• Dedicant Path Writing a book review

    Dedicant path : Writing a book review : Ecrire une critique de livre.

    Writing a book review :


    Le premier thème l’étude des Indo-Européens :

    Livre 1 : « Une Histoire de l’Europe Païenne, à la découverte de nos racines spirituelles »

    Auteurs : Prudence Jones et Nigel Pennick.

    Introduction :

    J’ai étudier ce livre que ma très gentiment envoyer Jon Drum quand je lui ai expliquer que j’avais des difficultés pour obtenir les livres qui sont dans la liste requise pour le Dedicant path. Ici dans les Monts d’Arrée il y a une très grande zone blanche (une zone sans internent) entre Plouneour Menez et Morlaix.  Mais a Commana a côté de l’antenne du Roc’h Trédudon les habitant ont la chance d’avoir une connexion un peux mieux que nous a Guiclan. En France ont dit que le Finistère c’est le bout du monde, pour internent c’est un peut vrais. Du coup c’est très compliquer pour aller sur Amazone, le site internent bloque et la connexion tombe en panne. J’ai internent mais par une parabole, quand le ciel est couvert ou qu’il y a une tempête. Je suis allé demander à St Pol de Léon à la librairie qui a un nom un peut Anglais « Livre in room » et à l’Espace culturel des magasins E.Leclerc de Morlaix. Mais les livres proposés par ADF n’étaient pas dans leurs listes de fournisseurs. J’ai le propriétaire de la boutique de St Pol de Léon qui a réussie a m’avoir un livre en Français sur la langue des Indo-Européens je le présenterais dans ce document en plus des trois autres parce que j’ai vraiment reconnue l’esprit de ADF dans ce livre.

                     La couverture du livre : elle présente simplement le titre du livre avec les noms des auteurs en haut sur fond noir et en bas il y a un symbole de labyrinthe qui fait penser aussi a la symbolique des entrelacs celtes. Le quatrième de couverture, avec les commentaires de Miranda Green, archéologue et anthropologue de l’université Galloise de Cardiff, ainsi que celle de Tanya Luhrmann, ethnopsychiatre de l’université de Californie à San Diego. Donne vraiment envie de lire ce livre et résumes parfaitement ce que ressent le lecteur après la lecture du livre et ce qu’on y trouve a l’intérieur.  La description aussi qui compare ce libre a une Bible c’est vraiment bien trouvé.

    Développement :

                      J’observe : J’ai lu ce livre en plusieurs fois tellement il est riche et qu’il y a beaucoup de contenue. Je me suis sentie comme un voyageur. J’avais l’impréssion de faire un voyage dans le temps à travers l’europe. En commençant pas la Grèce, ensuite l’empire Romain, les Celtes, les Germains et les Slaves. C’était vraiment passionnant.  Ce livre traite de l’histoire du paganisme en Europe et de l’évolution des Indo-Européens, de leur religions, des peuples différents et aussi de leur christianisation.  Suite à cette lecture, je comprend aussi de quelle façon ses anciens peuples ont laisser leurs emprintes dans nos sociétés moderne, même avec la distance du temps, les lieux avec l’étymologie et la philologie, leur influence dans l’art antique, dans les arts a l’époque de la renaissance  au début des temps moderne, l’influence Grecs et Romaine était très importante en France a cette époque notament. Je me rappel des sculptures de la Déesse Athéna dans des châteaux que j’ai visité en Aquitaine et à Paris. En Bretagne dans l’art Breton on retrouve énormément de trace celtique, Irlandaise et même des Dragons qui évoque l’europe du Nord, dans le styles des sculptures, des peintures ou des décorations d’église. Je me suis rappeler de tout cela a la lecture de ce livre.

                     J’interpréte : J’ai compris avec les sources, Grecs, Celtes et les autres peuples. Notament l’importance des rituels, page 46 avec la description des sanctuaires et l’importance de l’invocation a la déesse Mère ainsi que la description dans les Euménides avec l’oraison de la prêtresse du sanctuaire d’Apollon. La bénédiction aussi pour le dieu Manannan Mac Lyr collecter depuis l’îles de Mann. Par W.Y. Evans-Wentz. C’est deux textes résumes bien l’esprit des rituels de ADF.

    La lecture du livre évoques les offrandes d’argents, d’or, d’objet aussi qui étaient fait dans les eaux des sources, des rivières ou des lacs, mais aussi l’importance des pilliers par différent peuples pour symboliser le lien entre le ciel et la terre. Comme page 170 sur laquelle il y a une belle illustration du mât de mai qui simbolise l’arbre. Et le lien entre Teutates et Tuisto est bien expliquer.  Au fil de la lecture on en apprends beaucoup sur l’évolution des religions païennes chez les Européens depuis l’empire Romain et au sein des autres peuples. Ensuite la christianisation, c’était vraiment passionnant comme lecture. Je me suis rémémoré cette ancienne histoire qui évoque une femme qui après qu’un éclaire lors d’un orage ait foudroyé un arbre, a récupérer une branche enflammée pour offrire le feu aux hommes. Dans cette histoire la femme m’évoque la Déesse. Je pense que ADF a choisi ce livre en particulier pour figurer sur la liste de livre a étudier, parce qu’il explique vraiment très bien le developpement et l’évoution de la spiritualité païenne en Europe. L’importance des deux chez les différents peuples et qu’il d’écrit les sources qui ont influencées l’orthopraxie de ADF par le fondateur Isaac Bonewits. Le livre contient énormant de sources en cours de lecture et a la fin en index et en bibliographie.

                   J’apprécie : Le ton du livre, la lecture était facile et je l’ai dévoré. Le fait que l’auteur qu'il ai une vue d'ensemble des différents peuples d’europe et que les écrits à leur propos soient équitables qu'il n'y ait pas de préférence marquer pour un peuple par rapport aux autres.  Avec ce livre j’ai « remis l’église au centre du village » comme on dit en Français. J’ai recontextualisé beaucoup de chose comme par exemple l’importance de l’arbre et du pôle ou mât de mai dans le folklore populaire d’Europe.  Ainsi  que l’importance de Thor en lien avec le chêne et l’arbre, le ciel et la foudre. Bien sur je connaissais tout ça, l’importance des sources aussi en lien avec l’autre monde. Je me sens plus en lien avec les ancêtres, les dieux et les autres membres de ADF après la lecture de ce livre.

    Conclusion :

    Les livres renferment en eux quelque chose de Magique. Nous apprenons beaucoup avec eux, nous nous questionnons  et se sont des guides et des compagnons de voyages. C’est vraiment important de lire ce livre surtout je pense quand on commence a travailler sérieusement avec les rituels de ADF et l’établissement du foyer. Nous arrivons a comprendre que le passé est le présent sont liés ensemble. A nous d’établire de belles relations avec nos divinités de foyer, de ne pas oublier nos ancêtres. Et d’établire de belle relation avec nos contemporains. C’est ce que je ressent après avoir fini de lire ce livre. Je comprend que nos histoires personnelles, celles de nos familles ou de notre vie présente s’inscrit dans une histoire plus grande et qu’on peut voir dans le passé lointain de l’histoire les reflets de situations que nous avons connue dans notre vie présente. Je me rappel par exemple que quand j’étais plus jeune j’ai eu beaucoup de souffrances en lien avec ma famille et ma maladie. Personne n’est parfaits. Nous avons tous dit, pensé, fait du mal dans le passé, en conscéquence de quoi, ou en réaction de quelque chose ou quelqu’un. Malgré cette souffrance qu’elle soit morale ou physique, émotionnelle ou parfois même intellectuelle. Elle fait partie de nous parce que nous avons tous un karma passé. Donc les conséquences en sont du mal ou une souffrance. Mais nous pouvons décidé de ne pas en rajouter. Nous pouvons changer et décider de vivre les événements d’une façon différente et de vivre les choses favorablement et surtout de ne pas aggraver encore la situation. Le paganisme a connue bien des tourments et des mésaventures. Des gens l’ont aussi détourné, déformé pour des raisons obscures. Il en va de même, je pense que la lecture de ce livre doit nous incité a déveloper notre druidisme de façon favorable en n’oubliant pas le passé et les événements difficiles mais sans aggravé les choses. Dans la vie les difficultés sont inévitables, mais l’état d’esprit dans lequel nous sommes va colorer tout ce qui va nous arriver de façon négatif ou alors en joie. Par conséquent ce livre nous pousse a œuvré d’avantage pour la construction d’une belle vie pour nous même, pour nos proches, nos amis et pour crée un beau chemin dans le paganisme et pour le druidisme.

     

     

    Le deuxième thème la culture de foyer :

    Livre 2 : « Les Vikings»

    Auteur : Régis Boyer

    Introduction :

    J’aime beaucoup ce livre de Régis Boyer. Sur les Vikings. Cet auteur est le spécialiste Français de la culture Scandinave, des coutumes et des légendes nordiques et des vikings. C’est lui qui a traduit l’Edda Poétique en Français et il a écrit beaucoup de livre. Son livre sur les m’a éclairé sur plusieur aspecte de la culture viking. Et je pense que pour la fondation de mon foyer « Norse » dans le cadre du Dedicant path de ADF, comme je vis en France, c’était important de le faire avec cet auteur. Régis Boyer ne fait pas qu’écrire des livres il à été directeur de l’Institue d’études Scandinaves qu’il à fondé à l’université de Paris IV-Sorbonne. Où il a enseigné durant de nombreuses années. Il a aussi beaucoup voyager dans les pays Scandinaves en Norvèges et en Islandes, mais aussi en Grande-Bretagne et en Irlande. Et il a publier de nombreux traveaux de recherche dont certains sont devenus des livres.

                     La couverture du livre : Le livre est gris, la couleur évoque la pierre de Granite qu’on trouve ici en Bretagne, les menhirs, les maisons et les constructions, sur la couverture il y a le titre en noir, le nom de l’auteur et un proue de bateau viking. Un Drakkar qui nous invite au voyage par la lecture dans les royaumes anciens du nord de l’Europe.  L’arrière du livre, le quatrième de couverture rappel que l’auteur à été directeur de l’institut d’études Scandinaves qu’il à fondé. Et nous rappel que les vikings au-delà de l’image que nous avons d’eux dans l’inconscient populaire, était avant tout des humains. Des hommes et des femmes de leur temps. Ce description donne un avant goût du ton du livre et de ce que le lecteur trouvera à l’intérieur.

    Développement :

                      J’observe : Ce livre est très bien écrit et permet au lecteur novice d’en apprendre plus sur les peuples Vikings. En décrivant les sources, l’archéologie, l’étude des pièces de monaies, et des médailles. Mais aussi la philologie, la toponymie, l’antrhroponymie et la runologie. Que le livre évoque au début. Plus loin dans ses pages  nous trouvons des informations sur la formation de la grande bretagne et de la scandinavie a l’époque de l’âge de la pierre ancienne puis l’âge de pierre récent. Vers -10000 les premières traces visibles des hommes sont au Danemark est c’était des chasseurs-ceuilleurs C’est passionnant d’imaginé la vie de ces premiers habitants de la scandinavie  ils utilisaient des instruments de silex et de barques de peau à armature de bois, premiers indices de ce qui demeurera une nécessité impérieuse, la navigation, en ces lieux où l'eau était d’une grande importance dans le quotidien. L'archéologie décèle la présence de ces peuplades au Danemark ou en Norvège. Ensuite ce n’est qu’en 7000, que de nouveaux venus, en provenance du sud-estsont venuent on trouve des traces d’eux au Danemark principalement. Vers 6000 et jusqu'en 3000, c'est la peuplade dite de Kongemose (Danemark) qui s'installe, au Danemark puis ensuite en Norvège, nous avons retrouver énormément de traces de ces derniers en Norvèges avec les déchèts de la vie quotidienne avec leur reste de cuisine et leur unstruments. Ce sont ces peuplades successives qui, vraisemblablement, auront progressivement repoussé vers les nord les Sames ou Samis c’est Lapons qui ont dû être les premiers habitants de ces lieux. Après cette époque il y a eu celle de l’âge du bronze. L'histoire débute avec l’arrivé des Indo-Européens dont on discerne deux vagues successives, la première autour de 3000, la seconde plus tard vers 1800, par le biais de colonisations ou d'influences reçues. On découvre dans ce livre les origines Indo-Européenn des Scandinaves leur langue, une branche septentrionale du germanique et aussi le surgissement de l'agriculture et de l'élevage, l'arrivée du cheval qui jouera un rôle important sur leur mode de vie. Ensuite à l'âge dit du bronze (1800 à 400) C'est l'âge des célèbres pétroglyphes les gravures rupestres  qui couvrent toute la Scandinavie avec une étonnante profusion et une uniformité : ils prouvent l'existence d'une religion pratiquée par une société évoluée et aristocratique  que dominent le culte de la fertilité-fécondité, représenté par le soleil dans un chef-d'œuvre comme le chariot solaire de Trundholm, tiré par un cheval et menant le disque solaire posé à la verticale dans le chariot. La magie de type chamanique, semble-t-il, puisque la pratique de l'extase, de la transe et du « vol de l’âme » réalisé avec l’aide d’une cosmogonie centrée sur l'arbre : tous caractères qui se perpétueront jusqu'à l'époque dite littéraire, à partir du XIIe siècle. Le bateauest un objet sacré qui a une place importante dans le quotidien et le monde spirituel en tant que symbole et qu’on retrouvera dans le mode de vie des viking. Toutes sortes d'autres détails démontreraient qu'une religion bien assise est en place dont l'Edda poétique.

     

    Ensuite il y a eu l’age du fer Celtique et l’age du Fer Romain. C’est en -400  nous parlons d’age du fer celtique en raison de la mode vestimentaire de cette époque , de l’onomastiques, des œuvres artistiques et du religieux. Les peuplades celtiques furent sans cesse en mouvement et on connait la diversité de leur arts et de leur langues les Celtes et les Germains partagaient énormément de choses entre eux , et il est souvent très difficile de démêler, notamment en matière d'art, ce qui revient au Nord ou ce qui tient aux Celtes, notamment continentaux. Le bateau fait de notables progrès techniques. Mais c’est a partire du moment ou les hommes du Nord déferlent sur le continent par exemple avec les Cimbres et les Teutons  (qui étaient des Danois)  que suivent ensuite les Lombards, des Norvégiens, les Vandales, Danois ou Suédois, les Burgondes, Norvégiens ou Danois, puis les Suèves, Souabes ou Suédois. Et enfin les Gots, des Suédois qui iront installer au nord de la mer Noire, ils fonderont là bas un petit royaume ou une colonie et ils se développeront en Europe sous deux formes les Ostrogots  ou « les Gots glorieux » et Visigots ou « les Gots sages ».

    Avec l’âge du fer Romain qui commence au Ve siècle, l’influence reçue est plutôt latine, il y a de nombreux échanges aux fils du temps et des voyages, des entreprises de commerces entre les différents peuples et probablement aussi issus des conflits. Les Danes, venus du sud de la Suède, s'installent au Danemark auquel ils donnent leur nom (Pays des Danois). La nation des Sviar devient la Suède. La Norvège, commence à s'organiser, notamment grâce à des centres importants comme Trondheim. Il n'est question ni de l'Islande ni des Féroë qui relèvent de l'âge viking, plus tardifs environ 800 pour ces dernières, 874 pour la première. La Scandinavie est bien en place, organisée en une multitude de « royaumes » chacun gouverné par un Roi, en fait une sorte de grand prêtre-sacrificateur, intermédiaire entre son peuple et les dieux et expressément chargé d'assurer à ses sujets la fertilité et la fécondité. Il vit d'agriculture, d'élevage, sans excès en raison de l'aridité des sols et de la rigueur des climats, et surtout de pêche et de commerce, lequel demeurera l'activité fondamentale du Nord. L’art le plus connue de ces peuples et qui m’importe le plus reste les runes qui on évoluer aussi dans le temps avec différente forme, ancien et nouveau futhark et passait de 24 à 16 Runes. La culture de ces peuples est évoluée et leurs connaissances maritimes leur ont permis de s’établir dans diverses parties du monde par exemple des Angles, des Danois, associés aux Saxons s'installeront, entre IIIe et IVe siècles, en Angleterre, laquelle leur doit son nom de terre des Angles. Et c’est bien cette association des Angles et des Saxons nous permet de souligner un trait commune des peuples du Nord : leur sens de la confédération, de l'association qui influencera leur mode de vie jusqu'à nos jours.

    De 400 à 600 environ s'instaure l'âge du fer germanique ancien, fort confus en raison des collusions entre Scandinaves et Germains continentaux et des grandes migrations C’est vraisemblablement a cette époque qu'un début d'administration ou d'organisation politico-sociale se met en place avec le « byggd » qui est une forme de communauté  territoriale occupée par une « famille » ou un clan ; les « byggdir » se regrouperont ensuite en « hérad » ou « fylki » qui sont des formes plus élaborés. Ensuite chaque « byggd » se dota d'une instance à la fois législative et judiciaire appeler le « thing », ou assemblée des hommes libres délibérant de toutes les importantes questions pendantes. L'institution durera jusqu'à nos jours et connaîtra une fortune remarquable en Islande, bien plus tard. Le thing exprime par définition le primat du droit, de la loi librement consentie et la faculté inaliénable que possède tout homme libre de donner son opinion sur tout sujet. Ce qui rappel beaucoup nos démocraties actuel dans nos Pays d’Europe et du Canada ou de l’Amérique.

    Quand nous nous intéressons au Clan ou à l’importance de la famille chez les peuples Germaniques et Scandinaves il nous faut prendre en compte aussi la diversité des paysages entre fjords de Norvège, vastes plaines du Danemark ou forêts coupées de lacs suédois la nature y est très vaste et partout règnent le froid, la et un grand contraste des saisons en hiver la nature est froide et les nuits sont très longues, et l’été la nature est une saison « chaude » brève et intense. Un élément très important à prendre en compte aussi c’est l’immensité des distances pour voyager et l’omniprésence de la mer, des fjords et des rivières l’eau est présente partout sous plusieurs forme. En ce qui concerne les peuples Nordiques il existe encore d’autre différences qui entreront en compte  au niveau historiques le Danemark a pu connaître de puissants lignages de rois-marchands, la Norvège, compartimentée  entre les fjords et les fjells (montagnes), n'a eu longtemps que des petits rois et des chefs aux pouvoirs assez limités, la Suède ayant dû, longtemps, osciller entre pouvoir des Sviar et celui des Gautar en plus des peuples Norses il y avait aussi les Samis/Sames les éleveurs de reinnes Lapons ce très important peuple autochtone que seront venus recouvrir les apports Indo-Européens.

     

                     J’interpréte : Le livre donne des clés pour bien comprendre la culture scandinave et le phénomène des raides Vikings. Le développement de la civilisation scandinave, les liens que les vikings ont eu avec les autres peuples, avec le commerce, les alliances et les pillages qui on marquer les mémoires, les collonies qu’ils ont fondés et le developpement des nouvelles voies maritimes qu’ils ont découverte et utilisé.  La vie quotidienne et la place de la magie et du sacré dans le foyer et la communauté. Ce livre est composé de deux parties distinctes : l'une consacrée à l'histoire et l'autre à la culture et la civilisation viking.  Ensuite le propose de l’auteur se restreint sur la période des raids, des pillages et à la société viking en générale avec en plus des explications sur les colonies et les royaumes vikings comme ceux d’Irlande et des îles de l’Ouest de l’Ecosse. Et bien sur le plus important pour la culture de foyer pour l’étude du Dedicant Path c’est la partie sur la vie quotidienne dans les pays scandinaves.
     Le contenu de ce livre est riche et précis en informations, il y a de nombreux points et des récits sur les personnages, les lieux et les dates, qui nous permettent de suivre de façon linéaire l’histoire des peuples vikings. Les sources son très sérieuses, d’origines multiples et décrites de façon objective.  Pour moi ce livre est une des sources fondamentale qui influence ma pratique de Druidisme avec les dieux Nordiques et l’images peut être assez romancé que je me fait des ancêtres. J’aime beaucoup me laisser porter par la poésie et les légendes mais le sérieux de ce livre m’aide a avoir une bonne approche des ancêtres de la tradition nordique. Il est aussi utile pour moi affin de nourrire mon besoin de connaissance. On pense connaitre globalement les Vikings. Avant sa lecture. Mais en faite tout ce que l'on croiyait savoir n'est bien souvent qu'idées reçues et approximations. Par contre il n’est pas toujours très facile à lire, mais tellement utile. Le livre de Régis boyer est très sérieux et a l’opposé des Poétes et du mouvement romantique, que j’aime beaucoup et qui nourrit également ma pratique de foyer. Il y a des écrits très beau et d’autre qui sont écrit en poésie mais plus de valeur informative. J’aime beaucoup le romantisme Normands, des Poètes Français de Normandie ont beaucoup écrit sur les Vikings et leur implantation sur la Bretagne et la Neustrie qui deviendra ensuite la Normandie. Le mot en vieux Français Norman qui vient de l’anglais Northmen soit « Normands ». Les liens avec la langues Française et le Gallo. J’aime beaucoup l’imfluence qu’ils ont eu sur les poètes Normands qui écrivèrent en Français ou en Gallo/Normand (
    langue parler dans l’est de la Bretagne et l’ouest de la Normandie). Voici deux poèmes que j’aime beaucoup :

    « Peuple qui des rochers de la Scandinavie. Descendis en vainqueur sur l’Europe asservie, tu maintiens sur tes bords les vertus des héros, mais tu sais respecter l’habitant des hameaux. »

    -Jean-François de Saint-Lambert ‘les saisons’ 1769-

     

    «Man en Engleiz et en Noreiz, senefie hom en Francheiz,

    Justez ensemble North è man,

    Ensemble ditez donc Northman,

    Ço est hom de North en Romanz.

    De ço vint li non as Normanz

    Normanz solent estre apelé.

    E Normandie k’il ont poplé

    Por ço ke Normanz la poplerent

    Ki en la terre converserent Frencheiz dient ke Normandie,

    Ço est la gent de North mendie.

    Por ço k’il vindent d’altre terre,

    Por miex aveir, è por cunquerre. »

    -Robert Wace, ‘le Roman de Rou’ 1160-

     

    « Ils sont Normands. Ils sont descendus des pirates qui faisant pleurer Charlemagne et qui vinrent conquérir, sur de légères barques d’osier, le sol dans lequel ils ont mordu comme une ancre qui ne doit plus jamais se lever »

    -Jules Barbey d’Aurevilly, ‘une vieille maîtresse’ 1851-

     

                   J’apprécie : Il est très bien comme une sorte de mise au point radicale sur l’histoire des vikings. En laissant de côté les influences romantiques du XIXe siècle que j’aime tant et qui dépeigne les vikings de façon idéalisé ou violente d’hommes aventureux.

    C’est un livre précieux pour ça car il combat les préjugés, les fausses idées que nous retrouvons aussi dans de nombreux textes médiévaux. L’image du Viking commerçants et remise en lumière avec ce livre  il est démontré qu’ils n’étaient pas uniquement des guerriers sanguinaires, et prouve que les barbares étaient aussi des hommes férus de connaissances de très bon navigateurs, des poètes, des artisans, des paysans et des magiciens, leur art de vivre avec intensité et un supplément de conscience est restauré sous la plume de Régis Boyer. Le point négatif du livre c’est qu’il est parfois dans certain passage difficile a lire et que l’écriture et petite ce qui rend la lecture parfois pénible surtout quand on a besoin de lunettes pour lire comme moi, il reste quand même abordable pour débuter. Je le conseille comme première approche au monde viking.

     

     

    Conclusion :

    En conclusion du livre de Régis Boyer et d’autre auteurs comme Jean Renaud qui lui aussi a écrit des livres sur les Vikings. De toute mes lectures il en ressort quatre critères sûrs qui auront peu à peu présidé à la formation de la Scandinavie. Et qui par conséquent ont aussi une imfluence sur la vision du monde et de la place du sacré et de la culture au sein du foyer et de la communauté Norse de l’époque des vikings et que nous devons prendre en compte pour notre propre culte de foyer. En tous cas cela appore des bases assez solide pour notre propre pratque.

     

    Le premier est d'ordre sociologique et s'appelle « œtt » ou « famille », au sens très large, qui aura été le centre même de la vie en société. Tacite, fut le premier à en faire mention dans sont « Germania » la famille est l’élément important sur laquelle tout reposait les rêgles de vie, le commerce, la guerre, la religion. Ensuite plus tard nous retrouver tout cela d’écrit dans les sagas islandaises dites « de familles » des histoires qui auront traversés les siècles.

     

    Puis ensuite il y a le « land », qui s'applique à une unité territoriale centrée sur un lieu de culte en plein air « vé » ou « hoff » des lieux sacrés et temple, joint à un « thing » et régi, si l'on veut, par un chef ou « roi ». Il peut s'être agi d'une circonscription géographique, ou politique, ou familiale que rassemblaient des intérêts juridico-économiques, voire militaires ce dernier point, avec la plus grande circonspection.

     

    Le troisième critère est le plus pertinent, c’est celui de la langue. Les Scandinaves sont ces Germains du Nord qui se comprenaient sans effort entre eux. La langue qu'ils parlaient, était le proto-norrois ou « urnordisk » une langue qui évolura ensuite en « vieux-norrois » très proche de l’Islandais et du Norvégien. L’usage des runes pour l’écriture dans les langues germaniques notamment avec le vieux-saxon est aussi un élément imporant de la culture germanique.

     

    La quatrière c’est leurs religions qui comportent le même corpus de croyances, de mythes et de rites, les mêmes coutumes, la même vision du monde, de l'homme et de la vie. De nombreux éléments sont commune avec d’autres peuples Indo-Européens et les fonctions des divinités quand nous commparons les panthéons entre eux sont très intéressente. La magie appeler « Seidr » est aussi quelque chose de façinant dans les textes, chose que nous pouvons rapporcher aussi des pratiques extatiques pratiquer chez d’autres peuples d’Europe.

     

    Dans ce livre Régis Boyer nous éclaire sur les origines de la culture Germanique de Scandinavie et nous montre que les Vikings étaient aussi autre chose que de simple pillards violent. Vétus de peau de bêtes et de casques a cornes comme on nous les dépeind souvent dans les films ou la litérature.

    Il fait des rapprochements notamment pas loin d’ici en Normandie entre les langues des Vikings et celles des Saxons. En Bretagne il y a eu de nombreuses invasions Saxonnes et plus tard de Vikings mais c’est plus marquer dans la régions qui était appeler Neustrie a l’époque et qui deviendra ensuite la Normandie. Les vikings étaient trop peu nombreux pour submerger numériquement les populations autochtones.

    Au Danemark, en Norvège, en Suède, la pauvreté des sols et les conditions climatiques interdisaient des effectifs pléthoriques.

    Pour cette même raison démographique et divers autres raisons probablement la politique de l’époque ou des choses d’ordre plus prosaïques parler de « colonisation » de la Normandie par les Vikings semble exagéré à ses yeux. Régis Boyer préfère parler d’« installation par petits groupes ».

    Quand on recherche au niveau de la toponymes en Normandie  ainsi que le « Normand » (La Langue parler en Normandie dans la campagne proche du Gallo dans l’Est de la Bretagne) bien que nos langues régionals soit assez minoritaire a côté de l’usage du Français Il y a de nombreux éléments d’origine Scandinave.

    Les historiens s’accordent pour fixer la fin des raids vikings vers le milieu du XIe siècle et aussi à Guillaume le Conquérant, duc de Normandie qui à fait une étonnante expédition en Angleterre qui marqua l’histoire, il était le sixième successeur de Rollon. Régis Boyer nous explique que en 1066 à cette date, soit environ 150 ans après l’installation des Vikings et la création de la Normandie. Elle n’est plus de culture Scandinave mais elle devient de culture Romane celle des Francs. Leurs descendants se sont fondus dans la population. L’assimilation a été d’autant plus irréversible qu’ils étaient, Régis Boyer le rappelle, peu nombreux, et qu’en prime, ils ont toujours montré une « étonnante faculté d’adaptation » dans tous les pays où ils se sont installés. Cette partie de livre me frappe et je fais des liens avec des éléments historiques dans le Bro-Leon (Le pays Léonard), le nord du Finistère ici, avec la colonie viking de l’île de Batz. L’histoire de St Pole de Léon nous explique qu’il aurait chassé le Dragon des vikings à la mer. Mais fait étonnant il y a des éléments dans le terroir qui rappel leur présence, notamment aussi la création du Bro-Pagan (Le pays des Païens) sur l'extension de la colonie des vikings à côté de l’île de Batz sur la côte nord du Bro-Leon. Il y a de nombreuse légende de naufrageur aussi et les Pagans comme on appel les Bretons du Bro-Pagan on toujours eux une image mystérieuse. Le Clergé Chrétiens du Léon à aussi été assez dur avec eux. Et aux fils du temps beaucoup d’histoire et de légende on circulé souvent en lien avec la mer et la mort. Bon dans le Bro-Vigoudenn (Le Pays des Bigoudens)  il y a des légendes qui racontent que les Bigouden son venu de l’hyperborée aussi donc… Nous aimons beaucoup les histoires et les Bretons sont vraiment porter par l’imaginaire et le légendaire quand ils repensent au passé.  

    Avec énergie, Régis Boyer nous explique dans son livre qu’il faut se méfier de ces rapprochements linguistiques. Les toponymes ou l’étymologie dans les noms des lieux ou dans la langue Normande en question pourraient tout aussi bien renvoyer au Saxon, une langue germanique très proche de l’ancien scandinave. Or, on sait qu’un demi-millénaire avant l’installation des Vikings, la Normandie à fait l’objet d’invasions saxonnes, notamment venues de la mer. Prouver une implantation scandinave en profondeur à partir de la toponymie serait hasardeux selon Régis Boyer. C’est un très beau livre que je ne me lasse pas de lire et de relire toujours avec la même saveur. Le propre des bons livres c’est qu’il nous apporte des réponses mais qu’il nous pousse a nous poser de nouvelles questions. Je le recommande a tout ceux qui s’intéresse a la culture Scandinave et aux Vikings.

     

    Le troisième thème l’étude du Paganisme moderne :

    Livre 3 : « Sacred Gifts, reciprocity and the Gods»

    Auteurs : Kirk S. Thomas.

    Introduction :

                        J’ai lu se livre plusieurs fois, c’est le seul livre en Anglais que j’ai eu la chance de lire. Kirk Thomas a eu la gentillesse de m’envoyé quand j’avais évoquer mes difficultés a obtenir un livre de la liste d’étude pour le Dedicant Path. Ça m’a fait vraiment plaisir. En plus c’est une bonne chose pour moi de lire l’Anglais, il y a plein de mots que je n’emplois pas et que je ne comprenait pas, par moment il y avait comme des blancs dans les phrases, mais ça m’a donné une occasion de chercher et de travailler un peut mon Anglais. J’étais vraiment très rouillé quand j’ai rejoint ADF, je ne parlais plus Anglais qu’une fois ou deux dans l’année quand je rencontrais des touristes, Irlandais ou Britanniques le plus souvent. Bien sur je faisais aussi les rituels de la Solitary Druid Fellowship et quelque prières que j’écrivais pour mes rituels parfois, mais ce n’est pas la même chose. Je me rappel d’une de mes premières conversation avec des gens sur le rituel de la semaine sur zoom, c’était difficile. Ça me fait du bien de rencontrer la langue plus souvent. Je ne parlerais surement jamais très bien et  je pense que je ferais toujours quelques fautes. Mais l’envie et l’amour de la langue sont là donc c’est le plus important.  Le Livre Sacred Gifts abordent le thèmes des offrandes faites aux divinités et de la relations de confiances et d’interconnexions avec ces êtres sacrés des autres mondes que nous honorons. L’auteur développe aussi au-delà de ces deux aspects tout ce qui est en lien avec le sacrés

     

                     La couverture du livre : elle est composé d’une photo avec un feu qui rappel le feu sacré et dans les flammes il y a des symboles une épée, un cerf, un oiseau, une serpe et quelque chose comme un épis de blé. Qui rappel les offrandes ou les « présents sacrés » justement ou les esprits des dieux, des anciens et de ceux du monde féerique. Nos esprits de la terre, nos être brillantes et les ancêtres. Sur le quatrième de couverture à l’arrière du livre. En bas sur la droite il y a un des logos de ADF avec une branche de chêne et la mension « Publishing » qui montre que c’est un livre édité par «Ár nDraíocht Féin » et en haut sur la gauche il y a une photo de Monsieur Thomas l’auteur du livre. Il y a des expliquation sur le parcour de Monsieur Thomas le fait qu’il soit un prêtre senior et l’archidruide de ADF, au moment ou il à écrit le livre. Il est fait mention de Richland où il est né, de sa première découverte du paganisme à la fin des années 1960. Ainsi que ses études dans l’université du nouveau Mexique, les étude qu’il a fait en art dramatique et des études celtiques dans une université galloise et puis son parcours dans ADF et le séminaire de Cherry Hill. Il est décrit aussi que l’auteur a une passions pour la prêtrise, les études celtiques et celles sur les indo-européens, ainsi que la liturgie de ADF et les savoirs de druides comme le travail avec la transe extatique, la magie de guérison et le chamanisme. L’introduction qui est écrite au dos du livre donne vraiment envie d’aller plus loin et de se plonger dans sa lecure.

     

    Développement :

                      J’observe : Le livre commence par une introduction intéressente qui nous explique que les premières offrandes étaient sous forme des prières, quand la communauté a été fondée par Isaac Bonewits, et que ce n’est alors que plus tard que les offrandes phisiques ont été misent en place utilisées à l’époque ou c’était Rev. Jeffrey Wyndham (Aka Ian Corrigan) qui était l’Archidruide. Ensuite dans la préface l’auteur parle d’une expérience qui là profondément marquer au pays de Galles dans un vieux château en hiver avec sa cousinne. Il c’est senti connecté à l’autre monde Gallois. Ce genre d’expérience et toujours très intense, même l’évocation de ce souvenir à des personnes qui on ressentit des expériences particulières de ce type. Provoque des émotions très fortes.

    La construction du livre est très complètes il y a énormément d’informations sur les liens entre les invités et leurs hotes, les relations d’amitiés. Les offrandes aussi la protections et comment se purifier corecement pour les rituels. Il y a aussi énormément de sources dans le livre et d’importante information sur les liens et la constructions de la relation que nous devrions avoir avec les divinités dans notre pratique quotidienne du druidisme. C’est décrit de façon linéaire en plusieurs étapes avec les intéréssés au début, les invités, les hôtes et les amis en premier. Le sacrifice, les offrandes sous différentes formes, cadeaux, nourritures, objets « x » ou « y », des services, le travail domestique, les fruits et libations. Tout est décrits en détailles et c’est l’une des parties de livre qui ma le plus intéresser. Ensuite il y a pages 157. La partie qui permet de mettre en pratique tout ce qui à été développer avant dans le livre au sujet des offrandes et de comment établire une relation de réciprocité avec les esprits. Comment donner et recevoir. Et en fin il y a des annexes pour aller plus loin. Dans la lecture d’autres livres.

                     J’interpréte : Ce livre est un excellent guide pour la pratique du druidisme de Ár nDraíocht Féin il nous donne énormément d’indication sur la façon de procéder pour crée une belle relation avec les dieux. Et avec ce livre j’ai compris énormément de choses sur la place du sacré chez les anciens peuples, ça parait souvent abstrait pour nous mais dans ce livre c’est bien détailler. Il est très claire. Par exemple le sanctuaire est généralement un édifice ou lieu rendu ou devenu sacré par ou pour les rituels ou les offices qui s’y déroule quand on lit le livre page 43 dessus on se rend compte que c’est plus que ça c’est aussi un lieu de refuge et de protection, un endroit ou nous nous isolons du reste du monde et peut importe dans le fond dans notre sanctuaire nous sommes comme en dehors du temps et des activités du monde ordinaire, c’est la limite entre le profane et l’ordinaire. J’avais lu quelque chose de semblable au sujet des cercles dans la wicca dans un des livres de Scott Cunningham qui on été traduit en Français. Alors le sanctuaire en devient un par son association au Divin et a une forme de transcendant. C’est aussi grâce a notre esprit et a la perception que nous avons au moment du rituel de ce que nous faisons. Nous nous retirons du monde ordinaire et profane dans un acte d’isolation pour entrer dans celui du sacré. Le sanctuaire j’ai compris que ce n’était pas qu’un lieu c’est aussi une attitude en nous au moment du rituel. Je pense a une chose que j’ai compris aussi en méditation avec Odin et Freya, au moment ou je travaillais sur le Dedicant path, c’est que le lâché prise comme l’isolement qui permet d’entré dans le sacré c’est avant tout un phénomène purement intérieur. Alors ça ne veux pas dire que les problèmes du monde ou que nos préoccupations quotidiennes n’existent plus sur le moment, ou que sur le plan concret de la dimension extérieure il ne se passe plus rien de mal ou de contraignant. Mais dans le moment du rituel nous ne somme plus affecter par notre quotidien ou ce qui se passe dans le monde, je veux dire que par exemple nous ne réagissons plus pour passer à l’action pour changer telle ou telle situation. En faite avant toute chose quand nous lâchons prise, le quotidien ou la situation extérieure n’a plus d’emprise sur ce que nous sommes en train de faire. Alors nous passons du profane au sacré, de l’ordinaire au sanctuaire, est ça même si le sanctuaire et tout petit. Le changement lui à lieu en nous avant de débuté le rituel. Le livre permet de comprendre avec plus de profondeur les liens qu’il y a avec nos dieux, nos ancêtres, les esprits de la nature et les éléments comme l’eau, le feu mais aussi par l’intermédiaire de l’arbre sacré avec ses branches dans l’air (le ciel) et ses racines dans les profondeurs de  la terre, surtout dans les rituels. A travers les offrandes et les échanges grâce aux éléments aussi nous pouvons avoir accès à ces royaumes, qui peuvent nous semblé par moment dépourvue de formes, grace aux reliques des druides de ADF nous pouvons il me semble nous sentire plus en lien avec ces forces à travers l’identification claire au travers des reliques. On est plus en lien, en reliance et en harmonie. Je pense après la lecture de ce livre qu’après avoir fait des offrandes par l’intérmédiaire de nos reliques chaque fois que nous offrons des présentes aux kindreds, nous devenons dans une certaine mesure perméable à la lumière brillante du feu sacré, à la conscience pure qui émane des sources et du puits des ancêtres, et à l’harmonie, la stabilité et la reliance entre les mondes que nous offres l’arbre. En cela il y a toujours une présence de l’awen, de cette lumière, cette pureté et cette stabilité, on prend conscience aussi que hors des rituels nous ne sommes pas dissociée de l’awen et du lien de résiprocité que nous avons établie avec le triple kindred. L’autre partie du livre qui m’a beaucoup apporter dans mon druidisme personnel c’est celle qui parle des offrandes et de la substitution. Surtout la partie « Sacrifice Without Killing » L’auteur explique dans le livre que nous avons souvent une mauvaise image de la notion de sacrifice, ça signifie souvent une perte ou quelque chose de négatif, alors que nous ne sommes pas obliger de tuer un animal le sacrifice peut être fait de dépôt d’objets ou d’intention de serment préter. C’est quelque chose que j’avais en tête avant de rejoindre ADF, dans mes rituels que je faisait des offrandes, j’étais conscient que le plus important c’était l’intention qu’on y met derrière. Et que l’offrandes ait de l’importance pour nous. Mon arrière-arrière grand-mère dissait a ma mère quand elle était petite que nous devons offrire que ce que nous avons de meilleur à offrire. Quand ma mère me la dite à son tour cette phrase, j’ai penser a des offrandes faites de nourriture ou d’une boisson, ou encore d’objets comme des cristaux ou un torque. Mais avec la lecture de ce livre la phrase de mon aïeule prend un autre sens, parce que le ce que nous avons de meilleur. C’est fait d’intention, d’actions justes, de paroles donnés aux ancêtres, aux dieux ou au esprits. De fidélité et de bienveillance. Si nous faisont le serment d’être une meilleur personne que nous avons pu être par le passé en cherchant à ne plus commettre d'erreurs et à nous amélioré. Ce serment et ces actes peuvent être considéré comme un sacrifice bien plus important que de simples offrandes de nourriture ou de boisson. C’est quand ça que nous offrons le meilleur de nous même. Ensuite il y a les offrandes votives, c’est un chose très populaire en bretagne, il y a de nombreux lieux qui sont l’objet de dépôt d’offrandes, des arbres, des sources, des collines ou il y avait des feux jadis. Mais plus que cela l’offrande votive est un objet placé sur l'autel, une image sainte ou une statue religieuse dans pour un plaidoyer ou une action de grâce. J’ai beaucoup aimé la description page 90 avec les détailles que Kirk Thomas nous donne sur sa pratique d’une offrandes votive à Taranis avec du Wiskey qu’il à fait pour demander qu’il ne pleuve pas et que le soleil est apparus derrière les nuages. Et ensuite il à fait ce qu’il avait dit a Taranis après sa demande, il lui a construite un autel. C’est le genre de détaille que j’aime beaucoup. L’intéraction avec les divinités et avoir la certitude qu’ils nous accompagne. 

     

                   J’apprécie : La partie du livre qui m’a le plus enrichie dans mon druidisme et qui m’a apporter du réconfort mais aussi en quelque sorte une confirmation que ce que je vie aux quotidien est bien du druidisme. C’est la partie page 157 « Building Relationships with spirits : Giving and Receving ». La lecture de cette partie a la fin du livre à pour moi véritablement été comme recevoir une confirmation que la voie dans laquelle, j’exprime mon amour, mon attachement et ma fidélité à mes divinités sur une chemin druidique est valable pour d’autres personnes dans le mondes, le fait de faire des offrandes réguliérement n’est pas quelque chose de vaine le fait de savoir que les relations que j’ai établie avec certaine de mes divinités. Est quelque chose de naturel bien sur pour ADF. C’est quelque chose d’encouragenant et qui pousse à aller plus loin, à s’engager, à s’amélioré ou a expériementer d’autre rituel, d’en écrire, d’en traduire, d’en crée. Et avoir des explications dessus, dans ce livre qui est un bon complément à toutes les exmplications qui sont dans le Hearth Keeper et le Dedicant Path c’est un plus utile. Le livre permet de bien comprendre, par des rapprochement et des comparaison entre les cultures qu’il est out à fait normal que sur notre chemin nous soyont intéressés parfois par  une culture « X » et/ou « Y » et donc à ses divinités aussi.  Il est aussi logique de pensé que les divinités  du panthéon « X » ou « Y » s’intéressent elles aussi à nous de leur côté, peut être avons-nous des ancêtres qui leur on parler de nous ou d’autres choses qui fond qu’elles cherchent à entrés en contacte avec nous, pas le rêve, la transe ou nos méditation. C’est tout à fait naturel et il me semble que c’est aussi tout à fait normale d’établire des relations de confiance avec elles, de la confiance et de l’amitié réciproque qui passe par des petites intentions, des rituels ou des offrandes.

    De plus la dernière partie de la page 157 à 191 avant la partie appendice. Constitue à elle seule une sorte de méthode, de comment faire du druidisme ADF et mettre en pratique tout ce qui a été développer au cours de la lecture du livre. Il est fait mention de la transe, de la musique rythmique, de la danse, des chants, des pratiques extatiques et de la visualisation. De beaucoup d’autre chose encore qui enrichissent considérablement la pratique spirituel sur une chemin druidique.  L’exemple d’invocations page 170. J’ai d’ailleur fait le rituel d’alliance proposer a la fin du livre par Kirk Thomas après en avoir fini la lecure. Je recommenderais ce livre vonlontier a toute personne qui s’intéresse au druidisme, au paganisme et aux anciens peuples d’autrefois. C’est dommage qu’il ne soit pas traduit en Français.

     

    Conclusion :

    Le livre nous encourage dans notre pratique du druidisme en nous offrant des clés de compréhension au sujet des offrandes et des présents, mais aussi des choses plus importantes comme l’honneur, l’engagement qu’est ce qui fait de nous de bonne personne pour nos proches ou nos amis. La relation entre nous est nos divinités comment l’entretenir et l’amélioré.

    En conclusion à travers ce livre on comprend aussi qu’un rituel c’est une action sacré qui nous permet de relié le monde des dieux et celui des hommes. Et de restauré un lien que nous avons construit au préalable par le processuce de l’initiation druidique, de l’observation du calendrier druidique et des serments comme c’est le cas dans le Dedicant path. Le sacrifice et l’échange de présent dans un forme d’échange fraternel avec le triple kindred.  Et ce lien il nous faudra prendre soin de le fortifié et de le régénéré ensuite pour notre foyer et notre communauté. C’est en cela que nos rituels sont utiles et nécéssaires.

     

     

    Le quatrière théme sur la langue Indo-Européen.:

    Livre 4 : «L’Indo-Européen »

    Auteurs : Jean Haudry.

    Introduction : Quand j’ai appris que nous deviont étudier les peuples Indo-Européen pour remettre le travail à faire sur le Dedicant Path. Je me suis rendu a St Pol de Léon dans la librairie que j’aime le plus a St Pol de Léon, la librairie « Livres In Room » je m’y suis rendu deux fois avec les titres de la liste. Mais aucuns d’entre eux ne figuraient sur les listes des fournisseurs de la boutique. Les vendeurs m’ont alors proposé un titre qu’il y avait chez un de leurs fournisseurs qui se trouvait de l’autre côté de la Bretagne vers St Malo. Je suis retourné deux fois à la boutique de St Pol de Léon l’an dernier. Et j’ai pu achetter le livre avant le premier confinement l’année dernière.  Le sujet de ce livre c’est l’indo-européen reconstruit, c’est ici une tentative de reconstruire la langue commune, disparue depuis six mille ans qui était la source des langues modernes d’Europe, d’Amérique et d’Asie.    

     

                      La couverture du livre : La couverture du livre est assez neutre, toute blanche avec le titre écrit en noir, encadré par deux traits noirs et une rune Tiwaz inversé sur le côté qui fait pensé à une flèche qui montre le titre. Et le nom de l’auteur est écrit en tout petit en dessous du titre sur la gauche. Sur le quatrième de couverture à l’arrière du livre est très simplicité également et une présentation du thème du livre est très bien écrite en quelque ligne. Il nous fait mention des traveaux de l’auteur comme étant une présentation d’ensemble de la langue que l’auteur appel l’Indo-Européen. C’est une tentative de reconstruction de la langue telle qu’elle aurait pu exister il y a six mille ans. Le livre est fait de la synthèse des connaissances acquises et des comparaisons des évolutions des différentes langues d’Europe. Il y a des comparatifs en gramaire et en syntaxe ou phonologie.  Mais aussi des exemples de phrases reconstruites. Ce livre developpe des points de vues de l’auteur surtout au sujet du développement de la partie sur la préhistoire de la flexion nominale Indo-Européenne.

    L’arrière du livre mentionne aussi le fait que la précédente publication date de 1994.

    Il y a le prix et le nombre de pages qui est signalé en bas sur l’arrière du livre, 160 pages pour 18euros. Mais rien de plus le livre est très minimaliste.  

     

    Développement :

                      J’observe : Le livre est structuré en plusieurs partie une qui présente l’Indo-Européen et qui explique clairement que les travaux présenté dans ce livre constituent un néologisme, que c’est une langue non-attestée dont il faut postuler l’existance pour expliquer les concordances entre les différentes langues d’europe. La présentation des langues est fait d’ouest en est. En trouvera la présentation suivante des langues :

     Les langues Celtiques : Avec le Gaulois une langue celtique disparue, ainsi que les autres langues celtiques, l’Irlandais, le Breton, le Gallois, le Cormiques.

     Les langues Italiques :  Avec le Latin d’où sont issues les langues Romanes, les langues disparues que sont le Vénète, l’Ombrien et l’Osque.

    Les langues Germaniques : Avec le Gotique une langue germanique disparue, ainsi que l’Anglais, l’Allemand, le Norvégien, le Danois et les autres langues Scandinaves.

    L’Albanais : Qui est une langue Indo-Européenne originaire de la méditérannée, qui est proches des dialectes Illyriens et qui constitue à elle seule une branche de la famille des langues indo-européennes

    Le Grec : Une langue dont on suit l’évolution du Iiè millénaire à nos jours.

    Les langues Baltiques : Avec le vieux Prussien une langue baltique disparue, le Lituanien et le Leton.

    Les langues Slaves : Avec le Russe, le Polonais, le Tchèque, le Sorabe, le Slovène, le Bulgare et le Serbo-Croate.

    Les langues d’Asie Mineure : Avec le Phyrien, une langue disparue, l’Arménien, et les langues Anatoliennes disparues (Hittite, Louvite, Palaïte, Lydien, et le Lycien).

    Les langues d’Asie Centrale : Avec les langues Indo-Iraniennes, celles du Véda et de l’Avesta. Mais aussi le Tokharien.

    Dans le livre il y a aussi divers témoignages qui attestent de l’éxistence autrefois de’autres langues qui ont disparues aujourd’hui.  Les premiers chapitres du livre présente l’Indo-Européen et les différentes langues Indo-Européennes qui en découle. C’est très complexe et avec beaucoup de détailles entre les correspondances linguistiques et l’explication des différentes évolutions des langues ainsi que celle des correspondances de leurs régularités et de la phonétique, des lois de la phonétiques.  La langue Indo-Européenne comme elle est présenté dans ce livre se caractérise par des traits grammaticaux qui forme un système qui ce définit par la flexion et pas la dérivation et il y a parfois la structure inhérente, la racine des mots et l’usage des préfixes. Par exemple le tonnerre, l’idée que le temps tourne a l’orage, serra exprimer par l’usage de verbe « ni-sed » qui vient du mot « nid » ou « nizdo » qui veut exprime l’idée de quelque chose qui se pose ou qui est poser. Et « ten » qui veut dire gronder ou tonner provenant du latin « tonare ». Alors les mots peuvent contenir d’ancien préfixe comme pour le tonnerre « (s)ten » avec l’usage du « s-». Ainsi « ni » a dû avoir un statut de particule séparable, mais alors du point de vue paradigmatique comme l’explique le livre elle formait très certainement une unité lexicale avec « sed ».

    Dans le livre page 64 il y a un tableau qui sert d’explication pour la comparaison des pronoms démonstratifs et les pronoms anaphoriques. Le tableau sert de comparaison entre l’Indo-Européen, L’indo-Iranien, le Gotique, le Latin et le Grec. Il y a d’autres tableaux dans le livre du même type qui clarifies le propos et rende les traveaux de l’auteur plus accesible pour un publique non averti. Page 70 aussi il y a énormément de comparatif, de démonstration de l’usage de l’imprératif, le prétérite et sur la page suivant des comparaisons avec le Grec. Il y a beaucoup d’autres passages dans le livre comme ça. Dans ce live avec la méthodologie de la reconstruction, la phonologie, la morphologie nominale et verbale, la composition des phrases, la syntaxe de la phrase simple et de la phrase complexe, ainsi qu’un lexique,  nous pouvons nous rendre compte a quel point le langage est compliqué et important. Comment il évolue et change. L’auteur aussi va plus loin et cherche aux racines des langues à reconstruire la flexion nominale Indo-Européenne à l’époque près-romaine et aux sources des langues. Et sa théorie sur les deux modèles qui est vraiment très compliquer quand nous ne sommes pas linguistes. Nous offres une bonne piste pour comprendre tout ce que les langues partagent dans leurs matériaux qui les constitue.

    Ensuite il y a un passage très intéressent page 95 qui nous présente des phrases reconstruites. Il y a énormément de source et de travail de reconstruction et de comparaison  des différentes langues avant ce passage du livre.

     

     

                     J’interpréte : Ce livre est important je pense parce qu’il nous montre que nous sommes tous liés les uns aux autres par notre langue, nos langues sont différentes c’est certain, l’Anglais et le Français ou l’Allemand. Ce ne sont pas les mêmes langues mais elles ont tellement en commun. Et les cultures, nos ancêtres qui on parler ses langues, ils ont voyagé à travers le mondes et ils ont contribué à faire évoluer les langues et les cultures, les coutumes. La lecture de ce livre est vraiment intéressante si on le fait avec une carte du monde et qu’on recherche les pays d’origines des langues.  

     

                   J’apprécie : Le sérieux du livre, et la façon dont les dirrérentes langues sont abordées par l’auteur. Le développement et dans mon druidisme que je pratique a la maison je recherche cette notion d’ouvertur et de comparaison ainssi que la l’étymologie et la philologie. J’aime beaucoup les noms des lieux ici en Bretagne retrouver les significations des noms qu’ils soit influencés par le Français, le Breton, le Gallois ou l’Irlandais.

    Le seul problèmes avec ce livre c’est qu’il est très complexe. Il y a tellement de chose a développer pour comprendre les études de l’auteur, qu’il faudra au lecteur beaucoup d’assiduité et de persévérence pour finir le livre. Ce livre n’était pas dans la liste des livres pour les lectures afin de rendre ce travail pour le Dedicant Path. Mais j’avais envie de le présenté parce que j’ai reconnue l’esprit de ADF à l’intérieur. Je pense que c’est un des livres qui serrait important pour des futurs membres de ADF en France.

     

     

    Conclusion :

     

    Les concordances et leur régularité dans les études des anciennes langues sont telles que l’Indo-Européen commun a probablement existé. Les travaux de l’auteur dans ce livre nous offres des preuvent vers cette hypotèse, après avoir lu ce livre ça parait vraiment tangible. Il à existé de toute évidence une langue mère qui à généré les autres langues de l’europe, cette langue fut comparable au Latin pour les langues Romane comme le Français. Elle à d’après les explications de l’auteur changer avec le temps et évolué dans différentes régions du monde et aussi sous l’imfluence des cultures des hommes qui là parlaient, évolué en différentes branches par la dialectalisation. L’évolution la plus marquer ce trouve entre les langues Germanique et le Grec, par la poésie. Des thèmes ou des poèmes qui évoque les préocupation des hommes, leurs valeurs et leurs idéaux. Ainssi que les préocupations du milieux où ils sont nés. Par exemple des formules comme « Gloire intarissable » en comparaisson on reconstruit un procédés rhétoriques, des figures comme les doubles sens dans la poésie, le kenning, le paradoxe. Des similitudes s’observent entre certaines formes littérailes. Deux types d’introduction, appelant l’attention, les charmes cruratif, l’usage du double vocabulaire, qui s’emble hérité soit de la langue des dieux Grecques ou Scandinaves, ou alors du vocabulaire affecté au monde du mal dans l’Avesta. On retrouve un aspect ternaires des notions comme les trois fonctions duméziliennes ou des formes en triades « pensée, paroles, action » avec toute ces similitudes nous nous rendons compte à travers ce livre que les Indo-Européens avait une vision commune du monde et qui s’exprimait en particulier au travers de la poésie.Je recommande la lecture de ce livre à toutes personnes qui se lancerait dans la recherche des Indo-Européens.

    Ecrit par Eikthyrnir Odinson pour le travail du Dedicant Path

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