crée nos propre système de divination. Dans cette communication, nous utilisons donc les oghams, les runes ou d’autres systèmes de divination pour tenter de traduire les intentions des divinités en constructions mentales que les mortels peuvent comprendre. Donc par exemple dans le cas des runes nous tirerons trois runes une pour chacun des esprits du kindred, par exemple une pour les ancêtres, une autres pour les esprits de la nature et une troisième pour les êtres brillants. Nous devons bien comprendre le sens de chacune pour pouvoir les associées avec les prières et le rituel que nous avons effectué. Ensuite la rune tirée sera lu et interprétée comme indiquant non seulement l'acceptation mais aussi la nature du retour accordé par le kindred en échange de nos offrandes. Le retour peut prendre la forme d’une bénédiction ou la forme de quelque chose que nous avons demandé durant notre rituel. Mais il est aussi possible qu’il soit inattendu mais que nous puissions en prendre connaissance un peut en avance grâce à notre présage justement

    1. Ensuite vous devez décrire comment la liturgie ADF correspond à votre pratique personnelle ou de groupe.

    Ma réponse pour ce travail

    Dans mes pratiques et rituels solitaires je ne fait plus que des rituels de ADF, j’avais recrée la façon de faire de mon arrière-arrière grand-mère qui pratiquait son druidisme en Bretagne avant la deuxième guerre mondiale, ensuite elle a quittée la Bretagne dans les années 50 avant d’y retourner et de voyager entre la Bretagne et le sud de la France, avec les souvenirs qu’en avait ma mère quand elle était petite j’avais remis reconstruit tout ça avec elle. Et je pratiquait avec mes transes et mes contacte avec les divinités, j’ai eu beaucoup de problèmes dans le milieu druidique Francophone, des gens qui me reprochaient de ne pas savoir tracer de cercle correctement par exemple entre autres, et le fait qu’ils invoquaient la paix durant l’ouverture des cercle et que les gens se disputent souvent, je finissait pas ne plus me sentir en phase avec ça. Un sacré décalage. J’en ai parlé dernièrement avec une amie magicienne qui s’intéresse aux druides elle aussi. Et elle m’a fait remarquer qu’il y a dans les milieux de l’ésotérisme, du druidisme ou du chamanisme beaucoup de problème d’égo et un côté sombre de la magie ou du culte, qui est très virilisé avec un point de vu sur les pratiques fait d’une certaine violence qui ne laisse pas de place aux cultes plus lumineux pour les mêmes divinités par un sentiment d’amour, de partages et d’égalité dans une communauté. Du coup ça crée un gros décalage, je pense que c’est ce que je ressentais a propos des cercles. Aujourd’hui je n’en fait plus je ne pratique plus que les rituels de ADF ou alors des rituels de Blot Heathen avec le rituel du Marteau. Je ne pense pas que sa fâche mon ancêtre druidesse qui les avait appris à ma mère, je consigné tout dans un livre de toute façon, dans mon grimoire. Mais j’étais plus en phase avec cette pratique. Je garde la flamme de mon foyer avec le programme de Hearth Keeper que j’ai en deux langues, j’ai fait une traduction en Français, et j’écris des rituels quotidiens et des prières, je fais aussi deux ou trois fois par moins un rituel du programme du Dedicant Path, et je garde les reliques de ADF sur mes deux sanctuaires domestiques à la maison et dans mes cultes que je pratique en extérieur, les rituels de ADF pratiquer dehors sont vraiment formidables, on peut se sentir vraiment en connexion avec la nature dans son ensemble, j’apprécie vraiment ça. Et une fois par semaine je participe au rituel de Virtual Fire protogrove. J’aime beaucoup en particulier les rituels Gaulois de Jeffrey et ceux que nous fait Pete avec les runes, le dernier qu’il avait fait avec les runes liées était super. J’aime beaucoup aussi participé et partager mes rituels en Français et en Breton, j’ai l’impression de partager un peut de ma France avec mes copains de la protogrove et les membres de ADF c’est vraiment une super opportunité pour moi et je me sens moins seul dans mon quotidien druidique comme ça.  La structure des rituels de ADF et vraiment passionnante et j’aime beaucoup la complexité et la beauté qui s’en dégage, pour moi c’est vraiment un druidisme plus élaboré et plus adulte qui s’offre à moi avec ADF et je prends toujours autant de plaisir à effectuer mes rituels quotidiens et ceux des hautes journées avec un rituel ADF. Dans nos rituels c’est très complet rien n’est oubliés les ancêtres, les esprits de la nature, les dieux en tant qu’êtres brillants, mais aussi la déesse mère de la terre ou les dieux de la poésie ou de l’élocence. C’est très structuré j’aime beaucoup, ça m’aide a me sentir connecter à la nature dans son ensemble. Pour moi c’est ainsi que je peux me mettre simplement aux services des divinités et du kindred au quotidien avec de la joie dans mon cœur et de l’amour autour de moi. Marcher dans la lumière avec des prières et des offrandes adressées à notre kindred à travers nos reliques de se côté si des collines enchantées.

      

     

     

    Sources :

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Rituel

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Rite

    https://hattemer-academy.com/wp-content/uploads/2013/02/extrait-6%C3%A8me-expose.pdf

    https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01728268/document

    https://www.adf.org/

    https://www.adf.org/rituals/explanations/stepbystep.html

    https://www.adf.org/members/training/dp/dp-manual-web/06-basics-ritual.html

    https://www.adf.org/rituals/explanations/basicpr.html

    https://ng.adf.org/article/intentions/

    https://www.adf.org/rituals/explanations/brieflit.html

    https://www.adf.org/rituals/explanations/index.html

    https://ng.adf.org/article/sacred-space/

    https://ng.adf.org/article/the-worlds-and-the-kindreds/

    https://www.adf.org/members/training/dp/dp-manual-web/01-druids-cosmos.html

    https://www.adf.org/members/search?search_term=well+and+three

    https://atthesignofthewhitehart.wordpress.com/2013/02/13/948/

    https://www.docdroid.net/YkrUT9f/ian-corrigan-sacred-fire-holy-well-a-druids-grimoire-pdf#page=28

    « Les mystères des Celtes, mythes, cérémonies rituelles, croyances et légendes » par Stefano Mayorca.

    « La Magie Celtique, connaissances de la Magie pour les situations de la vie courante » par D.J.Conway.

    « La mythologie Grecque » par Baussier Sylvie.

    « Mythologie Grecque, mythes et légendes » par Clémentine V. Baron.

    « Mythologie Grecque et Romaine » par Pierre Commelin.

    « Les Druides Tome 1-Les Bardes » par Claudine Bouchet.

    « Les Sentiers de la Magie Nordique » par Freya Holgersson.

    « L'Enclos des Ases, spiritualité des Peuples Nordiques » par Aurélia Petri.

    « B.A-BA Tradition Nordique » par Arnaud d'Apremont.

    « B.A-BA Tradition Nordique volume 2 » par Anne-Laure d'Apremont.

    « Contes fantastiques des pays Celtes » par Gérard Lomenec'h.

    « Mythes Celtiques, légendes, art et histoire » par James Harpur.

    « Clergé programme études de la CosmologieADF Mother Grove - Ritual for Peace »

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