• Liturgical Writing 1 - The ADF Clergy Training Program

    The ADF Clergy Training Program : Le programme d’étude du Clergé de ADF. 

     Clergy Training Program Course Outline – First circle Training-

     

    Liturgical Writing 1

    L’écriture Liturgique

    Ce cours est le premier de deux destinés à fournir une introduction à la pratique de l'écriture liturgique. Les sujets abordés dans ce premier cours sont essentiellement fondamentaux : les finalités du rituel ; l'utilisation de matières premières; et la nature et les formes du langage intensifié (ou, dans le cadre de ce cours, de la poétique) appliqué à l'écriture de matériel liturgique, comme les prières.

    Ce cours suppose également une familiarité avec l'ordre de rituel de ADF (the Core Order of Ritual « COoR »)  et l'achèvement du programme de dédicace ADF. Bien qu'une grande partie du contenu de ce guide d'étude soit formulée en termes généraux, l'étudiant sera invité à appliquer ces concepts généraux à une réflexion sur la façon dont ils sont illustrés par les pratiques liturgiques de l'ADF et avoir ces pratiques à l'esprit lors de la lecture du matériel sera utile ensuite.

     

    Les objectifs du cours

    Les étudiants analyseront et discuteront d'une variété d'objectifs remplis par l'ordre rituel ADF (the Core Order of Ritual « COoR »).

    Les élèves identifieront les techniques utilisées dans l'expression poétique efficace et commenceront à incorporer ces techniques dans leur écriture liturgique.

    Les étudiants seront en mesure de créer une prière appropriée pour une utilisation dans le rituel du grand jour et de sélectionner une offrande appropriée pour accompagner la prière.

     

    1.Décrivez comment l'ordre rituel d'ADF exprime les concepts suivants : « Servir le peuple » ; "Réaffirmer les convictions partagées" ; « Rétablir l'ordre cosmique » ; "Créer l'enthousiasme".

     

    Ma réponse pour ce travail :

    L'ordre rituel d'ADF (the Core Order of Ritual « COoR »). Pour nous exprime que nous sommes là pour « servir le peuple » :

    Au sein de la communauté de ADF nous avons tendance à dire « The Folk » en anglais, c’est le Peuple ou l’ensemble des membres de notre communauté ou du paganisme, j’aime beaucoup aussi l’expression « Children of the earth » pour dire « les Enfants de la terre » c’est si juste et beau dit comme ça. J’ai regardé beaucoup de nos rituels sur Youtube puis sur zoom avec ceux auxquels j’ai participé et assisté. Comme je vis en Bretagne je vais parfois a des Pardons et des célébrations culturelles qui on parfois un côté cultuel ou traditionnel. Je peux voir ce qui est important dans ces événements. Enfin j’ai mes propres rituels et ce que je fait avec le Kindred Midgard et ceux que j’ai fait avant de rejoindre ADF.  

     Le rituel de ADF est composé de plusieurs étapes qui forment la liturgie qui les lie entre eux qui forment alors un unique acte de culte. Cet acte de culte peut être partager entre plusieurs druides et personnes qui assistent et alors c’est ici se qui donne à la cérémonie de ADF sa saveur si particulière. Elle nous rapproche de l’esprit communautaire. Les gens qui viennent à nos rituels cherchent surtout à célébrer les saisons, les dieux, les ancêtres et la vie. A passer un moment ensemble à célébré et se recueillir il est important alors pour nos clairières et nos membres du clergé de permettre qu’ils trouvent ça dans nos rituels. Les gens viennent en famille et il y a alors des gens très différents, oui il peut y avoir des grands parents avec leur petits enfants et des amis aussi qui peuvent se réunir. Nous honorons ensemble la saison et ensuite vient le moment dans la célébration ou nous honorons. Suivant le rituel et la clairière ou le prêtre la culture honoré ne sera pas toujours là même.Ensuite vient le moment dans la liturgie ou nous honorons le kindred et c’est un des moments les plus important je trouve avec l’être de l’occasion ou le but du rituel. Dans cette partie les gens sont servis rituellement à mesure que leur lien avec notre Kindred triple s'approfondit. Cela se fait tout au long du rituel alors que nous nous engageons dans des actes de sacrifice et que nous entrons alors en contacte par notre échange réciproque que nous avons choisi d’appeler la ghosti chez ADF. A ce moment là les offrandes sont faites à chacun des trois kindred à tour de rôle lorsqu'ils sont invités dans le rituel. Et puis, pendant le Flux de Retour, après le présage et la bénédiction. Les offrandes sont souvent des boissons ou de la nourriture mais les offrandes peuvent aussi être quelque chose de plus personnelle ce qui aide à approfondir davantage la connexion que chaque individu peut ressentir avec les esprits. Cette offrande personnelle peut également rendre plus personnelle la bénédiction reçue pendant le Flux de Retour. De plus le présage et la bénédiction peuvent prendre une signification très personnelle à cette partie de notre rituel.Je pense que les prêtres de ADF doivent faire beaucoup d’effort pour s’adapter aux personnes, et faire de leur mieux pour accompagner les gens, surtout pour les rituels. Mais un accompagnement dans leur spiritualité dans la vie de touts les jours en tenant compte des croyances et affinités de chaque personne c’est aussi très important. En effet la religion quand on l’étudie et pareillement avec l’attachement aux traditions nous permettent de constater que la religiosité des croyants était à présent très différente de celle prônée par les discours officiels il y à des années La chose importante à avoir en tête je pense c’est que nous devrions chercher à voir les choses à partir du point de vue du croyant pour étudier la religion d’aujourd’hui, de comprendre son identité et son bagage de vie pour mieux comprendre ses choix religieux, est révélatrice de l’individualisation du religieux observé. Puisque les croyances sont le produit du bagage personnel et que celui-ci est unique à chacun, il en résulte une individualisation des agencements de croyances et donc, des « religions » de chaque croyant. Plusieurs auteurs désignent ce phénomène religieux sous le nom de « bricolage spirituel ». L’important c’est d’aimer bricoler dans le fond et de belles choses seront faites.

    L'ordre du rituel de l'ADF (the Core Order of Ritual « COoR ») exprime « la réaffirmation des croyances partagées » :

    Notre religion est une des plus ouverte je pense, nous avons de nombreuses croyances et des convictions qui forme le ciment de ADF. Notre communauté vise à réinstauré le druidisme tel qu’il était avant ou a recrée les anciennes traditions notre druidisme de ADF englobe toutes les religions indo-européennes et se situe à mi-chemin entre la reconstruction la plus précise possible des anciennes religions païennes et le renouveau néo-païen du XXe siècle. ADF est aussi une religion qui met en avant l’orthopraxie plutôt qu'orthodoxie. De ce faite ce qui lie la communauté entre elle c’est une pratique commune de nos rituels avec les étapes différentes. Et pas nos croyances partagées qui sont plutôt individuelles, bien qu’elles peuvent être partager entre plusieurs membres c’est possible mais ce n’est pas le plus important, chaque foyer ou personne aura un culte de foyer et une vision de la culture qu’il honore qui lui sera propre. Les croyances que nous avons tous en commune sont ensuite missent en pratique et confirmées par notre pratique des rituels par notre corps de l’ordre rituel « COoR ». Ensuite bien sur nous vénérons la Terre hors tout les druides ne le fond pas forcément d’après mon expérience, mais les païens de notre époque oui. Cette croyance alors est confirmée elle aussi par notre pratique des rituels de ADF ou nous l’honorons en premier avant de la remercier ensuite en fin de rituel. Il en va alors de même pour les Kindred, qui est une tripartition des êtres que nous vénérons, c’est quelque chose qui nous unit dans notre pratique, et je pense que c’est alors aussi un des éléments important de nos rituels tout comme la bénédiction des eaux de la vie et le présage de l’omen. La notion de Ghosti comme l’échange entre nous et nos divinités ou esprits est quelque chose d’important pour nous, car c’est comme cela que nous créons du lien avec les êtres que nous vénérons. Nous apprenons à entré en relation avec le triple kindred et les divinités ou la Terre Mère, à travers ce concept de réciprocité naturel qui fait partie de nos croyances et cette croyance se confirme quand nous faisons des offrandes, des prières ou des rituels. Ensuite je pense aussi que nos rituels mettent en commune une certaine vision de monde qui nous entoure, notamment à travers les études que nous faisons pour devenir druide, faire partie d’une de nos guildes ou pour être initié ou prêtre. Le programme d’étude de ADF joue aussi ce rôle là.

    L'ordre rituel d'ADF (the Core Order of Ritual « COoR ») exprime le « rétablissement de l'ordre cosmique » :

    Le but du rétablissement de l'ordre cosmique est de mettre notre rituel en alignement avec le cosmos et de maintenir l’ordre dans notre cérémonie et notre propre conscience. C’est alors important aussi s’il est nécessaire de le faire de donner une orientation à notre rituel et de montrer aux participants de notre cérémonie comment ce déroule nos rituels et comment l’ordre du cosmos peut être gardé et maintenue. Et comment un druide doit mettre de l’ordre autour de lui pour être efficace dans un rituel. Ça me fait penser au cinq monde dans le druidisme breton de la gorsedd de Bretagne soit les mondes de Cythraul, Anouim, Abred, Gwenved et Keugant. Ici Cythraul représenteraient le chaos et Gwenved l’ordre. Cythraul écrit comme ça fait plutôt pensée à du Gallois ou à du Predeneg l’ancien breton parlé avant les migrations bretonnes au IV ième siècle. En breton moderne il serait possible d’écrire plutôt « Kitraoùl » pour Cythraul. Dans nos vies et dans l’époque actuelle il y a souvent beaucoup de chaos, les gens n’en n’ont pas toujours conscience que nous devons mettre de l’ordre autour de nous pour pouvoir crée de l’ordre dans nos rituels et maintenir l’ordre quand le chaos revient. J’en ai fait l’expérience il y a peut au niveau relationnel notamment. Il y a aussi un énorme travail sur soit à faire et beaucoup de clémence à avoir pour nous même et les autres, de l’empathie quand c’est possible aussi. Il est important d’honorer un Outdwellers ou un étranger, en breton un estrañjour en lui offrant quelque chose pour qu’il n’apporte pas le chaos avec lui dans nos rituels. C’est une partie importante de la purification aussi pour ne pas avoir d’impacte négatif sur notre cérémonie. Toutes les parties de l’univers résonneront à travers nous et nos rituels. Nous avons une telle approche dans nos rituels dans l'ordre central du rituel où le cosmos est recréé avec le Centre Sacré situé dans un cosmos triadique où les Trois Mondes sont reconnus, les reliques du feu, de l’eau et de l’arbre sont inclus est servent de supports pour ce travail. A travers l’arbre, le feu et l’eau nous établissons un pilier qui soutiendra la terre et le ciel. En reliant les forces des royaumes du monde d’en dessous, du monde du milieu et de celui d’en haut, sur un plan vertical, haut et bas ainsi que les royaumes de la terre, de la mer et du ciel avec les reliques sur un plan horizontale, en plaçant les trois les unes avec les autres. Alors en plus de l’ordre je pense qu’il est important également de trouver le sacré en soit même. Et nous pouvons alors le crée plus facilement quand nous établissons le centre sacré en appelant l’inspiration avec une divinité et ensuite avec la recréation du cosmos et l’ouverture des portes avec l’aide là encore d’une divinité qui sera notre portier. Alors ensuite nous créons le centre sacré avec le groupe de personnes qui ritualisent avec nous. A cette étape  là que la méditation des Deux Pouvoirs que nous avons fait en début de rituel trouve toute sont utilité car elle nous à aider à nous connecter à nos reliques en plus d’ancré le groupe dans la cérémonie. Je pense que ce travail est essentiel aussi car nous visualisons dans notre esprits nos reliques, la terre profonde et forte avec le puits sacré, le feu qui brillent dans les hauteurs du ciel et l’arbre qui soutient les mondes et maintient l’ordre dans l’univers. Pour finalement établir le Centre Sacré des Mondes où le rituel aura lieu et faire des sacrifices, des offrandes et des louanges quand nous recréons le Cosmos et ordonnons le monde.

    L'ordre du rituel d'ADF (the Core Order of Ritual « COoR »). Exprime pour nous « l’Enthousiasme de construction »:

    En tant que prêtre nous devons générer de la joie, Je trouve que le meilleur exemple pour moi c’est la clairière de Three Granes Grove ADF, j’aime beaucoup le côté joyeux des rituels avec les chants et la musique, c’est beau des rituels ou règne la simplicité et la joie comme ça. J’aime beaucoup les voir sur zoom. C’est bien mieux que ce qui peut exister en France il y a des cérémonies assez austère parfois tant les gens veulent être sérieux et respectés. J’aime moins. Je pourrais comparer les rituels de Three Granes Grove avec les Pardons qu’on à en Bretagne avec le christianisme celtique ici, les gens portent leurs costumes bretons et jouent de la musique, ils dansent ensuite il y a une procession, la messe et un repas de village qu’on appelle un Friko en Bretagne. Nous devons crée une belle ambiance dans nos rituels et que ce soit joyeux dans la mesure de nos moyens. Et la joie se partage avec enthousiasme et quand c’est bien fait les gens peuvent ressentir en eux même ce que nous appelons l’Awen, l’inspiration en Breton. N’importe qui peut avoir la tâche d’accompagner les gens vers l’enthousiasme mais c’est traditionnellement le rôle du Barde ou du Skalde dans ma culture de foyer. Étymologiquement, l’enthousiasme renvoie à l’acquisition du divin en nous par l’esprit ou les émotions. Mais quel est ce lien divin capable de rendre une personne enthousiaste ? De nombreux écrits parlent de l’âme. Nous pouvons aussi comparer ça avec l’état d’esprit joyeux et sans soucis dans lequel nous étions plus jeunes en faisant référence à notre âme d’enfant.

    Néanmoins l’enthousiasme représente pour nous une sorte de puissance intérieure,  qui est alors pour nous une source d’inspiration qui s’exprime par de l’excitation, de l’exaltation et une joie intense, tout ça est pas essence même le cœur l’enthousiasme.

     

    L’enthousiasme pour moi est un mélange plus complexe aussi d’autres choses :

    L’exaltation de l’âme, des facultés de provoquer une surexcitation de l’esprit.

    Une émotion extraordinaire de l’âme, supposée être l’effet d’une inspiration..

    La démonstration d’une joie profonde et d’une grande allégresse.

    L’admiration extrême, goût très vif, parfois excessif, pour une personne ou pour une chose.

    Un sentiment d’intérêt énergisant pour un sujet

    Un sentiment positif pour une activité en particulier capable de suscité l’envie d’une participation active.

    Pour moi suite à ce travail du cours de clergé je retiendrais que j’ai pris conscience que l’enthousiasme est une force motrice interne rattachée à  la joie, créatrice et porteuse de dynamisme pour nous et que c’est important pour le travail que nous faisons.

     

    L'enthousiasme continue d’être partager dans nos rituel quand nous continuons notre liturgie quand nous ouvrons les portes quand nous recréons le cosmos et l’espace du centre sacré  et que nous approfondissons ensemble la profonde connexion avec les Kindreds et les êtres de l’autre monde ou ceux de l’occasion. Une des choses les plus importantes que nous faisons dans nos rituels c’est le sacrifice. Quand nous faisons des offrandes à travers le rituel et que nous offrons une partie de nous en quelque sorte quand il s’agit de nourriture ou d’une boisson, je me rappelle les paroles que ma mère ma dites, que sont arrière grand-mère Augustine qui était druidesse lui disait « Nous devons offrir ce que nous avons de meilleur dans un rituel ». J’ai toujours ces mots en tête quand j’offre quelque chose. Il est important aussi pour moi d’être en accord avec mes pensées et mes actes dans le respect de la Tradition de mon ancêtre quand je fais des offrandes. 

    Nous offrons de l’enthousiasme quand nous faisons des offrandes et nous transmettons ça autour de nous, c’est important d’en avoir conscience dans ces moments là.  

     

    2.Créez une prière de louange, d'offrande ou d'action de grâce à une divinité inspirée d'une source littéraire mythique, folklorique ou autre d'au moins 75 mots. Incluez un résumé de vos sources et de la façon dont vous les avez utilisées.

    Ma réponse pour ce travail :

    J’ai fait une liste de kenningar qui peuvent êtres utilisés pour écrire une louange:

    La mouette-du-sang = le corbeau

    Le mal des sages =  la vieillesse

    La marée de l’amour = des champs de fleurs

    La mer-des-blessures = le sang

    La douceur de la jouvencelle = les baisés

    Les paroles des Géants = les runes

    Le loup-des-cordages = le vent

    L'étalon-des-vagues = le bateau

    L'arbre-aux-corbeaux = la mort

    Le chemin-des-voiles = la mer

    Le forgeron-des-mots = le scalde

     

    Voici une prière inspiré par le mythe de la création de la nuit, du jour, de la Lune, du soleil, poursuivis par les loups Hati et Sköll et pour les dieux Nott et Dagr que j’appelle en Breton Noz et Devezh (jour et nuit).

     

     

    Prière pour Noz et Devezh:

     

    Au firmament sont les quatre forces, les quatre magiciens, les quatre esprits, les quatre nains qui soutiennent le monde, Sudri du sud, Nordri du Nord, Austri de l’Est et Vestri de l’Ouest.

     

    Adalek norzh, pe reter, betek su pe kornaoueg emaint ar c’horred hudek.  An aveloù a zeuio aman war ar bed, war an douar, war ar vor. Me a oar pelec’h eo, al lec’h e pen ar bed. Korred e vezont da gwarezañ an denelezh-holl. O trikarekaat emaon anezho.


    Dans la nuit il y a les loups dans le ciel il y a la lune et dans la journée mes pensées partent dans la Forêt de Fer, et ma langue s’ouvre pour forger les mots et les charmes.

     

    Peseurt fall a raio er noz a zeu ? Piv eo goaperezh ? Ha piv eo kasoni ?

    Ma soñjoù zo du… e –kreiz an noz ez eus bleizi difeson.

    Un nebeut tudoù emaint o dastumañ an difeson er ho c’halonoù dislivañ.

    Sentañ a rin al levenez pa e vez sevel an heol war ma bro.

     

    A travers la terre s’élève le tourbillon des vents sombres qui donnèrent vie à des monstres dans la nuit de nos peurs.

     

    Hag ur plac’h-trollig hag e oa er c’hoadoù an houarn. Kollet he doa ma ene ganti dindan ar gwezenn marv. Re teñval ma disoñjal e vezen an devezh.

    Et la femme troll qui était dans la forêt de fer. Elle avait perdue mon âme sous un arbre mort. Si sombre que j’ai oublié le jour.

     

    Gervel a ran ma douezed norzh’vit an noz pe an devezh o anvioù e brezhoneg zo Noz ha Devezh end-eeun.

    J’appelle Nott et Dagr mes dieux du nord qui ont pour noms en breton Noz et Devezh,

    Les mots et les langues, les pensées et les sentiments, les mots que je forge avec mes incantations et mes saintes louanges.

     

    Qu’ils les entendent et viennent à mon feu brillant pour éloigner les bêtes de la nuit loin de ma maison, de mes nuits et de mon pays.

     

    Ils apportent avec eux l’équilibre, la fraicheur et les étoiles dans la nuit claire, la chaleur et le réconfort du ciel bleu.

    Ils sont les bienvenues dans ma cérémonie, dans ma maison et dans ma vie.

     

    Un jour, la progéniture de l’un d’entre-eux, le pire de tous, Dévorera le Soleil, et il aura l’apparence d’un loup dans le ciel qui sera nocturne pour toujours.

    Et sur la terre il se nourrira de la chair de touts les hommes.

    Rouge sera le haut siège du borgne.

     

    Et les jours prendrons fins dans un été fait d’orages de maladie et de malheur.

    Comme les voyantes l’ont prédit.

     

    Mais les dieux que j’appelle sont justes et bons,

    La lumière chaleureuse du matin.

    Et les douces ombres du soir.

    A travers le soleil et la lune.

    A travers le jour et la nuit

     

    Sol et Mani conduisent leurs chars célestes et les loups les poursuivent…

     

    Je sais que Dagr et Nott écoute cette louange et nous apporteront des bénédictions.

    Je les en remercie de tout cœur.

     

     

     

    En fait si je parle des kenningar juste avant c'est parce que je en ai employé dans ma louange.  J’aime aussi utilisé des phrases en breton dans ce genre de prières.

     

    On continue un peu la description de la cosmogonie, j’en ai déjà parlé dans le cours de la guilde des bardes. Mais après avoir tué le géant Ymir, formé la terre avec son corps, rejetés les géants dans le Jotunheim, Odin et ses frères parsemèrent le ciel d'étincelles de Muspell: ainsi furent créées les étoiles

     

     Le Muspell, ou Muspellheim est l'un des deux mondes qui existait de part et d'autres du gouffre primordial avec le Niflheim.

     

    La nuit dans la mythologie nordique est personnifiée par une déesse : Nott ; Elle était la fille du géant Narfi.  Elle eut elle-même un fils Dagr qui personnifia le jour. Odin offrit à Nott et à Dagr deux chevaux fabuleux tirant deux chars, et sur chacun des deux chars furent placés le Soleil et la Lune. Odin chargea alors Nott et Dagr de parcourir le ciel nouvellement façonné en un jour. Nott précède Dagr et les deux chars se poursuivent sans relache. Son cheval, Hrímfaxi, produit la rosée du matin avec son souffle dans l’air sur la terre. Le cheval de Dag, Skinfaxi, tire le char du soleil et illumine le ciel et la terre grâce à sa crinière,éblouissante et toute brillante. Nous pouvons comprendre par ce mythe que chez les peuples nordiques la nuit précède toujours le jour. Comme Tacite notait au sujet des Germains: « Ils ne comptent pas, comme nous, le nombre des jours, mais celui des nuits; c'est ainsi qu'ils fixent les rendez-vous, les assignations; pour eux, la nuit précède le jour. »


    Les deux astres Soleil et Lune se poursuivant sans cesse étaient pourchassés par les loups Sköll « la répulsion » et Hati « la haine ».  Cette idée de créatures qui poursuivent la lune et le soleil se retrouve dans l'hindouisme où le deva Rahu poursuit aussi les deux astres pour les avaler. Il les attrape parfois mais, ayant été décapité par Vishnu pour avoir bu l'Amrita, il ne peut causer alors que de brèves éclipses.
    Pour comprendre l'origine de ces loups Sköll et Hati dans les mythes nordiques, il faut évoquer la forêt de fer et une sorcière qui vit à l'intérieur. La « forêt de fer », ou Jarnvid ou encore Iarnvid est une forêt située à l'ouest de Midgard dans la mythologie. On ne sait pas très bien si c'est une forêt de bois pétrifiés ou un kenning pour illustrer un lieu recouvert de pierres dressée. On peut se l'imaginer ainsi peut être une sorte de site mégalithique, ou quelque chose de très approchant. Il est possible qu’il s’agisse d’une forêt très difficile d’accès avec des ronces et des écorces coupantes. L’image reste percutante.
    Cette forêt mythique abrite de terribles femmes-trolls appelées Iarnvidiur ou Jarnvidiur. Dans les mythes elle est surtout hantée par une sorcière géante qui prend l’apparence d’une louve noire de taille gigantesque d'après certaines versions. Dans la vision du monde scandinave la sorcière s'accoupla avec un loup terrible nommé Fenrir qui fut lui-même fils de Loki, l'un des Ases, et de la géante Angerboda. Dans la conception du monde nordique décrit dans les mythes de l'union de cette sorcière avec Fenrir fut engendrée une lignée de géants en forme de loups féroces parmi lesquels Sköll et Hati ou encore un certain Managarm « chien ou loup de la lune ». C’est créature sont de profonds êtres du chaos et qui perturbe l’équilibre du monde. Ils rentrent dans le cadre de la conception Indo-Européenne de l’ordre et du chaos. D’un autre côté ça ressemble aussi beaucoup à ce qui aurait pu être le début de nos légendes sur les Loups Garous en Europe. Il semble aussi que dans certaines versions la sorcière qui s’unie à Fenrir soit appelée Managarm elle-même , ou la louve noire et que donc Managarm ne serait son fils. Et aussi dans d’autres versions la sorcière qui s’unie à Fenrir est confondue avec Angerboda la géante, mère de Fenrir, Fenrir - son "mari" est remplacé par Loki le dieu fourbe qui joue son rôle en s'unissant à elle, et de leur union viendrait la progéniture maudite citée dans la Völuspà mais en l'occurence ce serait plutôt Hel  qui règne sur le monde des morts, Fenrir le loup géant, qui remplacerais les loups Hati et Skoll ou Managarm et Jormungandr le serpent qui entourera Midgard. Alors en fait pour le Soleil et la Lune il y a des versions différentes, ils sont parfois appelés Sol et Mani. Sol =le soleil est féminin et Mani = la lune est masculin.
    Lors de leur réunion quotidienne les dieux apprirent un jour qu'un couple du nom de Mundilfari et Glaur avait deux enfants si beaux qu'il avait nommé la fille Sol, le soleil, et le garçon Mani, la lune. Alors les dieux qui avaient façonné le soleil et la lune réfléchirent ensemble sur la façon de procédé pour donner une leçon à ce couple qui avait donné le nom des astres les plus beaux qu’ils avaient créés sans leur permission. Le soleil avait été façonné à partir d'une étincelle des flammes de Muspellheim mais il lui manquait un conducteur. Alors ils enlevèrent le garçon, Mani et la fille, Sol laquelle venait tout juste de se marier à l'elfe Glen. Il n'était pas possible d'utiliser un char sans protection contre l'immense chaleur qui rayonnait de l'astre de feu. Pour protéger le char de Sol il fallait refroidir. Aussi les Dieux placèrent-ils à l'encolure des coursiers Arvak et Alsvid deux énormes soufflets qu'on appelait Isarnkoll, le froid de fer. A partir de ce moment là Sol devint une conductrice pour le char du soleil mais pour elle il n’est pas possible d’interrompre la course du soleil car le loup Sköll la pourchasse et il engloutira le soleil lors du Ragnrök. Les éclipses solaires signifiaient que Skoll avait presque rattrapé Sol. Dans une autre version ce serait le dieu Dagr qui ferait le tour de la Terre en 24 heures emmené par son cheval, Skinfaxi "Crinière brillante, qui éclaire le monde. La lune avait elle aussi besoin d’un protecteur sur un char alors les dieux confièrent à Mani un char pour la Lune qui lui aussi fut poursuivi par un loup c’est Hati qui veux dévorer la lune et les étoiles toute entières. Comme il s'ennuyait dans cette ronde sans fin, il enleva à son tour deux enfants, Bil et Hjukin qui étaient partis chercher de l'eau à la source de Byrgir. La fille Bil étant visible lors de la décroissance de la lune tandis que le garçon Hjukin était présent lors de la croissance de la lune se sont les croissants de lunes que nous pouvons voir entre les pleines lunes et les nouvelles lunes. Sköll et Hati sont deux loups, qui poursuivent pour toujours le Soleil et la Lune. Le Ragnarök aura lieu le jour où ils finiront par les attraper. La légende quand elle est conter dit que :

    « Sköll s'appelle le loup, il poursuit le dieu brillant jusqu'au bois protecteur, et l'autre Hati, il est le fils de Hróðvitnir, doit être devant l'éclatante épouse du ciel. »

     

    Extrait des Grímnismál dans l’Edda Poétique.

     

    Dans ce livre peut lire que le soleil est poursuivi par Sköll qu’il passe sont temps à fuir. Et c’est la même chose pour la lune, chassée par Hati.

    Sources : Le texte le Grímnismál dans l'Edda Poétique de Régis Boyer.

     

    Les livres : Ragnarök ou le crépuscule des dieux, Ragnarök et l’hiver sans fin, Thor et les géants magique de la collection Mythologie Nordique de RBA

    Légendes et contes de l’Inde aux éditions Gründ.

     

    3.Discutez d'un poème d'au moins huit lignes quant à son utilisation d'éléments poétiques (tels que définis par Watkins): formules, métriques et stylistiques. Portez une attention particulière à l'utilisation du compteur et des dispositifs phonétiques, tels que la rime et l'allitération. 

    Ma réponse pour ce travail :

     

    Ce que je connaissais sur les formules poétiques c’est surtout les kenningar (ou Kennings) et les allitérations comme je l’ai développé dans le cours du premier cycle de la guilde des Bardes un kenning c’est une expression utilisée à la place d'un terme pour décrire un aspect de ce terme. Ils sont pour nous des phrases descriptive par rapport à un événement ou a une situation. L’allitération quand à elle est une technique simple que l'on peut tous facilement reproduire pour nos rituels personnels quand on écrit pour nos divinités personnelles ou les ancêtres. Il s'agit de la répétition d'un son. Le sentiment de sacré et le sens de la formalité est ce qui sépare le profane du sacré. Et l'inspiration aussi Heureusement que pour ce travail j’ai reçu de l’aide de la par de Jon Drum, pour moi c’était assez difficile a faire parce qu’il y a pas de sources sur Watkins dans la littérature Française.

     

    The Road Less Taken

    TWO roads diverged in a yellow wood,

    And sorry I could not travel both

    And be one traveler, long I stood

    And looked down one as far as I could

    To where it bent in the undergrowth;

            5 

     

     

    Then took the other, as just as fair,

    And having perhaps the better claim,

    Because it was grassy and wanted wear;

    Though as for that the passing there

    Had worn them really about the same,

            10 

     

     

    And both that morning equally lay

    In leaves no step had trodden black.

    Oh, I kept the first for another day!

    Yet knowing how way leads on to way,

    I doubted if I should ever come back.

            15 

     

     

    I shall be telling this with a sigh

    Somewhere ages and ages hence:

    Two roads diverged in a wood, and I—

    I took the one less traveled by,

    And that has made all the difference.

     

     

    J’ai relu plusieurs fois le texte  The Road Less Taken et d’après Jon dans son poème Robert Frost utilise le concept de mérisme. Je me suis intéressé à la différence entre l’allitération simple et la forme métrique. L’allitération répond à une double visée pour les poètes qui utiliser cette forme pour écrire. L’allitération permet alors de mettre en exergue une sonorité pour attirer l’attention du lecteur. Puis elle permet aussi de suggérer une atmosphère poétique par l’harmonie imitative.

    Quand on étudie l’histoire de la poésie en France, c’est au Moyen Âge que la forme poétique en allitération est le plus utilisé pour partager de la poésie. Il n’y avait pas à proprement parler de rime dans la poésie médiévale qui utilisait plutôt l’allitération pour donner le rythme, le son et du sens au vers. Cette technique fut notamment valorisée par les troubadours et les ménestrels pour la puissance suggestive provoquée par l’allitération. Ensuite les rimes finissent par s’imposer à partir du XVIe siècle. Et l’allitération restera la technique la plus répandue dans la poésie Française.

    Il y à deux types d’allitération. Le premier type d’allitération est ensuite l’allitération métrique. Cette désignation est réservée à l’allitération qui intervient dans le cadre de la poésie et, en particulier, de la poésie écrite sous forme de vers.

    L’allitération métrique à deux formes : la première forme est celle de la rime finale d’un vers qui se fait consonantique ; la seconde forme est celle dite de la rime intérieure qui, au cœur même d’un vers. Et c’est cette structure qui est construite en retours de sonorités consonantiques sur le même son. La figure consonantique et faite en deux parties qui fait référence à la totalité d'un seul concept supérieur.

     

    **Le poème en Français**

     

    La route la moins empruntée

    DEUX routes divergeaient dans un bois jaune,

    Et désolé je n'ai pas pu voyager tous les deux

    Et être un voyageur, longtemps je suis resté

    Et j'en ai regardé un aussi loin que je pouvais

    Jusqu'à l'endroit où il se penchait dans les sous-bois ;

     

    Puis prit l'autre, tout aussi juste,

    Et ayant peut-être la meilleure prétention,

    Parce que c'était herbeux et qu'il fallait porter;

    Bien que pour cela le passage là-bas

    Les avait portés vraiment à peu près pareils,

     

    Et les deux ce matin-là gisaient également

    Dans les feuilles, aucun pas n'avait foulé le noir.

    Oh, j'ai gardé le premier pour un autre jour !

    Pourtant, sachant comment le chemin mène au chemin,

    Je doutais de revenir un jour.

     

    Je vais dire cela avec un soupir

    Quelque part des âges et des âges:

    Deux routes divergeaient dans un bois, et moi

    J'ai pris celui qui a le moins voyagé,

    Et cela a fait toute la différence. 

     

     

    Jon m’a envoyer son analyse de ce travail à propose de ce poème et il à écrit à propos du métrisme en poésie que :  « […] the concept of a merism, a two-part figure which makes references to the totality of a single higher concept This formulaic device is used here to accentuate the concept of  “imperishable fame” by using choice and uncertaintyto highlight the most important concept of “journey”.»

     

    Je comprends après la lecture plusieurs fois en anglais et une traduction du texte et après avoir pris connaissance du travail de Jon Drum à ce sujet, que la poésie écrite par l’usage de l’allitération métrique permet de mettre en exergue le sujet d’un texte  ce dispositif stéréotypé est utilisé ici pour accentuer le concept de «renommée sans fin du voyageur» en insistant sur l’incertitude du voyage et du chemin à parcourir. Sur son voyage dans le poème le narrateur met en évidence le choix incertain, la décision et le doute qu’il éprouve pour décrire son parcoure ce qui une décision surgie du doute, pour décrire son « parcours ». En réalité, ce n'est ni le choix ni l'incertitude du chemin qui nous intéresse, mais le cheminement et le résultat des pérégrinations du « héros ». La « renommée sans fin du voyageur » arrive en conclusion à cause des actions de l'auteur qui en faite fait grandement la différence.

     

    Avec le travail que Jon Drum à partagé avec moi pour faire ce travail, le schéma de rimes dans ce poème est A-B-A-A-B, à savoir la rime des première, troisième et quatrième lignes et la rime des deuxième et cinquième.

    La métrique du poème, selon Watkins, est la suivante:

     

     [4||5 -] 

     [4||5 -]

     [5||3 -]

     [4||5 -]

     [4||5 -]

     

     [5||4 -]

     [5||4 -]

     [6||4 +]

     [4||4 +]

     [5||4 -]

     

     [5||4 -]

     [4||4 -]

     [5||5 -]

     [4||5 +]

     [5||4 -]

     

     [5||4 +]

     [4||4 +]

     [4||5 -]

     [4||4 -]

     [4||5 -]

    Cette façon de formé les rimes avec un nombre définie de syllabes qui sont prononcées avant la coupe pour la fin du vers ou un pause entre deux paragraphes et suivie du nombre de syllabes jusqu’à la fin du vers.  Ça c’est la façon de formé des vers selon Watkins. C’est pour cela aussi qu’on parlera de vers métrique. Car tout est près définie et calculé à l’avance lors de l’écriture du poème.

    Par contre l’utilisation de l'allitération n'est pas répandue dans ce poème.

    Jon à noté la présence d'allitération dans les symboles qui suivent les chiffres par un "+", et on peut voir cette allitération, la répétition de sons consonantiques, dans 5 des 20 lignes.

    Le poème de Watkins ici n'est pas isosyllabique mais est en fait  composé d’une suite qui varie entre 8 et 10 syllabes. 

     

     

     

    Sources :

    https://www.maestegcs.bridgend.sch.uk/wp-content/uploads/2016/06/Vernon-Watkins-waterfalls-PDF.pdf 

    https://repository.arizona.edu/bitstream/handle/10150/319740/AZU_TD_BOX14_E9791_1964_9.pdf?sequence=1 

    https://prairiedruid.com/tag/riddles/ 

    https://www.poetryfoundation.org/poems/44272/the-road-not-taken 

                   https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9trique_(po%C3%A9sie) 

                   https://www.cairn.info/les-procedes-litteraires--9782200619947-page-11.htm 

                   Le travail : Watkins Question from Liturgical Writing 1 de Jon Drum.

     

     

    4.Créez une prière adaptée à l'offrande principale d'un rite des hautes journées qui comprend l'invocation d'au moins une divinité adaptée à l'occasion, la description de l'offrande et son adéquation à l'occasion, et le but de l'offrande, totalisant au moins 100 mots. Toutes les indications scéniques nécessaires à l'exécution de l'offre doivent être incluses.

     

    Ma réponse pour ce travail :

     

    J’ai écrit une prière en Breton avec une traduction en Français qui peut être employé à chacune de nos célébrations des hautes journées. Mais par exemple pour Imbolc qui est centré sur Freya dans la tradition nordique avec la célébration du Disting (Imbolc dans la culture scandinave) aussi appeler Disathing ou Disablot. J’ai utilisé cette prière pour Freya en divinité de l’occasion pour ma haute journée d’Imbolc 2022.

    Une prière Druidique de la Déesse de la terre en Breton et en Français:

    (Brezhoneg)

     

    Enoriñ a ran dit Itron Freya druezus,

    Itron veur.

    Died-gwir evit ma sec'hed.

    Alvezriez rouanez ha vat.

    Tre mad out ganin ha ganimp.

    Kalz ar c'harantez am eus ac'hanout e-barz ma c'halon.

    Bez em brec'h pa ran!

    Bez em daoulagad pa sellan!

    Bez em c'halon pa roan!

    Gant da garantez evidomp'ni.

    Itron Freya, Itron ar bed.

    Gant peoc'h emaoñ e Breizh.

     

    *Skuilhañ a ra an eoul e-barzh an tan*

     

    (Français)

    Je t’honore Dame Freya compatissante.

    Grande Dame.

    Breuvage véritable pour ma soif.

    Grande reine généreuse et bonne.

    Tu es très bonne avec moi et avec nous.

    J'ai le coeur plein d'amour.

    Sois dans mon bras quand je fais!

    Sois dans mes yeux quand je regarde!

    Sois dans mon coeur quand je donne!

    Avec ton amour pour nous.

    Dame Freya, Dame du monde.

    Je suis en paix en Bretagne.

     

    *Versez de l'huile sur le feu*

     

     

    Source :

    https://pdfpremiumfree.com/downloads/bonewits-essential-guide-to-druidism/ 

    https://www.adf.org/rituals/explanations/intentions.html

    https://www.adf.org/rituals/explanations/core-order.html

    http://www.freepdf.info/index.php?post/Boyer-Regis-L-Edda-poetique 

    https://www.adf.org/members/training/dp/dp-manual-web/06-basics-ritual.html 

    https://www.adf.org/rituals/index.html 

    https://www.adf.org/rituals/explanations/index.html 

    http://bibliotheque.idbe-bzh.org/data/cle_46/Kad_evit_ar_Gwir_eneb_ar_Bed_niv_14_.pdf 

    https://www.sahpl.asso.fr/site_sahpl/Rio_Joseph_Celtisme_et_Druidisme.pdf 

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