Le conte de Samhain Morrigù à Moytura:

C'était après la grande bataille de Moytura, ou les Celtes et les dieux repoussèrent les Fir-Bolg sur les collines vertes de l'Irlande. Un Barde se mit à chanter dans une assemblée les haut faits de cette journée.

Les cordes de sa harpe se mirent a bourdonner. C'est alors que Conn avait chanté. Les gens du village étaient enlacés tous autour du feu a écouter la chanson. Un barde de renommée étai parmi eux et dehors le froide nuit se levait dans les brumes de Samhain.

Mots éloquents et précis des combats dans les collines, sa voix d'or pur comme le miel de Lughnasadh.

Un chant pour le héros Cù-Chulainn et lui appris plein de choses et apportas des précisions sur les hauts faits.

Conn mis à nu le sarrasins et le garçon têtu.

Leathcheann un guerrier perdu dans les fumées du feu et dans ses songes, par les herbes magiques et les paroles poétiques...

Cette satire bardique l'avait rendu fou.

Vous vous moquez de notre culture en cette nuit sacrée aboya le guerrier à Leathcheann.

Ô Barde, vous vous déshonnorez comme un gaspillage de l'homme, maintenant face à moi que vous rencontrez mon couteau!

A Conn bondi le guerrier, furieux.

Un Druide corpulent est alors intervenu entre eux.

La confrontation a cessé, assouvi, quelle chance qu'il intervienne.

Le Druide à parlé, les guerriers sont sacrés et vénérés, pour protéger la souveraineté de la terre, et l'honneur de la Déesse Guerrière des Ombres.

Mais par nos lois vous devez également être respectées.

Contre un Barde personne ne doit levez la main! Jamais!

Badhcatha! avec un cri grossier fondit! Morrigù fondit dans la sombre nuit!

Le Corbeau de la bataille descendit sur le seuil de la maison.

Entrée, à regarder...

Un souffle glacé de l'hiver qu'elle apportait avec elle était rentré glaçant toute l'assemblée.

Tous regardèrent. La sombre Dame vêtus de noir et de plumes de corbeau, une couronne en os placé sur sa tête et une épée d'argent

Elle fit le tour de la maison regardant chacun dans les yeux, comme pour leur rappeler qu'elle est là et que bientôt ... pour eux aussi l'heure serra venu de quitter ce monde.

La femme en robe noire de noire broderies se tenait a la porte et le souffle du vent s'intensifia rentrant dans la maison éteignant le feu du foyer et charriant des feuilles mortes sur son passage, un corbeau d'un noir d'ébène se posa sur son épaule.

Les guerriers la regardèrent avec effroi et surprise.

Morrigù déclara:

Si jamais par vous ce Barde arrête de chanter, s'il n'a plus de souffle. Les arbres ce déracinerons dans vos terres, les sources ce tariront et vous ne serrez jamais secourut pour vos actes. Votre être serra lié à Magh Meall dans la mort et les ombres du trépas.

Vous en perdrez votre honneur, votre nom ainsi dépravé.

Ecoutez bien vous qui êtes mes Guerriers, avec calme et noblesse, avec douceur et grâce, avec le coeur et de la sagesse.

Pour vous! Grand Guerriers et Héros.

Et pour moi qui vous protège et vous apporte mes bénédictions!

Que ce Barde chante ce qui est vrais. Et ce qui lui plais!

Un nuage de Corbeaux fit alors irruptions et la Grande Dame disparue dans leurs croassement...

Dans les chansons transmissent de Bardes en Bardes au fils du temps, au fils des chants, les fait seront perpétués s'écria la voie de la Déesse dans le ciel d'Octobre...

Vol au large et entre les mondes Morrigù, Morrighan, Rigantona!

Elle s'en était aller.

Le chant a commencer et le Barde à chanter.

A son tour Conn fit irruption dans la chanson, et si habilement a chanté avec le Barde les louanges de la Reine Fantôme.

Les Druides a Samhain s'en souviennent encore.

Ecrit par Eikthyrnir Odinson.